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Jean Dugenêt

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  • Premier article le 13/03/2018
  • Modérateur depuis le 10/04/2018
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Derniers commentaires



  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 1er septembre 2018 12:20

    @alinea

    Si une réaction viscérale du genre « vous me gonflez » vous amène à insulter comme d’autres envoient leur poing dans la gueule à n’importe qui alors vous êtes une asociale dangereuse. Il faut apprendre à vous contrôler. Vous devriez peut-être consulter un psy et cela d’autant plus que vous insultez une personne qui n’est pas impliquée dans la discussion.
    « dans quel monde vivez-vous ? » Je vis dans un monde où plein de militants essaient de trouver une issue positive à la crise du régime capitaliste et pour cela choisissent à un moment de militer dans une organisation : NPA, LO, POI, POID, PCF, FI... Chacun pense faire le bon choix mais se trouve en désaccord avec les autres. La règle de « démocratie ouvrière » suppose que chacun ait à cœur de discuter avec les autres. L’exigence de vérité (la vérité est toujours révolutionnaire) implique que chacun fasse cette difficile quête de vérité pour ne fonder ses analyses que sur des faits avérés et il doit alors être capable d’exposer sereinement son analyse. Avancer le résultat de son analyse, en l’énonçant comme une certitude du style « eh bien moi je pense que... » n’apporte rien. La démarche intellectuelle qui part des faits pour arriver à des conclusions est plus astreignante. Elle doit constituer une véritable preuve. Ce n’est alors pas dans le style « la preuve ils n’ont pas encore fini de détricoter l’apport. » . Vous n’avez rien prouvé. Avec mon article je pense avoir prouvé qu’il y a un grand décalage entre les discours de JL Mélenchon et ses actes.


  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 1er septembre 2018 08:29

    @alinea « Vous vous venez nous agressez, vous ne faites que ça d’ailleurs ; » Il nous arrive aussi de sortir une déclaration. Voir ci-dessous :

    POUR UN GOUVERNEMENT DES TRAVAILLEURS

    Le groupe de discussion sur Facebook FLEVITA (Frexit, Laïcité, Exigence de Vérité, Internationalisme, Tolérance, Antiracisme) se prononce pour une solution politique à la crise actuelle.

    Face aux attaques que mène le gouvernement Macron contre les plus démunis et les classes moyennes et cela pour le plus grand profit des plus riches, il faut un gouvernement des travailleurs. L’analyse des résultats des dernières élections présidentielles montre qu’un candidat unique du PCF, du PS et de la FI pourrait l’emporter et que ce serait d’ailleurs la seule solution pour battre le candidat réactionnaire soutenu par les médias aux mains des milliardaires. Nous sommes pour un gouvernement de ces trois organisations sans aucun ministre d’un autre parti qui serait lié aux capitalistes comme ce fut le cas sous Mitterrand avec les radicaux de gauche. Nous sommes pour un tel gouvernement quel que soit le président de la république qui sera élu. Dans les circonstances présentes le mieux placé serait assurément Jean-Luc Mélenchon.

    Nous ne mettons aucune condition à ce que l’unité se réalise pour qu’un tel gouvernement se mette en place. Cependant, nous œuvrerons en toutes circonstances pour qu’il s’agisse d’un authentique gouvernement des travailleurs. Il devra pour cela satisfaire les revendications maintes fois formulées (Programme du CNR, programme commun de l’Union de la gauche de1981, les 110 propositions du PS de 1981…). Nous savons qu’il sera impossible de satisfaire ces revendications sans que le France sorte de l’UE mais nous ne voulons pas en faire une condition restrictive pour que l’unité ouvrière se réalise.

    Nous sommes forts maintenant de l’expérience de 1981 et des déceptions qui ont suivi. Nous savons que la mobilisation populaire devra être maintenue après la mise en place du gouvernement. Nous n’admettrons jamais que ce gouvernement se retourne contre les travailleurs comme ce fut le cas en 1981 contre les sidérurgistes. Nous n’admettrons jamais que les revendications pour une école laïque soient abandonnées. Nous avons vu comment, sur ces questions, la combativité ouvrière a été brisée par les gouvernements de Mitterrand dans les années qui ont suivi son élection. Ces gouvernements n’étaient à l’évidence pas des gouvernements au service des travailleurs mais des gouvernements de front populaire c’est-à-dire des gouvernements liés aux capitalistes. Nous n’admettrons plus de déclarations ambigües du style « Je serai le président de tous les français ». Nous avons compris après coup que cela signifiait que Mitterrand allait être aussi et surtout le président des capitalistes et de surcroît du clergé catholique et réactionnaire. Nous ne voulons pas de conciliation de la part du gouvernement avec l’ennemi de classe car nous savons que « la politique conciliatrice des »Fronts populaires« voue la classe ouvrière à l’impuissance et fraie la voie au fascisme ». Nous reprenons entièrement à notre compte cette citation extraite du « programme de transition » écrit par Léon Trotsky. Nous avons vu à quelles défaites les gouvernements sous Mitterrand nous ont amenés et nous avons vu aussi que, s’il n’a pas débouché sur un régime fasciste, il a par contre bel et bien permis au groupuscule qu’était le FN en 1981 de devenir le puissant parti que nous connaissons maintenant.

