Le langage des cellules
Cent mille millards de cellules circulent à travers nous. Chacune d'entre elles contient de l'information structurée et programmée depuis leur noyau contenant l'ADN (acide désoxyribonucléique) présentant notre codification génétique. Françoise Nallet oeuvre en « thérapie par la mémoire cellulaire » et nous invite à déchiffrer leur langage pour libérer « le meilleur de nous-mêmes ».
En août 1977, Françoise Nallet a douze ans. Elle fait sa première expérience de mort imminente (EMI) en colonie de vacances en Guadeloupe, lors d’une attaque de dengue. Terrassée par la fièvre, elle perd connaissance, voit une lumière blanche enveloppante et... « LUI »... Un homme au teint lumineux « sans marques de temps » qui lui dit : « Ce qui te manque dans le coeur, on te le donnera plus tard »...
Guérie, elle développe une « sensation de savoir sans savoir », dans l’urgence d’une vie à vivre sans filtre : « Cette EMI révéla une pathologie cardiaque sans grande gravité, mais qui resta néanmoins un élément marquant de ce premier voyage astral. »
En 2008, elle fait sa deuxième EMI, « après un long combat pour avoir un enfant », avec le sentiment d’une quête aux confins d’elle-même. Son fils naît et sa conscience cellulaire s’aiguise dans un corps vécu comme de une « matière première informée » - il peut être comparé à une société de cellules qui communiquent entre elles par les hormones, les nerfs et le système immunitaire.
En 2015, son pied gauche passe sous les roues d’un véhicule et elle vit un « processus énergétique de libération de mémoires cellulaires » lors d’une transfusion sanguine où elle découvre des bribes de la vie de son donneur. Son expérience de la mémoire cellulaire viendrait-elle de réminiscences d’une mort accidentelle « sous les roues d’une vieille carlingue » dans une autre vie ?
Les flux d’énergie stockent des mémoires en provenance des lignées familiales voire de « vies antérieures qui font écho dans le présent »...
« Tout est réalité de l’information »
Françoise Nallet rappelle que les mémoires vibrent dans les cellules comme des cordes de guitare au toucher. Toutes les informations émettent des ondes, suscitent des impulsions, des mouvements d’energie et des champs de forces. Il peut y avoir des « interférences d’informations » entre des accidents corporels vécus par des ancêtres et des problèmes articulaires présents. Une lecture holitisque en cabinet permet de prendre conscience de ce que les cellules verbalisent pour « dissoudre les fréquences à l’origine des troubles ».
La séance « a pour objectif de connecter des mémoires enfouies en les laissant monter à la conscience ». Il s’agit de « déprogrammer les mémoires des cellules » et de « proposer une nouvelle version de notre réalité en devenant les observateurs conscients mais libres de notre histoire ».
Aussi est-il urgent de « se défaire de ce qui n’est pas lié à l’essence profonde de soi » qui est reliance et permanence. Des mémoires encombrées limitent l’amplitude respiratoire et génèrent des troubles dans l’espace du chakra du coeur - « les cellules captent tous les niveaux d’information et fabriquent, de génération en génération, des noeuds d’informations devenant des noeuds d’énergie ».
Françoise Nallet affirme qu’une structure, appelée le « Tauma spirituel », enveloppe tous les corps et génére une énergie globale : « Finalement, l’être, dans son ADN et sa source première, n’est qu’’une représentation magnifique de la géométrie de l’univers, et il est appelé à s’intégrer à ce tout, dans la perfection et la puissance de qui il est. » Nos pensées alimentent ce Tauma spirituel : « nous sommes responsables de l’entretien de ce manteau d’énergie. »
Il y a un lien direct entre la qualité de nos pensées et l’état de nos organes : le corps est « l’indicateur parfait de tout ce qui se dit en soi. » Aussi, « la pureté de nos pensées est un devoir sanitaire », une responsabilité sociale et une contribution à la vie universelle..
Pourquoi ne pas « découvrir ce que nous sommes en invitant toutes les parties blessées à se mettre en lumière, par la douce volonté de nous aimer dans ce qui est » ? Nos pieds peuvent manifester des déséquilibres dû à l’accumulation de « toxines psychiques » : sommes-nous tourmentés dans notre axe ? Autant travailler en conscience notre relation à l’ancrage.
Ainsi, l’eczéma d’une patiente, « nourri de la peur et de la colère de toutes les femmes » de la lignée familiale, se résorbe « grâce à la connexion spirituelle modifiant l’aspect du corps énergétique puis les enregistrements d’hypersensiblité de la peau »... La dualité isole de son milieu de vie et empêche « l’expansion de l’énergie du coeur et de l’amour ». D'évidence, il y a toute une symbolique et une énergétique du coeur à mobiliser...
Au fond, à quoi nous accrochons-nous ? Les mémoires cellulaires « exprimant un mental fermé limitent l’oxygène spirituel, la créativité et les potentiels intuitifs ». Autant recréer une pleine conscience d’unité avec tout ce qui est et joindre son accomplissement à celui du monde.
Les cellules cherchent l’équilibre du vivant. Leur mémoire reprogrammée jusqu’au fondement des processus vitaux libère le « potentiel transformateur vers la juste expression de soi ». Suffirait-il d’accepter que « chaque conditionnement limitant soit un interrupteur disponible à la reconnexion au soi profond », une voie de transformation vers une harmonie qui nous dépasse ?
Françoise Nallet propose un voyage transmutatoire à la jonction entre le biologique, le mental et le spirituel pour se mettre à l'écoute du langage de nos cellules - et y rallumer la lumière . Aussi longtemps que son extinction n’est pas inscrite dans les astres.
Françoise Nallet, Mémoires cellulaires – Les clés de votre réalité intérieure, Guy Trédaniel éditeur, 184 pages, 17 euros
224 réactions à cet article
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Bonjour,
Merci pour votre article sur un sujet, « le langage des cellules, leur mémoire » qui m’intéresse beaucoup. Mais quand je lis par exemple « Les flux d’énergie stockent des mémoires en provenance des lignées familiales voire de « vies antérieures qui font écho dans le présent » » je suis perdu.
Des flux d’énergie qui stockent de la mémoire, autrement dit de l’information, ou encore de la néguentropie — la néguentropie mesure la qualité de l’énergie, son potentiel d’ordre, si l’on en croit Shannon et Brillouin — , c’est pour moi un serpent logique qui se mord la queue. Je ne sais pas quoi en faire. Je redoute les approches (théories ?) qui tentent d’expliquer des concepts complexes en les utilisant eux-mêmes, voire en introduisant d’autres concepts au moins aussi complexes. Pouvant aboutir à des cercles vicieux. Mais je n’ai certainement pas bien compris tout cela.
De mon côté, afin d’essayer d’y voir plus clair j’ai exploré d’autres voies, je vous propose celle-ci :
— http://lambdaway.fr/workshop/index.php?view=noosphere
où j’espère ne pas tomber dans le piège que je dénonce par ailleurs. Ce ne sont que des hypothèses, elles sont réfutables, je ne les ’impose évidemment pas comme vraies, et elles ne valent que par ce qu’on peut en déduire par la logique, clairement, simplement, au sens algébrique du terme. J’ai constaté que ce « filtre théorique » me permet s’accepter plus facilement l’existence de phénomènes dits paranormaux et c’est pour moi un possible indice de l’intérêt de cette approche.
Votre avis m’intéresse
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@riemann66
La sphère de Riemann c’est une représentation des nombres complexes . -
@riemann66
bonsoir il s’agit d’une piste thérapeutique proposée parmi d’autres pour ceux qui réagiraient à cette grille de lecture-là du « réel »...
comme vous savez, nous sommes aussi animale symbolicum et nombre de guérisons dites « miraculeuses » s’expliquent par l’efficacité symbolique démontrée par Claude Lévi-Strauss — d’autres dans un autre cadre diraient « effet placebo »..
croire aux vies antérieures peut « fonctionner » pour certains ayant besoin de ce cadre-là...aussi, cette approche a « fonctionné » pour l’auteure venue du monde du luxe du marketing et des apparences, après trois expériences éprouvantes qui en a fait son activité... Pour d’autres, la croyance à des vies antérieures ne serait d’aucune « efficacité symbolique » mais un autre réservoir énergétique avec d’autres symboles lui « parlerait » davantage. Préférons-nous la soif à la source ? à chacun la sienne... -
La question n’est pas tant de savoir que rien ne se perd de ce que connait la cellule : la vraie question est de savoir si cette mémoire cellulaire éparpillée pourrait se reconstituer en un ensemble cohérent et devenir une représentation consciente.
Je ferai à ce sujet le parallèle avec une bouteille qui tombe au sol et qui se casse : on ne peut pas inverser le processus afin de reconstituer la bouteille intacte.
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@Francis, agnotologue
la métaphore de la bouteille (ou du miroir) est éloquente... de même qu’on ne peut faire rentrer le dentifrice dans le tube, il serait illusoire de prétendre reconstituer un ensemble cohérent voire un individu avec son ego non moins illusoire se croyant « quelqu’un »... de même qu’on ne peut inverser le sens de la marche en vélo.on ne saurait reconstituer une représentation consciente, d’ailleurs qui s’en soucierait ? -
@Francis, agnotologue
Si il y a une possibilité infiniment faible d’inverser la processus et de
reconstituer la bouteille. -
@rhea 1481971
’’Si il y a une possibilité infiniment faible d’inverser la processus et de reconstituer la bouteille.’’
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Je crois que vous mélangez deux choses (concepts, paradigmes, problématiques, théorie, expériences de pensée ... ?) -
@Francis, agnotologue
C’est la singularité calculée par Henry Poincaré qui explique que ça n’arrivera
qu’une fois dans toute la durée de la vie du soleil. -
Ce suis très méfiant pour de très bonnes raisons sur ceux et celles qui ont connu l’EMI, qui gribouillent et qui font du pèze.
Enfin.......
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@Seth
« on » peut à juste titre se défier de toute une littérature new age opportuniste surfant sur le besoin éperdu de croire que notre espèce présumée « intelligente » manifeste le plus souvent à son détriment...l’industrie de l’édition cherche à faire des coups tous azimuts entre pitoyables fictions de divertissement et investit le domaine de la connaissance, de l’ésotérisme, de certains savoirs qui ne peuvent se transmettre sans déperdition ni malentendu, chacun se référant à Sa Science, Sa Connaissance, son champ de références, etc
en l’occurrence, c’est un document « vécu » à partir d’une triple expérience accessible à chacun — et qui a suscité le besoin de comprendre jusqu’à mettre sa vie professionnelle en cohérence avec cet essentiel qui nous fonde tous, quoiqu’on puisse en dire, si on veut bien tenter de l’entrevoir ou, mieux, le vivre pour de vrai... -
Françoise Nallet expose-t-elle un théorie de la communication intercellulaire par ondes électromagnétiques, notion à la base de bien des propositions de thérapeutique physico-biologiques actueles (analyseurs magnétiques, voire quantiques, etc) très prisées en naturopathie ?
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@rogal
si elle vient du domaine de la communication/marketing, il semblerait qu’elle se soit formée de façon empirique à la communication intercellulaire par ondes... effectivement, toute une littérature se gargarise du terme « quantique » et le marketing va même jusqu’à vendre des cosmétiques « quantiques »...mais « penser quantique » est à la portée de tous, en se ressourçant à de vieilles traditions spirituelles nous rappelant que « là où est la conscience est l’énergie »... -
copié-collé : « Cent mille millards de cellules circulent à travers nous »
Il commence fort mal cet article. Les cellules ne circulent pas, majoritairement, à travers nous, à tel point que c’est un réseau de capillaires qui leur apporte la nourriture dont elles ont besoin pour produire leur énergie. Qu’adviendrait-il si les cellules du cerveau se mettaient à circuler à travers nous, ou les cellules de l’intestin ? Cette phrase d’attaque aurait dû être : « un voyage à travers cent mille milliards de cellules » !
Et si le noyau contient bien l’ADN, si le noyau contient bien des informations en relation avec nos gènes, il se trouve que les « protéines » synthétisées à partir de l’ADN cellulaire subissent, pour une majorité d’entres elles, une modification « post-traductionnelle » dont on ne comprend pas encore ni comment ni pourquoi ni par qui, ces modifications sont décidées. Parce qu’une protéine synthétisée grâce à un message ARN, mais modifiée « postérieurement », n’aura plus du tout la même configuration dans l’espace et, par conséquent, plus du tout les mêmes fonctions que celles qui lui avaient été attribuées par l’ADN.
Alors oui, les cellules communiquent entre elles, les vésicules extra cellulaires et les exosomes sont là pour ça. Beaucoup de travail reste à accomplir pour comprendre ce que cela veut dire.
Pour le reste, on va attendre un peu. Il y a déjà tant de sujets inachevés à explorer, pour ne parler que de deux d’entre eux : les maladies transmissibles existent-elles ? Les cancers sont-ils des maladies métaboliques ?
Avec cet ouvrage ne serions plutôt dans le domaine de la poésie et de l’onirisme que dans celui de la réalité biologique.
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@Legestr glaz
Cellules sanguines, du système lymphatique,.. -
@Legestr glaz
Mais fortement minoritaires c’est vrai.
Vos positions et vos certitudes sont décoiffantes ! -
@Iris
Oui, les cellules sanguines circulent dans les vaisseaux sanguins, ainsi que certaines cellules immunitaires. Mais pas les 100 mille milliards de cellules de l’organisme comme l’indique la phrase d’entame. C’est pour cette raison que j’ai indique « majoritairement ».Et puis, les cellules sanguines ne circulent pas dans le système lymphatique, jamais. Ce sont les lymphocytes et des macrophages qui circulent dans la lymphe.
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@Iris
Les cellules sanguines ne circulent pas dans la lymphe. Les cellules sanguines circulent dans des vaisseaux sanguins.
Ce sont les lymphocytes et des macrophages qui circulent dans la lymphe.Avec tout ceci nous sommes très loin des 100 mille milliards de cellules annoncées par la phrase d’entame. Raison pour laquelle j’ai écrit « majoritairement ».
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@Iris
Ce que je dis, je le reprends du travail de chercheurs en biologie et en biochimie.
Tout ce que j’écris figure dans de nombreuses études scientifiques. Mais le « grand » public n’est pas nécessairement informé.Un article comme celui-ci vient nous parler des « cellules » mais les gens, très majoritairement, ne connaissent pas le fonctionnement d’une cellule puisque l’on en parle pratiquement jamais. Le cellule qui est portant l’unité de base du fonctionnement du corps humain. Comment est constituée une cellule humaine, que contient-elle, quel est son rôle, quelles différences entre elles, c’est le travail de la biologie de le mettre en avant.
Et qu’avez vous trouvé de « décoiffant » dans ce que vous avez lu dans mon intervention ?
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@Legestr glaz
Mme Nallet me paraît être entre le new age et les affaires :
https://www.francoise-nallet.fr/
Et puis ça aussi pour passer aux choses sérieuses.
Quant aux multi EMI...
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@Seth
Merci. Je comprends mieux.
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@Legestr glaz
J’ai eu la même réaction à propos de la formule sur la ’’circulation’’ des milliards de cellules.
Mais le fond de l’affaire, c’est que chaque cellule dispose du même code génétique dans son noyau, mais l’exprime différemment selon le lieu du corps où elle se développe, il y a donc interaction avec les autres cellules lors du développement dans l’organisme, et ensuite lors du fonctionnement de chaque organe. Pour ce dernier, vous évoquez les différents éléments ’’circulants’’, sang, lymphe, exosomes..., cela parait plus tangibles que des hypothèses sur une forme de communication spirituelle intercellulaires. -
@Legestr glaz
Votre semblez avoir une grande confiance dans des modèles complexes, et semblez douter du simple fait que nous transmettons certaines maladies à nos proches. C’est ce contraste que je trouve étonnant.
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@Iris
Je me réfère, effectivement, à des scientifiques qui vont à contre-courant de la doxa dominante. Il se trouve que ce qu’ils décrivent correspond à la réalité observable, celle à laquelle j’adhère.
Nous ne transmettons aucune maladie à nos proches tout est une affaire de compétence de notre système immunitaire. Ce qui se passe c’est que nous « baignons » tous, « en même temps », dans un même environnement. Et si celui ci est pollué, si la pollution est augmentée pour des raisons variées, les personnes au système immunitaire défaillant paient les pots cassés.
Le scorbut a pendant des siècles été considéré comme une maladie « transmissible ». Les gens étaient mis à l’isolement et les navires en quarantaine. On peut évaluer le côté absolument ridicule de ces mesures après la découverte de la vitamine C.Libre à vous de croire à la « version officielle » mais, objectivement, elle ne tient pas l’analyse devant la réalité observable et la réalité biologique.
La contagion et la contamination n’ont jamais été démontrées par exemple. Il faut donc « réfléchir » autrement.
Exemple pour la maladie appelée « covid19 » en lien avec un « virus » appelé SARS-COV-2.
La maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) et les pandémies précédentes ont été considérées presque exclusivement comme des problèmes virologiques, les problèmes toxicologiques étant pour la plupart ignorés.
Cette perspective n’est pas étayée par l’évolution du COVID-19, où l’impact des expositions réelles à de multiples facteurs de stress toxiques dégradant le système immunitaire est suivi par le virus SARS-CoV-2 exploitant le système immunitaire dégradé pour déclencher une chaîne d’événements. menant finalement au COVID-19.les mesures proactives à long terme fondées sur la toxicologie, nécessaires pour renforcer intrinsèquement le système immunitaire et prévenir de telles épidémies futures, n’ont pas été prises en compte.
Cet article tente de clarifier ces idées fausses et de proposer des approches stratégiques visant à renforcer intrinsèquement le système immunitaire.
Si une telle stratégie avait été suivie de manière cohérente dans le passé, elle aurait pu prévenir/minimiser l’incidence et les conséquences du COVID-19. Pourtant, cette stratégie est essentielle pour prévenir/minimiser les effets néfastes des inévitables futures pandémies.
La pandémie actuelle de COVID-19, la pandémie de SRAS de 2002-2003 et les pandémies annuelles de grippe partagent de forts points communs.
Une petite fraction de ceux qui sont exposés aux virus respectifs deviennent symptomatiques ; puis, une petite fraction de ceux qui présentent des symptômes succombent. La plupart de ces décès dus à des maladies infectieuses résultent d’une pneumonie et d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).
La grande majorité des décès surviennent chez les personnes âgées présentant des comorbidités importantes et un système immunitaire dégradé/dysfonctionnel
Bien qu’il y ait un certain déclin du système immunitaire avec l’âge, la comorbidité est un prédicteur plus fiable d’une immunité affaiblie que l’âge chronologique chez les personnes âgées.
Les causes sous-jacentes de la pandémie actuelle ont été à la fois déformées et camouflées.
Les causes principalement toxicologiques ont été ignorées par rapport aux causes virologiques. Cela a abouti à des traitements et à des mesures de « protection » qui abordent les problèmes de virologie à l’exclusion des problèmes de toxicologie, sont d’une efficacité discutable et ne font pas grand-chose (voire rien) pour prévenir de futures pandémies.
Ils ont eu des effets désastreux sur l’économie mondiale, qui ont aggravé les conditions sociales et économiques de nombreuses personnes et contribué à la détérioration de leur santé physique et mentale. Pour corriger cette situation et offrir une protection intrinsèque contre de futures pandémies, des réponses tactiques/réactives pour survivre à la menace immédiate et des réponses stratégiques/proactives pour empêcher que le problème et les dommages ne se reproduisent sont nécessaires.
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@Legestr glaz
Merci de vos explications.
Je crois à l’importance de paramètres d’influence tels que age, environnement ou style de vie, sur notre fragilité face aux maladies.
Je crois que les virus existent et qu’ils sont impliqués dans la transmission de maladies telles que la grippe ou le Covid 19, même s’il me semble largement possible que le fonctionnement décrit aujourd’hui soit faux ou incomplet.
