• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Société > Délusions de la transition énergétique ?

Délusions de la transition énergétique ?

Selon l’expert en énergie et extraction minière Mark Mills, la transition énergétique vers un modèle « propre » d’ici 10-20 ans relève de la pure délusion. La réalité physique dit autre chose.

Mark Mills est un spécialiste reconnu de l’énergie et de l’extraction minière (1). Voici quelques jours il animait en Norvège (pays le mieux doté en matière de véhicules électriques) une présentation intitulée « La délusion de la transition énergétique : inéluctables réalités minérales », dont l’objectif est de faire comprendre que l’idée populaire d’une transition énergétique où le tout-électrique remplacerait les énergies fossiles et l’extraction minière, au profit d’un environnement propre, est un pur conte de fées faisant l’impasse sur les réalités physiques qu’implique une telle transition :

La triste réalité est que les machines nécessaires à cette transition (batteries, panneaux solaires, éoliennes etc..) sont nettement plus gourmandes en termes de matières premières, à production électrique équivalente, que les équipements classiques, et ce non pas d’un facteur de 2 ou 3, mais de 20 à 100.

Par exemple, il faut extraire 250 tonnes de matière (avec des équipements hautement polluants) pour fabriquer une batterie de 500 kg, typique d’un véhicule électrique actuel. En termes d’émissions de CO2, ceci veut dire qu’il faut qu’un VE fasse plus de 130 000 km avant que sa production totale de CO2 devienne inférieure à la production d’un véhicule classique équivalent.

Les équipements requis par la transition énergétique sont extrêmement gourmands en termes de matières premières type aluminium, cuivre, lithium etc., dont l’extraction et le raffinage sont très intenses en termes d’énergie (fossile) et hautement polluants.

Passer d’un secteur du renouvelable aujourd’hui à 3% (de toute l’énergie consommée à l’échelle mondiale) à 30% implique un développement massif du secteur minier, avec toutes les conséquences qui en découlent. Voici un graphique de la situation actuelle :

Ce blog décrivait déjà le décalage entre le narratif du renouvelable et la réalité physique dans cet article de février 2021 intitulé « Au grand remplacement des énergies fossiles » (2).

A l’heure actuelle, 80% du prix d’un VE ou d’un panneau solaire vient du coût des matières premières, et ces prix sont en forte hausse du fait de la pénurie de ces matériaux, dont il faut de 20 à 100 fois plus par unité d’énergie produite par rapport aux systèmes classiques (combustion).

Pour Mills, il n’y a pas de solution à court/moyen termes (10-20 ans) : la couche transitionnelle va s’ajouter à ce qui existe déjà, elle sera grande consommatrice d’énergies fossiles et de matériaux rares (pour la fabrication des systèmes), donc soumises à des coûts en forte croissance du fait d’un manque criant de capacité extractive, elle-même source d’une pollution intense et donc politiquement incorrecte.

Une erreur conceptuelle ?

Cette démonstration nous ramène au réel, au monde physique tel qu’il est. Elle rejoint cette autre analyse par Vincent Mignerot, sur « l’erreur fondamentale de la transition énergétique » qui montre la différence de nature entre les systèmes « renouvelables » et les systèmes de production classiques où le vecteur d’énergie (bois, pétrole) se suffit à lui-même (il brûle) et permet aussi de fabriquer les équipements nécessaires à sa transformation.

Pour les renouvelables par contre, notamment éolien et solaire mais aussi le nucléaire, le vecteur par lui-même n’est d’aucune utilité et nécessite des équipements, fabriqués à base d’énergies fossiles et de matériaux rares, pour leur transformation en électricité.

Une question politique majeure.

Tout ceci remet très sérieusement en cause le narratif d’une transition énergétique « propre » à court/moyen terme. Soit elle ne restera qu’une fine couche du mille-feuilles énergétique par manque de matière première, soit elle transformera la planète en une vaste mine parsemée d’usine de raffinage pour ces matériaux.

