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Accueil du site > Tribune Libre > Le management par holacratie

Le management par holacratie

Le chapeau d'un article du Vif de cette semaine qui parle du management commence ainsi : "Inefficaces voire toxiques, les couches hiérarchiques ont vécu. Voici l'ère de l'entreprise libérée par l'holacratie. C'est la fin du boss dans un échange froid et stérile. Possible ou utopique ?"

Le management collaboratif et plus celle du boss.

L'holacratie provient du mot grec « holos » désignant « une entité qui est à la fois un tout et une partie d'un tout » et de « kratos » signifiant « pouvoir ». Donner le pouvoir de gouvernance à une organisation elle-même plutôt qu'aux égos de ses membres.

C'est une forme de management constitutionnel accordant la flexibilité, fondée sur les modes de prise de décision et de répartition des responsabilités en commun à tous dans une forme de management constitutionnel.

L'article suit le livre "Entreprise nouvelle génération" de Luc Bretones, et Philippe Pinault .

C'est une occasion pour rebondir et ressortir du trou de mes souvenirs, une série de billets qui émaille l'organisation d'une société du temps où je les signais par le pseudo "L'enfoiré".

Les rôles de chacun avec ses avantages et ses vicissitudes

Quand il faut rendre à César ce qui appartient à César, il faut aussi le faire à ses guerriers. C'est un minimum.

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Ramses II n'a pas gagné la guerre tout seul contre les Hittites, même si les hiéroglyphes racontant son histoire pourraient le faire penser.

En 2005, mon premier billet "Nous sommes tous responsables" racontait "Je travaille dans une entreprise américaine et elle peut être (ou pouvait être) considérée comme un « Employeur de choix ». Les règles d’éthique, le respect des employés me semblent avoir été respectés. Mais avec le recul, quand j’entendais en début d'année fiscale, les conférenciers haranguer les ‘foules’ en les remerciant du travail effectué et que si cela avait été possible, c’est grâce à Nous, ils ont oublié de dire (ou alors, j’ai dû m’endormir au mauvais moment), que si on avait pu nous éviter, il y aurait eu plus d’argent dans les caisses ou dans les poches des actionnaires". Mais il fallait motiver ses troupes. 

Le système démocratique a plusieurs cordes à son arc. 

Ou c'est tout dans les mains et l'esprit d'une président qui a tout à dire, comme en France.

Ou c'est démocratique jusqu'au bout des ongles sous la forme d'une coalitions avec un système basé sur les compromis comme en Belgique.

L'un dans l'autre, cela finit toujours par devenir vite explosif en faisant intervenir tout et son contraire. 

Ce sera la règle du bazooka comme en Allemagne, puisque qu'en 2023, elle entre en récession
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Ce sera montre ton "Passe ou saute" comme en Espagne"...

Dans une démocratie, les règles de la liberté d'expression permettent de tout dire à condition que cela n'entrave pas les lois établies dans le pays.

Sans cohésion, l'Occident perd ainsi la boule, face au monolithe chinois aux yeux bridés qui frise la démocrature ou la dictature quand Xi JingPing dit haut et fort "Osez vous battre pour la victoire".

Quelle victoire ?

"On ne me fera pas croire que la guerre n'est provoquée que par les grands hommes, les gouvernants et les capitalistes, oh non, les petites gens aiment la faire tout autant, sinon les peuples se seraient révoltés contre elle depuis longtemps (...) et tant que l'humanité entière, sans exception, n'aura pas subi une grande métamorphose, la guerre fera rage, tout ce qui a été construit, cultivé, tout ce qui s'est développé sera tranché et anéanti, pour recommencer ensuite ! ", écrivait Anne Frank. 

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Au sein de l'entreprise de production de logiciels Ternary Software, Brian Robertson s'est donné pour objectif de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus efficaces en suivant l'idée de la boîte à outils et la redistribution des autorités.

Robertson prolonge la vision de Arthur Koestler et du philosophe Ken Wilber en l'appliquant aux organisations humaines. Il conçoit qu'une équipe projet est une entité autonome construite autour d’une finalité. Elle est souveraine dans son fonctionnement interne, mais dépendante des attentes d'une structure plus large dans laquelle elle s'insère et se doit de respecter l'autonomie des membres qui contribuent à son fonctionnement. Le processus de conception de l’industrie du logiciel s'adapte très bien à ce niveau de la structure de l’entreprise dans une PME ou une startup mais beaucoup moins dans une grande multinationale même si celles-ci pensent l'adopter avec une gouvernance itérative et des processus adaptatifs, s'inspire des méthodes agiles et du lean management. Les processus reposent sur une structure organisationnelle, des règles de coopérations, des réunions informationnelles de triage, une autorité distribuée et des processus de gouvernance.