En revanche, j’ai essayé faîtes moi confiance, je n’arrive pas à croire que nous ne sommes pas nous même un des vecteurs principaux de transmission vers les humains de ces maladies. J’ose dire comme vous que ça ne tient pas l’analyse devant la réalité observable et la réalité biologique.
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@Iris
Il n’existe strictement aucune preuve de contagion ou de contamination. Il existe, en revanche, des « espaces » dans lequel« le même environnement peut produire les mêmes effets chez des personnes au système immunitaire défaillant ou affaibli.Le covid19 a été une excellente démonstration de cette »non contagion« et »non contamination« . Par le passé déjà, lors de la grande grippe espagnole, en 1918-1919, des chercheurs ne sont jamais parvenus à rendre malade de cette très méchante grippe espagnole des personnes saines mises en contact étroit de malades, certains en stade terminal. Cette »expérience« du nom de son initiateur, Milton Rosenau, est absolument consultable.
Par ailleurs notre »rationalité« devrait interroger les faits. La »version officielle« du covid19 nous raconte l’histoire d’un »virus« venu de Chine, de la ville de Wuhan, par des »voyageurs", lesquels ont contaminés les habitants de la vieille Europe. Il se trouve que jamais, depuis que l’on examine les grippes, que celles ci n’ont jamais franchi l’hémisphère. Jamais un malade de la grippe dans l’hémisphère Sud n’est venu contaminer une personne de l’hémisphère Nord, et inversement. Cela n’existe simplement pas. La grippe se développe en automne-hiver dans l’hémisphère sud mais également en automne-hiver dans l’hémisphère nord, mais avec un décalage de 6 mois. En revanche Wuhan se situe dans le même hémisphère que Paris ou Milan.
En janvier 2023, paraissait aux éditions « l’Artilleur », le livre de Pierre Chaillot « Covid19 – ce que révèlent les chiffres officiels – Mortalité – tests – vaccins – hôpitaux – la vérité émerge » (15) . Le chapitre 5 de cet ouvrage s’intéresse à la propagation virale : « Y a-t-il eu une propagation épidémique ? » (pages 157 à 211). Pierre Chaillot est un statisticien qui a utilisé les chiffres officiels pour construire ses graphiques et son opinion. Il se trouve que les chiffres de la mortalité attribuée aux maladies virales hivernales ne montrent l’existence d’aucune propagation des virus hivernaux au cours des années de référence utilisées. Les épidémies de maladies respiratoires hivernales apparaissent « partout en même temps » du Portugal à la Suède en passant par la France. Ceci disqualifie totalement la « théorie de la propagation virale ».
Lors de l’épidémie covid19 en France, les chiffres ont montré que certaines régions françaises présentaient une moindre mortalité que d’autres. La Bretagne, et toute la façade atlantique française en général, avait à déplorer un nombre de morts bien moins important que la région parisienne ou que les régions de l’Est, par exemple. La mortalité a été 4 fois supérieure en Ile de France qu’en Bretagne.
Devant cette « réalité », certains ont avancé quelques hypothèses. Les Bretons étaient-ils plus résistants aux virus ? Les Bretons avaient-ils une meilleure santé que les habitants d’autres régions ? Compte tenu des mesures de confinement prises, le virus a t-il été empêché de se propager ? La Bretagne ne serait pas un lieu de passage ? Bref, des supputations multiples pour tenter d’expliquer ce que l’on ne parvenait pas à comprendre. Je parle ici de « mortalité » et non « de cas positifs ». En effet, lors de cette période covid19, nous sommes entrés dans une dimension nouvelle : l’on pouvait être malade sans le savoir, sans présenter aucun symptôme, aucun dysfonctionnement, même léger, sans aucun désagrément. C’est un « test positif » qui validait l’idée que nous étions malades. Le « docteur Knock » n’était pas loin : « tout bien portant est un malade qui s’ignore ». Il est impératif de comparer ce qui est comparable. Comparer une mortalité avec une autre est une chose simple à comprendre. En revanche, comparer un nombre de « cas positifs » avec un autre nombre de « cas positifs » pose la question « centrale » de savoir combien de personnes ont été testées. En effet, lors de la maladie covid19, plus le nombre de personnes qui étaient testées était important et plus le nombre de cas positifs s’élevait. Comme l’a souligné Pierre Chaillot : « nous avons assisté à une épidémie de tests ».
Finalement, la solution à cette « énigme » d’une moindre mortalité en Bretagne, et sur la façade atlantique, est venue de la consultation des conditions météorologiques régnant dans ces régions. Il se trouve que la pollution y est moins importante, généralement. Une étude scientifique, du mois de juillet 2022, est venue confirmer le rôle exceptionnel que joue la pollution atmosphérique dans l’émergence des maladies respiratoires hivernales (16). « Relation entre la pollution PM2,5 et la mortalité liée au Covid-19 en Europe de l’Ouest pour la période 2020-2022 ».
La conclusion des auteurs est celle-ci :
... « Cette étude a confirmé que la pollution PM2.5 est d’une importance majeure pour la santé humaine. Bien que l’effet direct de la pollution sur la santé soit bien établi, il montre que les PM2,5 ont également un fort effet indirect sur la mortalité du Covid-19 via l’inhalation et des facteurs irritants. »...
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@Legestr glaz
suiteUne autre étude, américaine cette fois, d’avril 2020, montre très exactement la même chose (17). « Pollution de l’air et mortalité par COVID-19 aux États-Unis : forces et limites d’une analyse de régression écologique. »
… « Nous avons constaté qu’une augmentation de seulement 1 μg/m 3 des PM 2,5 est associée à une augmentation de 8 % du taux de mortalité lié à la COVID-19. Les résultats étaient statistiquement significatifs et robustes aux analyses secondaires et de sensibilité. »...Une étude suisse, de novembre 2020, élaborée par une équipe interdisciplinaire de l’Université de Genève et de l’école polytechnique de Zurich, « Des pics de particules fines peuvent moduler la propagation et la virulence du COVID-19 »,(18), montre une corrélation parfaite entre apparition des épidémie de maladies respiratoire hivernales et pics de pollution en Suisse, en Italie, en Espagne, en Grande Bretagne et en France. Cette corrélation parfaite repose sur les périodes d’inversion thermique au cours desquelles les niveaux de particules présentes dans l’air sont considérablement augmentés. Et cette étude fait référence à d’autres études, qui, elles aussi, démontrent les effets extrêmement nocifs des particules polluantes sur la santé humaine et l’émergence des maladies respiratoires, et d’une mortalité accrue, lorsque les niveaux de pollution s’élèvent. Extraits :
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« Li et al. ( 2020) montrent que la pollution atmosphérique particulaire (y compris les particules ultrafines) est capable de provoquer une inflammation alvéolaire, favorisant ainsi la libération de médiateurs capables de provoquer des exacerbations de maladies pulmonaires et une coagulabilité sanguine accrue.
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Dans un large échantillon de patients sub-urbains, il a été démontré qu’une exposition à court terme à une pollution élevée par les PM2,5 était systématiquement associée à une plus grande utilisation des soins de santé pour une infection aiguë des voies respiratoires inférieures chez les enfants et les adultes (Horne 2018 ).
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D’autres études (par exemple, Chau et Wang 2020) a fait valoir que la survenue simultanée de maladies dues à des niveaux élevés de pollution atmosphérique aiguë dans divers organes indiquerait que le système immunitaire tente de défendre de manière conjonctive le corps humain contre une pollution atmosphérique persistante et croissante.
Au chapitre « discussion et conclusions », cette étude suisse évoque le rôle prépondérant des matières particulaires, lors des périodes d’inversion thermique, sur l’apparition des épidémies de maladies respiratoires et des décès qui y sont liés.
« ...Bien que nous ne puissions pas exclure la possibilité que de graves éclosions de COVID-19 se produisent en l’absence de concentrations élevées de PM2,5, nous observons des interrelations entre les inversions thermiques, les concentrations de PM2,5 et les hospitalisations et la surmortalité liées au COVID-19. Contrairement au lien supposé entre la température ou l’humidité de l’air et le COVID-19, pour lequel les preuves sont généralement faibles, voire contradictoires, nous suggérons une dépendance entre la propagation et la virulence du COVID-19 avec le degré de pollution de l’air (en termes de concentrations de PM2,5). Nous observons que lors de situations à forte prévalence de COVID-19 et de conditions météorologiques défavorables, telles que de fortes inversions thermiques, ces dernières peuvent bien moduler, voire augmenter, la morbidité et la mortalité. Si des inversions thermiques se produisent dans un contexte de fortes émissions générées par la combustion et de vitesses de vent modérées, les concentrations de PM2,5 atteindront probablement des valeurs très élevées, bien au-delà des seuils recommandés, et favoriseront ainsi des conditions particulièrement dangereuses pour les infections respiratoires basses aiguës. »...
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@Legestr glaz
suiteUne étude française, du mois de juillet 2023, menée entre autre par Jean Baptiste Renard, chercheur au CNRS, et Isabelle Annesi Maesano de l’INSERM, ayant pour titre, « Évolution temporelle des niveaux de PM 2,5 et de la mortalité due au COVID-19 en Europe pour la période 2020-2022 », mentionne ceci dans son résumé (19) :
…« La pollution de l’air a un impact important sur la santé humaine, allant des maladies respiratoires et pulmonaires graves aux crises cardiaques et au cancer. Au cours des 3 années de la pandémie de COVID-19, plusieurs photos de mortalité sont survenues, qui pourraient être liées à des événements de pollution par les particules (PM). Les effets possibles des PM (PM 10 et PM 2,5 , avec des diamètres inférieurs à 10 et 2,5 µm, respectivement) sur la mortalité due au COVID-19 sont désormais établis. Pour mieux comprendre cette relation au niveau européen pour la période 2020-2022, les données de 16 sites représentatifs en Europe (81 millions de personnes) avec des niveaux de PM 2,5 ( µg·m −3) allant de valeurs faibles à élevées ont été analysées à l’aide de méthodes statistiques. L’analyse confirme une relation temporelle entre les photos d’exposition aux PM 2,5 et la mortalité due au COVID-19. La meilleure corrélation a été obtenue en comparant l’historique d’exposition à la pollution PM2,5 pendant une période d’intégration de 2 mois couplée à un délai d’une semaine pour la mortalité due au COVID-19. Bien que la tendance de la mortalité due au COVID-19 par rapport aux niveaux de PM 2,5 varie selon les endroits, la tendance mondiale était similaire, donnant une valeur moyenne estimée d’une augmentation de la mortalité de 40 ± 20 % par µg·m −3 PM 2,5. augmenter.Plus le gradient positif (négatif) du pic de PM est fort, plus le gradient positif (négatif) de la mortalité due au COVID-19 est fort. Ces résultats indiquent qu’une succession de photos de pollution par les PM pourrait être plus dangereuse qu’une exposition permanente à des niveaux de pollution modérés. Enfin, les concentrations numériques de PM devraient être utilisées à l’avenir plutôt que les concentrations massiques de PM 2,5 (µg·m−3 ), en tenant compte de la composition des PM afin de mieux évaluer l’effet des particules submicroniques sur la santé humaine, en particulier pour d’autres maladies respiratoires. Ces résultats doivent être pris en compte dans la gestion des futures pandémies. »…
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@Legestr glaz
suite et finL’examen des faits montre que les virus ne se propagent pas et ne contaminent pas les personnes, les unes les autres. L’explication des causes des maladies respiratoires hivernales, et leur « explosion » à certaines périodes de l’année, est bien mieux soutenue par « l’intoxication » aux particules atmosphériques polluantes, lors des pics de pollution, que par la « théorie virale » qui montre des limites rédhibitoires pour qu’elle puisse être retenue. Le principe du « rasoir d’Ockham » peut être appliqué : « les hypothèses suffisantes les plus simples doivent être préférées ». Il est inutile de chercher une explication compliquée, quand une explication simple, à partir de faits établis, suffit à expliquer le phénomène. Pour KarlPopper, « la science se doit de fonctionner de manière déductive, allant du général de la théorie au particulier du fait empirique. Ainsi, elle devrait procéder en trois temps : théorie, déduction de conséquences, expérience pouvant réfuter la théorie ».
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@Legestr glaz
’’Le principe du « rasoir d’Ockham » peut être appliqué : « les hypothèses suffisantes les plus simples doivent être préférées ».’’
C’est un pur sophisme de prétendre que parce que la pollution provoque des maladies respiratoires, aucun autre facteur ne peut provoquer des maladies respiratoires.On ne peut pas se prétendre conforme aux réalités, et nier la contagion interhumaine, dont chacun a l’expérience dans sa vie personnelle, familiale et relationnelle, notamment les cas de transmission par un hôte de passage. On a pu tracer dans le cadre de diverses épidémie la transmission par des porteurs vers un cluster puis par les membres de celui-ci vers d’autres lieux. Ce ne sont pas uniquement des maladies respiratoires, le cas de la dengue dont le virus est transmis via le moustique tigre en fait partie.
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@Eric F
copié-collé : « le cas de la transmission par un hôte de passage ».Et bien, Eric F, je vous invite, lors de la visite d’un hôte de passage, à vérifier les conditions de la pollution atmosphérique. Si cet hôte présente des symptômes infectieux respiratoires c’est parce qu’il a respiré un air pollué et que son système immunitaire n’est pas extrêmement compétent. Si après la visite de cet hôte vous tombez vous même malade, et bien c’est que votre système immunitaire n’est pas non plus compétent et que vous aurez « respiré » le même air que votre hôte, que vous aurez été « confronté » en même temps que lui aux mêmes conditions de pollution atmosphérique.
L’intoxication au monoxyde de carbone fonctionne de cette façon. Ceux qui sont présents dans un lieu d’où émane trop fortement du CO vont « tous » tomber malades. Ils ne se contaminent pas les uns les autres.
Le « scorbut » a été considéré pendant très longtemps comme une « maladie transmissible » avec mise en place « d’isolements » et de « quarantaines ». Avec la découverte de la vitamine C, ces mesures paraissent totalement stupides !
Eric F, lorsque vous sortez vous promener avec des amis et qu’il se met à pleuvoir lesquels d’entre vous seront mouillés ? Tous ou vous seul ? Accuserez vous vos amis d’avoir trempé vos vêtements ?
Les « clusters » sont une invention récente. Je vous parle de « malades » de « symptômes » pas de « tests » à la docteur Knock, totalement idiots, qui font qu’une personne saine, sans symptôme, est « déclarée » malade ! Si vous voulez avaler ce genre de couleuvre du « test » qui indique que vous êtes malade sans symptômes, libre à vous.
Lors du covid19 le cas du paquebot « Diamond Princess » a été un excellent exemple. Les gens étaient « malades », parce qu’ils répondaient à un test « positif », mais ils n’avaient pas de symptôme et n’étaient donc pas malades !
Quant à la dengue, et bien, comme avec la tuberculose en son temps, elle ne touche que les populations dont l’état de nutrition est mauvais et dans des circonstances ou l’hygiène est déplorable. Le système immunitaire de ces personnes est déplorable. Ce que j’écris ici est parfaitement bien rapporté par des scientifiques présents sur place et qui peuvent constater l’état de malnutrition, d’hygiène et d’atmosphère « intérieure » polluée.
... « Au Soudan, le nombre de familles souffrant de la faim a presque doublé, selon l’ONU. Malnutrition aiguë, choléra, dengue, rougeole, paludisme : des millions d’enfants sont exposés alors que le système de santé est extrêmement perturbé par la guerre. »
... Des études ont montré que les personnes souffrant d’insécurité alimentaire courent un risque plus élevé de maladies infectieuses et non transmissibles et ont de moins bons résultats en matière de santé.« ...
Il est trop facile d’attribuer les »causes« des maladies aux virus. Ainsi, il est facile de s’exonérer de sa »responsabilité lorsque l’on pollue à outrance l’atmosphère. Le « virus » permet de faire passer la « pilule ».Un leçon d’hygiène et de nutrition par le professeur Luc Montagnier, en 3mn, concernant le SIDA. Rien que ça !
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@Legestr glaz
Salut, encore merci, depuis que nous sommes revenus en France, ma femme le voulait mon fils aussi et moi pas, je peux observer des morts instantanées autour de moi dans un petit village sud berry nord creuse ..où tout se sait des km à la ronde
..des gens encore jeunes 40, 50 ans...à priori en bonne forme, hier c’était le voisin d’en face 50 ans...décès instantané..pompier et médecin en hélicoptère n’ont rien pu faire, la routine quoi..
il n’y a pas que des morts ; il y a aussi ceux qui selon leurs propres dires depuis 3 ans ont vu leurs petits problèmes de santés devenir de grand problèmes..légère arthrose devenir énorme etc normal le cops toxique essaye ainsi de se nettoyer par homéostasie..
d’après des échos relatifs avec la famille restée en Irlande, c’est pareil...moins caché cependant car chez eux les soignants ont refusé la piquouse...en nombre ..
etc
et ils ont encore un journal gratuit qui fait du bon boulot..
Dans notre village, le voisin belge d’en face, sympa et grande gueule a mis les pieds dans le plat..lorsque entouré de plusieurs personnes qui parlaient de ces morts, tous piqués ? a t’il questionné...
silence de ...mort autour, en fait les gens savent ...et font comme si...
A ce niveau la France est le pire des pays car le français ne connaît pas la langue du maître et l’arrogance basé sur ??? empêche de regarder des faits pour ne garder que de la pensée magique, genre je le dit c’est donc vrai...le pouvoir a toujours raison..
Soljenitsyne : ’humanisme dans ses développements devenant toujours plus matérialiste, il permit avec une incroyable efficacité à ses concepts d’être utilisés d’abord par le socialisme, puis par le communisme, de telle sorte que Karl Marx pût dire, en 1844, que « le communisme est un humanisme naturalisé ». Il s’est avéré que ce jugement était loin d’être faux. On voit les mêmes pierres aux fondations d’un humanisme altéré et de tout type de socialisme : un matérialisme sans frein, une libération à l’égard de la religion et de la responsabilité religieuse, une concentration des esprits sur les structures sociales avec une approche prétendument scientifique. Ce n’est pas un hasard si toutes les promesses rhétoriques du communisme sont centrées sur l’Homme, avec un grand H, et son bonheur terrestre. A première vue, il s’agit d’un rapprochement honteux : comment, il y aurait des points communs entre la pensée de l’Ouest et de l’Est aujourd’hui ? Là est la logique du développement matérialiste…Nous avions placé trop d’espoirs dans les transformations politico-sociales, et il se révèle qu’on nous enlève ce que nous avons de plus précieux : notre vie intérieure. A l’Est, c’est la foire du Parti qui la foule aux pieds, à l’Ouest la foire du Commerce : ce qui est effrayant, ce n’est même pas le fait du monde éclaté, c’est que les principaux morceaux en soient atteints d’une maladie analogue. Si l’homme, comme le déclare l’humanisme, n’était né que pour le bonheur, il ne serait pas né non plus pour la mort. Mais corporellement voué à la mort, sa tâche sur cette terre n’en devient que plus spirituelle : non pas un gorgement de quotidienneté, non pas la recherche des meilleurs moyens d’acquisition, puis de joyeuse dépense des biens matériels, mais l’accomplissement d’un dur et permanent devoir, en sorte que tout le chemin de notre vie devienne l’expérience d’une élévation avant tout spirituelle : quitter cette vie en créatures plus hautes que nous n’y étions entrés.
notre refus de la mort, bien que ce soit un effet d’autre chose est entre autre ce qui nous auto détruit..
pourtant je ne refuse pas de respirer, ce qui se fait par la grace de ....rien, dit la fausse science..
la mythomanie , l’illusion est à son comble , accompagnée bien sur d’une souffrance permanente que comme la mort nous essayons de fuir , ce qui étant impossible augmente la souffrance et la folie démente, nous en devenons mauvais..ce qui est une autre tentative de fuir ce qui ne se peut pas fuir..
c’est un suicide..
l’humain est en phase suicide pour fuir sa non vie de souffrance, et les rares exceptions à ce schéma ne vont pas changer la donne parce que cela ne se peut, il n’y a jamais eu de sauveur et il n’y en aura pas, mais il existe en chacun un chemin qui est celui de la vie
et comme le dit mon fils qui a failli mourir en 2019 et qui depuis a des problèmes de santé,
j’adore la vie....en elle même, quand à la non vie des humains il en est lucide...mais la vie est plus « forte » .
c’est terrible de passer totalement à coté de LA VIE...par refus de mourir..ce qui est la signature du totalitarisme de la pensée sur la psyché désormais depuis des millénaires, détruite par elle même..moi même..
pensée qui ne sait rien d’elle sauf quelques bribes sans intérêts de surface pour manipuler..
