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Accueil du site > Tribune Libre > La métaphysique de la guerre en Ukraine. Pourquoi un événement majeur déjà (...)

La métaphysique de la guerre en Ukraine. Pourquoi un événement majeur déjà se prépare, et surgira pour mettre fin à la guerre ?

Le monde aujourd’hui avec la guerre en Ukraine est à « un tournant de l’histoire ». Il est peu probable que cette guerre va se terminer rapidement et les pays concernés essentiellement occidentaux et russe prennent le chemin de la raison et trouvent des compromis pour arrêter cette guerre et qu’ils se dirigent résolument vers la paix. Tout laisse penser que la guerre en Ukraine va s’enliser et, dans la durée, provoquer des incertitudes telles que tout peut arriver.

Et qu’entend-on par incertitudes sur cette guerre qui risque de durer ? Et qu’arrivera-t-il dans en 2023 voire en 2024 si le conflit se prolonge ? Peut-on penser que la guerre en Ukraine restera en l’état, c’est-à-dire d’un côté l’Ukraine soutenu par l’Europe et les États-Unis, de l’autre la Fédération de Russie qui s’épuise dans la guerre sans visibilité de sortie, et les combats durent depuis bientôt un an, qui sera bouclé le 24 février 2023.

Certes, des armements toujours massifs qu’apportent les États-Unis et l’Europe à l’Ukraine, et une volonté du pouvoir de Kiev de libérer ses territoires occupés par les forces russes, la guerre continuera jusqu’à la victoire. Et c’est ce que comptent l’Ukraine et ses alliés occidentaux. Ce qui n’est pas le cas pour la Fédération de Russie, pour qui plus le conflit dure plus la situation devient difficile, plus l’armée russe s’enlise. Le facteur temps semble militer plus pour l’Ukraine que pour la Fédération de Russie qui risque de s’épuiser dans cette guerre d’autant que la guerre que mène la Russe, n’est pas seulement contre l’Ukraine mais contre tous les pays occidentaux.

Cependant, il faut se méfier du facteur temps, le doute, avec le temps, va s’installer aussi bien du côté russe que du côté ukrainien. En effet, l’idée que la Russie battra en retraite et quittera l’Ukraine qui est déjà une option retenue par les pays occidentaux comme pour le régime de Kiev. Une telle situation si elle venait à arriver mettra en échec la Russie, ce qui affaiblira d’une manière magistrale ses prétentions géostratégiques sur l’aire d’influence de l’OTAN, et donc de l’Occident. Dès lors, la voie est balisée pour l’Occident d’élargir son aire d’influence à la Géorgie, la Moldavie, le Monténégro, l’Albanie ; ce qui explique le soutien progressif presque sans réserve de tous les types d’armements dont l’Ukraine a besoin, de même pour son financement par les États-Unis et l’Europe.

Cependant, le conflit semble s’enliser dans une guerre de positions ; la mobilisation de 300 000 réservistes par la Fédération de Russie en septembre 2022 montre au contraire que la guerre va se poursuivre d’autant plus le président russe Vladimir Poutine a averti à plusieurs reprises les pays européens sur le risque de cobelligérance dans le conflit, et a brandi la menace nucléaire. Signifiant que la Russie si elle se trouvait en danger n’hésiterait pas de recourir à l’arme nucléaire.

La déclaration du chef de la CIA William Burns, au mois d’avril 2022, que « Le président Joe Biden est profondément préoccupé par le risque d'une Troisième Guerre mondiale » est lourde de sens. Elle montre les inquiétudes de la première puissance mondiale, qui est le socle de l’Occident tout entier. Parce que tout ce qui résulterait dans cette guerre relèverait avant tout de ce qu’auront décidé les États-Unis.

Aussi tant que la Russie pense qu’elle va l’emporter sur l’Ukraine, malgré le soutien massif en armements y compris lourds et aériens éventuellement et les sanctions économiques tout azimut, la situation restera maîtrisée, elle ne dérapera pas. En clair, la guerre restera conventionnelle.

