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Guy Troisbord

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Tableau de bord

  • Premier article le 29/09/2021
  • Modérateur depuis le 05/01/2022
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Derniers commentaires



  • Guy Troisbord 10 mai 2023 08:09

    @Eric F
    Vous n’avez manifestement jamais fait de droit public. Le « trouble à l’ordre public » est un concept bien défini en jurisprudence administrative (même si un degré d’interprétation subsiste) cf. l’annulation systématique des arrêtés préfectoraux par les tribunaux administratifs.
    Sur la liberté d’expression des fonctionnaires, je vous renvoie au célèbre arrêt du Conseil d’Etat « abbé Bouteyre » de 1905 qui est de une jurisprudence constante.



  • Guy Troisbord 10 mai 2023 08:07

    @Olivier Perriet
    Votre champion parle de « droit de libre expression » reconnu aux enseignants et non de liberté d’expression ou de liberté de parole. Les mots ont un sens et par ce charabia subtile, Pap N’Diaye qui est trop intelligent pour ne pas le savoir, fait ce qu’on lui demande : atteindre à la liberté d’expression en ravalant la « liberté » à un « droit » (dont la contrepartie sont les devoirs et que l’on peut révoquer comme l’on veut, contrairement à un principe qui est absolu).
    C’est tout l’esprit de la macronie : placer des hommes de paille (à des postes jadis importants) qui doivent tout au chef suprême afin de mettre en place le « projet » et restreindre les libertés des opposants par petite touche, afin que les imbéciles ne s’en rendent pas compte, jusqu’au jour où ça les touche...



  • Guy Troisbord 5 mai 2023 08:21

    Rapide cours critique de droit constitutionnel pour l’auteur qui se réjouit tant de bon fonctionnement des institutions.

    Afin que les français aient le droit de s’exprimer sur un sujet qui les concerne via le RIP, il faut :

    Trouver au moins 185 parlementaires qui votent la motion référendaire

    Que le Conseil Constitutionnel (organe non élu, peuplé de copains, dans lequel siégent de droit  les anciens présidents de la République rappelons-le) décide que la proposition référendaire ne viole pas la Constitution

    Que 10% du corps électoral (soit 4,85 millions de français) réussissent à signer en faveur du projet (et pour autant qu’on les en informe et qu’ils en aient les moyens, on se souvient du projet de RIP sur la privatisation d’ADP) ; le tout en neuf mois

    Que le Conseil Constitutionnel (encore lui) valide les « signatures » (il y mettrait sûrement un tout autre zèle que celui qu’il a déployé pour ne pas voir les fraudes dans les comptes de campagne cf. l’accord passé entre Dumas alors président du Conseil Constitutionnel et Chirac président récemment élu)

    Qu’aucune des deux chambres ne se saisisse du projet de loi pour l’examiner dans un délai de six mois à compter de la validation des signatures par le Conseil

    Que le Président soumette finalement le projet de loi à référendum (selon son bon vouloir) passé ce délai.

    Et comme si cela ne suffisait pas, le RIP ne peut pas porter sur une loi qui a été votée depuis moins d’un an et doit porter sur "l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la Nation et aux services publics qui y concourent, [...]" (avec toute la latitude d’interprétation que cela laisse).

    Par contre : lorsqu’un Président mal élu (il ne représente que 20% des inscrits a premier tour et à peine 37,5% au deuxième) décide à la place de son gouvernement de faire adopter (ce qui est contraire à la séparation des pouvoirs, puisque c’est le gouvernement et non le Président qui décide et conduit la politique de la Nation), à la hussarde selon un véhicule législatif inadapté afin de bénéficier de la procédure de vote bloqué (49.3) et dans des délais contraints, une loi dont le texte est rejeté par au moins 70% de la population. Eh bien, dans ce cas-là le merveilleux organe indépendant qu’est le Conseil Constitutionnel (au sein duquel ne figure aucun constitutionnaliste) ne trouve rien à redire.

    De même qu’il ne trouve rien à redire lorsque ce même Président avait décidé d’assigner à résidence, pendant deux mois, toute la population ; ou encore quand ce même tyranneau avait décidé d’obliger les français à se faire vacciner.

    n voit tout le cas que l’on fait en France de la volonté populaire, quel respect l’on a pour les libertés publiques et à quel point les institutions fonctionnent à merveille...



  • Guy Troisbord 5 mai 2023 07:37

    @Fergus
    Un très probable soulèvement populaire, ou une once de respect pour la France et la dignité de la fonction (on peut toujours rêver).



  • Guy Troisbord 4 mai 2023 18:11

    @Mozart
    Très cher mélomane, vous sonnez faux. Il faudra accorder votre violon avant de vouloir donner des cours.

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