Il est grand temps de passer du narratif idéologique au débat vraiment politique : sachant que l’on ne peut pas tout avoir, que veut-on vraiment ? Il est acquis, sauf miracle, qu’il n’y aura pas de transition énergétique d’ici 2050, autre que marginale, et dont il n’est même pas certain que l’empreinte carbone soit meilleure à production équivalente du fait de la consommation des matières rares, très consommatrices en énergie à extraire et à raffiner.

De ce fait, selon les (toujours discutables) modèles de réchauffement climatique du GIEC, nous allons largement dépasser les objectifs de hausse globale de température de 2°C, objectifs qui impliquent de réduire de 50% nos émissions d’ici 2030, puis 50% encore pour 2040, et 50% de ce qu’il reste pour 2050 (3). Il est évident que cela n’arrivera pas, du moins pas par le biais d’une transition énergétique du fossile vers le renouvelable / nucléaire.

Cela pourrait peut-être arriver par une réduction massive de l’énergie produite, menant à une réduction drastique de la population mondiale qui ne pourra plus se nourrir ni se chauffer (sans même parler du reste). Et comme par hasard, c’est exactement ce qui est en train de se passer :

Les Etats ont vu qu’il est possible de confiner massivement les populations, ce qui revient à une forme de régulation de la consommation énergétique. Ils voient qu’il est possible de détruire le marché de l’énergie européen sous couvert d’une guerre locale montée en épingle, menant à une probable réduction massive de la demande (du fait du prix astronomique du KWh et des restrictions) de quelques 500 millions de personnes hautement consommatrices (par rapport à la moyenne de la population mondiale), officiellement pour « sauver la démocratie ».

Les systèmes de surveillance et de contrôle qui se montent, du crédit social chinois au monnaies numériques des banques centrales (dont les versions en dollars et en euros sont prévues pour bientôt (4)), serviront notamment à réguler l’accès à l’énergie via un contrôle permanent de nos activités, avec pour justification le fait que « nous allons tous mourir » si le petit peuple ne se soumet pas.

Sans parler des nouveaux vaccins à ARNm qui sont déjà en préparation (5), alors même que leur rôle exact dans la baisse de fécondité et dans la hausse de la mortalité anormale, aujourd’hui observées partout où il y a eu des campagnes de vaccination de masse Covid par ARNm (6), ne semble aucunement intéresser les institutions et les gouvernements.

En fait, la question est simple : à défaut de transition énergétique, faut-il réduire de force la consommation de l’humanité de moitié, ce qui revient à terme à réduire la population d’autant ? Si oui, comment ? Et si non, que se passe-t-il ? ?

 

Liens et sources :

(1) https://www.manhattan-institute.org/expert/mark-p-mills

(2) https://zerhubarbeblog.net/2021/02/09/au-grand-remplacement-des-energies-fossiles/

(3) https://www.cnbc.com/2021/05/14/what-2050-could-look-like-if-we-dont-do-anything-about-climate-change.html

(4) https://siecledigital.fr/2022/09/27/mnbc-la-banque-de-france-annonce-leuro-numerique-pour-2027/

(5) https://www.webmd.com/vaccines/covid-19-vaccine/news/20201210/covid-19-vaccines-on-the-way-what-to-know

(6) https://zerhubarbeblog.net/2023/01/30/vaccination-arnm-et-odeur-de-sapin/


Moyenne des avis sur cet article :  1.63/5   (16 votes)




Réagissez à l'article

22 réactions à cet article    


  • leypanou 10 février 2023 09:56

    à défaut de transition énergétique, faut-il réduire de force la consommation de l’humanité de moitié, ce qui revient à terme à réduire la population d’autant ? Si oui, comment ?  : en commençant par inciter fortement ceux qui disent qu’on est trop nombreux sur la terre à donner le bon exemple.

    Il y en a sur agvx, au moins 2 rédacteurs : aucun sacrifice ne doit être de trop pour sauver la planète smiley


    • tashrin 10 février 2023 10:26

      Sur le même thème, l’interview passionnante de Aurore Stephant sur thinkerview

      Ca va pas passer...


      • adeline 10 février 2023 10:47

        délusion ?


        • tashrin 10 février 2023 10:57

          @adeline
          je connaissais pas non plus
          Illusion, croyance que la confrontation avec les faits ne peut dissoudre


        • tashrin 10 février 2023 11:09

          Pourquoi moinsser la définition du dictionnaire ?