Mais la situation a beaucoup évolué depuis la fin mars 2002, avec le repli de l’armée russe à l’Est et au Sud de l’Ukraine. Les difficultés avec l’armée ukrainienne sont sérieuses, surtout depuis la contre-offensive ukrainienne, en été 2022, on parle de plus en plus de victoire de l’Ukraine sur la Fédération de Russie au point que le président français Emmanuel Macron appelle à éviter une « humiliation » de la Russie. Cela signifie dans l’inconscient collectif des dirigeants européens et américains que l’issue de la guerre est déjà entendue, qu’elle se terminera par une victoire pour l’Ukraine. On comprend aussi pourquoi la Suède et la Finlande, pour leur protection, en mai 2022, ont demandé d’être membres de l’OTAN.

Sur le plan diplomatique, les ministres des Affaires étrangères du G7, en mai 2022, à Weissenhaus, en Allemagne, ont apporté un soutien massif à l’Ukraine ; ils ont déclaré : « Nous, ministres des Affaires étrangères de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis d’Amérique, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni et haut représentant de l’Union européenne, apportons notre solidarité et notre soutien indéfectibles à l’Ukraine, alors qu’elle se défend contre la guerre d’agression injustifiable et illégale menée par la Russie, qui ne répond à aucune provocation et dont la Biélorussie est complice. Nous sommes engagés à aider l’Ukraine, une démocratie et un Etat membre de l’ONU, à faire respecter sa souveraineté et son intégrité territoriale, à se défendre et à résister contre de futures attaques ou actions de coercition, à choisir son propre avenir et à prospérer. »

Ceci en dit long sur le soutien occidental à l’Ukraine. Quant aux menaces de recourir à l’arme nucléaire par la Fédération de Russie, depuis le repli de l’armée russe vers l’Est de l’Ukraine, elles sont balayées par l’Occident, pensant qu’en cas de frappes nucléaires, la Russie sera aussi confrontée à des frappes nucléaires occidentales. La menace russe de Troisième guerre mondiale n’est pas prise au sérieux tant aux États-Unis qu’en Europe puisque si cela arrivera ce sera la destruction mutuelle, bref un suicide collectif, personne n’en réchappera. La Russie n’aura donc aucun intérêt à utiliser des armes nucléaires.

Il est clair que la situation qui ressort aujourd’hui, la guerre en Ukraine ne s’arrêtera pas et le conflit va se poursuivre, et l'escalade aussi. Dans cette guerre, il y a une légitimation historique avérée de part et d’autre, pour l’Occident de continuer dans la stratégie d’élargissement en Europe, ce qui leur donne une plus grande prise géostratégique sur le continent européen, de même la Russie qui n’entend pas d’être encerclée par l’Europe, surtout qu’à elle seule, elle couvre, par sa superficie, une grande partie de l’Eurasie. Il est évident qu’il ne pourrait avoir de place pour un compromis du fait que chaque partie vise la victoire, et ce faisant préparer l’avenir géostratégique et géopolitique de demain.

Et c’est précisément là que le bât blesse, les deux partie vont aller jusqu’au bout. La situation militaire en Ukraine risque d’être critique, et très probablement, elle le sera. Et donc au cas où l’armée russe est enlisée dans le conflit ukrainien, il en va de même pour les forces armées ukrainiennes qui ne voient pas d’évolution de guerre positive, cela se traduisant par le doute, le sentiment d’usure de la guerre, la lassitude devant un conflit qui s’éternise et consomme beaucoup et d’aides financières. Et surtout l’opinion publique de part et d’autre verront très mal cette guerre, ce qui retentira sur les gouvernements en Occident et en Russie.

Et c’est ce qui nous intéresse pour comprendre l’issue de cette guerre. Quelle sera alors la réponse de la Russie, au cas où cette situation deviendrait réalité ? Cette croyance que la Russie n’utilisera pas les armes nucléaires ou qu’elle les utilisera mais sera néanmoins neutralisée est-elle juste ? De même quelle sera la réponse des États-Unis et de l’Europe devant une guerre qui s’assombrit où toutes les promesses de victoires deviennent de plus en plus vaines.

Tout d’abord, combien même la Russie est acculée dans cette guerre, elle n’acceptera pas le retrait de ses forces pour la simple raison qu’au-delà même de la protection des populations russophones au Donbass, à Kherson et à Zaporijjia, une défaite remettrait en cause toute la crédibilité que la Russie, tout au long du XXe siècle, et surtout depuis 1945, a auprès du monde, et surtout respectée en tant que grande puissance nucléaire du monde. Une défaite est inacceptable pour le pouvoir politique russe, pour l’état-major comme pour l’armée russe et le peuple russe.