"Les entreprises sont trop souvent des lieux où les égos s'empoignent et s'épuisent" écrit Frédéric Laloux.

La préface du livre : Le management traditionnel, pyramidal, hiérarchique est dépassé. Il est temps de laisser la place aux entreprises "nouvelle génération", focalisées sur leur raison d'être.

Emportées par la vague numérique, les entreprises se trouvent confrontées à des challenges d'adaptation sans précédent : comment remettre du sens au cœur de l'action ? Comment intégrer du collectif au sein du processus de décision ? Comment libérer l'énergie de tous en valorisant - quitte à faire des erreurs - les initiatives personnelles animées par une vision commune et en évitant de diluer la responsabilité de ceux qui les prennent ?

Au sein de l'entreprise de production de logiciels Ternary Software, Brian Robertson s'est donné pour objectif de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus efficaces.

Pour se faire, Tom Peters et Isaac Getz avaient créé l'entreprise libérale avec l'esprit taylorien "command and control".

Le but était d'horizontaliser les processus et de "désiloter" l'organisation.

Le "Freedom Washing" se mettait progressivement en place.

Les centres de frais venaient d'office à l'esprit pour réguler le système.

Les bases de données s'alourdissant de nouvelles clés de partage d'information pour comprendre d'où pouvait fuiter les capitaux investis.

La concurrence entre les services de l'entreprise suivaient plus que la collaboration entre eux.

Avec elle, l'augmentation du stress et d'une violence interpersonnelle.

Le split des fonctions diminuait les potentiels du personnel.

Pas grave, la polyvalence dans les tâches permettait au distributeur d'avoir une personne qui pouvait en représenter d'un coup plusieurs.

Cela devenait un fourre-tout, un peu comme dans les grandes surfaces où les caissières peuvent faire tellement d'autres tâches comme construire les rayons avec les marchandises.

Bien sûr, il suffit d'avoir et d'aimer une "petite" disposition à l'adaptation.

Le facilitateur a, du coup, reçu le message d'avoir un discours humaniste tout en restant dynamique. 

Le Vif raconte qu'il y a des chefs de services passifs-agressifs, des dirigeants déconnectés des équipes.

"Il y a management et managers", écrivais-je.

Chassez le naturel, il finit toujours par revenir au galop...

Le rôle du manageur est d'établir un suivi avec des logiciels tels que "Project".

Certains pensent toujours guider ou être coachés par une hiérarchie aveugle.

J'ai connu les deux types de personnalités. 

Celui qui prend des responsabilités qu'on lui donne et y ajoute des initiatives personnelles.

Celui qui demandera toujours confirmation avec de prendre les décisions ou pire devra demander le consentement au chef s'il peut agir.

La solution de l'holacratie qui pouvait être prise dans une PME ou d'une startup se trouva fort dépourvue dans la grande multinationale.

Sans directive entraîne une perte de sens, un absentéisme, un burnout ou son inverse un bore-out, engendrant une fuite de cerveaux de l'entreprise.

L'organisation du travail est surtout essentielle pour assurer un intérêt dans la tâche qui incombe à chacun pour ne pas tomber en burnout dont on connaît les effets dévastateurs ou en bore-out, ce syndrome déclenché par le manque de travail, l'ennui et, par conséquent, l'absence de satisfaction dans le cadre professionnel. 

Comment vaincre le burnout ?

En gérant son temps et en déterminant un management de priorités qui détermine ce qui est important et ce qui est urgent.

Les deux ne concourent pas toujours ensemble. Même les tâches ont un rythme hiérarchique à respecter. 

Mon ancien billet "Comment vaincre le bore-out ?" l'explique.

C'est dire qu'il y a une analyse subtile entre chaque individu et de sa personnalité, pour donner un travail à effectuer. 

On y travaille pas nécessairement ensemble visant le même objectif et le même dynamisme qui d'après les contrats signés, est celui de l'entreprise avec ses collaborateurs du haut en bas de la hiérarchie.

Tom Peeters préconisait le parti pris de l'action, l'écoute du client, la productivité alliant souplesse, rigueur et état d'esprit avant de motiver le personnel en poussant à l'extension de connaissances avec au bout le prix de l'excellence taylorien récompensé par des augmentation de salaires dans des luttes intestines pour être le meilleurs. 

J'ai connu un CEO qui demandait de placer une épinglette représentant un trépied avec les trois objectifs à respecter. 