          Ya vraiment des fadas ici


        • adeline 10 février 2023 11:25

          @tashrin
          sinon il y a aussi désillusion qui existe dans tous bons dictionnaires.


        • tashrin 10 février 2023 11:31

          @adeline
          ben oui mais ca n’a pas le même sens


        • adeline 10 février 2023 11:40

          @tashrin
          bon stop, on ne parle pas de la même chose, moi je dis que le mot utilisé dans le titre n’existe pas, point barre.


        • tashrin 10 février 2023 11:51

          @adeline
          Mdr pourquoi vous me rentrez dedans ? c’est pas moi qui l’ai écrit...
          C’est fou cette agressivité permanente sur un truc insignifiant, ma remarque était anodine, faut pas vous emballer comme ca
          En tous cas l’académie française connait... https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9D1088
          Point barre ;)


        • Plus robert que Redford 10 février 2023 13:58

          @tashrin

          A.− PSYCH. Synon. de délire (cf. Porot 1960).
          B.− PSYCHOL. Erreur de perception dans laquelle un objet réel induit la connaissance. L’entendement humain et mortel (...) comme la somme de toutes les délusions (Philos., Relig., 1957, p. 4414).
          PSYCHOL. DE L’ENFANT. ,,Affirmation fausse d’un enfant cherchant à tromper mais s’y laissant prendre lui-même`` (Piéron 1973) :
          Il [l’enfant] vit en perpétuel état de croyance asséritive, et le monde extérieur ne le prend jamais en défaut, car il échappe à la contradiction par un processus de délusion. Mounier, Traité du caractère,1946, p. 619.
          Étymol. et Hist. 1547 (Budé, Institution du Prince, éd. J. Foucher, chap. 23 ds Hug.), attest. isolées au xvies. ; 1946 supra ex. Empr. au lat. impérial delusio « tromperie » dér. du lat. class. deludere « tromper ». Fréq. abs. littér. : 1.
          Un coup de clic sur le site du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales, qui, je l’avoue sans aucune honte est MA référence en matière lexicale pour confirmer l’absolu bien-fondé et la pertinence de votre remarque !
          Et pan sur la gu… d’Adeline !
          Mort aux Cons !

        • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 10 février 2023 10:48

          Il n’y a aucune possibilité de réduire structurellement dans un délai de 10-20 ans l’importance des énergies fossiles sans que cela est des conséquences sur le devenir d’une grande partie de la masse humaine dont l’augmentation exponentielle de ces 2 derniers siècles est du à leurs abondances et leurs propriétés inédites.

          Parce que la révolution industrielle et la quasité totalité de ses applications émanent des énergies fossiles, il faut non seulement trouver une autre énergie ayant des propriétés au moins équivalentes et sans inconvénient, mais en plus il faut démolir, démonter, remplacer et rénover tout ce qui a crée et installé depuis un siècle et demi en un temps 10 fois moins long.

          En plus, il ne s’agit pas de sauver la planète du CO2, mais de tenter l’impossible pour sauver un système qui dépend étroitement du pétrole et dont le pic de production a déjà été dépassé. 

          Installer des éoliennes, des panneaux solaires ou contruire des centrales nucléaires ne peuvent avoir aucun effet dans un secteur industriel qui a déjà réussi à se sevrer du pétrole après les chocs pétroliers en le remplaçant par du charbon et du gaz.

          Ce qui est rigolo, c’est que les énergies renouvelables font concurrence au nucléaire et à l’hydroélectrique alors que le gaz et le charbon continuent leur bonhomme de chemin. Chart : Europe’s Nuclear & Hydropower Falter With Droughts | Statista

          Maintenant que la production de pétrole est en contraction, il n’ai plus possible de faire des investissements sans risques et contrairement au mythe répandu, le marché n’aime pas le risque et l’incertitude.