Combien même le peuple russe ne pousse pas à la guerre, certes la guerre en Ukraine n’est absolument pas comme la Russie a été envahie par l’Allemagne nazie, en 1941, la guerre est devenue la « Grande Guerre », la « Guerre patriotique », une situation de défaite serait vécue comme un terrible choc. Ce n’est pas comme en Afghanistan, en Ukraine, des populations russophones vivent dans des régions où ils sont majoritaires, et, pour une grande puissance nucléaire à l’échelle mondiale, le caractère des buts de la guerre change, et le problème est que les buts de la guerre sont pour ainsi dire identiques pour les deux camps, et exigent la victoire.

 Pour le pouvoir de Kiev soutenu par l’Occident, recouvrer l’intégrité territoriale de l’Ukraine, pour la Russie, protéger les populations russophones par les référendums au niveau de leurs régions suivis d’annexions et en même temps briser l’encerclement stratégique occidental.

Que va-t-il s’opérer en 2023, sur le théâtre de guerre en Ukraine ? Il est clair que les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, l’Allemagne ainsi que les pays frontaliers comme la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie, les pays baltes par où transitent le convoiement d’armements vont continuer à acheminer des armements à l’Ukraine. Le battage médiatique va continuer. Mais c’est le facteur temps qui sera l’ennemi à cette ambiance de guerre qui progressivement va rapprocher voire transformer les espoirs de victoires en ambiance de doute, d’incertitude et surtout que chaque partie restera accrochée à ses conditions, ce qui n’est favorable en rien aux négociations de paix.

Probablement, les menaces d’usage d’armes nucléaires seraient encore brandies par la Russie, mais elles seront irrecevables par l’Occident car elles n’affecteront en rien le cours de la guerre puisque la Russie ne menace de guerre nucléaire des pays occidentaux qui ne font au fond qu’aider l’Ukraine à se défendre de l’invasion russe, en clair une agression contre un pays qui n’a pas agressé la Russie et qui n’a fait que défendre son territoire nonobstant des populations russophones qui se sont rebellées contre le pouvoir central ukrainien.

Donc une guerre nucléaire est à écarter ; elle n’a aucun sens pour l’Occident, ni pour la Russie elle entre tout au plus dans la guerre psychologique, médiatique, et ne change en rien à l’équilibre des forces. Une telle situation « passer d’une guerre locale, conventionnelle en Ukraine à une guerre entre deux blocs Occident-Russie où tout s’enlise sans éclaircie de résolution du conflit » causerait non seulement la lassitude, l’absence de solution (chaque partie attachée à ses conditions) et le doute sur l’issue de la guerre, mais amènerait les deux parties en guerre à chercher un « moyen » qui changerait le cours de la guerre.

Que serait ce « moyen » ? Il est évident qu’il serait ou devrait être très fort ou suffisamment fort pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Aussi peut-on dire arrivé à une guerre complexe, où rien n’apparaît pour mettre fin aux combats et aux souffrances des troupes de part et d’autre, et que ce soit fin 2023 ou 2024, viendra comme l’attestent toutes les guerres passées où l’enlisement était le maître-mot de la situation, et les exemples sont foison : première guerre mondiale, guerre de Corée, du Vietnam, d’Afghanistan…, un événement imprévu, majeur qui remettra en question tout le cours de la guerre, et cet événement est déjà en marche. 

Il n’est pas encore pressenti, mais tout indique qu’il travaille déjà dans son futur avènement. Certes, il est difficile d’expliquer cet événement ou des événements similaires se suivent, mais l’auteur ne peut s’empêcher d’avertir que cela sera et qu’il n’y a pas moyen d’arrêter la guerre autrement. Évidemment, on peut être très critique sur cette annonce qui en fait ressemble à une prédiction mais n’est pas une prédiction pour la raison très simple que toutes les guerres passées où les protagonistes en guerre s’étaient enlisées, il y a eu toujours un événement qui a surgi et mit fin à la guerre.