Mon Dieu , qu’avons nous fait ?
En quelques secondes, une gigantesque colonne de fumée s’élève jusqu’à 12 000 mètres d’altitude. Terrifié, le capitaine Lewis s’écrie : « Mon Dieu, qu’avons-nous fait ?c’est pas fini........
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@Géronimo howakhan
je n’imagine pas cette « vie intérieure » que mentionne Soljenitsyne,
il m’est arrivé des moments impossibles, incommunicable dans leur totalité etc que je ne décrirais pas avec les mots de vie intérieure, ni même spirituel..
c’est autre chose, pour moi..
il est un état ou la question du sens ne se pose pas. et plus...cela en dit le maximum... -
@Eric F
Une étude récente a examiné les effets néfastes d’un mode de vie toxique, de facteurs iatrogènes, biotoxiques, environnementaux/professionnels et psychosociaux/socio-économiques sur la santé du système immunitaire, directement ou indirectement.-Mode de vie (p. ex., mode de vie sédentaire, tabagisme, consommation d’alcool, abus de drogues, régime alimentaire de type occidental (régime riche en graisses, aliments ultra-transformés, sucre et céréales raffinées), privation chronique de sommeil, etc.) ;
- -Iatrogènes (par exemple, immunosuppresseurs, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), acétaminophène (paracétamol), stress chirurgical, anesthésie, médicaments psychotropes (antidépresseurs, antiépileptiques et antipsychotiques), antibiotiques, produits nanomédicaux, vaccins avec adjuvant, radiothérapie ionisante, etc.) ;
- -Biotoxines/biomatériaux (p. ex., aflatoxine, ochratoxine, toxine T-2, anatoxine-A, mycotoxines, microcystine-LR, cyanobactéries alimentaires toxiques, yessotoxine, venin de scorpion, Streptomyces californicus, Pseudomonas aeruginosa, rhinovirus, virus respiratoire syncytial, etc.) ;
- -Professionnel/Environnemental (p. ex. produits chimiques perturbateurs endocriniens, microplastiques, métaux lourds, pesticides, nanoparticules, acide perfluorooctanoïque (PFOA), biphényles polychlorés (PCB), hydrocarbures polyaromatiques (HAP), perfluorooctanesulfonate (PFOS), particules fines, pollution de l’air, acrylamide, sous-produits de désinfection halogénés aromatiques, benzène, benzo(a)pyrène, pétrole brut, corexit, fluorure de sodium, rayonnement ultraviolet (UV), téléphones portables ou mobiles et autres appareils de transmission sans fil (WTD), y compris les téléphones sans fil, les tours de téléphonie cellulaire et le Wi-Fi -Fi, etc.) ;
- -Psychosocial/socioéconomique (p. ex., dépression, stress chronique, stress lié à la contention, isolement social, événements stressants de la vie, adversité dans l’enfance, etc.).
Notez bien que les « virus » participent à cet état dans cette étude.Ainsi, les personnes dont le système immunitaire est dégradé par les facteurs contributifs ci-dessus ont également une probabilité accrue de souffrir de comorbidités importantes, comme le groupe démographique le plus vulnérable à succomber au COVID-19.Compte tenu de la grande diversité et de la prévalence des facteurs contributifs présentés ci-dessus, le public est continuellement exposé à une myriade de facteurs de stress toxiques, chaque individu étant exposé à une combinaison distincte de facteurs de stress toxiques au cours de sa vie.Différentes personnes seront exposées à des combinaisons distinctes de facteurs de stress toxiques et réagiront différemment selon la composition des combinaisons de facteurs de stress toxiques, la constitution génétique et le niveau de santé général d’une personne. Il peut y avoir des synergies substantielles entre les constituants d’une combinaison donnée de facteurs de stress toxiques et, en fonction de la concentration et du profil de toxicité des constituants, cela peut entraîner une augmentation des effets indésirables de la combinaisonLe concept clé ici est que le lien entre la combinaison virus et facteurs de stress toxiques détermine le résultat final en matière de santé, et pas nécessairement l’un des constituants isolément.
La réponse des gouvernements du monde entier au COVID-19 a été basée sur la virologie, sans tenir compte des problèmes toxicologiques.
Si la responsabilité de la pandémie peut être attribuée au seul (ou principal) constituant de la combinaison virus-agents de stress toxiques sans le soutien des puissants acteurs susmentionnés, alors ces acteurs de la production et/ou de la consommation sont protégés de toute responsabilité (et des conséquences juridiques qui en découlent). conséquences des décès survenus et attribués au SRAS-CoV-2/COVID-19 et aux milliards de dollars de perte de revenus dans l’économie mondiale résultant du confinement.
« En attribuant la responsabilité de la pandémie à Mère Nature plutôt qu’à ceux qui portent la responsabilité majeure de la préparation du terrain, nous garantissons que ces pratiques néfastes et les pandémies qui leur sont associées (y compris les décès annuels des groupes démographiques les plus vulnérables liés aux soi-disant épidémies de grippe/ pandémies) se poursuivra sans relâche. »
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@Géronimo howakhan
Salut GéronimoJe crois que concernant les maladies infectieuses respiratoires, ce qui suit est particulièrement important à comprendre (que je reprends de mon post adressé à Eric F)
Si la responsabilité de la pandémie covid19 peut être attribuée au seul « virus » comme agent toxique, sans tenir compte de la nuisance absolue de la pollution atmosphérique, alors les acteurs de la production, et/ou de la consommation, qui contribuent à cette pollution atmosphérique, sont protégés de toute responsabilité (et des conséquences juridiques qui en découlent) et des conséquences des décès survenus et attribués au SRAS-CoV-2/COVID-19 et aux milliards de dollars de perte de revenus dans l’économie mondiale résultant du confinement.
« En attribuant la responsabilité de la pandémie à Mère Nature plutôt qu’à ceux qui portent la responsabilité majeure de la préparation du terrain, nous garantissons que ces pratiques néfastes et les pandémies qui leur sont associées (y compris les décès annuels des groupes démographiques les plus vulnérables liés aux soi-disant épidémies de grippe/ pandémies) se poursuivra sans relâche. »
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@Legestr glaz
Merci, je mets de coté et y reviens après arrosage légumes..
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@Eric F
... La pandémie de COVID-19, la pandémie de SRAS de 2002-2003 et les pandémies annuelles de grippe partagent de forts points communs.
Une petite fraction de ceux qui sont exposés aux virus respectifs deviennent symptomatiques ; puis, une petite fraction de ceux qui présentent des symptômes succombent. La plupart de ces décès dus à des maladies infectieuses résultent d’une pneumonie et d’un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).
... La grande majorité des décès surviennent chez les personnes âgées présentant des comorbidités importantes et un système immunitaire dégradé/dysfonctionnel.
... Bien qu’il y ait un certain déclin du système immunitaire avec l’âge, la comorbidité est un prédicteur plus fiable d’une immunité affaiblie que l’âge chronologique chez les personnes âgées.
... « Il existe de fortes idées fausses sur le rôle joué par le SRAS-CoV-2 dans l’émergence du COVID-19, en particulier sur la gravité du COVID-19 dans certains groupes démographiques.... Ces idées fausses aboutissent à des traitements axés sur la virologie sans aucune considération de toxicologie : contenir/atténuer l’exposition/la charge virale du SRAS-CoV-2 plutôt que renforcer intrinsèquement le système immunitaire.
... Ces actions basées sur la virologie ne résolvent pas les problèmes toxicologiques sous-jacents qui doivent être résolus correctement afin de réduire la vulnérabilité humaine aux maladies infectieuses, y compris la COVID-19.
... Les mesures proactives à long terme fondées sur la toxicologie, nécessaires pour renforcer intrinsèquement le système immunitaire et prévenir de telles épidémies futures, n’ont pas été prises en compte.
Les »virus" sont l’arbre qui cache la forêt et qui exonèrent de leur responsabilité évidente tout un secteur de l’économie mondiale. C’est drôlement pratique ! Sans compter les mesures privatives de liberté qui peuvent être décrétées pour faire face à ces épidémies de maladies respiratoires. C’est aussi très pratique. -
@Géronimo howakhan
ce fut rapide....en fait on n’arrose pas les tomates sauf au début et un peu 3 semaines après puis rien...
La réponse des gouvernements du monde entier au COVID-19 a été basée sur la virologie, sans tenir compte des problèmes toxicologiques.Oui, de quoi ont t’ils tenu compte d’ailleurs, à part de l’agenda eugéniste bien sur ?? mais la réponse était là avant que quelque chose ne se produisit, c’est un coup d’état global que celui-ci avec la même signature que la fausse grippe meme pas espagnole...
https://reseauinternational.net/la-grippe-de-1918-netait-pas-une-grippe/ -
@Géronimo howakhan
extrait :En 1915, une entreprise commune d’eugénisme a été organisée par John D. Rockefeller, fondateur de la Standart oil, Andrew Carnegie détenant l’industrie américaine de l’acier et Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone.
Ils avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Ils ont donc cherché à préserver leurs vastes richesses et à faire progresser leurs intérêts en investissant dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations.
L’objectif de l’eugénisme était et reste d’éliminer les personnes que l’élite jugeait inférieures sur le plan génétique. Ils ont financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 États des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine soit 15 millions de personnes.
Cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ces lois sur la stérilisation ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Pendant plus d’un siècle, les Rockefeller ont continué à être les plus grands bailleurs de fonds et les moteurs de l’eugénisme et du programme de dépopulation. Voilà donc surtout de quoi je veux surtout parler :
On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».
Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !
« La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tort comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».
En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.
En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.
etc..à lire article complet..
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@Géronimo howakhan
https://odysee.com/@Roms17:d/Vera-Sharav---pand%C3%A9mie-1918:4
Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie.
En 1941, avec 145 000 Juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.
Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugénique lancé en 1915 aux États-Unis, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d’autres, dont l’objectif déclaré était de réduire la population des États-Unis de 10 %, soit 15 millions d’hommes et de femmes.
Dans le livre « The Poisoned Needle : Suppressed Facts about Vaccination » (1957), le Dr Eleanor McBean, médecin qui, adolescente, a été témoin oculaire de l’épidémie de 1918, écrit que « seuls les vaccinés ont péri ».Lien de l’étude de cette vaccination de 1918
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19868270/ -
@Géronimo howakhan
il n’y a aucun mot qui puisse décrire le mental et les actions de ces gens, ils sont au delà de tous qualificatifs..toujours hyper actifs à cette seconde...
mais la masse n’est pas en reste car à théoriquement genre 95% contre disons 5%
il est évident que le probleme humain est bien global avec 5% et 95% qui ne sont que les deux cotés de la même piece , est ce que je vois ou plutôt qui est vu..
nous sommes le probleme, nous sommes ce monde, au delà des mots ça veut dire que nous nous faisons ça à nous mêmes..
car le global passe avant le particulier..
ceci a été inversé lors de l’épisode d’Adam et Eve, qui parle uniquement de la psyché humaine en mode hermétique..
et la pensée analytique pris le contrôle total de la psyché nous amenant dans une sorte d’enfer de la souffrance et du non sens, je parle de cela car tout est lié en fait.. -
@Eric F
Avec les maladies infectieuses respiratoires nous frisons la schizophrénie ! Ce qui veut dire que ce que j’écris, en reprenant de nombreuses études de chercheurs, est parfaitement bien connu de nos « administrations ».
Les « virus » ont le dos large et permettent « bien des choses ». En autre chose, ils permettent de bien « lessiver les esprits » par le « peur » qu’ils véhiculent. Pensez donc : « nous allons tous mourir » ! Protégez vous, masquez vous, isolez vous !
Voici une « recommandation » du 09 août 2024 du Ministère de la santé !
... « À certaines périodes de l’année, notamment en période hivernale, au printemps et en été, surviennent des pics (ou épisodes) de pollution sur le territoire métropolitain. La formation de ces pics est liée à la fois à :
– la présence d’émissions polluantes (par exemples, rejets de particules et d’oxydes d’azote liés au chauffage et aux transports en hiver, et aux épandages aériens et aux transports au printemps) ;
– la formation de polluants secondaires (par exemples, des particules fines au printemps et d’ozone en été) ;
– des conditions météorologiques favorisant l’accumulation des polluants et limitant leur dispersion (vents faibles…).On parle de pic (ou d’épisode) de pollution de l’air lorsque est dépassé, ou risque d’être dépassé, le seuil d’information et de recommandation ou le seuil d’alerte définis par la réglementation nationale pour les quatre polluants atmosphériques suivants : particules de taille inférieure à 10 micromètres (PM10), ozone (O3), dioxyde d’azote (NO2) et dioxyde de soufre (SO2).
Au niveau local, le dépassement, ou le risque de dépassement, de l’un de ces seuils conduit au déclenchement de procédures préfectorales qui conduisent à la mise en œuvre de diverses mesures. Une de ces mesures est la diffusion des recommandations sanitaires définies par le ministère chargé de la santé, afin de protéger la santé des populations et en particulier des personnes sensibles ou vulnérables.
Les éléments présentés ci-dessous complètent ou précisent les recommandations sanitaires à diffuser en cas de pic de pollution.
Il est question, ci-dessous, de l’ozone, mais, en automne-hiver, le schéma est le même en ce qui concerne les polluants gazeux et particulaires de l’atmosphère. Lorsque les taux de ceux-ci sont augmentés pour des raisons météorologiques, le pic »épidémique« survient ! Pas besoin de mettre en scène des »virus" pour rendre les gens malades.
... L’ozone est un polluant chimique complexe avec un impact important sur la santé. Une nouvelle étude publiée dans Nature Medecine le démontre à nouveau et ces conclusions sont sans appel : 90% de ces décès en Europe seraient liés à une exposition à l’ozone et en provenance de très loin.
Bien que des mesures d’atténuation ont été conçues et mises en œuvre à l’échelle nationale et régionale, il n’y a pas eu d’une évaluation complète des sources géographiques de la pollution par l’ozone et des effets sur la santé qui y sont associés. Aussi les chercheurs ont étudié les contributions nationales et importées à l’ozone et la charge de mortalité qui en découle dans 813 régions contiguës de 35 pays européens, représentant environ 530 millions de personnes.
L’ozone importé a contribué à 88,3 % de tous les décès attribuables à l’ozone (entre 83 et 100 %).
La plus grande partie de l’ozone importé provenait de l’extérieur du domaine de l’étude (c’est-à-dire de sources hémisphériques) et était responsable de 56,7 % de la mortalité totale attribuable à l’ozone (intervalle de 42,5 à 87,2 %).
Encore une chose Eric F : les polluants atmosphériques ne peuvent pas franchir les hémisphères. Ceux produits dans l’hémisphère Nord, resteront dans l’hémisphère Nord, tandis que ceux produits dan l’hémisphère Sud, resteront dans l’hémisphère Sud. Et cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas dangereux pour la santé humaine.
INSERM — JUIN 2024 —
... La majorité de l’ozone troposphérique contribuant à la mortalité prématurée dans les pays européens est importée...
https://www.nature.com/articles/s41591-024-02976-x
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@Legestr glaz
A propos de l’hôte de passage infecté par un virus et qui transmets son infection, vous croyez qu’il véhicule au dessus de sa tête le nuage de pollution de la région dans laquelle il a été contaminé ? Faut être sérieux, chacun de nous a fait cette expérience, on le voit aujourd’hui pour des maladies tropicales apportées par des voyageurs.Historiquement, les premiers colons en Amérique ont apporté des maladies contre lesquelles les populations locales n’avaient pas d’immunité, ce qui a causé des hécatombes
Pour le reste, vous le savez, je suis d’accord concernant les impacts de l’environnement et de l’état de santé sur le développement d’une maladie. Le virus n’est pas l’alfa et l’oméga de la maladie, c’est une cause qui peut déclencher.
PS : cela fait un peu penser à une attaque de missiles, il existe des ripostes anti-missiles qui sont les anticorps, et selon le lieu ou passe le missile, le nombre de missiles lancés, et l’efficacité du dispositif d’interception, il sera ou non neutralisé. C’est un peu la loterie de la contamination ou pas.
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@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
A propos du sabotage de Nordstream, la justice allemande a raison d’être tenace, on ne peut pas laisser passer un acte hostile comme celui-ci, par complaisance avec le pays d’où est originaire le fauteur. Il est clair qu’il s’agissait de forcer la main aux pays d’Europe de l’Ouest de couper tout lien avec la Russie. On aurait du se retirer de la coalition.
Et en tout cas cela vaut bien un véto contre l’entrée de ce pays dans l’OTAN et l’UE, du fait de comportement hostile, de nature à mettre en danger notre sécurité et notre économie. -
@Géronimo howakhan
Merci Géronimo. Très intéressant.
Concernant la « grippe espagnole », l’état de santé des populations, sortant d’un conflit mondial majeur, était au plus bas. Les systèmes immunitaires étaient dégradés par la peur, le stress, les privations de toutes sortes.
Par ailleurs, plusieurs études montrent que les pics épidémiques ont eu lieu lors de périodes de pollution augmentée. A cette époque, la consommation de charbon faisait des ravages. Cela n’enlève rien à des velléités de stériliser certaines populations et, de ce point de vue, une bonne injection fait bien l’affaire.
En 1952, la pollution a montré de quoi elle était capable en Grande Bretagne ! Tu as bien fait de déménager !
... « Le 5 décembre 1952, un épais brouillard recouvre la ville de Londres. Jusque là, rien d’extraordinaire : Londres et le brouillard, ça va de pair. Le problème, c’est que lors des semaines qui ont suivi, des milliers de personnes sont mortes de problèmes respiratoires. Pourquoi ?
... Cet épisode de pollution, le plus meurtrier de l’histoire européenne, n’a été expliqué que tout récemment, à la suite de recherches sur le smog en Chine.
... Le 4 décembre, un vaste anticyclone recouvre la capitale du Royaume-Uni. Avec lui, une situation d’inversion de températures se produit ; c’est-à-dire que la masse d’air chaud surplombe celle d’air froid, alors que la majorité du temps, c’est le contraire qui arrive.Les températures chutent ; il fait froid. Très froid. Les Londoniens utilisent alors grandement leur poêle à charbon pour se chauffer. La pollution qui s’en dégage s’ajoute à celle déjà omniprésente des usines et des centrales électriques alentour. Le ciel devient sombre.
... Le vent étant léger, la fumée n’arrive pas à se dissiper et en raison de l’inversion thermique, l’air froid et la pollution sont cloués au sol. Le phénomène dure cinq jours pendant lesquels les transports sont interdits tant la visibilité est réduite. La fumée pénètre même dans les édifices, causant l’annulation de plusieurs activités (cinéma, spectacles...)
... Les hôpitaux se remplissent de dizaines de milliers de personnes qui éprouvent des difficultés respiratoires. Plusieurs semaines après, on dénombre plus de 12 000 morts de tous âges, certains présentant un haut niveau d’acide sulfurique dans le corps. Des milliers d’animaux aussi perdent la vie.