          Donc tous les investissements entrepris et qui entousiasment les marchés, les médias et les politiques ne servent en réalité qu’a fabriquer encore plus d’argent pour continuer à nourrir le mythe tout en justifiant la régression des marges de manoeuvre de la majeure partie de la population pour le bien de la planète et pour la sécurité jusqu’a ce que l’ineluctable et brutable réalité nous rattrapent.


          • joletaxi 10 février 2023 11:53

            @Florian LeBaroudeur
            Maintenant que la production de pétrole est en contraction, il n’ai plus possible de faire des investissements sans risques et contrairement au mythe répandu, le marché n’aime pas le risque et l’incertitude.

            ben non
            si la production est en contraction si bien du fait de la volonté de saborder la filiè-re, et ce de manière générale, par la mise en application du mécanisme ESG, qui oblige de détourner les fonds disponibles du pétrole vers les investissements « vertueux »
            même les fonds de pension se conforment à cette lubie « verte », au détriment de leurs clients( les fonds qui suivent la règle ont perdu 30% sur leurs mises)

            on trouve du pétrole et du gaz partout, faut juste chercher et creuser
            rien qu’en Uk , les estimations de réserves potentielles en shale gas permettraient de fournir la demande pour 150 ans, mais bien sur ; grâce à la clique verte, les pauvres vont se geler, faut bien que quelqu’un souffre pour expier nos « fautes »


          • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 10 février 2023 13:05

            @joletaxi

            Aucun responsable ne peut dire que le pic de production petrolier est derrière nous, sinon il y a un krach boursier qui se déclenche le lendemain.

            Tout l’intérêt de la lubie verte est là, faire croire qu’on va baisser la production pour nos objectifs de luttre contre le réchauffement afin de ne pas avoir à avouer qu’on va y étre contraint par la réduction de l’offre.

            Les investissements des grandes compagnies pétrolières ont baissés dés 2014 après une hausse exponentielle lors des 20 années précédentes, soit avant les décisions contraignantes envers la filière, parce que les compagnies se sont heurtés à un mur.
            Le prix du baril a commencé à devenir élastique et il l’est de plus en plus, car il est trop bas pour les producteurs qui ont besoin d’un prix toujours plus élévé pour des extractions exponentiellements coûteuses, et il est trop haut pour les consommateurs qui ont besoin d’un prix stable pour ne pas perdre du pouvoir d’achat. 
            Tous ces paramètres sont bien plus parlant que les estimations de réserves potentielles issue d’études biaisés.


          • joletaxi 10 février 2023 13:17

            @Florian LeBaroudeur
            études biaisées... on nage dans les études biaisée, dans tous les domaines, mais cela a toujours été le cas, y a qu’à voir les études sur le canderel

            concernant le mur des prix... les exploitants des shale gas gagnent de l’argent dès 40$, les progrès ont été spectaculaires
            pour les conventionnels, on en trouve partout depuis des décennies
            la fantasme du pikoil est sans cesse repoussé,heureusement d’ailleurs
            et je ne parle pas du charbon, dont on regorge

            et la soi-disant excuse de vouloir faire passer les normes ESG, et autres calembredaines , pour justifier un évitement du pikoil est un des innombrables mensonges de la secte verte

            le fait est que l’on veut faire augmenter le prix des énergies conventionnelles pour favoriser les renouvelables,qui ont échoué partout, à ce stade d’aveuglement, on est en droit de se poser des questions ?


          • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 10 février 2023 13:26

            @joletaxi

            Après, bien sûr qu’il y a une volonté de saborder la filière, mais elle est le fait de gens qui n’ont en réalité pas de véritable pouvoir, ils prennent des décisions qui ont déjà été dictés tout en s’en attribuant le mérite pour paraitre vertueux auprès de leurs ouailles.

            Les mesures écologiques soit-disantes absurdes ne sont pas issues du cerveau de la commissaire européennne Ursula Von Der Leyen, ni des activistes écolos mais d’individus qui savent trés bien ce qu’ils font et qui savent se servir des idiots utiles.


