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Christophe Claudel

Christophe Claudel

Écrivain et journaliste, Christophe Claudel est l’initiateur de plusieurs blogs et groupes Facebook consacrés à des sujets variés comme la politique, le communautarisme et le fondamentalisme religieux, le dialogue des cultures et la paix dans le monde, la santé, la physique quantique, l’histoire de l’homosexualité et les droits LGBT, les musiques électroniques, la spiritualité ou le changement de paradigme.
 
Diplômé de l’ESCP, il a travaillé comme cadre et consultant auprès de grandes entreprises et mené une recherche sur l’éthique des affaires à l’EHESS et l’ENS.
 
Il a ensuite dirigé des projets associatifs et humanitaires dans le domaine de la santé, puis enseigné les arts martiaux chinois durant 15 ans, notamment le taichi chuan.
Il a également accompagné pendant 20 ans des particuliers en tant que coach holistique, sur des thèmes liés à l’identité, au changement, à la création, à la sexualité et à la spiritualité.

Christophe Claudel est l’auteur d’une dizaine d’essais et de romans publiés à compte d’auteur. Certains ont été repris sur internet sous forme d’articles ou de blogs plus accessibles au grand public. Notamment Le Saut de l’ange, blog créé en 2009 associé à une page Facebook qui totalisent ensemble environ 100.000 vues.

Depuis 2018, il s’est recentré sur son activité d’écriture et de lanceur d’alerte.

 
Il anime quotidiennement le groupe Facebook Esprit Républicain, qui défend l’Idéal républicain français et ses valeurs démocratiques, sociales, humanistes, unitaires, universalistes et souverainistes contre ses trois principaux ennemis
 
  • La dictature néolibérale, mondialiste, sécuritaire et totalitaire, souvent nommée Nouvel Ordre Mondial et radicalement opposée aux états-nations, au service d’une élite ploutocratique et des lobbies qu’elle contrôle, et dont Macron est la marionnette
  • L’extrême droite islamiste et son projet de conquête du monde appuyé sur l’instrumentalisation des populations d’origine musulmane, le séparatisme communautariste, l’entrisme politique, social et économique, le combat idéologique antidémocratique, le terrorisme djihadiste
  • L’extrême droite identitaire, xénophobe et ultranationaliste, qui justifie derrière un discours « antisystème » un rejet radical de l’autre sinon de la démocratie

Tableau de bord

  • Premier article le 09/06/2020
  • Modérateur depuis le 25/01/2021
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Christophe Claudel Christophe Claudel 13 février 2021 18:35

    @McGurk : Qu’on cherche à détourner par tous les moyens l’attention du public du scandale sanitaire et de La Dictature En Marche, c’est une évidence ! Que seuls les moutons fascinés par BFM sont incapables de voir, même le nez rivé dessus.

    Mais qui a peur de Zemmour à part vous ? Franchement, comparer le péril totalitaire bien réel incarné par cette dictature mondialiste, technosécuritaire, transhumaniste et génocidaire dont Macron est le polichinelle, avec le « péril fasciste » que représenterait aujourd’hui Zemmour, c’est à hurler de rire !

    Même Marine Le Pen dont il fut un temps le strapontin est totalement alignée sur la politique sanitaire du gouvernement et le Nouvel Ordre Mondial qu’elle prépare. Se contentant tout juste d’aligner des poncifs éculés sur l’Islam radical et l’immigration, en recrachant quelques vérités apprises dans des livres écrits par des experts de l’islamisme comme Sifaoui, Rougier ou del Valle quelques mois après tous les autres. Une vraie poupée Bilderberg, qui prête plus à rire qu’à trembler !

    Le problème n’est pas ou plus « l’identité française », sur laquelle se crispent par défaut certains nostalgiques réfractaires au laminoir mondialiste. Le problème c’est plutôt comment inventer un projet ambitieux alternatif au modèle mondialiste, qui reprennent les grands idéaux émancipateurs, humanistes et universalistes que notre République a portés mais qu’elle a abandonnés depuis longtemps, en les adaptant au monde de demain et à ses défis ? Comment penser l’homme de demain autrement que comme une machine à produire de la plus-value pour une clique de milliardaires psychopathes ? C’est l’identité d’Humain, de Terrien qu’il faut inventer. Dans un monde qui sera bientôt totalement interconnecté et unifié (je parle de la conscience globale, pas des identités individuelles). Une identité plurielle, diverse mais unifiée, intriquée, féconde, en mouvement, et non uniformisée, formatée, esclavagisée par la Matrice. Se recroqueviller comme le font Zemmour et tous les « patriotes » sur une France qui n’est plus ou qui n’a jamais existé est un leurre. Même si c’est préférable au fait d’applaudir comme une nouille à son propre génocide.

    Aujourd’hui Zemmour ne représente plus « les extrêmes » (droite en l’occurrence). L’islamisme est une idéologie et un projet d’extrême droite

    bien plus avancé, bien plus totalitaire et radical que le bon vieux nationalisme à la Papa. Aujourd’hui le RN ne prétend pas convertir le monde à la francité comme modèle unique de civilisation. Alors que le CCIF oeuvre avec patience et persévérance pour l’instauration du Califat mondial, dont Erdogan se voit déjà Grand Calife.