Le »virus« a frappé durement en 1952 !
Ne pas tenir compte du phénomène d’inversion thermique en automne-hiver, ne pas tenir compte des taux de pollution augmentée lors de ces circonstances, alors que les malades affluent dans les hôpitaux et qu’un pic de mortalité épidémique survient, c’est prendre les gens pour des imbéciles ! Et, malheureusement, c’est bien ce à quoi nous assistons : ce sont uniquement les »virus" les coupables ! Pendant combien de temps va t-on encore tromper les populations ?
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[il semble que le message de Ouam auquel j’ai répondu ci-dessus a été déplacé]
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@Eric F
Effacé tu veut dire !
Tu a eu le temps de le lire et de voir les liens ? -
@Eric F
Je te le replace copie le avant qu’il soit a nouveau effacéHihi ca va etre compliqué pour certains d’ici désormais de nous refourguer leurs potes
Ceci a été déja éffacé cette nuit , un post qui dérange certains d’iciSelon une enquête conjointe menée par trois médias allemands (la chaîne publique ARD, le quotidien Süddeutsche Zeitung et l’hebdomadaire Die Zeit), dévoilée mercredi 14 août,
le Parquet fédéral allemand soupçonne trois professeurs de plongée ukrainiens d’être impliqués dans les explosions.
Les preuves contre l’un d’entre eux sont si solides qu’un mandat d’arrêt a été émis. (< LA )
L’Allemagne aurait sur ce dossier obtenu des renseignement d’un pays étranger.
(Aha lequel à laché le morceau ?)Le suspect vivrait actuellement dans la clandestinité, après avoir semble-t-il, séjourné dans une ville proche de Varsovie, en Pologne. Selon le rapport d’enquête, il serait donc hors de portée des services allemands.
Les autorités polonaises n’ont toutefois procédé à aucune arrestation.
La coopération entre les deux pays aurait été difficile, et le suspect en aurait profité pour disparaitre.
Ca en cause bien sur Ici encore
Puis la
Vu comment il est archi étayé tu m’etonnes qu’il en derange certains d’ici
Logiquement il n’est pas si difficile de voir qui ce post dérange ^^ -
@Eric F
Mais Eric F, vous fantasmez. Jamais un « visiteur » ne contamine quiconque !
En automne hiver, les pics épidémiques de mortalité surviennent « concomitamment » au Portugal, en France et en Suède. Vous pouvez, dans ces conditions, nous expliquer le phénomène de contamination et de propagation ?
Parce que ceci se produit à chaque fois. Et il suffit d’examiner les conditions atmosphériques, la présence d’un anticyclone sur l’Europe, pour comprendre pourquoi le pic de mortalité survient « en même temps » à 2000 km de distance.
Je suis désolé, mais « l’exemple » que vous donnez n’existe pas ! Il faut être sérieux. Dans la « même » famille d’ailleurs, dans le même logement, c’est la personne à l’immunité affaiblie qui développera les symptômes d’une maladie respiratoire, pas les autres membres de la famille, possédant un système immunitaire compétent. Tout le monde a pu le constater Eric F. Pas vous ? Les personnes asthmatiques, les personnes porteuses d’une BPCO, seront bien plus sensibles aux attaques « virales » de la pollution atmosphérique que d’autres. Ramener le développement de maladies respiratoires à la présence d’un « virus » que l’on se « refile » l’un à l’autre ne tient pas l’analyse. Ceci est hors champ de la réalité observable.
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@Eric F
Lorsque vous allez en Inde vous chopez la « tourista » et vous vous videz.
Les voyageurs évitent de boire l’eau qui ne serait pas en bouteille, évitent même de consommer des légumes lavés à l’eau. L’eau courante contiendrait-elle des « virus » Eric F ?
Il existe suffisamment de bactéries, de toxines bactériennes, de parasites ou encore de spores, pour rendre les gens malades sans être obligé d’y ajouter des « virus découverts in silico ».
C’est amusant ce que vous écrivez concernant « l’immunité ». Vous pensez que l’on « s’immunise » ? Le système immunitaire ne fonctionne pas comme ça. Il reconnait le soi du non soi, toujours et tout le temps. C’est à « chaque fois » que l’organisme est agressé qu’il réagit grâce à des réactions en chaîne, l’immunité de première ligne étant l’étape la plus cruciale. L’être humain « n’acquiert » pas une immunité devant tel ou tel agent pathogène. L’être humain dispose d’un système immunitaire qui lui permet de combattre les agents pathogènes qui se présentent à lui grâce à des « récepteurs » spécifiques qui détectent le « danger ». C’est une « cascade » de réactions immunitaires qui protège l’être humain des agents pathogènes.
Il ne viendrait à l’idée de personne de « vacciner » quelqu’un contre une « coupure ». Et pourtant, lorsque l’on se coupe, de très nombreuses réactions de « réparation » se mettent à l’oeuvre. Et toutes ces actions sont parfaitement bien coordonnées et immédiates. En présence d’un agent pathogène il se passe la même chose : des réactions immédiates, coordonnées et en chaîne.
C’est une idée très étrange aujourd’hui, depuis la découverte que l’organisme fait parfaitement bien la différence entre le « soi » et le « non soi », que de penser à « l’immunisation ». Une personne affaiblie, présentant des comorbidités sera une victime toute trouvée de n’importe quel agent pathogène même si dans le « passé », le système immunitaire de cette même personne aurait parfaitement bien réagit à l’attaque de cet agent pathogène. Mais je comprends votre « vision » des choses. « On » a pu mettre dans la tête des gens que l’organisme humain « identifiait » tel ou tel pathogène pour « lutter » contre lui. C’est bien ce que l’on nous fait croire avec les « virus ». Mais, en réalité notre système immunitaire ne fonctionne pas comme ça. Il agit d’une façon beaucoup plus large : il distingue le « soi » de « non soi ». Tout ce qui n’est pas « soi » est un « danger » et le système immunitaire réagit à ce « danger », à chaque fois, si, toutefois, il est en mesure de le faire, si toutefois il est resté « compétent ».
Et je comprends notre différence de vue. Vous pensez que le système immunitaire doit identifier, à chaque fois, l’agent pathogène pour garder en mémoire son « profil », ce qui provoque « l’immunisation » contre ce pathogène « particulier ». A chaque fois, par conséquent, l’organisme doit « identifier » tout nouveau agent pathogène pour s’en immuniser. Quant à moi je pense que la distinction faite par l’organisme et le système immunitaire entre le « soi » et le « non soi », est la meilleure des défenses contre « tous les agents pathogènes ». Et ce sont bien des « récepteurs » spécifiques qui sont mis en alerte en présence du « non soi ». Ces récepteurs déclenchent alors des réactions immunitaires en chaine, si le système immunitaire est resté compétent. Malheureusement, en présence de « comorbidités », il est défaillant.
L’idée de « s’immuniser » est un vieille, très vieille lune. Il faudrait vous documenter sur le sujet Eric F. Commencez donc par ceci :
« La pollution de l’air et ses effets sur le système immunitaire ».
Air pollution and its effects on the immune system
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@Legestr glaz
’’(@Eric F) Vous pensez que le système immunitaire doit identifier, à chaque fois, l’agent pathogène pour garder en mémoire son « profil », ce qui provoque « l’immunisation » contre ce pathogène « particulier ». A chaque fois, par conséquent, l’organisme doit « identifier » tout nouveau agent pathogène pour s’en immuniser. Quant à moi je pense que la distinction faite par l’organisme et le système immunitaire entre le « soi » et le « non soi », est la meilleure des défenses contre « tous les agents pathogènes ».— >
Votre théorie est incomparablement plus réaliste que celle qui est enseignée par les vaxinologues : pourquoi la nature aurait-elle fait compliqué (et inefficace car trop complexe vu la grande diversité des agents pathogènes et leurs mutations) alors qu’il est si simple pour le système immunitaire de distinguer tout ce qui n’est pas conforme à un modèle unique : le soi vs le non-soi.
Je ne comprends pas qu’il existe encore des gens comme Eric F (et des millions d’autres) qui, bien que capables de faire preuve de bon sens et lisent votre argument, persistent à croire à cette invraisemblable théorie de mémoire immunitaire. -
@Francis, agnotologue
persistent à croire à cette invraisemblable théorie de mémoire immunitaire.
Beh peut-être parce que des couillons observateurs se sont aperçus à une époque que des survivants de la variole ne l’attrapait jamais plus ??
Et qu’ils en ont déduit que ? La vaccination n’est pas tombée comme ça par hasard elle fait suite à des constatations...M’enfin ce que j’en dis...
Mais continuez à jouer aux rebelles minoritaires et parce que minoritaires assimilables à des génies, incompris cela va sans dire...
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@Gollum
je devrais éviter de répondre à ceux qui amalgament leurs ’’arguments’’ avec des rigolards. Mais soit, je ne fuis jamais.
Et je réponds :
» https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/02/14/de-la-variole-a-la-covid-une-societe-qui-oublie-son-passe-se-condamne-a-le-revivre/ « Ce qui se déroule actuellement, avec l’obligation vaccinale et les protestations, est presque identique à ce qui s’est passé il y a 137 ans avec les campagnes de vaccination contre la variole, où la vaccination a « aggravé » les épidémies de variole. Ces vaccins ont tué beaucoup de gens, le public les a refusés et les gouvernements ont réagi de manière plus dure avec des lois de vaccination obligatoire plus coercitives. »
« La vaccination est une pratique barbare et c’est l’une des plus fatales illusions de notre temps. Ses partisans ne se contentent pas de la faire adopter à ceux qui ne s’y opposent pas mais cherchent à l’imposer à l’aide de lois pénales et de châtiments rigoureux » Gandhi, en 1920.
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@Francis, agnotologue
Et voilà.. CQFD le site le courrier des stratèges un site de merde, complotiste, paranoïaque comme vous les aimez..
CQFD encore une fois.
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Quant à la citation de Gandhi j’aimerai bien en avoir les sources authentiques..
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Et toujours l’infantilisme des petites étoiles jaunes infamantes..
Ce que vous pouvez être con..
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@Gollum
’’Quant à la citation de Gandhi j’aimerai bien en avoir les sources authentiques.’’
— >
Dans ce domaine, les sources de genre disparaissent rhédibitoirement et il ne subsiste que les articles favorables aux vaxinologues.
ps.je note que vous n’osez pas répondre directement à Legestr glaz qui est pourtant beaucoup plus péremptoire que moi sur ce sujet. Je suppose que c’est parce que vous n’osez pas l’insulter, et comme vos insultes sont vos seuls arguments, ceci explique cela.
Vous m’insultez, c’est une histoire ancienne qui trouve ses sources dans les blessures narcissiques que je vous ai infligées si souvent. Maintenant vous pouvez aller vous vautrer dans la fange, et je partirai dégouté, ce qui vous fera dire que je fuis le débat (! !!) et que par conséquent vous avez gagné.
Vous ne convaincrez que les idiots.
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@Francis, agnotologue
Dans ce domaine, les sources de genre disparaissent rhédibitoirement et il ne subsiste que les articles favorables aux vaxinologues.
Looool
Ben voyons... Circulez y a rien à voir.. Pourtant votre citation elle n’a pas été inventée non ? (euh si en fait...) donc y a forcément une source.. Mais cette source authentique a disparu parce que.. des vilains ont fait le ménage..Quand je dis que vous êtes complètement parano... Mais à un point.. Parano au point de gober un truc pondu de toute pièce. Suffit d’aller dans le sens du vent et le Francis gobe tout.
qui trouve ses sources dans les blessures narcissiques que je vous ai infligées si souvent.
Oh oui qu’est-ce que j’ai mal à mes blessures narcissiques !
Kek vous êtes un fin psychologue j’en suis tout chaviré..je partirai dégouté,
Faut dire qu’un rien vous dégoutte comme le roman de Pierre Boulle la planète des singes, j’ai toujours pas compris pourquoi du reste..
Vous ne convaincrez que les idiots.
Mais je cherche à convaincre personne moi, je m’en fous de vos histoires complotistes, je m’amuse juste avec vos fantasmes...
Si je cherchais à convaincre je m’acharnerai ici nuit et jour comme vous le faites avec votre pote Legestr Glaz c’est tout un apostolat d’ailleurs mais c’est comme ça que vous gagnez une raison de vivre..
Moi ma vie est ailleurs et heureusement. Sur ce je pars n’oubliez pas de me moinsser ça soulagera vos aigreurs..
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@Francis, agnotologue
Effectivement Francis, je ne comprends pas où des gens comme Eric F rangent leur « rationalité ».
Parce que la « théorie officielle », concernant la vaccination, consiste à inoculer une forme atténuée d’un virus dans l’organisme afin que ce dernier puisse « anticiper » une attaque future de ce virus. C’est ça la théorie vaccinale : préparer l’organisme à l’attaque du virus « entier ». Mais, il trouvera à qui parler ce méchant virus puisque l’organisme aura été préparé !
Mais une autre « théorie officielle » dit que les « virus » ont un caractère « changeant ». Ils mutent toujours et il est alors questions des « mutants » et des « variants ». C’est ainsi que, chaque année, vraiment chaque année, les gens se font vacciner contre le méchant virus qui va être actif dans les mois à venir. La « vaccination » prépare l’organisme à cette arrivée imminente.
Ce genre de « théorie » pose quand même problème pour un esprit rationnel. Parce qu’en réalité, ce « virus » objet d’une campagne de vaccination toute fraiche, fera sont entrée triomphante dans l’organisme par les voies respiratoires (s’il s’agit de la grippe ou d’un coronavirus). Il se trouve que l’immunité de première ligne, dans les voies respiratoires, même sans avoir eu connaissance du « profil » de ce « nouveau virus », fera son boulot : elle empêchera cet agent pathogène de pénétrer l’organisme en mettant en oeuvre des tas de mécanismes parfaitement au point. Ainsi, l’immunité innée de « première ligne » n’a nul besoin d’être informée au « préalable » de l’arrivée potentielle du « nouveau virus » : elle le rejette comme un malpropre parce qu’il fait partie du « non soi ».
Le deuxième questionnement concerne les variants et les mutants. Si l’on est vacciné à partir de la mi-octobre, à partir de « quelle souche d’ailleurs » (généralement celle ayant été découverte dans l’hémisphère Sud, vous savez celle qui ne peut jamais franchir les hémisphères, curieux quand même), et que l’épidémie se déclare en février, peut-on penser que le « nouveau virus » n’aura pas déjà « muté » ? La vaccination devient alors inutile puisque l’organisme ne sera pas prêt à lutter contre ce « nouveau variant ». Un coup d’épée dans l’eau !
La troisième observation concerne le « profil » des personnes qui tombent gravement malades et qui meurent des infections respiratoires en automne-hiver. Ce sont toujours les mêmes, celles qui présentent des « comorbidités » et très très généralement, celles qui ont couru se faire « vacciner ». Si la « vaccination » protégeait des maladies respiratoires en automne-hiver cela se verrait dans les chiffres de la mortalité. Or, les personnes âgées « fragilisées », celles au système immunitaire amoindri, décèdent régulièrement, malgré les vaccinations. Les chiffres de la mortalité hivernale nous le prouve hiver, après hiver, sans jamais de variation.
Je me demande si Eric F fait jouer sa rationalité pour évaluer ce genre de choses ?
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@Francis, agnotologue
Le présent ouvrage, résultat de quelque quarante années de recherche, constitue le prolongement logique de mes précédents travaux : la mise au jour du contrôle international de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d’organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique - les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en oeuvre ; et maintenant, la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. Malgré le grand pouvoir exercé par ses dirigeants cachés, j’ai découvert qu’un seul groupe a le droit de vie et de mort sur les médecins américains de notre nation.
Cette conspiration a entraîné un déclin avéré de la santé de nos citoyens. Nous nous classons maintenant loin en bas de la liste des nations civilisées en ce qui concerne la mortalité infantile et d’autres statistiques médicales importantes. J’ai pu documenter les agissements choquants de ces magnats qui non seulement planifient et provoquent de sang froid des famines, des dépressions économiques, des révolutions et des guerres, mais qui réalisent également des profits colossaux grâce à leurs manipulations de notre système de santé.
Meurtre par injection : Histoire de la conspiration médicale contre l’Amérique Broché – 23 janvier 2021 Eustace Mullins
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@Legestr glaz
Quelques éléments concernant la transmission du Covid-19, notamment le fait que l’humain en est le principal vecteur.### 1. Mécanisme de transmission
Le Covid-19 se propage essentiellement par les gouttelettes respiratoires que les personnes infectées émettent lorsqu’elles toussent, éternuent ou parlent. Ces gouttelettes peuvent atterrir dans la bouche, le nez ou sur les yeux de personnes proches, provoquant ainsi l’infection.
### 2. Preuves scientifiques
Plusieurs études ont documenté des épidémies massives de Covid-19 suite à des événements impliquant de nombreuses personnes (par exemple, des concerts ou des mariages). Ces cas montrent comment le virus se propage rapidement entre individus.
### 3. Exemples concrets
La propagation du virus dans différents pays a été accélérée par les déplacements des personnes, en particulier les voyageurs infectés. De plus, des clusters familiaux et professionnels ont été identifiés, confirmant la transmission interhumaine.
### 4. Comparaison avec d’autres vecteurs
Contrairement à d’autres maladies qui se propagent par des insectes ou des animaux, le Covid-19 n’est pas transmis de cette manière. Les recherches montrent que les animaux ne sont pas des vecteurs majeurs de cette maladie.
### 5. Rôle des mesures de santé publique
Les mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque et l’hygiène des mains ont été efficaces pour réduire la transmission. Cela démontre que réduire les contacts humains limite la propagation.
### 6. Avis d’experts
Les organismes de santé comme l’OMS et le CDC recommandent fortement de minimiser les contacts humains pour contrôler la propagation du virus.
### 7. Données statistiques
Les statistiques montrent une corrélation entre les pics d’infection et les rassemblements de personnes, renforçant l’idée que l’humain est le principal vecteur de transmission.
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@Iris
Aucune preuve dans ce que vous écrivez. Des hypothèses de la doxa. Je pourrais reprendre une par une ces affirmations sans aucun fondement. Je n’ai pas de temps à consacrer à cette supercherie. Je donne simplement des éléments « factuels » et chacun peut faire ensuite ses propres recherches.
Visiblement, vos propres recherches vous ne les avez pas réalisées pas Iris.
Par exemple, point numéro 7 : montrez moi les corrélations entre « pics d’infection » et rassemblent de personnes. Cela n’existe pas. Je vous laisse chercher. Hormis de pic de pollution qui concerne toute personne qui y baigne !
Point numéro 6 : les recommandations de l’OMS et du CDC ? Mais « pourquoi », en vertu de quoi, ces recommandations ? Je vous laisse chercher.
Point numéro 5 : Avis des experts de plateaux payés par l’industrie du vaccin ?
Point numéro 5 : De quelles mesures de santé publique parlez-vous ?
Point numéro 4 : De quelles comparaisons faites vous état ?
Point numéro 3 : Il n’existe aucune preuve de contamination, ni de propagation ni de cluster. Je vous laisse chercher afin de m’en informer.
Point numéro 2 : Vous n’aurez pas manqué de constater que dans un mariage ou un concert les personnes présentes « respirent » le même air, n’est-ce pas ?
Point numéro 1 : Les gouttelettes de transmission c’est une supercherie. Intéressez vous aux polluants gazeux et particulaires et posez vous la question de savoir « comment » l’organisme humain les accueille et s’en débarrasse.
Je l’ai fait quand même : votre dossier est absolument vide de preuve. Il faut venir avec des biscuits et une réalité observable, le reste est de la propagande.
Désolé, mais vous vous faites l’écho de la théorie virale et vaccinale, celle que permet de réaliser de très gros profit et de restreindre les libertés individuelles.