Le management horizontal permet les échanges avec la participation aux décisions des responsabilités et des consentements éclairés avec un coach qui informe, qui aide par l'explication des buts et leur implication sans contraintes par la force.

Cela va de soi. 

La performance, elle, devrait s'associer au bien-être des employés en innovant pour remédier à une crise interne et s'y adapter par la résilience vers plus d'autonomie.

Heureusement, le "cerveau est câblé pour obéir" ... à l'autorité.

...

Mon expérience d'il y a plus de 15 ans

Au cours des quarante ans de vie active dans le secteur du numérique commencé dans les années 70, j'ai d'abord fait partie d'une startup dans laquelle toutes les projets et stratégies étaient connues, discutées, décidées par toute l'équipe présente, accordant plus de motivation à chacun des membres pour apprendre le métier mais aussi comment gérer une société avec des hauts et des bas.

Ensuite, je suis passé dans une multinationale américaine dans laquelle plus rien, à part quelques bribes diluées par la hiérarchie intermédiaire, ne transparaissait du sommet à la base du personnel.

En 1990, j'étais nommé "Project manager".

Il y avait bien 7 ou 8 niveaux de management qui planaient au-dessus de ma tête avant d'arriver au CEO localisé aux Etats Unis.

Lui était poussé dans le dos lors des conférences avec les actionnaires qui lui répétaient qu'il fallait plus vendre qu'acheter pour accroître les bénéfices.

Le coût d'une entreprise est généralement grevé par ses collaborateurs, un mot plus en phase avec l'envie de bien faire. 

Des redondances de postes de management se présentaient par essence.

Les messages du sommet arrivaient tronqués, filtrés quand ils n'étaient pas ignorés ou cachés en cours de la descente de niveau en niveau dans les hiérarchies.

Certains étaient managers, mais n'avaient même pas d'équipe à contrôler sous eux. 

Ils se retrouvaient alors entubés dans des silos de fonctions plus rémunératrices peut-être, mais dénuées de sens et de stratégie intrinsèque aux objectifs de l'entreprise.

Ne pas participer dans la stratégie d'entreprise pour les collaborateurs peut entraîner des dérives et des rejets de la base exécutante.

Le management en structures pyramidales avait parfois à demander ce qui en fait sa raison jusqu'à demander plus de rameurs que de chefs qui restaient inoccupés.

Le management n'a pas un seul échos d'augmentation de salaire en montant à l'échelon supérieur.

J'ai bien tenté d'instaurer le principe de l'holacratie à mon niveau apprise dans la startup mais cette fois, dans la multinationale.

Le contraste entre les deux formules de management est énorme et je suis rentré dans le rang. 

Ce fut quasiment impossible de répondre à la méchante question d'un subalterne, pourtant tout à fait compréhensible "quel projet intéressant aurais-je dans un an ?" alors que je ne savais même pas moi-même ce que j'allais pouvoir faire dans un mois avec mes attributions.

J'en parlais en 2015 dans "Une semaine numérique philosophique" que je faisais suivre immédiatement par "Une semaine en nuances vert de gris" avec humour. 

Ces années étaient une époque pendant laquelle Internet n'existait pas.

Seuls les voyages permettaient de s'informer au sujet des autres subsidiaires.

J'ai connu ainsi quelques collègues qui ont fait le tour du monde pour analyser la technique de business dans chaque pays visité, pour en écrire un rapport en vue d'une centralisation des processus. 

En plus, dans mon cas, deux attributions se superposaient : le développement et la maintenance des projets.

C'est dire que si pendant le développement d'un projet, un problème important survient en production se posait, c'était le développement qui s'arrêtait, postposé, pour faire place à la résolution du problème inattendu. 

C'est dire qu'il valait mieux avoir un progressisme avec de l'avance à l'allumage. Les cours à suivre pour tenter de rester à un semblant de niveau de l'actuel prennent beaucoup de temps. Ces cours arrivaient souvent en décalage avec les moments où on en avait besoin.

Là aussi, c'était l'obsolescence programmée remarquée à la sortie des cours.

Les cours de management avec jeu de rôles étaient là pour motiver son équipe même si cela frisait parfois l'happycratie, jusqu'à la nausée.  

Le nom du "Service du Personnel", renommé en "Human Ressource", n'était pas anodin. Il assombrissait la relation du management avec le personnel comme je l'écrivais dans "De SP à DRH".

Le DRH avait pour rôle de faire une présélection pour un poste à pourvoir, en centralisant les lettres de candidatures.

C'était au manager le plus proche de l'équipe, à faire le choix de "l'heureux élu" avec des impératifs qui lui étaient propres.