Et son avènement s’opère soit dès le début du conflit où l’enlisement commence à être perceptible, soit au milieu ou se rapprochant de la fin, un événement surgi de nulle part change les donnes et met fin au conflit. Combien l’évènement en question relève de l’œuvre des hommes en conflit, il relève aussi de la métaphysique-monde, en clair de Dieu. Les êtres humains qu’ils agissent en bien ou en mal ne savent pas qu’ils sont suivis dans tout ce qu’ils font par Dieu.

Le verset 16 de la sourate 50 est très éloquent sur ce point. « Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son âme lui suggère et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire. » Comment interpréter la parole de Dieu dans le Coran ? C’est simple, la pensée humaine qui permet aux hommes de penser. D’où la tiennent-ils ? Personne ne sait sinon que tous les êtres humains pensent, point barre. Les hommes n’ont pas de réponse là-dessus, et quel est l’homme qui peut se targuer de dire « qu’il pense par lui-même, qu’il créé sa pensée, qu’elle ne lui vient pas » ? Personne à moins qu’il soit fou, malade et dit le contraire, c’est pardonnable. Aussi, les hommes, sans pensées, non seulement ne peuvent faire la guerre mais n’existent pas.

Et donc, il y a une évidence non perçue, la guerre en Ukraine relève en fait de la Nécessité métaphysique-monde. Pourquoi ? Parce qu’elle sert dans la marche de l’histoire. Et l’auteur dans l’annonce de cet événement majeur à venir qui changera le cours de la guerre ne la tient pas uniquement de l’histoire de l’humanité. Certes, la marche de l’histoire joue un rôle central dans la marche du monde, mais il demeure qu’il y a des pressentis parlants dans tout individu pour peu qu’il cherche à se comprendre dans son essence et à comprendre le monde.

De plus, toute guerre a une fin, mais quelle fin ? Dans un prochain article, l’auteur s’efforcera de montrer les tenants et aboutissants des guerres passées, et il montrera le plus souvent, en particulier dans une situation d’enlisement, un événement non attendu mais potentiel surgit toujours pour démêler les conflits entre les hommes. Et les exemples qu’il aura à développer sont foison, et l’événement en question se préparait déjà en amont, ne restait que le moment opportun quand tout se décante, quand tout s’épuise pour qu’il apparaisse ; parfois il apparaît même à quelque moment de la guerre sans qu’il soit pressenti par les hommes qu’il est la pièce maîtresse qui mettrait fin à la guerre.

Et c’est là l’intérêt de comprendre la métaphysique de la guerre en général, et de la guerre en Ukraine en particulier, car elle permet aux êtres humains de mieux comprendre la marche de l’humanité, de mieux gérer les relations entre nations (internationales) et surtout d’anticiper les guerres dans le sens de les éviter si finalement elles n’apporteront que l’échec, les défaites même pour ceux qui croient qu’ils sortiraient victorieux quel que soit le camp de la guerre.

La victoire s’il y a guerre appartient en premier à l’avenir du monde avant d’appartenir à celui qui sortirait victorieux. Et c’est surtout de ce point de vue que les grandes puissances doivent s’inspirer, et ce ne sont pas le nombre de chars Leopard 1 et 2 ou les aéronefs F16 ou autres ou les menaces de guerre nucléaire brandies qui trancheront dans la guerre en Ukraine. C’est le monde de demain qui est en train de se construire doucement mais sûrement qui tranchera, et l’avènement de l’événement n’est qu’un outil historique pour permettre le dépassement d’une situation historique qui a fini ou est en train de finir ce pourquoi elle a existé.
 

Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
Relations internationales et Prospective


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17 réactions à cet article    


  • chapoutier 14 février 2023 19:42

    Il y a un article important de Nicole Cheverney en modération.

    Ne le laissez pas être censuré.


    • @chapoutier

      Nicole Cheverney est excellente donc elle devient une cible pour les blaireaux qui tyrannisent les sombres couloirs d’AGV 


    • chapoutier 15 février 2023 08:58

      @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
      vous avez parfaitement résumé la situation
      là je prends des forces ; parce que si l’article passe cela va etre dantesque


    • sirocco sirocco 14 février 2023 20:18

      Entre Mélusine et Hamed, je ne saurais dire qui est le plus chtarbé...