Donnez moi une seule preuve de contamination ou de propagation. Une seule !
Mariage, concert, et même les cérémonies religieuses Iris !
La célébration aurait pu tourner au drame. Samedi 11 février au soir, près de deux cents fidèles rassemblés dans l’église Saint-Hilaire de Tincques, à 35 kilomètres d’Arras, ont éprouvé des symptômes nauséeux. Alertés, les pompiers ont identifié une intoxication au monoxyde de carbone (CO) provenant d’un chauffage vétuste. Soixante-dix personnes ont été prises en charge samedi soir, dont sept hospitalisées, a indiqué au Figaro le SDIS 62. Dimanche matin, deux enfants se trouvaient encore en observation en « urgence relative ».
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/pas-de-calais-70-fideles-pris-en-charge-par-les-pompiers-apres-une-intoxication-au-monoxyde-de-carbone-dans-une-eglise-20230212Preuve que lorsque l’on se « ’rassemble » dans un lieu ou règne une atmosphère polluée, les gens sensibles tombent malades parce qu’elles respirent cet air pollué. Personne ne refile sa maladie à son voisin ! Vous devriez y réfléchir.
... « Une étude suisse, de novembre 2020, élaborée par une équipe interdisciplinaire de l’Université de Genève et de l’école polytechnique de Zurich, « Des pics de particules fines peuvent moduler la propagation et la virulence du COVID-19 »,(18), montre une corrélation parfaite entre apparition des épidémie de maladies respiratoire hivernales et pics de pollution en Italie, en Espagne, en Grande Bretagne et en France. Cette corrélation parfaite repose sur les périodes d’inversion thermique au cours desquelles les niveaux de particules présentes dans l’air sont considérablement augmentés. Et cette étude fait références à d’autres études, qui, elles aussi, démontrent les effets extrêmement nocifs des particules polluantes sur la santé humaine et l’émergence des maladies respiratoires et d’une mortalité accrue lorsque les niveaux de pollution s’élèvent »...
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@Iris
Je ne vous ai pas posé la question de votre « rationalité ». Vous en faites quoi ?
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@Legestr glaz
Des preuves et des constatations il y en a partout.Ma rationalité ?
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@Legestr glaz
Le premier **cluster** identifié en France dans le cadre de l’épidémie de Covid-19 a été lié à un rassemblement religieux qui s’est tenu à **Mulhouse** au cours du mois de février 2020. Voici l’histoire de cet événement marquant et ses conséquences :
### Contexte et déroulement du rassemblement
#### **1. Le rassemblement de l’Église de la Porte Ouverte Chrétienne**
- **Date et lieu** : Du 17 au 21 février 2020, l’Église évangélique de la Porte Ouverte Chrétienne a organisé son rassemblement annuel à Mulhouse, dans le département du Haut-Rhin en Alsace.
- **Participants** : L’événement a réuni environ **2 500 personnes** venues de différentes régions de France et de plusieurs pays étrangers.
- **Nature de l’événement** : Il s’agissait d’un rassemblement religieux traditionnel comportant plusieurs jours de prières, de chants et de réunions, avec une grande proximité physique entre les participants.#### **2. L’émergence du cluster**
- **Premiers cas** : Les premiers cas de Covid-19 liés à ce rassemblement ont été détectés quelques jours après l’événement. Des participants ont commencé à présenter des symptômes et à être testés positifs au virus.
- **Propagation rapide** : En quelques jours, il est devenu évident que le rassemblement avait été un événement de super-contamination, avec des centaines de participants tombant malades et contaminant à leur tour d’autres personnes dans leurs régions respectives.### Conséquences de ce cluster
#### **1. Impact sur la région et le pays**
- **Propagation en Alsace** : Le Haut-Rhin, département où se situe Mulhouse, est rapidement devenu l’un des foyers majeurs de l’épidémie en France, avec une augmentation rapide des cas confirmés.
- **Propagation nationale et internationale** : Les participants au rassemblement ayant voyagé à travers le pays et à l’étranger ont contribué à la propagation du virus dans d’autres régions de France et dans plusieurs pays voisins.#### **2. Réaction des autorités**
- **Mesures sanitaires** : Face à l’explosion des cas, les autorités sanitaires ont intensifié les efforts de traçage des contacts et de mise en quarantaine des personnes infectées ou ayant été en contact avec des participants au rassemblement.
- **Mise en place du confinement** : La situation en Alsace, notamment dans le Haut-Rhin, a joué un rôle crucial dans la décision du gouvernement français de mettre en place un confinement national à partir du 17 mars 2020.
- **Renforcement du système de santé** : Les hôpitaux de la région, particulièrement ceux de Mulhouse et de Colmar, ont été rapidement submergés par l’afflux de patients, ce qui a conduit à des mesures d’urgence telles que le déploiement d’hôpitaux militaires de campagne et le transfert de patients vers d’autres régions.#### **3. Répercussions sociales et économiques**
- **Stigmatisation** : L’Église de la Porte Ouverte Chrétienne a été confrontée à une certaine stigmatisation et à des critiques publiques, bien que les responsables de l’église aient coopéré avec les autorités pour aider à contenir la propagation.
- **Impact économique** : Le cluster de Mulhouse a également eu des répercussions économiques significatives, notamment en raison des mesures de confinement et de la perturbation des activités locales.### Conclusion
Le cluster de Mulhouse a été un événement clé dans la propagation initiale du Covid-19 en France. Il a mis en évidence la rapidité avec laquelle le virus pouvait se propager lors de grands rassemblements et a fortement influencé la réponse des autorités françaises à la pandémie. Cet événement a également servi de leçon importante pour la gestion des rassemblements de masse dans le contexte de crises sanitaires futures.
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@Legestr glaz
Sinon quelle est votre point de vue sur la propagation du SIDA parmi la population gay ? Et la contamination par les aiguilles de seringues ? -
@Iris
Cet événement a également servi de leçon importante pour la gestion des rassemblements de masse dans le contexte de crises sanitaires futures.on peut aussi voir avec ce qu’on peut faire avec un troupeau... Mais pour votre matiere grises, cet évenement n’est pas nouveau,quand on observe ,la guerre c’est pareille civile ou pas , on gère les masses comme une crise, n’est ce pas ?
tout en appelant le « peuple » á la retenue et les autres au contraire...elle est pas belle la vie ?vu le passé depuis le covidchock on n’est pas sortit de l’auberge
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@Iris
Le fait d’attribuer le SIDA à un « virus » a fait que les gens se sont écartés, par crainte, des personnes déclarées atteintes du SIDA.
Les homosexuels ont été ostracisés. Par exemple, il leur était interdit de donner leur sang (sauf à ne pas avoir eu de relation sexuelle depuis plus d’une année).Je suis scandalisé que la théorie virale du SIDA ait entrainé ce genre de comportement discriminatoire. C’est « tellement » facile d’attribuer les causes de maladies à des « virus ». Surtout que cela rapporte gros à certaines industries. La réalité biologique est tout autre.
La maladie appelée « SIDA » est, malheureusement, une maladie bien réelle. Pourtant elle n’est en rien attribuable à un « virus ». Bien d’autres facteurs émergent pour expliquer cette maladie comme la malnutrition, le manque d’hygiène, la consommation, volontaire ou pas, de molécules dangereuses comme les nitrites d’alkyles. Surtout que ce sont des « tests » qui déterminent la « séroposivité », même sans symptômes. Comme lors du « Covid19 ».
... « Le poppers est le nom usuel donné aux nitrites d’alkyles. Ils sont utilisés pour intensifier l’expérience sexuelle ou pour les courtes euphories qu’ils provoquent juste après l’inhalation du produit. Malgré les différentes périodes d’interdiction, le poppers est resté banalisé au cours des années 2000 et son usage a même connu une hausse importante entre 2000 et 2010. En population adulte comme adolescente, il s’agit du deuxième produit consommé après le cannabis parmi les drogues illicites, confirmant qu’il concerne des milieux bien plus larges que les milieux gays et lesbiens qui sont parfois présentés comme emblématiques de leur consommation. L’expérimentation du poppers concerne 5,3 % des 18-64 ans en 2010, en particulier les hommes (7,2 % contre 3,4 % pour les femmes). À la fin de l’adolescence, elle concerne 8,8 % des filles et 9,2 % des garçons. Les poppers bénéficient dans la population générale, en particulier celle des jeunes, d’une image globalement positive. Pourtant, ce produit n’est pas dénué de danger, même si le risque de dépendance est particulièrement faible. Quelques pistes d’actions peuvent être esquissées, un travail d’information et de suivi régulier auprès des usagers pouvant permettre d’éviter une radicalisation de la consommation parmi les usagers réguliers »...
... « Cette étude a révélé que les nitrites inhalés étaient la substance récréative la plus couramment utilisée parmi les HARSAH (hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes) et que l’utilisation de nitrites inhalés était associée à une probabilité plus élevée d’infection par le VIH et la syphilis. Par conséquent, une attention et des conseils accrus devraient être accordés aux HARSAH utilisant des nitrites inhalés. »...
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7650275/... « En Afrique orientale et australe, le VIH/SIDA touche trop de personnes pour que les systèmes de santé fragiles des pays affectés puissent toutes les traiter, il déstabilise trop d’enfants pour que nos systèmes éducatifs puissent tous les aider à se structurer, il crée trop d’orphelins pour que leurs communautés puissent tous les prendre en charge, il plonge les familles dans la désolation et met en péril les systèmes alimentaires. De plus en plus, l’épidémie de VIH/SIDA est favorisée par des acteurs qui sont aussi à l’origine de la malnutrition et elle les aggrave − il s’agit en particulier de la pauvreté, des situation d’urgence et des inégalités. »
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/EB116/B116_12-fr.pdf
C’est bien pratique d’accuser un « virus ».
Le professeur Luc Montagnier, « découvreur » du « virus » du SIDA disait qu’en soignant le système immunitaire, en prêtant attention à la nutrition et à l’hygiène, il n’y aurait pas de SIDA. Une vidéo de 4mn40.
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@Xenozoid
Si vous parlez de la récupération de l’événement Covid par les autorités je conviens qu’on s’est fait avoir.
Le sujet ici c’était plutôt l’existence ou non des maladies contagieuses. -
@Iris
J’ai étudié tout çà en détail Iris.
Vous me parlez d’un premier cluster lors d’un rassemblement religieux. Très bien. Il ne vous viendrait pas à l’esprit, une seule minute, que ces gens là on « respiré » le même air pollué ?
Il vous est pourtant « facile » de vérifier que l’Est de la France a payé un plus lourd tribu au covid19 que la façade atlantique. Et vous savez pourquoi ? Parce que l’air sur la façade atlantique était moins pollué que dans l’Est.
Les « clusters » sont en lien avec la pollution atmosphérique augmentée dans un lieu donné et non avec la proximité de personnes entre elles. C’est difficile pour vous de prendre en considération les « inversion thermiques » et le poids de la pollution qu’elles apportent ? Renseignez vous au lieu de vous figez sur les « rassemblements », les concerts, les cérémonies religieuses.
Les explications d’un taux de pollution augmenté sont bien plus faciles à accepter que celle de la contagion et de la contamination. Parce qu’à partir de ce moment il y aurait une « véritable explosion » de malades. Mais vous savez parfaitement bien que la mortalité « épidémique » prend la forme d’une courbe en cloche et non d’exponentielle. Au delà des mathématiques, cela veut dire que la maladie apparait « très soudainement » et disparait « tout aussi soudainement ». C’est « la réalité observable », toujours, tout le temps. S’il y avait « contamination » ou « propagation » il y aurait un développement exponentiel de la mortalité. Cela n’a jamais été le cas. Vous pouvez le vérifier.
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@Iris
disons on fait pareil avec des idées « contagieuses ». non ?
non ? mais la même stratégie est de mise....c’est les autres et ce si n’est pas les autres c’est surement leur fautes, d’être les autres,les contaminés les lépreux, les grecs connaissent, avec un île dédié au malades de toute sorte
Spinalonga, a small island in the Gulf of Elounda in north-eastern Crete, was used to isolate people affected by leprosy from 1903 to 1957.
In 1901, the Cretan government passed a decree for the isolation of people affected by leprosy and established Spinalonga as the location for the colony. Settlement began in 1903, and by October 1904, 251 people lived at Spinalonga (148 men and 103 women).
With Greece involved in several wars and struggling financially during the early twentieth century, the inhabitants of Spinalonga lived in very poor conditions. There was inadequate supply of fresh water for drinking and washing, and the patients were not given the ability to grow their own food. Supplies were obtained through people from nearby villages, who set up a daily market on the island ; however, the government allowance the Spinalonga inmates received was often insufficient to cover food and medicines.
From 1929, conditions began to improve due to the advocacy of the Cretan Anti-Leprosy Association : an infirmary and washing facilities were built. The situation further improved due to the advocacy of Epaminondas Remoundakis, a twenty-one-year-old law student who contracted leprosy in 1936. Remoundakis petitioned the government with demands for improved living conditions. With other Spinalonga inhabitants, he established an advocacy organisation, the Brotherhood of Spinalonga Patients. Under his influence, a theatre, cinema, and school were established on Spinalonga.
In 1933, there were 954 inhabitants living on Spinalonga. Numbers gradually declined as patients were cured and left the island. The last twenty patients were relocated to a leprosy hospital in Athens in 1957.
Sources :
’Epaminondas Remoundakis’. Complete Greece. Web.
’The Leper Island’. Explore Crete. Web.
Karamanou, M., et al. « L’île des lépreux : Spinalonga. » PRESSE MEDICALE 42.11 (2013) : 1526-9. Web.
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@Iris
Déjà en 1965 des chercheurs attiraient l’attention de la population sur les dangers de la pollution et de sa relation avec les épidémies de maladies respiratoires. Mais, accepter cette hypothèse, c’est renoncer à la « vaccination »’. C’est « ballot » n’est-ce pas ?
EXCESS MORTALITY AS AN INDICATOR OF HEALTH EFFECTS OF AIR POLLUTION
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1257340/pdf/amjphnation00149-0111.pdfThe authors were affiliated with the Division of Epidemiologic Research,
Department of Public Health, Cornell University Medical College (1300 York
Ave.), New York, N. Y. 10021. Dr. McCarroll is now professor of preventive
medicine and director, Division of Environmental Health, University of Wash-
ington School of Medicine, Seattle, Wash.
This paper was presented before the Epidemiology Section of the American
Public Health Association at the Ninety-Third Annual Meeting in Chicago, Ill.,
October 19, 1965Les pics périodiques de mortalité à New York sont associés à des périodes de forte pollution atmosphérique. Les caractéristiques de ces épisodes sont discutées dans cet article, ainsi que les mécanismes possibles par lesquels ils produisent une surmortalité.
La surmortalité comme indicateur des effets de la pollution atmosphérique sur la santéJames McCarroll, M.D., F.A.P.H.A., et William Bradley, D.M.
La pollution de l’air en tant que cause directe de maladie ou de décès pour les populations urbaines est un sujet d’étude notoirement difficile. La preuve d’un effet immédiat sur la santé est venue principalement des rares épisodes aigus tels que ceux de Donora en 1947 et de Londres en 1952. Dans ces épisodes, et dans les quelques autres épisodes au cours desquels la mortalité suit de près une période de pollution atmosphérique, la présence de conditions atmosphériques inhabituelles, généralement un brouillard dense, a été facilement apparente aux résidents des zones touchées. (Une surveillance étroite de la mortalité quotidienne à Londres depuis 1952 a mis en évidence au moins six épisodes majeurs de forte pollution atmosphérique au cours desquels le nombre de décès excédentaires variait de 250 à 1 000. Dans chaque cas, la présence d’une pollution grave et persistante le brouillard a alerté les habitants des conditions atmosphériques inhabituelles.
La question de savoir si un excès de décès similaires peut également se produire dans d’autres zones urbaines en l’absence de brouillard est évidemment d’une importance majeure. Greenburg et ses collègues ont signalé trois épisodes majeurs de pollution atmosphérique à New York, au cours desquels ils ont recherché un nombre excessif de décès.
... Examination of total deaths in New
York City by day of occurrence shows
periodic peaks in mortality which are
associated with periods of high air pol-
lution. These peaks are usually asso-
ciated with periods of low wind speed and temperature inversion conditions
which permit air pollution to build up
to high levels. Unlike the experience
of London, fog is not a necessary part
of this picture, and therefore the pres-
ence of these episodes is often not ap-
parent at the time to most inhabitants.
A characteristic feature of these episodes
is the immediate rise in mortality oc-
curring on the same day as the peaks of
pollution. A second characteristic is
their frequent influence on death rates
in the 45- to 64-year age group as well
as in those over 65. These character-
istics suggest that if these excess deaths
are related to air pollution (as we be-
lieve to be highly likely), the mecha-
nism is probably protean and pervasive,
affecting the course of a variety of dif-
ferent diseases through a basic physio-
logic effect.Je vous laisse découvrir le reste mais sachez que la mortalité induite par la pollution atmosphérique en automne-hiver est connue depuis belle lurette. Seulement voilà : trop d’intérêts en jeu, il faut mettre cette mortalité sur le compte d’un « virus ». Ceci est une supercherie
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@Xenozoid
Spinalonga, une petite île située dans le golfe d’Elounda, au nord-est de la Crète, a été utilisée pour isoler les personnes atteintes de la lèpre de 1903 à 1957.
En 1901, le gouvernement crétois a adopté un décret sur l’isolement des personnes atteintes de la lèpre et a choisi Spinalonga comme lieu d’implantation de la colonie. L’installation a commencé en 1903 et, en octobre 1904, 251 personnes vivaient à Spinalonga (148 hommes et 103 femmes).
La Grèce étant impliquée dans plusieurs guerres et connaissant des difficultés financières au début du XXe siècle, les habitants de Spinalonga vivaient dans des conditions très précaires. L’approvisionnement en eau douce pour boire et se laver était insuffisant et les patients n’avaient pas la possibilité de cultiver leur propre nourriture. Le ravitaillement était assuré par les habitants des villages voisins, qui organisaient un marché quotidien sur l’île. Cependant, l’allocation gouvernementale que recevaient les détenus de Spinalonga était souvent insuffisante pour couvrir les frais de nourriture et de médicaments.
À partir de 1929, les conditions commencent à s’améliorer grâce à l’action de l’Association crétoise de lutte contre la lèpre : une infirmerie et des installations sanitaires sont construites. La situation s’est encore améliorée grâce à l’action d’Epaminondas Remoundakis, un étudiant en droit de 21 ans qui a contracté la lèpre en 1936. Remoundakis a adressé une pétition au gouvernement pour réclamer de meilleures conditions de vie. Avec d’autres habitants de Spinalonga, il a créé une organisation de défense, la Fraternité des patients de Spinalonga. Sous son influence, un théâtre, un cinéma et une école ont été créés à Spinalonga.
In 1933, there were 954 inhabitants living on Spinalonga. Numbers gradually declined as patients were cured and left the island. The last twenty patients were relocated to a leprosy hospital in Athens in 1957.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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@Legestr glaz
Dites vous donc que le SIDA ne se transmet pas par les relations sexuelles ?
Il me semble que Montagnier conteste la responsabilité du VIH dans la maladie, mais êtes vous certain qu’il nie le fait que la maladie se transmette par les relations sexuelles non protégées et les échanges de seringues ?
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@Legestr glaz
La pollution est-elle moindre dans l’est maintenant ?
Le fait que l’est a été affecté plus que les autres ne contredit en rien l’hypothèse que vous contestez. Ils ont été les premiers a être contaminés, les mesures de protection et la mise au point des soins a tardé, à la fin ils ont plus de morts, pour moi c’est tout à fait logique et rationnel.Une ville comme Grenoble est particulièrement concernée par les inversions thermiques et la pollution, et pourtant elle a été plutôt peu affectée.