    Mais même le diable vert islamiste est aujourd’hui dépassé par son mentor : le grand Satan progressiste et son Nouvel Ordre Mondial totalitaire. Son antériorité, son ambition et ses moyens dépassent très largement son concurrent. Et sa religion, bien que tout aussi fondamentaliste, est beaucoup plus adaptée à l’esprit du temps : postmoderne, technologique, transhumaniste, et non médiévale. 

    Hélas on fait peur à n’importe quel crétin rivé devant sa télé avec n’importe quoi. Et Zemmour peut encore servir d’épouvantail à moineaux, comme hier la poissonnière de Saint-Cloud, repoussoir utile hissée par les médias au second tout pour faire élire le mirage.

    La meilleure façon de se débarrasser du pouvoir nocif de la télé, c’est encore de l’éteindre. Et d’envoyer Hanouna dans un camp ouïghour.



  • Christophe Claudel Christophe Claudel 13 février 2021 18:04

    @cevennevive : Vous avez parfaitement raison : il n’y a en a aucun ! Et ça fait même longtemps.

    La faute à qui ?

    Aux Français-qui-sont-des-veaux ? Possible mais pas que.
    Aux usines à fabriquer des technocrates que sont Sciences Po, l’ENA et la Haute fonction publique ? Très certainement.
    A notre époque, qui sacralise les nains et crucifie les héros. Sans doute.


    Mais aussi et surtout aux seuls stratèges qui gagnent depuis 30 ou 40 ans : les « progressistes ». 


    Le progressisme est aujourd’hui la plus vieille idéologie qui a encore cours, une fois toutes les autres effondrées : impérialisme, nationalisme, fascisme, nazisme, communisme, socialisme, islamisme...

     

    Son origine remonte au 18e siècle, plus précisément au parti Whig anglais (libéral) opposé aux Tories (conservateurs). Et qui fut l’un des tremplins politiques de l’extraordinaire mais très discret essor de l’aristocratie d’affaires, bancaire et commerçante, britannique puis anglo-américaine. C’est elle qui fit la fortune du Commonwealth (la Richesse commune), inventa le capitalisme moderne, les grandes institutions qui nous gouvernent (ONU, Forum Economique Mondial, FMI, Banque Mondiale, OMS…) et cette idéologie mondialiste désormais incontournable contre laquelle des « patriotes » comme Zemmour cherchent à batailler en vain. Avec ces concepts qui font aujourd’hui florès de Nouvel Ordre Mondial, de marché mondial et de monnaie unique mondiale.


    Le progressisme (qui n’a de progrès que le nom), c’est l’alliance parfaite entre le capitalisme financier et le socialisme autoritaire, illustré à merveille par la dystopie totalitaire représentée dans le roman 1984 d’Orwell. Et aujourd’hui par le modèle chinois, adulé par les Rockefeller et prototype du monde de demain, dont la France de Macron se rapproche à TGV.


    Depuis les années 1980, le progressisme conçu par les stratèges néolibéraux américains, principalement démocrates mais aussi républicains, c’est le triomphe du capitalisme et de la finance mondialisée au service de quelques privilégiés. Mais avec une prétention idéaliste à conduire le monde vers la prospérité et la paix universelles, l’harmonie entre les peuples, le progrès matériel social, scientifique, moral et même spirituel, le respect de l’environnement grâce à des politiques de « développement durable ». En réalité, le moyen le plus sûr de continuer à concentrer les richesses, à creuser les écarts entre riches et pauvres, et pour finir à asservir toute l’humanité, à contrôler et rendre esclave chaque individu grâce au recours massif aux nouvelles technologies de surveillance, de traçage, de fichage, à une contrainte policière sophistiquée, et à une modification de l’espèce dans une optique transhumaniste et eugéniste.


    Au cours des décennies 1990 et 2000, les progressistes se sont ainsi efforcé d’accélérer la prise de contrôle absolu des états et de leur dirigeants, un objectif déjà énoncé au 18e siècle, par le biais de la dette, du financement des partis politiques et des campagnes électorales dans les pays dits « démocratiques », par le contrôle de l’opinion publique grâce aux médias et à l’ingénierie sociale, une science e contrôle mental des population élaborée avec succès aux Etats-Unis dès le début du 20e siècle, le contrôle total de l’économie, des flux financiers et des monnaies, et pour finir des individus. Jusqu’à aboutir une homogénéisation parfaite des discours et des profils politiques, un abandon progressif des souverainetés nationales au profit de grands ensembles comme l’Union Européenne, des institutions mondialistes qui prennent le pas sur les états-nations, condamnés à disparaître, en vue de d’instaurer une gouvernance mondiale et une gestion du monde par régions, une normalisation des flux et des process de production, de consommation, d’échange et de financement, une dérégulation des échanges, une subordination totale des pouvoirs législatif, exécutif, judicaire, économique, médiatique, scientifique, culturel, institutionnel, éthique au seul pouvoir de l’argent. Avec cette incapacité totale pour chaque individu, groupe, entreprise ou état d’échapper au rouleau compresseur de la mondialisation. Et pour précipiter le basculement vers le Nouvel Ordre espéré, une stratégie du choc qui instrumentalise, déclenche ou exacerbe des crises : politiques, sociales, industrielles, économiques, financières, boursières, militaires, religieuses, terroristes, climatiques, identitaires, éthiques, civilisations… Le but étant de mettre totalement à bas l’ordre ancien, y compris le capitalisme traditionnel, son système financier en sursis et ses monnaies étatiques voués à disparaître pour laisser la place à une monde totalitaire, uniformisé, sans frontières, où la monnaie numérique unique sera la mesure pour valeur toute transaction, tout échange, tout produit, service ou individus réduit à l’état de simple marchandise.