Nous sommes tous différents. Raison de plus que cela demandait une sérieuse réflexion sur le futur de l'équipe.

"La technicité ne suffit plus". écrivais-je quand il s'agit d'introduire un nouveau dans une équipe déjà formée.

Mon tout premier billet dans ce journal avait pour titre "Nous sommes tous responsables" le laissaient comprendre.

Il n'y a aucune culpabilité à y chercher mais un amalgame d'idées heureuses ou malheureuses dépendant de la structure de l'entreprise.

Quand il n'y a aucune info stratégique qui transpire de haut en bas, la conscience professionnelle et l'amour du travail bien fait chutent puisque l'équipe n'est plus intégrée dans les processus, les bénéfices et les stratégies de l'entreprise.

Il est employé ou ouvrier, acteur d'un processus qui lui est étranger, qui le dépasse parfois, en ne recevant qu'un salaire en fin de mois pour ses soins à l'entreprise.

La complémentarité est un véritable combat en commun pour éviter une perte d’énergie et de temps comme le font les philosophies et religions orientales complètes dans le yin et le yang.

Il était question récemment des algorithmes dont j'ai parlé à la fin de ce billet 

Dans une relation humaine, percer les secrets de son interlocuteur demande des tests d'aptitude de plus ou moins longue durée en fonction de sa "résistance" pour accepter un échange équilibré et pour éviter les surprises en fin de parcours à la suite d'un clash.

L'intelligence artificielle est au-dessus de ces considérations humaines
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Un jour peut-être, un robot sera mis à la tête d'une équipe puisqu'il n'aura pas d'intérêts financiers à espérer pour la fonction.

L'Intelligence artificielle fait peur aux anciens. 

Les robots ont été instruits avec leurs manies en fonction des désidérata des humains. Jusqu'à aujourd'hui, pas encore de craintes à avoir.

L'intelligence artificielle est appelée à réduire les risques d'erreurs de la faiblesse humaine et résoudre les problèmes. 

Mais, les relations entre humains et celles des robots avec les humains butent toujours sur les mêmes problèmes relationnels.

Les "heureux" managers dans le jeu de quilles sont toujours comme les dirigeants d'un pays, considérés comme des élites, là, où les décisions se prennent.

Tout reste à constater dans les réalités sur le terrain des opérations.

Ce que je viens d'écrire date donc de plus 15 ans comme je le disais d'emblée. Apparemment d'après le Vif, le management holacratique est toujours en question.

Dimanche, le philosophe Mathieu Pelletier rappelait comment faisaient les Grecs pour se remettre en question avec philosophie 
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.

 "Connais l'homme pour mieux te connaître et introduis le meilleur de toi dans les robots.

Sempé est à l'honneur actuellement...

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L'entrepreneuriat

Souvent, je me suis dit que si on prenait les mêmes décisions de management prises dans les grandes multinationales avec une infrastructure souvent lourde, pour les implanter dans une PME ou une startup où la légèreté est de mise pour subsister, ces dernières seraient en faillite en moins de temps que pour le dire.

L'entrepreneuriat entre en compétition avec la grande entreprise. 

On apprenait que l’entrepreneuriat était en chute de 7,2% au premier semestre

Après un rebond « post-covid » exceptionnel en 2021, le nombre de créations d’entreprises marque le pas. Le pire, sur fond de crise énergétique, est sans doute à venir.

Crise de l’énergie, crise du pouvoir d’achat… Il n’en faut sans doute pas davantage pour convaincre l’un ou l’autre candidat à l’entrepreneuriat de renoncer à son projet ou à tout le moins le remettre à plus tard.

De fait, c’est bel et bien à une chute de 7,2 % du nombre de créations d’entreprises (indépendants en personne physique compris) que l’on assiste depuis le début de cette année avec un ralentissement de l'activité par manque de rentabilité alors que les prix de l'énergie grimpent.

Le scénario du nouveau feuilleton belge "Des gens bien" commence par le démarrage d'une petite entreprise de soins corporels qui permet de se brunir la pilule sans avoir à se déplacer dans un pays de soleil. Pas de pognon pour commencer l'entreprise. Les banques reprennent tout ce qui est disponible pour apurer les dettes. 

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Le scénario continue dans un imbroglio d'événements annexe qui élimine ce qui gêne, sortis de l'imagination secrète du scénariste.

Aujourd'hui retraité, toujours un peu opportuniste, j'aurais choisi "Confiance" au lieu de Allusion, suivant le cactus de mardi, avec le scénario style "Lizz Truss" puisque avec un "t" à la place du dernier "s" cela devient "trust" qui se traduit par "confiance"
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.  