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@Legestr glaz
Pour rappel, je ne conteste pas l’importance de l’environnement et du système immunitaire, et je peux envisager la possibilité que les virus ne soient pas la vrai cause de la propagation des maladies virales. Peut-être que nous découvrirons qu’ils ne sont en fait que des indicateurs ? -
@Iris
Le « protocole » utilisé pour « isoler » et « purifier » un prélèvement pour y identifier des virus date de.... 1954. C’est le « même processus » qui est mis en oeuvre depuis 70 ans. Jamais, à ce jour, aucun « virus » n’a pu être identifié, directement, dans un prélèvement, dans une sécrétion quelconque. Tous les « virus » naissent dans le tube à essai à la suite d’une culture. Les virus n’existent « qu’in silico ».... Toutes les allégations selon lesquelles les virus sont pathogènes sont fausses et reposent sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables. Les causes réelles des maladies et des phénomènes attribués aux virus ont déjà été découvertes et étudiées ; ces connaissances sont désormais disponibles. Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus en laboratoire travaillent en réalité avec des particules typiques de tissus ou de cellules mourantes spécifiques qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus.
En réalité, ces tissus et cellules préparés meurent parce qu’ils ont été affamés et empoisonnés à la suite des expériences en laboratoire. Les virologues croient avant tout à l’existence des virus, car ils ajoutent du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels prétendument « infectés » aux cultures de tissus et de cellules, et cela, il faut le souligner, après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est ensuite tuée par les virus.
L’essentiel, cependant, est que la mort des tissus et des cellules se produit exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait !
Selon la logique scientifique la plus élémentaire et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de « propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui provoquait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû réaliser des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, en lesquels ils ajouteraient des substances stériles ou des substances provenant de personnes et d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire. Ceci, bien entendu, pour vérifier si ce n’est pas la méthode elle-même qui donne ou fausse les résultats.
Ces expériences de contrôle n’ont jamais été réalisées par la « science » officielle à ce jour.
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@Iris
Je ne connais pas les différentes interventions de Luc Montagnier. Je suis tombé sur celle là par hasard. Ce n’est pas important pour moi. Je ne veux pas me référer à un auteur en particulier
Alors, non, le SIDA ne « s’attrape » pas lors de relations sexuelles. Le SIDA est une affaire d’immunité « personnelle ». Actuellement la grande majorité des malades déclarés porteur du SIDA vivent dans des régions où règnent la malnutrition et le manque d’hygiène. Le SIDA est une maladie de la pauvreté, tant alimentaire qu’hygiénique. Il en a été de même pour la tuberculose.
Si l’on ajoute à cela la pollution intérieure, feu de bois utilisé pour cuire les aliments, le tableau est complet : malnutrition + manque d’hygiène + pollution = maladie infectieuse respiratoire.
... L’épidémie du VIH/SIDA est véhiculée par un ensemble de déterminants socio-économiques, socioculturels et épidémiologiques. Ces déterminants sont nombreux, complexes, interagissent entre eux et ont un lien de causalité double avec l’épidémie du VIH/SIDA. C’est précisément l’une des raisons pour lesquelles l’épidémie a connu une évolution pire que celle prévue même dans les projections les plus pessimistes. En effet, l’épidémie se propage parce que les conditions économiques, socioculturelles et épidémiologiques la favorisent.- Environ 80% des habitants d’Afrique subsaharienne cuisinent avec des combustibles solides
- Mais ces sources d’énergie contribuent à la pollution atmosphérique et ont des effets néfastes sur la santé
- Les scientifiques appellent les décideurs africains à s’attaquer de front au problème
... De manière générale, les études portant sur les déterminants de l’épidémie du VIH/SIDA suivent deux grandes directions. La première direction considère que ce sont les comportements à risque des individus qui conduisent à la transmission du virus alors que la seconde direction attribue les infections à la qualité de l’environnement dans lequel évoluent les individus.
... Stillwagon (2000) abonde dans le même sens puisqu’elle se méfie de l’« exceptionalisation » de l’épidémie africaine du VIH/SIDA. Pour elle en effet, il faut avant tout s’intéresser aux conditions sanitaires et économiques quand on étudie les déterminants de l’épidémie. Ainsi, les discriminations de genre, la malnutrition et les parasitoses, le manque d’hygiène et de soins pour les IST sont de la plus haute importance, d’autant plus que ces caractéristiques se retrouvent également dans d’autres parties du monde qui font face à une épidémie émergente du VIH/SIDA.
... Dans la plupart des pays qui font face à une épidémie généralisée, la propagation du VIH/SIDA va de pair avec des taux élevés de pauvreté et par conséquent des conditions de vie déplorables, un niveau élevé des inégalités de revenu et de genre, une transition épidémiologique incomplète qui se traduit par la prévalence élevée des maladies infectieuses et une connaissance de l’épidémie encore inadéquate (PNUD, 2003). Alors, voilà, que fait-on de ces informations parfaitement bien documentées ? Le « virus » a vraiment le dos large. Pour venir en aide à ces populations il faudrait s’intéresser de près à leur nutrition à leur hygiène à leurs conditions de vie. Mais, si le « virus » entre dans la valse, ces pauvres gens vont bénéficier d’un « vaccin ». C’est puant et désespérant. -
19 pi ou@Legestr glaz
Les virus ne seraient donc pas pathogènes comme les scientifiques le croient, je n’ai pas les billes pour argumenter la dessus, et pas le temps de les acquérir.
Mais cela ne remet pas en question le fait que nous sommes le vecteur de transmission principal de certaines maladies comme le Sida, le Covid 19 ou la grippe. -
@Iris
Comprendre que le niveau de pollution n’est pas le plus remarquable. Il faut un phénomène « d’inversion thermique » pour que la pollution ne puisse pas s’échapper vers la haute atmosphère.
Une région comme Milan, pratiquement toujours fortement polluée, serait une région à mortalité excessive. Il se trouve que la pollution, même augmentée, s’évacue vers les couches supérieures de l’atmosphère.Pour comprendre les méfaits de la pollution il faut donc mettre en perspective le niveau de pollution et la présence d’une inversion thermique.
Avez vous vérifié les taux de pollution à Grenoble en lien avec des inversions thermiques au cours de l’année 2020 ? Si vous avez ces chiffres, ils m’intéressent. (copié-collé : Une ville comme Grenoble est particulièrement concernée par les inversions thermiques et la pollution, et pourtant elle a été plutôt peu affectée. )...Je trouve ceci qui ne correspond pas à ce que vous écrivez : ... L’Insee a répertorié le nombre de décès dans tous les départements de France depuis le 7 mars dernier en les comparant avec ceux de 2019 et 2020. Dans nos départements, on se rend compte que l’Isère, département le plus peuplé d’entre eux, est loin devant les autres avec 8075 décès au 28 novembre.
https://www.ledauphine.com/societe/2020/12/16/morts-coronavirus-covid-19-drame-tragedie-maladie-pandemie-vaccin-haute-savoie-ain-savoie-isere-drome-ardeche-vaucluse-hautes-alpes-alpes-de-haute-provence-nombre-de-deces-dans-nos-departements-depuis-mars-2020-l-isere-loin-devant -
@Iris
Vous n’avez pas tout lu ce que j’ai posté. Je vais donc m’arrêter là. Pour me résumer : les virus n’existent « qu’in silico ». De ce fait tout ce qui peut être dit les concernant est aussi objectif que ce qui est dit concernant les licornes.
Les êtres humains ne sont jamais le vecteur de transmission de maladies. Jamais. Difficile d’admettre ce postulat tellement la désinformation est totale sur le sujet. Ni le SIDA, ni la grippe, ni le covid ne sont des maladies « transmissibles ». Tout est affaire de puissance du système immunitaire.
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@Legestr glaz
Arrêtons la vous avez raison.
Pas de doc spécifique sous la main concernant l’inversion thermique, c juste très connu dans cette ville de Grenoble entourée de montagnes :
Je me suis basé sur ça pour l’affectation par department :
https://www.data.gouv.fr/fr/reuses/covid-19-carte-des-cas-en-france-metropolitaine/
mais c trompeur de prendre par département. Grenoble étant une des villes très polluée en France, il est probable que son taux de mortalité Covid ne soit pas très bon.J’ai trouvé ca aussi :
### 1. **Île-de-France**
- **Paris** et les départements voisins comme la **Seine-Saint-Denis** et le **Val-de-Marne** ont eu des taux de mortalité élevés, en particulier durant les premières vagues de la pandémie. La densité de population et les conditions socio-économiques ont été des facteurs clés.
### 2. **Grand Est**
- **Haut-Rhin** et **Bas-Rhin** ont été parmi les régions les plus touchées au début de la pandémie. Ces zones ont vu une forte transmission communautaire et une mortalité importante.
### 3. **Auvergne-Rhône-Alpes**
- Des villes comme **Lyon** et des départements comme la **Savoie** et la **Haute-Savoie** ont enregistré des taux de mortalité significatifs, notamment pendant les vagues ultérieures.
### 4. **Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA)**
- **Marseille** et les Bouches-du-Rhône, ainsi que **Nice** et les Alpes-Maritimes, ont eu des taux de mortalité élevés, particulièrement lors des pics de contamination.
### 5. **Occitanie**
- **Toulouse** et l’**Hérault** ont également connu des taux de mortalité COVID-19 élevés. La région a été touchée de manière variable selon les vagues.
### 6. **Hauts-de-France**
- **Nord** (y compris des villes comme **Lille**) et **Pas-de-Calais** ont connu des taux élevés. La proximité avec la Belgique, où des taux élevés étaient également enregistrés, a pu contribuer à la situation.
### 7. **Bourgogne-Franche-Comté**
- **Doubs** et **Jura** ont eu des taux de mortalité importants, en particulier pendant la deuxième vague.
### 8. **Normandie**
- **Seine-Maritime** et **Calvados** ont également enregistré des taux élevés, notamment en fin de deuxième et début de troisième vagues.
### 9. **Nouvelle-Aquitaine**
- **Gironde** (incluant **Bordeaux**) a vu un accroissement des taux de mortalité lors des vagues ultérieures.
### 10. **Centre-Val de Loire**
- **Loiret** et **Eure-et-Loir** ont connu des mortalités significatives lors des périodes de forte contamination.
Grenoble n’est pas cité mais devrait être guère meilleur que Lyon.
De toutes façons ça ne change pas grand chose, pour la nième fois je suis entièrement conscient de l’importance de l’environnement dans le développement de la maladie.
C’est juste votre dénis à accepter la transmission que je conteste.Le Covid19, les grippes et le SIDA sont définitivement des maladies transmissibles dont nous sommes le principal vecteur. Lorsque j’argumente sur ce point vous ramenez systématiquement le focus sur les virus et l’environnement alors que mon point de vue sur ces 2 points est complètement compatible avec le votre.
Je n’imaginais pas pouvoir vous convaincre de toutes façons, vous semblez tellement investi...
Vous êtes resté correct dans l’ensemble je vous en remercie.
Bonne soirée -
@Legestr glaz " Ni le SIDA, ni la grippe, ni le covid ne sont des maladies « transmissibles ». Tout est affaire de puissance du système immunitaire. "
Mais tu te défiles piteusement lorsqu’on te propose de mettre ton système immunitaire à l’épreuve du VIH !
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@Legestr glaz
Vos compétences manifestes en matière de biologie et de virologie me rappellent un certain Dr X.
D’où la question suivante : pensez-vous également que la terre soit creuse ?
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@pemile
N’inversez pas les rôles pemile : vous avez fui la queue entre les jambes ma proposition.
Vous allez revenir à la charge avec votre opinel ? Vous me faites marrer, coefficient 120 ! .Se faire évaluer à l’aide d’un test PCR pour savoir si le « virus » identifié « in silico » nous rend malade sans même nous en rendre compte !
Votre « proposition » était d’une nullité absolue. A votre place je me ferais discret. Mais non, pemile reste pemile.
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@Astrolabe
Quel rapport ? Je vous parle biologie et biochimie. Vous confondez les matières mais je ne vous en veux pas. Et vous, vous pensez que la Terre soit creuse ?
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@Astrolabe
Encore une chose : vous avez omis de me demander si j’étais reptilien, raciste, fasciste, antisémite ou négationniste ? Un oubli de votre part ? Vous me décevez.
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@Legestr glaz « N’inversez pas les rôles pemile : vous avez fui la queue entre les jambes ma proposition. »
Il n’y a donc pas qu’avec la science que tu es fâché, mais aussi avec la mémoire et la réalité !
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@Legestr glaz
" vous avez omis de me demander si j’étais reptilien,
"
Aucune chance !
Tout le monde sait ici que vous êtes un crustacé déniant l’existence des virus, leur transmission, ..etc....
Une sorte de ravi d’agogoravox, qui a raison contre tous les scientifiques de la planète sur ces sujets .
Un vrai mètre étalon de l’ultracrépidarianisme.
Votre place est à Sèvres
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@pemile
Le « sidaction », la machine à faire du fric pour lutter contre un « virus in silico » ! Je ne suis pas fâché du tout, je suis lucide, contrairement à d’autres.
Cherchez la définition de « in silico » puisqu’il semble que cette notion vous soit étrangère.
Contrairement à vous, j’ai de la mémoire et je suis en phase avec la réalité, pas avec des processus « in silico ». Dommage pour vous.
PS : le jour où l’on acceptera d’aider les Africains souffrant de famine et/ou de malnutrition, le « sidaction » aura fait un immense pas dans le sens de l’éradication de ce que l’on appelle SIDA. C’est ignoble d’abandonner ainsi des gens miséreux à leur triste sort pendant que d’aucuns se pavanent lors des « sidactions ». Toute vérité n’est pas bonne à dire, mais j’assume ce que j’écris : lutter contre le SIDA en Afrique, c’est venir en aide aux populations pauvres, démunies, en luttant contre la malnutrition et le manque d’hygiène. Tout le fric du « sidaction » qui est englouti dans la recherche « virale » et les « vaccins » est une monstruosité lorsqu’on sait que la nutrition et l’hygiène sont au centre de cette affaire et que rien n’est fait dans ce domaine. Chacun sa morale pemile.
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@Astrolabe
copie-collé : Une sorte de ravi d’agogoravox, qui a raison contre tous les scientifiques de la planète sur ces sujets
Pas tous, un petit village de scientifiques résiste. Ce sont ces auteurs qui m’inspirent. Il semblerait que vous ne les connaissiez pas. Je poste beaucoup de liens. Peut être que vous n’avez pas les compétences pour comprendre et c’est ainsi que vous parlez « d’ultracrépidarianisme » ?
Vous ne vous rendez pas compte que vous êtes victime de l’effet « Dunning Kruger ». Répondez par des arguments à mes posts et aux liens qu’ils contiennent. Lorsque vous le ferez, je comprendrai que je me suis trompé sur vous concernant l’effet « Dunning Kruger ». Dans l’attente, c’est ce qui vous caractérise.
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@Iris
Vous avez perdu beaucoup de temps à compiler ce genre d’info. Ce n’était pas utile puisque des chercheurs de l’INSERM et du CNRS ont fait ce travail et ont déterminé, pour 32 régions d’Europe, qu’il y avait une corrélation exacte entre taux de pollution atmosphérique et taux de mortalité dans ces régions.Relation between PM2.5 pollution and Covid-19 mortality in Western Europe for the 2020-2022 period
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048969722046770... Les taux de mortalité hivernale dus aux infections respiratoires sont plus élevés dans les régions où le froid est sec et où l’inversion thermique est fréquente et forte. C’est le cas dans le grand est, dans la région Rhône-Alpes-Auvergne et beaucoup moins en Bretagne où la pluie et le vent sont salvateurs.
Un tableau qui montre l’incidence des décès « covid » par région en France
https://fr.statista.com/statistiques/1104163/deces-coronavirus-region-france/
Evidemment, le nombre d’habitants par région influe énormément sur le nombre de morts mais la pollution, l’inversion thermique et le nombre d’obèses dans ces régions, sont les meilleurs marqueurs.
... Entre « matières particulaire polluantes » et « virus » mon coeur balance. Et chez vous ? En fait, chez moi pas vraiment : ... « Les études épidémiologiques ont constamment montré une association entre la pollution atmosphérique particulaire et non seulement les exacerbations de la maladie chez les personnes souffrant de maladies respiratoires, mais également l’augmentation du nombre de décès dus à des maladies cardiovasculaires et respiratoires chez les personnes âgées.
Les méta-analyses de ces études indiquent qu’il est peu probable que les associations soient expliquées par un facteur de confusion et suggèrent qu’elles représentent une cause et un effet. Nous proposons que l’explication réside dans la nature du nuage de particules urbain, qui peut contenir jusqu’à 100 000 particules de taille nanométrique par ml, dans ce qui pourrait être une concentration gravimétrique de seulement 100 à 200 microgrammes/m3 de polluant. Nous suggérons que de telles particules ultrafines soient capables de provoquer une inflammation alvéolaire, avec libération de médiateurs capables, chez les individus sensibles, de provoquer des exacerbations de maladies pulmonaires et d’augmenter la coagulabilité du sang, expliquant ainsi également l’augmentation observée des décès cardiovasculaires associés aux épisodes de pollution urbaine.
Cette hypothèse est vérifiable à la fois expérimentalement et épidémiologiquement. »... Une cause et....... un effet, bigre ! On y apprend que « constamment », les « études » ont montré que les matières particulaires de la pollution atmosphérique provoquent :
1°) Un exacerbation des maladies respiratoires chez les personnes souffrant de maladies respiratoires
2°) Une augmentation des décès due à des maladies cardio-vasculaires chez les personnes âgées
3°) Une augmentation des décès due à des maladies respiratoires chez les personnes âgées
4°) une inflammation alvéolaires (concerne les particules de taille nanométrique = ultrafines)
5°) Exacerbent les maladies pulmonaires
6°) Augmentent la coagulabilité du sang
7°) Augmentent les décès cardio-vasculaires
8°) Ces hypothèses sont vérifiables expérimentalement et épidémiologiquement.
Mais lorsque l’on parle « virus » on ne parle pas « pollution atmosphérique ». Dans le premier cas, c’est « pas de chance », personne à incriminer. Dans le second, les différents « acteurs » de la pollution atmosphérique portent une très sérieuse responsabilité de laquelle les « virus » les dégagent.
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@Legestr glaz
Pour comprendre le phénomène des scientifiques « pour ou contre », il faut réfléchir à ce qui suit :
Untel, doué dans ce domaine et extrêmement motivé engage un long cursus d’études relativement difficiles dans lequel on lui enseigne principalement la doxa.
« Pourquoi lui enseigne-t-on principalement la doxa ? » diront certains . Réponse au point 2.Comme Untel est humain, si ses aptitudes et démarches personnelles l’amènent à douter, un choix s’offre à lui : sortir des sentiers battus et dénoncer la doxa (il sera alors ostracisé*, banni des médias, carrière au point mort et finies les subventions ou quasiment.
Si par exemple, il établit un lien entre (liste non exhaustive) la sous-alimentation et les contaminations de l’eau et des sols par des gentils exploitants occidentaux en Afrique avec la terrifiante « fièvre hémorragique », il peut également décider de mettre sa conscience de côté et choisir de rentrer dans le rang avec tous les bénéfices qui en découlent, par exemple
2 occuper un poste lucratif ainsi que mondialement reconnu, poste où il orientera la nouvelle vague de « chercheurs » en veillant au bon respect de...la doxa...
* Il suffit de lire les commentaires sur ce site pour comprendre combien l’ostracisation des penseurs non conformes est puissante, relayée qu’elle est par de petites mains bénévoles commandées par des cerveaux le plus souvent dépourvus d’esprit critique
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@Legestr glaz « Cherchez la définition de « in silico » puisqu’il semble que cette notion vous soit étrangère »
Encore une belle inversion de réalité, c’est bien une démonstration in vivo que je te proposais et que tu as piteusement fui !