    Un gouvernement des travailleurs doit donner le pouvoir au peuple. En d’autres termes, il doit permettre la démocratie. Cela suppose bien sûr qu’il s’affranchisse des directives venant de Bruxelles. Des mesures telles que le référendum d’initiative populaire lui permettraient de retrouver sa souveraineté. Nous demanderons que le gouvernement des travailleurs l’instaure au plus vite. Nous sommes favorables à la convocation d’une assemblée constituante mais nous ne faisons pas de cela non plus une condition restrictive pour que l’unité des trois grandes organisations ouvrières se réalise.

    S’il faut attendre les prochaines élections présidentielles pour qu’un gouvernement des travailleurs puisse être mis en place, ce que nous ne souhaitons pas, nous donnerons nos consignes de vote en tenant compte du bilan de 1981 et tout particulièrement du rôle des lambertistes qui étaient jusqu’à cette date les mieux placés pour défendre les travailleurs. En appelant à voter pour François Mitterrand dès le premier tour, ils ont abandonné leur propre programme. Ils n’ont jamais évoqué le passé pétainiste de François Mitterrand pas plus que son passé de bourreau des nationalistes algériens. Ils ont contribué à semer l’illusion que la seule élection de François Mitterrand allait apporter des solutions. Ils ont fait comme si François Mitterrand lui-même avait envie de mettre en œuvre une vraie réforme laïque de l’enseignement alors qu’à l’évidence il n’en a jamais eu l’intention. Nous connaissons le résultat. Les lambertistes ont capitulé devant le PS. Ils sont devenus des centristes au même titre que LO et le NPA. Ils ont d’ailleurs fourni au PS la plupart des cadres qui ont pris en charge la politique anti-ouvrière de Mitterrand. Ce fut d’abord Jean-Luc Mélenchon dès 1977 suivi par Lionel Jospin, Jean Christophe Cambadélis et beaucoup d’autres. Les lambertistes ont ensuite exclu les plus conscients de leurs militants notamment Stéphane Just qui avait publié en 1977 le livre « Front populaires d’hier et d’aujourd’hui » (Livre cosigné par Charles Berg) qui aurait dû être la meilleure arme théorique dans ces circonstances.

    Il n’est pas question de renouveler ce genre d’erreur. Nous ne tairons aucune des critiques que nous avons formulées sur les trois partis PS, PCF et FI pas plus que nous ne tairons nos critiques sur la personne de Jean-Luc Mélenchon. Nous appellerons à voter au premier tour pour un candidat qui se prononce clairement pour le Frexit et ce sera probablement François Asselineau. Nous ne laisserons pas planer l’illusion que ceux qui s’opposent au Frexit pourraient trouver le moyen de satisfaire les revendications des travailleurs. Ils ne peuvent que reproduire ce qu’a fait Tsipras en Grèce. Nous le dirons haut et fort en soutenant au premier tour le candidat du Frexit. Nous n’appellerons à voter pour un candidat de l’unité ouvrière qu’au second tour. Bien entendu après la mise en place, que nous souhaitons, d’un gouvernement d’unité des organisations ouvrières nous continuerons à faire campagne pour le Frexit et nous montrerons pour chacune des revendications ouvrières que c’est la mise sous tutelle de l’UE qui bloque et que si le gouvernement se refuse à sortir de l’UE, il n’est aucunement un gouvernement des travailleurs et doit être combattu comme tout gouvernement au service des capitalistes.



  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 1er septembre 2018 08:15

    @alinea

    « En ce qui concerne Mitterrand, Mélenchon s’en est largement expliqué »
    C’est exact. Il a même fait une conférence de près de deux heures pour tirer le bilan des années Mitterrand. J’ai d’ailleurs trouvé cela tellement intéressant que j’ai transcrit entièrement cette conférence et j’en ai fait l’analyse. C’était l’objet de mon précédent article ici même.
    Passons directement à la dernière phrase.
    « Quant au Ass c’était la flemme, je n’ai pas l’anglais au bord des lèvres. Je suis respectueuse des gens,moi. »
    Elle vaut votre poids d’or cette phrase. Quand on est respectueux des gens on écorche pas leur nom pour en faire une insulte. Je n’ai jamais dit « l’espèce de trou duc » à propos de Jean Luc Mélenchon.



