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  • carpediem carpediem 16 décembre 2018 15:43

    En ces temps de disette morale, le seul risque que nous prenons est une bonne crise de Foi, un peu de diète aux esprits supérieurs n’a jamais fait de mal à personne, franchement le repos de l’âme fait plutôt du bien au corps et comme le dit un proverbe oriental :le repos de l’âme consiste à ne rien espérer.



  • carpediem carpediem 16 décembre 2018 15:21

    Je suis d’accord avec vous, les premiers charniers datent du néolithique à partir du moment où les chasseurs-cueilleurs se sont sédentarisés et la création de foyers de populations se regroupant de façon sociale avec comme ennemis non plus la Nature mais leurs voisins issus de clans proches (à noter à contrario au paléolithique le mélange entre clans de même qu’avec d’autres espèces propres tel Néanderthal).

    https://www.maxisciences.com/squelette/un-charnier-humain-vieux-de-7000-ans-revele-l-existence-de-massacres-durant-le-neolithique_art35732.html

    Là dessus et je suis d’accord également avec vous sont venues se greffer les religions, les sociétés de plus en plus moralisées et les premières guerres tribales dans le croissant fertile.

    Les différentes sociétés tyranniques qui se sont succédées depuis l’Egypte antique et l’Empire Romain n’ont jamais considéré l’humain comme un citoyen libre mais un outil au service de la société.

    Les églises (je ne parle pas des textes prophétiques) ne reconnaissent pas la liberté de penser mais ont organisé la morale des civilisations en collaboration avec les pouvoirs existants en niant la liberté des populations à vivre selon leurs aspirations.

    C’est en ce sens qu’entre-autres régimes sectaires (la chrétienté est également j’en convient une émanation des sectes parmi plus d’une trentaine recensées durant les 2 premiers siècles) , le communisme révolutionnaire comme l’islamisme radical ou le génocide arménien n’en sont que des émanations lointaines mais le but n’est pas de classer le caractère mortifère de tous ces mouvements mais de les dénoncer.

    Donc effectivement je considère que le communisme à notre échelle du temps est un des fléaux les plus graves comme le national-socialisme outre-Rhin mais que les premiers témoignages de violence humaine caractérisés remontent aux premières civilisations organisées, c’est à dire à l’apparition de la morale dans la société préférant le justice sociale ou ethnique à celle individuelle.



  • carpediem carpediem 16 décembre 2018 12:21

    Pour informations aux communistes « révolutionnaires » ou « tortionnaires » au choix qui croient lutter contre le petit écran BFM « source de pourriture, sic…. », la pourriture ne se trouve pas dans les médias mais dans les charniers engendrés depuis la création de cette idéologie nauséabonde.

    Enfin pour les aficionados de la lutte finale, personne d’entre nous ne l’a jamais rencontré jusqu’au jour de notre mort, on en reparlera après...



  • carpediem carpediem 15 décembre 2018 23:57

    Que l’on le veuille ou non nous alimentons tous les complots sur les réseaux sociaux à partir du moment où nous véhiculons une opinion ou allons sur un site comme Sputnik qui nous cible.

    La guerre des puissances existera toujours sous une forme ou sous une autre et ce n’est rien d’autre que de la volonté de pouvoir, mais Nietzsche l’exprime bien mieux que nous tous :

    Nietzsche renverse alors la hiérarchie traditionnelle entre le corps et la conscience, il place le corps comme premier et la conscience comme dérivative de ce dernier. Le corps apparait comme la matière première de tout étant. Vivants et non vivants sont des produits de la terre, produits du monde. Leur différence n’est plus essentielle, originelle mais une simple différence de traduction de leur activité pulsionnelle. Et la nature de tout ce qui est Nietzsche la nomme « volonté de puissance » c’est-à-dire force qui cherche son propre accroissement, la domination. Parce qu’elle est un réseau de forces en conflit les unes avec les autres, la volonté de puissance se caractérise par la multiplicité, la complexité, la fluidité. Elle est donc fondamentalement indéterminée, ce qui signifie qu’elle peut tout devenir, elle peut devenir tous les possibles quant à la forme qu’elle emprunte. De fait, tout est volonté de puissance, tout est un jeu entre des forces contradictoires et complémentaires.



  • carpediem carpediem 15 décembre 2018 23:28

    C’est assez amusant ces théories de complotisme institutionnalisés, relayés, contredits, contrefaits et autres controverses.

    Avant l’invention des médias et des organismes de renseignements généraux n’existait que la rumeur publique, seul les historiens, les scientifiques et les professeurs (de foi ou de bancs publics) étaient sources de vérité.

    Maintenant tout le monde et n’importe qui devient Madame Irma ou le Nostradamus du jour.

    La fin des religions, bientôt des politiques, et finalement de la science par les théories quantiques des multivers annihileront toute pensée organisée, pour aboutir à quoi : un monde de robots qui décortiquent déjà toutes nos paroles et notre ADN.

    Finalement ce n’est pas amusant mais terrifiant.


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