      • Elle a été révélé qu’une partie des armes destinées aux UkrOtans ont atterri entre les mains de Daech .

        Maintenant la boucle est bouclée ........

        https://reseauinternational.net/les-etats-unis-auraient-recrute-des-dizaines-de-djihadistes-pour-commettre-des-attentats-terroristes-en-russie/

        par Southfront

        Le 13 février, le bureau de presse du service russe de renseignement extérieur (SVR) a révélé que les États-Unis recrutaient des mercenaires djihadistes pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI.

        Les militants sont recrutés parmi les groupes terroristes. Au moins 60 terroristes expérimentés s’entraînent déjà sur la base d’Al-Tanf en Syrie. Sur cette base, ainsi que dans les zones frontalières de la Jordanie, la CIA forme des militants depuis plus de 6 ans.

        «  Selon des données fiables reçues par le Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie, l’armée américaine recrute activement des militants de groupes djihadistes affiliés à l’État islamique et à Al-Qaïda pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI  », a déclaré le service de presse SVR.

        Selon le SVR, « en janvier, 60 de ces terroristes ayant une expérience des opérations de combat au Moyen-Orient ont été sélectionnés ».

        « Ils suivent actuellement une formation accélérée à la base américaine de Tanf en Syrie. Ils y sont formés aux techniques de fabrication et d’utilisation d’engins explosifs improvisés, ainsi qu’aux méthodes de sabotage et d’activités subversives », a déclaré le service de presse.

        Les immigrants du Caucase du Nord russe et d’Asie centrale sont attirés par la coopération avec les États-Unis.

        Le transfert de militants par petits groupes sur le territoire de la Russie et des États de la CEI est prévu dans un proche avenir. Ils seront chargés de préparer et d’exécuter des attentats terroristes contre des diplomates, des fonctionnaires, des forces de l’ordre et des membres des forces armées.

        Selon le rapport du SVR, « une attention particulière est accordée à la planification d’attaques contre des installations bien gardées, y compris des missions diplomatiques étrangères ».

        Un autre appel de l’ambassade des États-Unis aux citoyens américains pour qu’ils quittent le territoire de la Russie, qui a été publié le 12 février, pourrait devenir un autre signal d’attaques terroristes à venir sur le territoire russe préparées par les États-Unis et leur régime fantoche de Kiev.


        • @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

          IL a été révélé qu’une partie des armes destinées aux UkrOtans ont atterri entre les mains de Daech .

          Maintenant la boucle est bouclée ........

          https://reseauinternational.net/les-etats-unis-auraient-recrute-des-dizaines-de-djihadistes-pour-commettre-des-attentats-terroristes-en-russie/

          par Southfront

          Le 13 février, le bureau de presse du service russe de renseignement extérieur (SVR) a révélé que les États-Unis recrutaient des mercenaires djihadistes pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI.

          Les militants sont recrutés parmi les groupes terroristes. Au moins 60 terroristes expérimentés s’entraînent déjà sur la base d’Al-Tanf en Syrie. Sur cette base, ainsi que dans les zones frontalières de la Jordanie, la CIA forme des militants depuis plus de 6 ans.

          «  Selon des données fiables reçues par le Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie, l’armée américaine recrute activement des militants de groupes djihadistes affiliés à l’État islamique et à Al-Qaïda pour commettre des attentats terroristes sur le territoire de la Russie et dans les pays de la CEI  », a déclaré le service de presse SVR.

          Selon le SVR, « en janvier, 60 de ces terroristes ayant une expérience des opérations de combat au Moyen-Orient ont été sélectionnés ».

          « Ils suivent actuellement une formation accélérée à la base américaine de Tanf en Syrie. Ils y sont formés aux techniques de fabrication et d’utilisation d’engins explosifs improvisés, ainsi qu’aux méthodes de sabotage et d’activités subversives », a déclaré le service de presse.

          Les immigrants du Caucase du Nord russe et d’Asie centrale sont attirés par la coopération avec les États-Unis.

          Le transfert de militants par petits groupes sur le territoire de la Russie et des États de la CEI est prévu dans un proche avenir. Ils seront chargés de préparer et d’exécuter des attentats terroristes contre des diplomates, des fonctionnaires, des forces de l’ordre et des membres des forces armées.