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@pemile
in silico pemile, in silico. Par conséquent les tests PCR qui détectent des « virus in silico » vous pensez bien que je m’en balance.
Le pemile qui me proposait son canif pour une prise de sang. Une mauvaise blague. C’est désopilant cette inversion des faits !
pemile 23 mars 09:47@Legestr glaz « Une « petite coupure » à un doigt et un contact sanguin avec un séropositif, d’accord. Mais comment je fais ça. J’ai besoin d’être guidé pemile »
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top !
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@Lynwec
Je partage votre analyse. Nous vivons dans un monde corrompu ou le fric est ultra dominant.
Les « virus in silico » permettent de botter en touche et de faire un tour de prestidigitation. Les meilleurs illusionnistes savent comment détourner l’attention pour parvenir à leurs fins.
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@Legestr glaz
Je suis convaincu qu’il y a une corrélation forte entre le développement des maladies et la polution.Admettons que les virus ne soient finalement qu’un modèle, in silico comme vous le dites.
En quoi cela prouve t-il que le SIDA n’est pas transmis par les relations sexuelles non protégée et les injections ?
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@Iris
En quoi cela prouve t-il que le SIDA n’est pas transmis par les relations sexuelles non protégée et les injections ?
Parce queue..
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@Legestr glaz « in silico pemile, in silico. »
wiwi, mais si tu es fâché avec le in silico, pourquoi refuses tu piteusement de nous faire une démonstration in vivo ?
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@Legestr glaz « Une « petite coupure » à un doigt et un contact sanguin avec un séropositif, d’accord "
Tu déclarais être d’accord mais tu t’es bien défilé piteusement, jouer au docteur de façon anonyme sur AVox à ses limites !
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@Iris
C’est la question inverse qu’il faudrait se poser : qu’est-ce qui prouve que le SIDA est transmis par les relations sexuelles ?
Il faudrait en tout premier lieu prouver que c’est ce VIH qui provoque la maladie SIDA. Ceci n’a jamais été réalisé.
Par ailleurs, pouvez me communiquer les « symptômes » spécifiques de cette maladie appelée SIDA. Les connaissez-vous ?
Si vous voulez en savoir davantage.
https://www.amazon.fr/Linvention-du-virus-sida/product-reviews/2874341266/ref=cm_cr_unknown ?filterByStar=five_star&pageNumber=1
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@Legestr glaz
Même dans ta façon de te défiler tu es pitoyable !
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@Iris
Et puis il y a ceci sur le SIDA :
Près de deux décennies d’efforts de recherche sans précédent qui ont coûté plus de 50 milliards de dollars aux contribuables américains n’ont pas réussi à vaincre le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) et n’ont pas réussi à expliquer la chronologie et l’épidémiologie du SIDA en Amérique et en Europe. L’échec de la guérison du SIDA est si complet que la plus grande fondation américaine de lutte contre le SIDA l’exploite même pour collecter des fonds : « Dernières statistiques sur le SIDA : 0 000 000 de personnes guéries ». Soutenez un remède, soutenez l’AMFAR.
La base scientifique de tous ces efforts infructueux a été l’hypothèse selon laquelle le SIDA est causé par un virus sexuellement transmissible, appelé virus de l’immunodéficience humaine (VIH), et que cette immunodéficience virale se manifeste dans 30 maladies microbiennes et non microbiennes du SIDA connue. Afin de développer une hypothèse résultant du SIDA, nous avons considéré dix faits pertinents que les patients américains et européens atteints du SIDA ont, ou n’ont pas, en commun :
(1) le SIDA n’est pas contagieux. Par exemple, pas un seul professionnel de la santé n’a contracté le SIDA parmi plus de 800 000 patients atteints du SIDA en Amérique et en Europe.
(2) le SIDA est très non aléatoire en ce qui concerne le sexe (86 % d’hommes) ; persuasion sexuelle (plus de 60 % d’homosexuels) ; et l’âge (85 % ont entre 25 et 49 ans).
(3) Depuis ses débuts en 1980, l’épidémie de sida a progressé de manière non exponentielle, tout comme les maladies liées au mode de vie.
(4) L’épidémie est fragmentée en sous-épidémies distinctes avec des maladies exclusives définissant le SIDA. Par exemple, seuls les hommes homosexuels sont touchés par le sarcome de Kaposi.
(5) Les patients n’ont en commun aucune des 30 maladies définissant le SIDA, ni même une immunodéficience. Par exemple, le sarcome de Kaposi, la démence et la perte de poids peuvent survivre sans immunodéficience. Il n’existe donc pas de maladie spécifique au SIDA.
(6) Les patients atteints du SIDA ont en commun des anticorps contre le VIH uniquement par définition et non par coïncidence naturelle. Les maladies définissant le SIDA chez les patients non infectés par le VIH sont appelées par leurs anciens noms.
(7) La consommation de drogues à des fins récréatives est un dénominateur commun à plus de 95 % de tous les patients américains et européens atteints du SIDA, y compris les homosexuels masculins.
(8) Les prescriptions à vie de médicaments anti-VIH inévitablement toxiques, tels que l’AZT, un terminateur de chaîne d’ADN, sont un autre dénominateur commun des patients atteints du SIDA.
(9) Le VIH s’avère être un marqueur de substitution idéal pour la consommation de drogues récréatives et anti-VIH. Étant donné que le virus est très rare (< 0,3 %) dans la population américaine et européenne et qu’il est très difficile à transmettre sexuellement,seuls ceux qui s’injectent des drogues illicites ou qui ont plus de 1 000 contacts sexuels typiquement liés à la drogue sont susceptibles de devenir positifs.
(10) L’immense littérature sur le SIDA ne peut pas offrir ne serait-ce qu’un seul groupe statistiquement significatif de patients atteints du SIDA sans drogue en provenance d’Amérique et d’Europe.Compte tenu de cela, nous proposons que la consommation à long terme de drogues récréatives (telles que la cocaïne, l’héroïne, les nitrites inhalés et les amphétamines) et la prescription de médicaments interrompant la chaîne de l’ADN et d’autres médicaments anti-VIH sont à l’origine de toutes les maladies liées au SIDA en Amérique et Europe qui dépassent leurs origines nationales établies de longue date, soit > 95%.
Des médicaments chimiquement distincts provoquant des maladies distinctes définissant le SIDA ; par exemple, les nitrites inhalés provoquent le sarcome de Kaposi, la cocaïne entraîne une perte de poids et l’AZT provoquent une immunodéficience, un lymphome, une atrophie musculaire et la démence. L’hypothèse de la drogue prédit que le SIDA :
(1) n’est pas contagieux ;
(2) n’est pas aléatoire, car 85 % des drogues provoquant le SIDA sont consommées par des hommes, en particulier des homosexuels sexuellement actifs entre 25 et 49 ans, et
(3) suivrait chronologiquement les épidémies de drogue.En effet, le nombre de cas de sida est passé d’un nombre négligeable au début des années 1980 à environ 80 000 cas annuels au début des années 90, pour ensuite décliner jusqu’à environ 50 000 cas (chiffres américains). Au cours de la même période, les consommateurs de drogues récréatives sont passés d’un nombre négligeable à des millions à la fin des années 1980, et ont depuis diminué, peut-être par deux. Cependant, le sida a moins diminué parce que depuis 1987, un nombre croissant de personnes séropositives pour la plupart en bonne santé, actuellement environ 200 000, utilisent des médicaments anti-VIH qui provoquent le sida et d’autres maladies.
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@Legestr glaz
Le système immunitaire du bon docteur Homard bleu ne craint pas le VIH mais flippe d’une petite coupure d’un opinel ?
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top -
@Legestr glaz
qu’est-ce qui prouve que le SIDA est transmis par les relations sexuelles ?
M’enfin, la simple observation de la propagation de la maladie le démontre !
Par exemple, pas un seul professionnel de la santé n’a contracté le SIDA parmi plus de 800 000 patients atteints du SIDA en Amérique et en Europe.
C’est complètement faux, il y en a eu bien sûr ! Ca va trop loin pour moi, je jette l’éponge.
Bonsoir
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@Legestr glaz
CQGF, le bon docteur Homard bleu veut nier les contaminations par le VIH, fait le paon anonymement sur AVox avec ses pseudos cours de virologie mais se défile bien piteusement !
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@Iris
Vous jetez l’éponge de quoi ?
Je donne des informations, chacun en fait ce qu’il veut. Ce que vous écrivez je l’ai lu et vérifié des centaines de fois.
Ce que j’écris, je l’écris parce que j’ai réalisé des mises en perspective en m’appuyant sur des centaines d’articles scientifiques, en confrontant les options des uns et celles des autres. Une vérité se dégage de tout ça. Elle n’est pas la vôtre, tant pis. Mais vous n’avez pas à jetez l’éponge parce que votre documentation est bien trop maigre et même inconsistante pour pouvoir en tirer la moindre conclusion. N’en prenez pas ombrage.Un peu d’information : « La théorie VIH du SIDA, incohérence scientifique ! - La science a-t-elle vendu son âme au diable ? »
... « Ce livre est une démonstration de l’indigence scientifique de la théorie VIH/SIDA selon laquelle séropositivité = SIDA = infection rétrovirale mortelle. Osant affronter une formidable forteresse d’intérêts et de partis pris, Rebecca Culshaw fait une analyse de ce qui lui apparaît, après dix ans de recherche approfondie sur le sujet, comme une véritable tromperie. Nombreuses failles et incohérences dans l’argumentation, manque de logique et logique circulaire, affirmations sans preuves, refus de débattre avec les scientifiques contestataires, rejet sans examen de tous leurs arguments et objections, le réquisitoire est long, précis et sans concession.
Et le constat est accablant : les principes de base de la science sont reniés, la rigueur de la pensée est oubliée, l’esprit de la science est trahi.
En conséquence, chacun est en droit de mettre en doute tout ce que nous avons, depuis des décennies, été habitués à entendre sur la séropositivité et les tests, sur le SIDA et ses causes, sur les statistiques épidémiologiques, sur les traitements antirétroviraux, etc... Et le lecteur est invité à exercer son propre esprit critique, sa liberté de penser et son bon sens. »...
https://www.decitre.fr/livres/la-theorie-vih-du-sida-incoherence-scientifique-la-science-a-t-elle-vendu-son-ame-au-diable-9782874340437.html?srsltid=AfmBOoreU5OXuixTI69t4LfxT4h8-rk9MCj4l3Gibt9KJnUkDjd5jidi -
@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@Iris
... le SIDA ne se transmet pas sexuellement, contrairement aux autres IST (gonorrhée, syphilis, etc.). Plusieurs centaines de rapports médicaux ont été établis à propos de prostituées africaines, états-uniennes, européennes et asiatiques, ainsi que sur des couples séro-différents, uniquement les personnes consommatrices de drogues ont les syndromes du SIDA.
... Dans le cas du VIH, on ne sait pas ce qu’on mesure puisque ce très hypothétique virus n’a jamais été vu, isolé ou cultivé ! Kary Mullis a toujours refusé de donner son aval pour l’utilisation de sa technique dans le cas du VIH !
... « Le ’SIDA’ a toujours existé, c’est un nouveau nom qui sert à étiqueter d’anciennes maladies (tuberculose, paludisme, immunodépression... environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclus ces maladies est de plus en plus allongée, ce qui permet d’essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80’. Si une personne est atteinte de la tuberculose et qu’elle est séropositive, on dira qu’elle a le SIDA. Mais si elle est séronégative on dira qu’elle a la tuberculose. Même chose pour les autres maladies. »... -
@Legestr glaz
Ton disque est rayé ?
Ce petit rappel des bluffs pitoyables de not’ bon docteur Homard bleu te pose problème ?
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@Legestr glaz
Je jette l’éponge, je renonce à essayer de vous convaincre que nous sommes le vecteur principal de transmission de nombreuses maladies.
Je me sens impuissant devant vos dénis de réalité.
Et puis vous voir nier le fait que des professionnels de santé ont chopé le SIDA, certains en sont morts, ça a achevé de me décourager.
Si vous voyez Mike Tyson assommer son adversaire d’un uppercut vous me direz que c’est la clameur du public qui l’a mis KO ?
C’est du même ordre. La simple observation montre que nous nous contaminons les uns les autres, et la simple observation encore nous montre que la contamination n’est plus lorsque nous adoptons les bonnes mesure de protections. Les théories et les modèles scientifiques doivent vérifier l’observation, je ne vous apprends rien puisque vous semblez féru de science.Ne perdons plus notre temps.
Bonsoir à nouveau, cette fois je vous laisse le dernier mot. -
@Legestr glaz
Mes salutations, intéressant comme d’habitude et merci..
je cite : Et le constat est accablant : les principes de base de la science sont reniés, la rigueur de la pensée est oubliée, l’esprit de la science est trahi.
il n’y a pas de science pour moi, il y a oui des faits avérés, qui sont l’infini et avec notre pensée si limité par programmation, certains pensent saisir ce qui est infini...des mensonges bien sur, et un business derrière..ils seront toujours là tant que notre société , donc chacun, sera celle du Veau D’Or ou survivre immortellement en fuite de naître = mourir est posséder..et notre seule ligne d’horizon profonde, qui est profonde dans le sens de creuse..
c’est la base , cet état d’esprit va tout envahir y compris déséquilibrer l’humain mentalement et physiquement..
tout va servir pour que MOA j’ai plus...
cet aspect de nous n’intéresse personne, exceptions il y a systématiquement, car notre réel est ce mur que chacun construit autours de lui même car la vie nous effraye, pour essayer de se protéger..
l’autre devient alors un ennemi à éliminer..
bien sur comme il y a 12000 ans environ ca va très mal se finir mais l’orchestre du Titanic humain joue toujours..
reste une inconnue, que va faire ou pas L’Origine ultime au delà du temps ??
mes respects pour le travail , la patience ... -
@Iris
Iris qu’avez vous lu sur le sujet ? Ce que diffuse les « grands médias » ? Quelles sont vos connaissances sur le sujet ? Vous êtes vous arrêté un seul instant sur la processus d’isolement et de purification des « virus » ?
Qu’avez vous écrit dans vos posts qui pourrait permettre de me « convaincre » ? Rien. Vous rapportez la parole de la doxa dominante sur le sujet.Le SIDA c’est comme la grippe ou le covid : cela se voit que c’est transmissible n’est-ce pas ? Et bien non, c’est de la contre-information avec laquelle nous. devons vivre et qui permet à certains de se faire beaucoup de fric et à d’autres de prendre des mesures « autoritaires », le cas échéant. L’application de la médecine par les politiques a toujours été un domaine prisé des régimes totalitaires.
S’intéressez de près aux virus c’est s’intéresser à la santé des gens. Mais les « virus » sont l’arbre qui cache la forêt. Pendant que l’on évoque les « virus », à la manière dont vous le faîtes, il n’est plus question ni de famine, ni de malnutrition, ni d’hygiène, ni de p-pollution ni de stress oxydatif, ni de défense immunitaire. A combien de ces sujets vous êtes vous intéressé dans le détail ? Vous allez me le dire.
Le « déni de la réalité » vous le pratiquez bien mieux que moi. Malgré tous les liens que j’ai postés, que vous n’avez pas lus, parce que ces données scientifiques montrent qu’il n’y a pas de contamination ni de propagation virale, vous revenez, bien naïvement, m’écrire que je suis dans le déni alors que vous n’avez pas fait le moindre effort pour prendre connaissance des données scientifiques. Cela s"’appelle une fuite en avant, ou, mieux encore, de la dissonance cognitive. Mais peu importe, nous avons échangé.
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@Iris
Vous croyez que le mot « sida » correspond à quelque chose de défini ?
Vous croyez qu’un virus problématique a été identifié ?
Qu’une maladie peut être dépistée et que les tests de dépistage sont fiables ?
Qu’être séropositif est quelque chose de grave ?
Que le sida est contagieux ?
Que le monde de la santé s’affaire à éliminer une épidémie et que les traitements imposés vous donnent davantage de chances de survie ?
Vous avez encore des choses à apprendre.Toute l’épopée du « SIDA » est un conte à dormir debout, un scénario dont l’incroyable ridicule dépasse l’imagination. Les chercheurs, médecins et autres professionnels censés pourtant être informés à propos de ces sujets, sont impardonnables de maintenir la population dans le mensonge et condamnables au titre de crime contre l’humanité, pour promouvoir ou imposer des thérapies ouvertement criminelles.
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Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@Iris
Ca va trop loin pour moi, je jette l’éponge.
C’est ce qu’il y a de mieux à faire devant tant de mensonges..
Le bonhomme s’est trouvé sur Avox un petit espace où il joue au cador scientifique avec un jargon qui semble pointu mais qui n’est qu’un leurre on s’en aperçoit vite quand il balance des énormités..
À la base d’une telle attitude une belle pathologie mentale, à base de paranoïa, mégalomanie (petite élite ayant raison contre le monde entier), désir permanent de tout remettre en cause (cela semble valorisant d’être à part, principe même de toute attitude sectaire)..
Et pour supporters de tels tartuffes, d’autres tartuffes comme le Francis (même psychologie paranoïde) ou encore mieux le Géronimo, l’auto-proclamé chamane de pacotille ayant eu des révélations en fumant le calumet de la paix et nous abreuvant ici de ses « analyses » de pointe sur les origines et le destin de l’homme..
On a les supporters qu’on peut hein.. C’est pas brillant mais le homard se contentant de cadavres on fait avec ce qu’on trouve..
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@Legestr glaz
Ton disque est rayé ?
Ce petit rappel des bluffs pitoyables de not’ bon docteur Homard bleu te pose problème ?
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@Gollum
Le malade c’est celui qui, comme vous, quand il est à court d’arguments, psychologise son celui dont il veut avoir raison.
Votre façon de dire le Francis, le Géronimo, le Lestr glaz en dit long sur votre fanatisme à défendre des théories auxquelles vous n’y connaissez rien, en usant de moyens pitoyables et même contradictoires
Par exemple écrivez ici :’’À la base d’une telle attitude une belle pathologie mentale, à base de paranoïa, mégalomanie (petite élite ayant raison contre le monde entier), désir permanent de tout remettre en cause (cela semble valorisant d’être à part, principe même de toute attitude sectaire)’’
Et peu de temps auparavant vous écriviez cela :
’’Quand je dis que vous êtes complètement parano... Mais à un point.. Parano au point de gober un truc pondu de toute pièce. Suffit d’aller dans le sens du vent et le Francis gobe tout. ’’ (gollum 15 aout 13:43)
Faut-il que vous soyez stupide ou enragé ou les deux, pour ne pas comprendre que quiconque de donnerai la peine de vous lit attentivement verrait que vous radotez grave ?
Pauvre nase !
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@pemile 10:01
ton post est-ce pour prouver que tu es toujours vivant malgré tes 3 doses d’ARNm ?Il t’en reste encore 7 à prendre l’ami.
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@Francis, agnotologue
’Quand je dis que vous êtes complètement parano... Mais à un point.. Parano au point de gober un truc pondu de toute pièce. Suffit d’aller dans le sens du vent et le Francis gobe tout. ’’ (gollum 15 aout 13:43)
Si vous étiez un peu moins con (oui je sais c’est dur) vous auriez compris qu’il fallait contextualiser, le sens du vent dont je parlais ici c’est bien évidemment le sens du vent des pranoiaques à tendance sectaire ultra-minoritaire dont vous faites partie.
Il n’y a donc, de ce fait, aucun contradiction.
Et c’est bien ce que vous faites en effet. Dès qu’un abruti présente un truc « contestataire » vous vous précipitez dessus comme la vérole sur.. vous connaissez la suite. Et une fausse citation sans référence aucune vous gobez... et inventez de toute pièce une supposée censure ayant effacée les traces compromettantes.. dans la mesure où cela va dans le sens du vent des abrutis en question.
