Daniel MARTIN

@CYRUS
Par l’armée qui entre dans le jeu politique, tout le monde a bien compris, c’est quand ils prennent des décisions à la place des politique, y compris, sous couvert d’assistance à ces mêmes politiques. L’intervention des gendarmes qui sont des militaires ou les directement des militaires pour assurer des surveillance sont, que je sache, une décision du pouvoir politique et non des militaires eux même.Les militaires exécutant la décion du pouvoir politique.
 

Lorsque j’évoque la Présidentielle, il s’agit du second tour et non du premier comme indiqué par erreur

@Ouam
Je vous remercie pour votre commentaire. Il est vrai que titrer « appel au putsch » d’ancien militaires, ce n’est pas exact, d’ailleurs dans le texte je ne réédite pas cette formule et à être excessif on peut y perdre en crédibilité. Mais de là à considérer les signataires de cette tribune (qui ne se résume pas à quelques anciens généraux) me semble être déplacé, car, en filigrane on perçoit bien des menaces fussent-elles au conditionnel et justifiées... .

Faut-il rappeler qu’un droit de réserve total s’impose l’armée. La république ne peut accepter qu’en son sein certain(e)s de leurs membres entrent dans le jeu politique et profèrent des menaces fussent-elles assorties par des avertissements préalables. Lorsque Mme. Le Pen invite ces militaires à la rejoindre pour la présidentielle de 2022, elle transgresse la loi républicaine, car elle sait très bien : d’une part, que les militaires, sauf à en démissionner, y compris les retraités de la réserve active, sont tenus au droit de réserve absolu et d’autre part, chaque fois que l’armée est entrée dans le jeu politique, cela a débouché sur des tentatives de « putsch » militaire, dont celui d’Avril 1961 qui est cité dans le texte. Il est évident que lorsque le pouvoir politique est déliquescent, quelle qu’en soit la cause (institutionnel comme sous la 4e république, où l’on pouvait en pleine guerre d’Algérie rester pendant un mois sans gouvernement), incapacité à prévoir et résoudre les problèmes sociétaux, l’armée n’a pas à faire de gros efforts pour entrer dans le jeu politique et aller au delà... A écouter le général De Richoufftz, l’un des signataires de la tribune : https://www.place-armes.fr/post/intervention-du-g%C3%A9n%C3%A9ral-de-richoufftz . Au travers de problèmes graves sur certains territoires qui sont bien réels et perdurent, si ces propos ne sont pas un avertissement pour justifier une intervention de l’armée, fut-elle très limité à titre expérimental, il faut avoir un bandeau devant les yeux et des boules quiets dans les oreilles... Certaines interventions de militaires dans le blog « Place d’armes » auxquels certains commentaires ici se réfèrent n’est pas à négliger... 

Il ne faut pas négliger également le fait que la fifille de papa Le Pen est au porte du pouvoir et imaginons que le résultat final au premier tour soit très serré (à 1%) entre elle et Macron ou un(e) autre candidat(e). Avec le désordre dans la rue qui ne manquera pas, car bien organisé, et voila l’ordre rétablit par notre « bonne armé » avec un « quarteron » de généraux à leur tête qui nous annonce la suppression des liberté en attendant de nouvelles élections démocratiques... Et la France mis, un temps, « au ban des nations »... Mais l’économie étant la plus forte, nos généraux « s’en essuieront la moustache » ...Et le bon peuple sera au ordre, de gré ou de force...

@JC_Lavau
Je vous remercie, car cela m’a permis de relire le texte et relever une bourde que j’ai commis en écrivant « mélange » au lieu de « reformage »... Effectivement, comment pourrait-on mélanger hydrogène et méthane pour produire de l’hydrogène.

Lorsque j’ai écris « la technique de mélange avec du méthane pose un problème « je pensais reformage comme indiqué dans le lien auquel je me réfère et que j’indique...

Il convient donc de lire : Pour schématiser, de la vapeur d’eau est chauffée à très haute température et par reformage avec du méthane, ce qui crée une fracturation hydraulique. « Sous l’action de la vapeur d’eau et de la chaleur, les atomes qui constituent le méthane (CH4) se séparent et se réarrangent en hydrogène (H2) d’une part et dioxyde de carbone (CO2) d’autre part, https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/chimie-produit-on-hydrogene-6280/ Et un peu plus loin : pour produire de l’hydrogène, la technique de reformage du méthane pose un problème : elle produit également du CO2. Et un autre plus grave : elle provoque des émanations de méthane dans l’atmosphère, un gaz encore plus polluant que le CO2.

@JC_Lavau

Comme le rappelle Philippe Lebreton : Après le « tout électrique », le tout hydrogène », le pire étant que l’on peut faire de l’électricité à partir de l’hydrogène, mais en abaissant forcément le rendement du processus… On pourrait ainsi hydrolyser électriquement de l’eau pour en extraire l’hydrogène (car l’eau est « la cendre » de l’hydrogène, comme le gaz carbonique est une « cendre «  du carbone), et brûler celle-ci pour produire de l’électricité. Bref, tourner en rond jusqu’à épuisement, car le « mouvement perpétuel » n’existe pas !