          Selon le rapport du SVR, « une attention particulière est accordée à la planification d’attaques contre des installations bien gardées, y compris des missions diplomatiques étrangères ».

          Un autre appel de l’ambassade des États-Unis aux citoyens américains pour qu’ils quittent le territoire de la Russie, qui a été publié le 12 février, pourrait devenir un autre signal d’attaques terroristes à venir sur le territoire russe préparées par les États-Unis et leur régime fantoche de Kiev.



        • roby roby 15 février 2023 11:45

          La guerre cessera quand nous les idiots Otanesques arrèteront de souffler sur les braises sur les ordres de Washington qui se gave sur notre dos !


          • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 15 février 2023 11:59

            @roby

            Salutations roby..
            cette guerre là un jours bien sur, mais LA guerre non car c’est le fondement même de nos rapports entre nous, et c’est un choix global car moi j’ai peur du futur où je vois ma mort que je refuse, ce qui est impossible, donc je veux plus de tout pour essayer de me rassurer..
            ce qui ne marche pas car bien que certains ayant quasiment tout, continuent à vouloir plus que tout, signal que c’est le mauvais chemin évidemment.
            Nous choisissons la compétition qui élimine et est guerre, en lieux et place d’une coopération volontaire donc pacifique et équitable, seule source de sécurité relative du fait de vire..pour des raisons que je vois très bien et que donc tous peuvent voir en chacun..
            donc nous rejetons la sécurité relative pour une sécurité absolue imaginaire inexistante mais juste fantasmée, sécurité absolue qui se trouverait dans le combat de tous contre tous appelé compétition, dont le principe est d’éliminer.
            en clair, nous cherchons la sécurité imaginaire dans l’insécurité..
            plus con tu meurs..rassurons nous c’est en cours..ah très bien donc !!
            Mais voila nous sommes juste encore aptes, après cette dégénérescence millénaire, à tout remettre en cause sauf MOI, multiplié par 99.99%..
            Pourquoi faisons nous cela ? C’est une inconnue totale pour quasiment tout le monde...
            Sauf que là on arrive tranquille au moment où cet édifice erroné à sa base depuis des millénaires se casse la gueule ce que rien ne va arrêter..
            Nous devrions en être fier car c’est le choix de quasiment touts, tout pour ma gueule et chacun sa merde..

            mes respects..et bon courage..hardi les gars..car issue il y a...


          • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 15 février 2023 12:04

            @Géronimo howakhan

             la solution étant toujours dans la connaissance directe du problème, mon copain plombier lui sait bien cela, alors sur les plans disons mental c’est le problème, la vision de celui-ci qui montre la solution, c’est la magie , une des magies de la vie comme humain, alors quel est notre problème à la base ?
            -les autres sauf moi.......


          • AmonBra AmonBra 15 février 2023 12:28

            Merci @ ll’auteur pour le partage.


            Les « néocons » ou « anglo$ionnards » ont entraîné « l’Ôxydant »(*) et ses lèche-boules dans une direction a une vitesse de triomphalisme, d’arrogance et d’imbécillité flagrantes telles qu’il ne peut y avoir de retour en arrière, ou de revirement possible sans une défaite totale du récit officiel et la honte historique qui en découle. 

            Voila ce qui attends cette lie de l’humanité en 2023 et gare à tous ceux ignorant le vieux dicton russe : « C’est lorsque le monstre se noie qu’il provoque les plus grosses vagues ». . .

            .

            .

            .

            (*) Clin d’œil métaphysique ou non, jamais cet homonyme d’origine anonyme n’a été aussi synonymique, compte tenu que ledit occident a cette funeste propension a dégrader l’humanité, par le seul contact avec son aire culturelle, comme l’air corrode le métal.


            • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 15 février 2023 13:27

              @AmonBra

              Salut, oui tout à fait...la défaite totale d’abord, ce qui est juste logique, car à jouer la victoire totale, on joue aussi pour la défaite totale..« ils » ne l’avaient pas vu, celle-là....
              les autres, nous, non plus d’ailleurs...sauf exceptions..