  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 31 août 2018 22:51

    @alinea

    Je m’excuse d’intervenir dans votre conversation. Je ne voudrais pas déranger. Mais, je me demande de qui vous parlez.
    Est-ce de François Mitterrand ? Non, je ne pense pas sinon vous parleriez au passé. Essayons :
    « Il ne se prenait pas pour l’homme providentiel. Les médias en faisait un homme seul, sans aucune ambition personnelle. Il avait l’ambition de voir se réaliser le programme. »
    Non ! Même au passé ça ne colle pas. Le programme d’union de la gauche sur lequel il s’était fait élire, une fois en place il avait dit qu’il ne l’avait même pas lu. « Rien à foutre de ce programme. Maintenant que je suis élu, je fais ce que je veux. Je n’vais quand même pas emmerder le pape avec une réforme laïque de l’enseignement... »
    Mais alors vous parlez peut être de Jean-Luc Mélenchon ce grand admirateur de François Mitterrand. Celui-ci était selon ses propres termes son « maître à penser ». Et jean-Luc Mélenchon, lui, contrairement à son maître à penser, il aurait « l’ambition de voir se réaliser le programme... après en avoir été le vecteur... ». Il y a des militants de la FI qui y croient dur comme fier. D’autres se posent quelques questions. Il y en a même qui se demande si ce programme est vraiment réalisable sans sortir de l’UE. Il y en a qui se demande si Jean-Luc Mélenchon veut sortir de l’UE. Ils réfléchissent au sens de : « il faut sortir des traités européens ». Il faut regarder la phrase à l’endroit, à l’envers, dans un miroir...
    Il faut de tout pour faire un monde dit-on. Il faut aussi de tout pour faire la FI.





  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 31 août 2018 08:14

    @oncle archibald

    Je n’ai peut être pas les mêmes arguments que vous mais il est certain que Jean Luc Mélenchon m’inspire un certain dégout. Cependant, je veux tenir compte des aspirations populaires. Face aux multiples attaques du gouvernement actuel, les travailleurs se tournent vers leurs organisations traditionnelles quels qu’en soient les dirigeants. Ils sont conscients qu’ils ont besoin de l’unité de leurs organisations. C’est la seule chance de battre le prochain candidat des médias. C’est pourquoi, sur Facebook, le groupe FLEVITA (Frexit, Laïcité, Exigence de Vérité, Internationalisme Tolérance, Antiracisme), discute actuellement le texte d’une déclaration dont je vous livre ci-dessous la dernière version.


    POUR UN GOUVERNEMENT DES TRAVAILLEURS
    NON AU FRONT POPULAIRE

    Le groupe FLEVITA se prononce pour une solution politique à la crise actuelle.

    Face aux attaques que mène le gouvernement Macron contre les plus démunis et les classes moyennes et cela pour le plus grand profit des plus riches, il faut un gouvernement des travailleurs.

    L’analyse des résultats des dernières élections présidentielles montre qu’un candidat unique du PCF, du PS et de la FI pourrait l’emporter. Nous sommes pour un gouvernement de ces trois organisations sans aucun ministre d’un autre parti qui serait lié aux capitalistes comme ce fut le cas sous Mitterrand avec les radicaux de gauche. Nous sommes pour un tel gouvernement quel que soit le président de la république qui sera élu. Dans les circonstances présentes le mieux placé serait assurément Jean-Luc Mélenchon.

    Nous ne mettons aucune condition à ce que l’unité se réalise pour qu’un tel gouvernement se mette en place. Cependant, nous œuvrerons en toutes circonstances pour qu’il s’agisse d’un authentique gouvernement des travailleurs. Il devra pour cela satisfaire les revendications maintes fois formulées (Programme du CNR, programme commun de l’Union de la gauche de1981, les 110 propositions du PS de 1981…). Nous savons qu’il sera impossible de satisfaire ces revendications sans que le France sorte de l’UE. Nous n’exigeons cependant pas que l’UPR ou d’autres formations qui se sont prononcées pour le Frexit intègre ce gouvernement. Nous ne voulons pas mettre de conditions restrictives à ce que l’unité ouvrière se réalise mais nous exigerons que le gouvernement fasse le Frexit car, répétons-le, rien ne pourra être obtenu sans cela.