C'est dire qu'il y a de la matière à discussion et à réflexion sur l'holacratie est toujours de rigueur même après la retraite.

Dis, Hallo Ween, fais-tu toujours aussi peur ?

Quand se manifeste Halloween avec des bad dreams, rappelle-toi que ce n'est que temporairement, pour un seul jour pas pour toute le retraite, car le lendemain, on fête tous les saints.0.png

Comme disait le père des robots, Isaac Azimov dans son testament qu'avec la science-fiction, on arrive à tout

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Ce dimanche, au Château de la Hulpe, j'ai pris le chemin de la Lanterna Magica à la rencontre des trolls. J'ai même été aidé par un couple qui m'indiquait où il y avait des trolls qui se cachaient dans les bois à photographier

(photos après clic)

La veille, c'était à l'Expo Comics à la bibliothèque de la rue Haute qui me paraissait tout à fait rester dans le cadre Halloween

(photos après clic)

Quel est le lien entre tout ce qui précède ?

L'esprit américain et le pognon qui fait avec lui un excellent ménage.

Il commence aux Etats Unis et finit, avec un peu de retard, à atterrir en Europe.

Allusion


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15 réactions à cet article    


  • Clark Kent Clark Kent 25 octobre 2022 17:06

    encore un avatar du syndrome du larbin


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 25 octobre 2022 17:39

      @Clark Kent bonsoir,
       Cela pourrait l’être en première lecture sans lire les billets annexés dont je fais référence pendant les 15 ans qui ont suivi et chevauché ma retraite.
       Ceux-là pour analyser le cheminement.


    • sylvain sylvain 25 octobre 2022 17:49

      ah, mais comment fait on pour faire bosser quelqu’un a la chaine en lui donnant a peine de quoi vivre en holacratie ?? Il faudra répondre a cette question si on veut un fonctionnement moins dictatorial . Ou alors a celle ci : comment fait on pour récupérer la gestion du système industriel et financier, ou plutot pour l’arracher des mains de nos oligarques qui ne le laisseront jamais ??


      • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 25 octobre 2022 18:01

        @sylvain
         Excellente question.
         Il faudrait écrire aux coauteurs du livre « L’entreprise nouvelle génération »
         J’avoue qu’avant de lire ce Vif, je ne connaissais pas le mot « holacratie ».


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 octobre 2022 18:52

        Intéressant.

         Cet article appelle cet autre :

        25 000 personnes ont réussi à battre ensemble une IA aux échecs

        «  Avec son expérience Mehdi Moussaïd voulait prouver que la foule était intelligente mais aussi mesurer jusqu’à quel niveau elle l’était. »

         

         Si la foule peut faire mieux qu’un ordinateur, elle fera mieux que n’importe quel despote éclairé. a fortiori

        si ledit despote n’est pas éclairé. À méditer.

         

         Ps. Reste à écrire le programme ...


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 25 octobre 2022 19:30

          @Francis, agnotologue
          Tout dépend de la somme des points ELO de chacun.


        • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 octobre 2022 08:38

          @Réflexions du Miroir
           
          ’’Tout dépend de la somme des points ELO de chacun ’’
            >
           Non, l’article que visiblement vous n’avez pas lu, ne dit pas ça.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 26 octobre 2022 09:19

          @Francis, agnotologue,
            Ce n’est pas l’article que j’ai lu.
           J’ai regardé la vidéo qui parle de l’intelligence collective et qui est très intéressante.
           Quand je parlais de la somme des points ELO de chacun, c’était assez clair que plus il y a d’idées et de solutions à proposer, plus il y aura de chance qu’une partie se gagne contre le meilleur des joueurs d’échecs.
           Je ne suis pas un joueur d’échecs.
           Mais j’ai un copain qui l’est et je lui envoie l’idée.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 26 octobre 2022 09:38

          J’ai regardé les autres vidéos qui suivaient....
          de plus en plus intéressant quand le court terme s’oppose au long terme.
          Réfléchir avant d’agir sans précipitation est toujours la meilleure solution. 


        • SilentArrow 26 octobre 2022 03:23

          @Réflexions du Mirrroir

          Sur le même thème, il y a l’incontournable « The Dilbert Principle » par Scott Adams.


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 26 octobre 2022 09:03

            @SilentArrow
             En effet, plusieurs billets dans mon site en contiennent dans la catégorie organisation 


          • 2:10
            1. Ce type abject, Yuval Noah Harari est la tête pensante du WEF de Klaus Schwab que les pays occidentaux vénèrent.... Comme je vous le dis souvent, ils ne se cachent même pas.

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