            • AmonBra AmonBra 15 février 2023 14:51

              Paix et salut @ Géronimo howakhan

              Ils ne l’ont effectivement pas vu venir, ils étaient tellement surs de leur coup à l’encontre des russes qui, pour en avoir payé le prix fort, ont fini par comprendre à quels tarés ils avaient affaire, les ont vu venir de loin et ont retourné, comme au judo, le piège tendu contre ses auteurs.
              N’ayant dorénavant aucune confiance, et pour cause, dans la parole ou/et la signature desdits nouveaux cons, les russes agiront de sorte qu’il n’y ait rien a négocier, la capitulation sera totale, inconditionnelle et l’effondrement occidental suivra et finira le « российская работа ».


            • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 15 février 2023 16:00

              @AmonBra

               smiley


            • Basile 16 février 2023 13:51

              J’ai attendu la fin de l’article pour savoir si le lapin qui mettrait fin à cette guerre allait enfin sortir du chapeau.

              Ben non finalement, il n’est pas sorti.

              J’attends l’article suivant, sait-on jamais.


              • UN CAS CLINIQUE IRRÉCUPÉRABLE !

                Ces thuriféraires du Nouvel Ordre Mondial vivent sur une autre planète ! :

                Accrochez vous, ça va secouer !

                Concernant les révélations de Seymour Hersh sur le sabotage de l"OTAN des gazoducs North Stream 2, les USA les ont sans surprise rejeté préférant faite confiance aux pays limitrophes du site... qui sont aux ordres de Washington !

                La Commission européenne n’envisage pas non plus la version sur l’implication des États-Unis dans le sabotage en raison de... la réputation irréprochable de l’État américain !

                "La version sur l’implication des États-Unis dans le sabotage des gazoducs nous semble absurde. Pendant toutes les années d’existence de l’Amérique, pas un seul fait de violation du droit international ou d’action hors du cadre du droit international n’a été établi et confirmé.

                « La réputation irréprochable de l’État américain nous permet de ne pas envisager cette version »,
                a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

                Source @Vpoutine


                • yakafokon 19 février 2023 18:19

                  Il faut organiser de toute urgence la réunion de véritables spécialistes économiques de haut niveau, tels que François Asselineau, Olivier Delamarche, et d’autres, qui pourraient travailler ensemble et créer un parti qui aurait pour unique but de redonner à la France son indépendance, vis-à-vis de l’Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne, et surtout de l’ O.T.A.N. !

                  Peut importe le nom qu’il prendra, du moment que l’objectif reste le même : se débarrasser du « piège à cons », savamment tissé par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne depuis 1945.

                  Il faut être particulièrement naïf pour ne pas s’être aperçu que l’Union Européenne est devenu de fait, le 51ème état américain !

                  Nous nous couchons, telles des serpillières sur lesquelles les Etats-Unis s’essuient les pieds, en leur obéissant comme de vulgaires esclaves pour aller combattre la Russie en Ukraine , depuis que Washington a sifflé le début de la partie en 2014 !

                  Il paraitrait que la Russie voudrait nous envahir et nous dominer  ! C’est bien une pensée sortie d’un cerveau malade de la Maison-Blanche ou du Pentagone !

                  Qu’est-ce qu’ils sont méchants, ces russes ( hou les méchants ! ) rendez-vous compte : ils sont allés jusqu’à perdre 14.000.000 de soldats pour anéantir le 3ème Reich, dans le but principal de nous nuire !

                  Une guerre ayant toujours une cause économique, qu’est-ce que la Russie pourrait bien venir nous voler, qu’elle ne possède déjà ? C’est le plus grand pays du monde, qui couvre 11 fuseaux horaires sur 24, et elle dispose de tout ce qui lui faut pour s’assurer une autarcie totale ( acier, aluminium, uranium, potasse, nickel, chrome, titane, tantale, gaz naturel, pétrole, gaz terres et métaux rares, or, diamants ).

                  Vous avez déjà vu un milliardaire monégasque dévaliser un sans-abri ?

                  Alors, comme le proposent François Asselineau et Olivier Delamarche, il faut foutre le camp, tant qu’il est encore temps de cette « usine à gaz » en utilisant les articles de la Constitution qui le permettent ( notamment l’article 50, et l’article 13 de la partie consacrée à la défense pour quitter l’ O.T.A.N. ).