    Nous sommes forts maintenant de l’expérience de 1981 et des déceptions qui ont suivi. Nous savons que la mobilisation populaire devra être maintenue après la mise en place du gouvernement. Nous n’admettrons jamais que ce gouvernement se retourne contre les travailleurs comme ce fut le cas en 1981 contre les sidérurgistes. Nous n’admettrons jamais que les revendications pour une école laïque soient abandonnées. Nous avons vu comment, sur ces questions, la combativité ouvrière a été brisée par les gouvernements de Mitterrand dans les années qui ont suivi son élection. Ces gouvernements n’étaient à l’évidence pas des gouvernements au service des travailleurs mais des gouvernements de front populaire c’est-à-dire des gouvernements liés aux capitalistes. Nous n’admettrons plus de déclarations ambigües du style « je serai le président de tous les français ». Nous avons compris après coup que cela signifiait que Mitterrand allait être aussi et surtout le président des capitalistes et de surcroit du clergé catholique et réactionnaire. Nous ne voulons pas de conciliation de la part du gouvernement avec l’ennemi de classe car nous savons que « la politique conciliatrice des « Fronts populaires » voue la classe ouvrière à l’impuissance et fraie la voie au fascisme ». Nous reprenons entièrement à notre compte cette citation extraite du « programme de transition » écrit par Léon Trotsky. Nous avons vu à quelles défaites les gouvernements sous Mitterrand nous ont amenés et nous avons vu aussi que, s’il n’a pas débouché sur un régime fasciste, il a par contre bel et bien permis au groupuscule qu’était le FN en 1981 de devenir le puissant parti que nous connaissons maintenant.

    Un gouvernement des travailleurs doit donner le pouvoir au peuple. En d’autres termes, il doit permettre la démocratie. Cela suppose bien sûr qu’il s’affranchisse des directives venant de Bruxelles. Des mesures telles que le référendum d’initiative populaire lui permettraient de retrouver sa souveraineté. Nous demanderons que le gouvernement des travailleurs l’instaure au plus vite. Nous sommes favorables à la convocation d’une assemblée constituante mais nous ne faisons pas de cela non plus une condition restrictive pour que l’unité des trois grandes organisations ouvrières se réalise.

    S’il faut attendre les prochaines élections présidentielles pour qu’un gouvernement des travailleurs puisse être mis en place nous donnerons nos consignes de vote en tenant compte du bilan de 1981 et tout particulièrement du rôle des lambertistes qui étaient jusqu’à cette date les mieux placés pour défendre les travailleurs. En appelant à voter pour François Mitterrand dès le premier tour, ils ont abandonné leur propre programme. Ils ont notamment passé sous silence le passé pétainiste de François Mitterrand ainsi que son passé de bourreau des nationalistes algérien. Ils ont contribué à semer l’illusion que la seule élection de François Mitterrand allait apporter des solutions. Ils ont fait comme si François Mitterrand lui-même avait envie de mettre en œuvre une vraie réforme laïque de l’enseignement alors qu’à l’évidence il n’en a jamais eu l’intention. Nous connaissons le résultat. Les lambertistes ont capitulé devant le PS. Ils sont devenus des centristes au même titre que LO et le NPA. Ils ont d’ailleurs fourni au PS la plupart des cadres qui ont pris en charge la politique anti-ouvrière de François Mitterrand. Ce fut d’abord Jean-Luc Mélenchon dès 1977 suivi par Lionel Jospin, Jean Christophe Cambadélis et beaucoup d’autres. Les lambertistes ont ensuite exclu les plus conscients de leurs militants notamment Stéphane Just qui avait publié en 1977 le livre « Front populaires d’hier et d’aujourd’hui » (Livre cosigné par Charles Berg) qui aurait dû être la meilleure arme théorique dans ces circonstances.

    Il n’est pas question de renouveler ce genre d’erreur. Nous ne tairons aucune des critiques que nous avons formulées sur les trois partis PS, PCF et FI pas plus que nous ne tairons les critiques sur la personne de Jean-Luc Mélenchon. Nous appellerons à voter au premier tour pour un candidat qui se prononce clairement pour le Frexit et ce sera probablement François Asselineau. Nous ne laisserons pas planer l’illusion que ceux qui s’opposent au Frexit pourraient trouver le moyen de satisfaire les revendications des travailleurs. Ils ne peuvent que faire la même chose que ce qu’a fait Tsipras en Grèce. Nous le dirons haut et fort en soutenant au premier tour le candidat du Frexit. Nous n’appellerons à voter pour un candidat de l’unité ouvrière qu’au second tour. Bien entendu après la mise en place, que nous souhaitons, d’un gouvernement d’unité des organisations ouvrières nous continuerons à faire campagne pour le Frexit et nous montrerons pour chacune des revendications ouvrières que c’est la mise sous tutelle de l’UE qui bloque et que si le gouvernement se refuse à sortir de l’UE, il n’est aucunement un gouvernement des travailleurs et doit être combattu comme tout gouvernement au service des capitalistes.

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