Sinistre crétin.
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top -
@Gollum
’’Si vous étiez un peu moins con (...) vous auriez compris qu’il fallait contextualiser, le sens du vent dont je parlais ici c’est bien évidemment le sens du vent des pranoiaques à tendance sectaire ultra-minoritaire dont vous faites partie.’’
— >
Ben voyons.
ps. Je ne répondrai pas à vos insultes, ce serait tomber avec vous dans le caniveau, votre milieu naturel.
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@leypanou « ton post est-ce pour prouver que tu es toujours vivant malgré tes 3 doses d’ARNm ? »
L’allemand de 62 ans qui s’est fait injecter 217 doses se porte bien non ?
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@Legestr glaz
mon pov’ homard, tu tournes en rond, prisonnier dans la nasse de tes trop nombreux mensonges ?
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@Gollum
Petit espace, c’est exact. Mais j’interviens ailleurs, dans des lieux moins étriqués.
Je m’intéresse, en réalité, au « métabolisme humain », ce que vous n’avez probablement pas compris. Pour être en bonne santé l’être humain résiste à son environnement grâce à un système immunitaire au fonctionnement sophistiqué.
Et qu’avons nous dans notre environnement qui agresse notre organisme et son fonctionnement métabolique ? En premier lieu l’alimentation, sur laquelle nous pouvons agir. Mais nous pouvons difficilement agir sur la pollution atmosphérique et sur les différentes radiations (électro-magnétiques, solaires voire nucléaires).Dans ces conditions, je me suis intéressé de « très près » au « stress oxydatif » et à la production par l’organisme de « radicaux libres » et autres « espèces réactives à l’oxygène ». Et vous Gollum, que savez vous de ces domaines ? Avez vous une petite idée sur la manière dont le stress oxydatif pénalise l’organisme humain ?
Que savez vous du métabolisme du glucose, avec la formation de produits finaux de la glycation avancée ? Que savez vous de la peroxydation lipidique ? Que savez vous des mécanisme de défense dans les voies respiratoires ?Tenez un petit cadeau pour vous mettre de bonne humeur :
Cancer as a metabolic disease : implications for novel therapeutics
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@pemile 11:03
tu n’es pas au courant qu’il y a 3 types de batch : un 1er type d’eau salée, un 2ème type avec de l’ARNm, et un 3ème type de véritable poison (Mike Yeadon avait dit que ça a été fait exprès pour cacher l’objectif).
S’il a reçu 217 fois d’eau salée, c’est normal donc, mais cela a échappé à ta perspicacité.
Il faut aller au-delà de ce que les médias disent l’ami. -
@Gollum
On est là pour échanger, même si ça parait vain avec cette personne, et d’autres. Je ne peux pas m’empêcher d’essayer de temps en temps, il faut dire que je ne suis pas du genre à croire tout ce qu’on me dit, et je crois qu’il est bon de questionner les théories scientifiques comme il le fait.J’ai essayé de le faire fléchir sur le seul point de la contamination mais il esquive, et revient éternellement sur les virus alors que je lui ai indiqué que je pouvais envisager qu’ils n’existent pas en tant qu’éléments pathogènes..
Ce dernier point le dérange particulièrement, car c’est un point central de son raisonnement : « Les virus n’existent pas donc la maladie n’est pas contagieuse ».Il fait également preuve de mauvaise foi, par exemple lorsqu’il fait dire à Montagnier ce qu’il n’a pas dit, ou qu’il prétend que je m’abrite derrière les virus.
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@Gollum
Et puis ceci encore Gollum. Dans le monde « occidental » une personne sur deux est en surpoids ou obèse. Mais il est plus important de parler des virus et des vaccins ! Je porte mon attention sur la santé métabolique parce que c’est elle qui est déterminante pour se maintenant en bonne santé.
- En 2022, 1 personne sur 8 dans le monde était obèse.
- L’obésité chez les adultes a plus que doublé à l’échelle mondiale depuis 1990 et l’obésité chez les adolescents a quadruplé.
- En 2022, 2,5 milliards d’adultes (18 ans et plus) étaient en surpoids. Sur ce total, 890 millions étaient obèses.
- En 2022, 43 % des adultes âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids et 16 % étaient obèses.
- En 2022, 37 millions d’enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids.
- Plus de 390 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans étaient en surpoids en 2022 et parmi eux, 160 millions étaient obèses.
... « L’inflammation d’origine métabolique est une caractéristique des maladies cardiovasculaires et du diabète sucré de type II. Plusieurs organes, dont le foie, les muscles squelettiques et l’intestin, jouent un rôle dans la génération et la progression de ces maladies. Cependant, il est devenu clair que l’accumulation de tissu adipeux, parfois à l’intérieur et autour de ces organes, est un moteur majeur du dysfonctionnement métabolique et inflammatoire. L’obésité, entraîne un dépôt important de tissu adipeux et des conséquences négatives sur la santé, en raison d’une surconsommation calorique chronique et d’un mode de vie excessivement sédentaire. À l’échelle mondiale, plus de 2,1 milliards d’adultes étaient en surpoids (IMC ≥ 25 à <30 kg/m 2) ou obèses en 2014. Ce nombre a augmenté régulièrement, les scores moyens mondiaux d’IMC standardisés selon l’âge augmentant respectivement de 0,4 et 0,5 kg/m 2chaque décennie chez les hommes et les femmes.
L’obésité se caractérise par un mauvais contrôle métabolique, un stress oxydatif, un dysfonctionnement mitochondrial, une altération de la fonction immunitaire et une inflammation chronique de faible intensité.
En particulier, il est bien établi que le tissu adipeux dans l’obésité contribue fortement à l’inflammation systémique chronique de faible intensité, qui peut entraîner un dysfonctionnement de plusieurs organes. L’un des principaux facteurs associés à l’inflammation du tissu adipeux induite par l’obésité est la dérégulation des populations de cellules immunitaires au sein de la fraction stromale tissulaire, qui contribue à la propagation d’un micro-environnement pro-inflammatoire qui se propage dans la circulation et d’autres organes.
Contrairement à la recherche centrée sur l’obésité, le rôle du dysfonctionnement immunométabolique du tissu adipeux dans le vieillissement humain a été largement inexploré. Chez les personnes âgées, de nombreux systèmes et processus biologiques deviennent dérégulés. En effet, la dérégulation immunologique associée à l’âge module puissamment l’inflammation systémique, le dysfonctionnement de plusieurs organes et la longévité. De plus, la modulation moléculaire des processus inflammatoires et métaboliques du tissu adipeux influence la longévité dans les modèles animaux, ce qui suggère que le tissu adipeux pourrait jouer un rôle important dans le processus de vieillissement.
Chez l’homme, une redistribution de l’adiposité associée à l’âge vers la cavité abdominale se produit indépendamment de l’obésité. Cependant, le rôle des cellules immunitaires résidant dans le tissu adipeux et l’interaction entre les processus métaboliques et inflammatoires dans le vieillissement du tissu adipeux sont mal caractérisés. »...
Il y a donc du boulot de réflexion pour faire les bonnes mises en perspective. Et, de ce point de vue, les « virus » sont négligeables.
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@Iris
Rien ne me dérange. Cette assertion est fausse. Les maladies ne sont simplement pas transmissibles. Je ne fais pas preuve de mauvaise foi. Je vous communique des liens. Concernant le professeur Montagnier : il suffit de l’écouter dans cette vidéo. C’est bien lui qui parle (et, l’avez vous remarqué, il évoque « déjà » Antony Fauci et Bill Gates).Non, je ne suis pas de mauvaise foi. Je l’ai simplement écouté. Et vous ?
Si vous connaissez des maladies transmissibles, donnez moi leur nom et « comment » elles se transmettent. Vous pensez que le SIDA est une maladie transmissible. Rien ne le démontre. Le scorbut « était » une maladie transmissible.
Je dois dire que dans ce domaine de la santé, les idées « alternatives » sont confrontées à la dure loi de Brandolini (La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des idioties est supérieure d’un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire).
Cela vaut-il le coup de répondre/réfuter un mensonge ou une fausse information ? Je pense que tout le monde mérite qu’on lui donne une chance, qu’on passe du temps à l’aider, argumenter, débattre, échanger et s’auto alimenter de remarques constructives. Tout l’exercice repose dans un arbitrage de temps passé/gain. Nous devrions tous prendre le temps et faire l’effort de corriger la désinformation. Mais ceci a des limites. -
@leypanou
Le Covid-19 n’a pas fini de faire parler de lui. Si aujourd’hui, les cas graves sont beaucoup plus rares qu’au début de l’épidémie en 2020, depuis l’éclatement de cette dernière, au moins 13 maladies infectieuses auraient tendance à se développer davantage. Telle est la conclusion d’une sombre analyse réalisée par Airfinity et Bloomberg News, révélée le 14 juin. Parmi ces afflictions, on compte la rougeole, la coqueluche, la tuberculose, la dengue, le choléra ou encore la polio.
« Plus de 40 pays ou territoires ont signalé au moins une résurgence de maladie infectieuse, 10 fois ou plus par rapport à leur niveau de référence pré-pandémique », révèle le communiqué de presse. Pour en arriver à ces conclusions, ont analysé les données de plus de 60 organisations et agences de santé publique.
je ne mets même pas la source car c’est des affiliés à big pharma mais ça pose question quand même !!
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@Iris
Oui on est là pour échanger mais quand on est face à des intervenants à peu près sains et ça se raréfie singulièrement sur Avox, il ne reste plus que les exemplaires pathologiques quasiment.. Ce qui explique le désert qu’est devenu ce site.
Sinon d’accord que c’est un monomaniaque qui revient perpétuellement sur ces marottes.. Je soupçonne qu’il fut scientifique dans un labo, s’est mis des idées folles en tête et a finit par se faire lourder méchamment et depuis il cherche une revanche..
« Les virus n’existent pas donc la maladie n’est pas contagieuse ».
Oui alors que les preuves des virus sont innombrables..
Mais il y a mieux. Là il vient d’écrire (à 12h01) : Les maladies ne sont simplement pas transmissibles.
Phrase valable pour les bactéries donc.
Cette simple phrase suffit à balancer à la poubelle toute la glose, pléthorique, qu’il vient de m’adresser et à laquelle je ne répondrais pas, destinée à noyer les lecteurs sous une prose faussement savante, et afin de les impressionner.. en mettant l’accent sur l’obésité (réel problème sanitaire pas du tout minimisé contrairement à ce qu’il essaye de faire croire, cf nombreux reportages Arte là-dessus) afin de faire diversion.
Quant aux contaminations n’importe quelle famille sait pertinemment qu’un membre ayant eu une gastro entérite la refile à quasi toute la famille dans les jours qui suivent alors que cette gastro a 2 chances sur 3 d’être d’origine virale..
En bref ce mec se fout de la gueule du monde en prenant les gens pour des idiots car le simple bon sens suffit largement à infirmer ses affirmations folles.Quant à sa mauvaise foi elle est en béton. Sur ce, bon courage à vous si vous continuez la joute avec lui..
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@chat maigre
Ce qui pose surtout question c’est la destruction du système immunitaire. Les chiffres « officiels » ci-après sont impressionnants :
- En 2022, 1 personne sur 8 dans le monde était obèse.
- L’obésité chez les adultes a plus que doublé à l’échelle mondiale depuis 1990 et l’obésité chez les adolescents a quadruplé.
- En 2022, 2,5 milliards d’adultes (18 ans et plus) étaient en surpoids. Sur ce total, 890 millions étaient obèses.
- En 2022, 43 % des adultes âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids et 16 % étaient obèses.
- En 2022, 37 millions d’enfants de moins de 5 ans étaient en surpoids.
- Plus de 390 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans étaient en surpoids en 2022 et parmi eux, 160 millions étaient obèses.
Si, par ailleurs, nous tenons compte de la malnutrition, de l’hygiène et de la pollution (intérieure et extérieure), il ne faut pas s’étonner de voir des maladies progresser. Tuberculose, Dengue sont des maladies en lien très étroit avec la pauvreté, la malnutrition et l’hygiène. Et même la « rougeole » ! (Les enfants souffrant de malnutrition ou d’autres facteurs d’affaiblissement du système immunitaire sont les plus exposés au risque de décès par rougeole.)
Chacun fait ce qu’il veut de ces informations. Toujours tellement pratique d’accuser les « virus ».
Même en ces périodes de pollution à l’ozone, lorsque les gens développent une infection respiratoire en lien avec la pollution à l’ozone, il suffit d’un test PCR pour faire « admettre » que c’est un covid. C’est énorme mais ça passe dans le grand public.
(L’ozone est un gaz irritant pouvant pénétrer profondément dans l’appareil respiratoire. Ses propriétés oxydantes peuvent provoquer une réaction inflammatoire bronchique au niveau cellulaire, d’où une toux sèche et une gêne respiratoire. Des effets cardiovasculaires sont également constatés)
https://sante.gouv.fr/archives/archives-presse/archives-breves/article/recommandations-en-cas-d-episode-de-pollution-a-l-ozoneFace aux tests PCR, la réalité biologique s’efface.
https://respire-asso.org/tout-savoir-sur-la-pollution-de-lair/
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@Gollum
Les bactéries peuplent abondamment les organismes humains : dans les voies respiratoires, dans les intestins, dans tous les orifices d’ailleurs.
C’est notre système immunitaire, solide, qui les tient à l’écart, qui les empêche d’investir l’organisme. Les pneumonies, par exemple, qui sont le fait de bactéries, ne se développent que dans des organismes au système immunitaire défaillant. On ne se refile pas les bactéries, nous les portons, toujours et tout le temps. Mais nous faisons barrage lorsque notre système immunitaire est compétent.
Mais je ne suis pas certain que vous compreniez. Vous me faites sourire. Prenez donc rendez-vous auprès de « Dunning Kruger », vous pourrez faire le point sur vos approximations.
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@Legestr glaz
On ne se refile pas les bactéries, nous les portons, toujours et tout le temps.
Comme toujours généralisation abusive.
Nombre de consommateurs savent pertinemment que la gastro qu’ils viennent de choper l’hiver viennent d’huitres consommées, porteuses des germes, et qui passent dans l’organisme.
Cela m’est arrivé tellement de fois que j’en arrive à minimiser ma consommation d’huitres, à mon grand regret, et même à m’en passer complètement..
Bizarre depuis que je fais ça plus de gastro.. Pourtant ces bactéries, présentes dans mon corps depuis toujours selon vos dires, devraient se réveiller automatiquement, huitres ou pas non ?
Sacré Homard. Z’en tenez une couche. Mais sacrément épaisse hein..
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@Gollum
copié-collé : « Nombre de consommateurs savent pertinemment que la gastro qu’ils viennent de choper l’hiver viennent d’huitres consommées, porteuses des germes, et qui passent dans l’organisme. »
Je ne suis pas certain que vous ayez compris comment fonctionne une « gastro ».
Est-ce que vous avez compris que ce sont vos intestins que se vident ? Est-ce que vous avez compris que ce sont vos intestins que refusent d’accueillir ce que vous venez de leur proposer dans votre alimentation ? Est-ce que vous avez compris que c’est votre système immunitaire qui fait le tri ?Sérieusement Gollum, vous pensez que la « gastro » est contagieuse ? Puisque telle était la question préalable. Vous dérivez sérieusement, consultez votre boussole.
En Bretagne, lorsqu’il faut chaud, et oui cela arrive, certains bivalves, organismes fitrateurs, sont infestés par le dinophysis, une micro algue toxique. Et bien, si vous consommez ces coquillages, à ce moment là, vous chopez la « tourista ». Mais jamais vous n’allez la communiquer à votre voisin. Sauf si vous l’avez convié chez vous à manger ces coquillages. Ce qui ne serait pas sympa.
Si vous buvez de l’eau croupie, en Inde, vous allez vite vous vider. Mais quel rapport avec une transmission ? Eclairez moi de vos lumières Gollum.Sacré Gollum. Z’en tenez une couche. Mais sacrément épaisse hein. Dunning Kruger était encore à l’affût.
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@leypanou « tu n’es pas au courant »
Que sur AVox les infox fleurissent toute l’année ? Entre toi et not’ bon docteur homard bleu on est servi ! -
@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top
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@Legestr glaz
Tu as conscience que répéter 9 fois le même message prouve que ce petit rappel de ton bluff pitoyable te pose problème ?
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@Gollum
Et si vous ne mangez pas ces huitres vous serez quand même malade ?
Gollum, il faut revenir sur terre ! C’est en mangeant les huitres porteuses de toxines que les gens tombent malades. L’épidémie en question est due à la consommation d’huitres, pas à un transmission inter-humaine.
Vous allez y arriver, j’en suis certain. Continuez votre effort de compréhension.
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@chat maigre
Attendu que certains chercheurs en Allemagne (la flemme de retrouver le lien et si les ravis de la crèche préfèrent rester dans le déni, c’est leur choix) ont établi un lien entre la vaccination ARNm covid et une forme de syndrome immuno-déficitaire acquis, il est logique que les cobayes soient plus accessibles aux maladies ou au retour en force dans leur organisme de celles qu’ils avaient surmontées...
D’où l’épidémie de zonas, opportunément dissimulable sous la terrifiante variole du singe, épisode qui pourrait nous valoir une nouvelle campagne d’injections promue par Tedros et Bill la seringue...
Une fois de plus, il sera urgent d’attendre, à supposer que dans le IVe Reich européen, on ne nous injecte pas entre deux gendarmes sous les applaudissements de ce brave Emmanuel Lechypre, en extase à la vue de son rêve enfin réalisé...
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@pemile
Aucun problème, je t’aiderai avec mon opinel de bricolage qui ne devrait pas faire peur à ton système immunitaire au top -
@Legestr glaz
Tu as conscience que répéter 10 fois le même message prouve que ce petit rappel de ton bluff pitoyable te pose problème ?
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@Legestr glaz
Lorsqu’il avait 5 ans, nous avons momentanément retiré notre fils de l’école car il y avait des cas de variole dans sa classe.
Une semaine après il tombe malade de la variole. Nous le prenons dans notre lit pour le soulager les nuits où il était particulièrement pas bien.
Une semaine après il va beaucoup mieux, je pars en voyage une semaine, et deux jours après mon retour je tombe malade de la variole.
Que s’est-il passé d’après vous ? -
@Gollum
Une magnifique lien qui nous indique qu’une épidémie de consommation d’huitres intoxiquées a eu lieu.
Selon Gollum, c’est la preuve des maladies transmissibles. A ce niveau de réflexion je dois me retirer.... La plupart des espèces du phytoplancton sont totalement inoffensives.
Néanmoins, certaines espèces sont productrices de biotoxines (autrement appelées phycotoxines), qui peuvent s’accumuler dans les coquillages et représenter un risque sanitaire pour les consommateurs.
En Bretagne, les risques pour la santé humaine sont principalement associés au développement de microalgues rattachées à trois genres principaux :Dinophysis ; Alexandrium ; Pseudo-Nitzschia.
Nous savons, par conséquent, que les toxines bactériennes sont nuisibles à la santé (genre LPS par exemple) et nous savons que les toxines de micro algues sont également délétères pour la santé (genre dinophysis par exemple).
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@Iris
Une expérience personnelle ne fait pas la transmission.Mon fils est revenu de l’école avec le nez qui coulait. 2 jours après, notre plus jeune fils avait le nez qui coulait. Que s’est-il passé ?
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Et qu’ils en ont déduit que ? La vaccination n’est pas tombée comme ça par hasard elle fait suite à des constatations...
Ben voyons... Circulez y a rien à voir.. Pourtant votre citation elle n’a pas été inventée non ? (euh si en fait...) donc y a forcément une source.. Mais cette source authentique a disparu parce que.. des vilains ont fait le ménage..
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