    « L’élection » manipulée d’Emmanuel Macron en 2017 constitue en France le point d’orgue de cette stratégie. Laquelle consiste au plan de la rhétorique et de l’offre politiques à gommer les clivages traditionnel gauche droite (démocrates vs. républicains aux Etats-Unis, socialistes vs. conservateurs en France), au bénéfice d’un modèle unique qui marie à la perfection le néolibéralisme bon teint avec des prétentions sociales et humanistes de pure forme. Et dont le but est de détruire la politique en ne lui substituant qu’un exercice gestionnaire ajouté à un enrobage de comm emmené par des marionnettes habiles formées dans les bonnes écoles et repérées par des bonnes fées mondialistes, des oligarques comme Attali, Minc, Arnault, Niel, Drahi, Bolloré ou Bergé, aux petits soins pour le prodige Macron. Et achever ainsi et la République, et la démocratie, et la France, et ses mythes, tous fondus dans le grand shamallow européen.

    Difficile dans ces conditions de se prétendre « stratège » et de renverser la table. D’autant que l’offre politique s’illustre aujourd’hui par un conformisme fade d’une médiocrité abyssale : il suffit de regarder la génération des « figures montantes » tous partis confondus : Aurore Bergé pour LREM, Boris Vallaud pour le PS, François Xavier Bellamy pour LR, Julien Bayou pour EELV, et même Jordan Bardella pour le Rassemblement National, plus propret et aseptisé tu meurs. Le comble est sans doute Sibeth N’Diaye, ex porte-parole du gouvernement Philippe : une cruche aboutie tout juste choisie pour sa couleur de peau et parce que ses parents sont de généreux donateurs de LREM.

    On a vraiment changé d’époque. Et à moins d’une crise majeure qui mettrait le régime à terre pour reconstruire autre chose sur ses ruines, inutile de rêver : aucun stratège n’apparaîtra dans le paysage politique. Tout juste des météorites géocroiseurs improbables comme le général Pierre de Villiers, candidat à l’élection présidentielle 2022, Francis Lalanne, sorte de héros romantique échappé des barricades de 1848, Jean-Marie Bigard, clown triste et alcoolique bien loin d’égaler le talent comique de Coluche. Et des outsiders frondeurs très crédibles mais qui n’ont aucune chance comme Jean-François Asselineau, transfuge du RPR, constitutionnaliste émérite et champion du Frexit, crédité d’à peine quelques pourcents dans les sondages.

     

    Là encore il faudrait un choc majeur. Mais bien que les Français soient depuis un an et plus sapés comme jamais, avec cette dictature sanitaire effroyable, l’état policier et sa répression qui se durcit, la démocratie enterrée par le Parlement, et cette crise des Gilets jaunes qu’on ne finit plus d’enterrer.

    Donc sans un réveil massif des consciences, le scénario de 2022 est écrit à l’avance : Macron-Le Pen au second tour donc Macron réélu, la poupée Bilderberg étant incapable de porter un quelconque projet alternatif au Nouvel Ordre Mondial qu’elle cautionne par ailleurs.



  • Christophe Claudel Christophe Claudel 13 février 2021 17:04

    @Passante : Niveau arguments ça vole haut... 
    J’apprécie la dérision mais ici le sujet est sérieux.



  • Christophe Claudel Christophe Claudel 13 février 2021 17:03

    @Passante : Je me mets à sa place. Le guignol qui fait le malin en jouant au journaliste en pleine rue se serait pris mon poing dans la gueule et mon pied dans les couilles. Sinon une plainte pour harcèlement.



  • Christophe Claudel Christophe Claudel 13 février 2021 15:55

    @Aimable : Affirmation profondément antisémite (pardon, « antisioniste »...) qui n’appartient qu’à vous. Si toutes les minorités présentes en France étaient aussi profondément attachées à la France et à la République que le sont les Juifs de France depuis la Révolution, celle-ci serait un paradis.
    Citez-nous une seule mosquée où l’on prie chaque vendredi pour la France, pour la République et ses dirigeants...

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