                  Et nul besoin de la moindre unanimité, chaque état-membre de l’Union Européenne a le droit de le faire ( comme l’a fait la Grande-Bretagne, quand elle en faisait partie, avec le Brexit ).

                  Car contrairement à la Perfide Albion, nous ne sommes pas une île, mais un nœud de transport vital pour tous les échanges commerciaux entre les pays de l’Union Européenne, par réseau ferroviaire, autoroutier, fluvial, maritime, et aérien.

                  De ce fait, nous retrouverons notre indépendance, notre Banque de France, notre monnaie nationale, nos taxes douanières, et le contrôle de nos frontières contre les trafics en tous genres, et l’immigration clandestine.

                  Bien sûr, notre monnaie sera dévaluée, ce qui boostera nos exportations en faisant redémarrer notre industrie et notre agriculture qui en ont bien besoin !

                  En outre, les chinois et les américains se rueront sur nos produits haut-de gamme, devenus moins chers, ce qui fera un bien fou au commerce !

                  Mais pour accomplir ce rêve, il faut impérativement nous débarrasser de l’Obersturmbannführer Herr Macron, qui dirige son Reich depuis sa kommandantur de l’Elysée.

                  La Haute Cour de Justice devrait pouvoir y arriver ( haute trahison et intelligence avec l’ennemi ) sinon ça se réglera dans la rue, voire avec l’armée ( la « grande muette » n’a pas à obéir à des ordres contraires aux intérêts de la France ).

                  Sinon nous sommes morts, c’est aussi simple que ça !

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                  • yakafokon 20 février 2023 08:45

                    D’après les renseignements israéliens ( et il est rare qu’ils se trompent, mais je vais vérifier ), le bilan des morts en Ukraine est le suivant :

                    forces ukrainiennes ( mercenaires étrangers compris ) : 215.000 morts

                    forces russes, tchétchènes, et milice Wagner : 16.500 morts

                    Les ukrainiens se font littéralement broyer par l’artillerie, l’aviation, et les missiles, et ce qui est nouveau, par le redoutable lance-roquettes multiple thermobarique TOS 1-A qui génère un enfer de feu de 3.500 °C, après avoir consommé tout l’oxygène !

                    Les nazis ukrainiens de Kiev , qui oppriment toute la population du pays, n’ont plus aucune ressource humaine à envoyer sur le front, et en sont réduits à faire des razzias dans les immeubles pour dénicher ceux qui ne veulent pas se faire massacrer pour défendre les adorateurs de Stepan Bandera.

                    Quand ils le peuvent, ils se rendent à l’armée russe, sachant qu’ils seront bien mieux traités par les russes que par leur commandement ( s’il y en a un ).

                    Ou alors ils quittent le pays par tous les moyens !

                    Et ce ne sont pas les témoignages qui manquent, si l’on sait chercher !

                    Que ça plaise ou non aux occidentaux, la Russie possède la plus puissante armée de la planète, et contrairement aux Etats-Unis, ne s’en est jamais servie pour dominer le monde !

                    A elle-seule, elle détient plus d’ogives nucléaires que les Etats-Unis, la France, et la Grande-Bretagne réunis ( 8.500 contre 7.700 ) d’une puissance supérieure, et livrables à domicile par missiles hypersoniques ( vitesse entre 5.000 km/h et 27.000 km/h suivant les modèles ).

                    Et contrairement à ce que racontent les « guignols de l’info » de BFM-TV, elle ne manque de rien pour fabriquer tout ce qu’il lui faut en matière d’armement de toutes sortes ( d’autant que la Chine se propose de l’aider, en fournissant tout ce qui est nécessaire pour gagner, sachant ce qui l’attend si la Russie perd le combat ).

                    Mais les américains, c’est « tout dans la gueule, et rien dans le froc », car leurs guerres sont toujours faites par leurs esclaves ( c’est nous en ce moment ).

                    A chaque fois qu’ils ont combattu au sol, ils se sont pris une branlée ( guerre de Corée, Vietnam, Afghanistan ).

                    Et c’est normal : on ne se bat bien que pour défendre la patrie, pas quand on se bat à 10.000 km de chez soi, contre des gens qui ne vous ont rien fait !

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Hamed


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