          • joletaxi 10 février 2023 13:35

            @Florian LeBaroudeur

            cherchez l’argent(car toutes ces officines n’en manquent pas)
            et on retrouve quelques milliardaires(qui généralement ont hérité de fortunes constituées avec... les fossiles) et qui sont en « mission »
            Kerry, le grand Philipulus US ,représentant de Biden l’a clairement déclaré dernièrement
            ils se considèrent comme des « extraterrestres » venus sauver la planète

            c’est devenu une secte qui a infiltré toutes nos institutions, la presse, et même nos écoles
            ils iront au bout de leur folie, comme tous les gourous, tant pis pour nous

            curieusement, la poele à frire a des ratés, selon les mesures satellites, les seules à peu près fiables pour relever une tendance, ce mois de janvier, nous sommes exactement à la même anomalie de t+ qu’il y a 25 ans,cela ne fait pas la une de BFM


          • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 10 février 2023 13:48

            @joletaxi

            Vous campez sur vos certitudes de bases mais vous ne répondez pas aux arguments que j’apporte

            Oui il y a encore beaucoup de pétrole, de gaz et de charbon sous terre, mais il ne restent plus que les mauvais fruits, les meilleures fruits ont tous été cueillits.
            Pour qu’une économie reste prospère, il faut en permanence avoir du mieux et au pire de l’équivalant.
            Les exploitants des shale gas ont gagnés beaucoup d’argent parce qu’ils ont bénéficiés de subventions colossales et se sont lourdement endettés auprès des banques. Il est dans l’intéret des Etats-Unis de choyer ces exploitants car ils ont besoin d’entretenir le mythe de la rentabilité du shiste pour continuer à vivre sur le dos du reste du monde.


          • titi titi 11 février 2023 08:51

            @Florian LeBaroudeur

            "Ce qui est rigolo, c’est que les énergies renouvelables font concurrence au nucléaire et à l’hydroélectrique

            « 

            Normal.

            La »transition" elle est portée par les écologistes politiques.

            Or le combat des écologistes politiques il est historiquement anti-nucléaire.

            Les solutions alternatives poussées par cette transition sont toutes celles qui concurrencent le nucléaire dans la production électrique.

            Jamais on ne parle par exemple du solaire thermique, alors que l’appareil qui consomme le plus dans la foyer, après le chauffage, est le ballon d’eau chaude.
            Et que tous les foyers ont un ballon d’eau chaude, qu’il soit chauffé par l’électricité, le fioul, le bois, le pelet...


          • joletaxi 10 février 2023 12:08

            vous avez vu la machine infernale et ubuesque des nouvelles normes contre les passoires énergétiques ?

            on voudrait mettre la 1/4 de la population à la rue on ne ferait pas mieux

            or, si on cherche un peu on regrade les résultats de ceux qui ont « pris de l’avance » inévitablement les teutons

            et que voit-on, dans un audit, qui poorte sur l’expérience sur 15 ans de mise en oeuvre de ce genre de dispositif

            les conso estimées avant isolation étaient systématiquement surévaluées de 30 %( il fallait bien convaincre de l’utilité de bazar)

            et au final, les économies étaient surévaluées de 30 %( les gens se sentant « isolés » chauffent plus qu’ils ne le faisaient avant)

            bref des milliards... pur pas grand chose

            d’ailleurs, si on prend les teutons comme exemple, pour les renouvelables, on constate le même aveuglement

            si on investit autant qu’eux(plus de 500 milliards tout de même) est-ce que l’on aura gagné en sécurité énergétique ?

            à voir dans quelle m... ils sont, je crois que la bonne stratégie serait d’arrêter tout de suite... ce que l’on ne va pas faire bien entendu


            • pipiou2 10 février 2023 18:13

              La première partie de l’article sur la transition énergétique est intéressante et factuelle ; malheureusement la fin de l’article part en vrille sur la réduction de la population mondiale, le contrôle social tout ça.


              • Vincent Verschoore Vincent Verschoore 10 février 2023 23:20

                @pipiou2 Disons que la dernière partie est une déduction logique de la première. 


              • pipiou2 11 février 2023 10:10

                Justement non : prétendre que l’on confine les gens et que l’on crée des monnaies numériques pour réduire la consommation d’énergie n’est pas de la logique, c’est du fantasme.

                De même que la réduction de la population mondiale, complot fumeux.

                Vous avez une drôle de logique !

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité