La liberté de traitement médical est un droit de l’Homme fondamentale que la France piétine
Continuer ainsi au fil des années à tenir le même discours est une démarche bien peu respectueuse de l’intérêt public. Jules Renard la résumait très bien : « Le temps perdu ne se rattrape jamais. Alors, continuons de ne rien faire ».
Suite aux nouvelles lois votées et à venir, je n'ai pas pu me retenir de présenter mes arguments quant à la politique vaccinale ambiante en Europe actuellement, et aussi dans le monde occidental en général. Le 1er janvier 2018, 11 vaccins au lieu de 3 actuellement deviendront obligatoires en France, ceci arrive après l'Italie qui en rend 10 obligatoires, et l'Australie qui ne rend rien obligatoire mais interdit aux personnes (enfants) non-vaccinés, d'utiliser les services de la petite enfance et d'éducation et qui arrête aussi de verser les allocations familiales en cas de refus vaccinal de la part des parents, on estime que 10% des enfants australiens ne reçoivent de ce fait plus d'allocations. Les USA ne sont en reste avec des interdictions d'accès aux écoles, qui confrontent les parents aux problèmes d'obligation scolaire, avec un nombre d'enfants scolarisés à domicile qui explosent, le très démocrate Californie est là en pointe dans ce "combat".
crédit the guardian, https://www.theguardian.com/education/2015/aug/26/california-home-school-vaccine-law |
Papa depuis peu, j'ai aussi été confronté à cette question dès la naissance de ma fille (en fait, après avoir su ma femme enceinte). Inquiets, nous posions des questions à la sage-femme qui nous rendait visite. Nous avons bien compris que le thème des vaccins la mettait mal à l'aise, sa réponse fut cinglante : "Il y a plus que le pack de 8 vaccins et rien d'autres de nos jours, tout le reste existe plus, c'est comme ca". Vu comme cela, on en a plus jamais reparlé. Lors de notre première visite hors hôpital avec notre fille, chez le pédiatre, nous avons été bien reçus, les aiguilles attendaient sur la table, déjà déballées, préparées par l'assistante. Avant cette visite, nous avions inscrit notre fille dans ce cabinet et le pédiatre nous avait donné des fiches d'information de chaque vaccin à lire. Ces fiches comportaient les risques dûs aux maladies dont les vaccins protègent, mais aussi une partie sur les effets secondaires, assez succincte, mais sûrement mieux que bien des endroits. Nous avons dit ne vouloir pour les 3 mois de notre enfant, en faire aucun. On nous un peu regarder de travers... Moi je me suis senti un peu bête, je me disais qu'il y avait quand même bien des autres choses à vérifier chez ma fille avant non ? Elle grandit, elle mange bien, elle a des trucs pas normaux ? Ou alors elle a l'air en forme ? Au lieu de cela, on a eu droit à une explication que notre décision était très dangereuse. A 6 mois avec le grand espoir que nous ayons changé d'avis, cela a été pareil, puis à 1 an aussi.
Aussi nous a-t-on conseillé de commander nous-mêmes en pharmacie des tri-valents non-vendus/non-disponibles en Allemagne pour au moins faire le DTP. Là, il nous fallait écumé les pharmacies de Berlin, on nous a prévenu, ca va être dur ! (en dehors d'être illégal). Un vaccin avec un AMM -autorisation de mise sur le marché- en France ou ailleurs et pas en Allemagne, et bien l'Etat allemand ne prend pas de responsabilité en cas d'effets secondaires d'un vaccin avec AMM francaise, les parents sont en cas de problèmes, livrés à eux-mêmes, vive l'Europe. Ceci alors qu'il s'agit souvent de réétiquetage. (comme le Rouvax de Mérieux, qui a un autre nom sur le marché allemand, mais pas d'AMM sous ce nom, ici il s'appelle "Masern Impstoff-Mérieux" -Masern signifiant rougeole et Impstoff signifiant vaccin- est reste quasi introuvable, seul les tri et quadri-valents ROR et RORv sont disponibles, le nom allemand est MMR+Winpoken). Au passage, en Allemagne, aucun vaccin n'est obligatoire. Depuis ma fille est en jardin d'enfants.
calendrier vaccinale allemand |
Soit, tout cela fait, avec la conscience que le médecin n'a pas que cela à faire -répondre à nos 150 questions sur le domaine précis des vaccins- on se retrouve à chercher des infos, lire des choses, pour savoir ce qui est vrai ou pas, obligatoire, ou pas, dangereux ou non. Et on tombe sur des articles intéressants. Alors je ne suis pas scientifique moi-même, mais bon, de part quelques connaissances de base, je pense savoir ce qu'est sensé être un anti-corps...
l'absence d'alu est devenu un argument marketing |
Mais, je sais également que cela fait 5 ans -donc bien avant mon enfant- que je n'achète plus de déodorants avec 24h, 48h ou 72h sans mauvaises odeurs parce qu'ils contiennent des particules d'aluminium, je sais aussi que les thermomètres au mercure (je ne parlerai pas ici du mercure, ni du formol, interdit PARTOUT en médecine, sauf dans les vaccins) sont interdits depuis belle lurette et le dernier vu, était dans mon enfance chez mes parents, je sais que le plomb est interdit dans les peintures et l'essence "sans plomb" depuis que je suis né (il n'y a pas de plomb dans les vaccins, mais injecteriez-vous du plomb à vos gosses, sachant que 100 microg/litre de plomb reste toléré contre 10 microg/litre de sang d'alu et 2 microg/semaine pour le mercure selon l'OMS ?) et que nos arrivées d'eau sont faites en PVC ou en acier inoxydable soudés ou en cuivre, parce que le plomb, c'est pas top. Je sais que les orpailleurs qui utilisent du mercure pour aglutiner les paillettes d'or meurent jeunes et que ce mercure se retrouve dans mes soles (le poisson, sic !), qui est un "poisson-poubelle" vu qu'il mange ce qui traine sur le fond marin, et qu'il est déconseillé d'en manger trop souvent, car les métaux lourds ont tendance à finir sur les fonds marins en priorité. Mais bon, de là à me dire que les vaccins sont dangereux, ils contiennent que des mini-doses de ces produits, cela ne peut être mauvais, sinon ce serait interdit ! Pardi ! Ou je me trompe ?
Je ne peux resister plus longtemps en atteignant le paragraphe 4 de mon "article", et je me permets à tous ceux qui vont me lire, de prendre connaissance de cet article d'un médecin belge, L'aluminium et les vaccins, Jean Pilette. Ce texte a pour ma part, fait basculer définitivement mon avis. A la base, je ne suis pas pro-vaccin ni anti-vac, mais en tous les cas, je me pose des questions sur les vaccins et sur la manière dont ceux-ci sont actuellement proposés/produits/injectés.
Ce qui est très bien dans cette article médical, relativement facile à comprendre, c'est que le monde médical définit un taux d'empoisonnement à l'aluminium -en fait le monde médical définit une dose d'empoissonnemnt et/ou mortel pour bien des produits, donc celui qui nous occupe ici-, que son action est connue depuis longtemps, comme l'article le décrit, par contact cutané, en l'ingérant -par la bouche, par les poumons- et en l'injectant. Je m'intéresse pour ceux qui ne veulent pas tout lire au point précis des patients dialysés :
Chez les dialysés rénaux une série de troubles, essentiellement de trois types, apparaissaient après un certain temps : une anémie, une ostéomalacie (ramollissement des os) et une encéphalopathie (atteinte du cerveau) que l’on a aussi appelée « démence des dialysés » 1,2. On s’est aperçu que ces malades accumulaient l’aluminium. Leur système rénal ne parvenait pas à éliminer ce métal et la quantité importante d’aluminium que leur apportait l’eau de dialyse augmentait leur problème3,4. Il s’agissait donc d’une véritable intoxication à l’aluminium que l’on a cherché à traiter par des mesures diététiques 5 et avec des médicaments chélateurs de l’aluminium 6,7... L’aluminium peut s’accumuler dans de nombreux organes et y provoquer des dégâts. Les organes les plus souvent touchés sont le cerveau 35, les glandes parathyroïdes 1, les reins et les poumons. Il peut aussi s’accumuler dans les os 40 , plus particulièrement chez les dialysés diabétiques 41 .
Vous voyez, l'aluminium... c'est mal, c'est comme le drogue. De manière générale, une personne, saine, en bonne santé et n'ayant pas de problèmes de reins, ne prenant pas de médicaments qui soutiendraient un taux d'aluminium sanguin haut, ou n'évoluant pas dans un environnement pollué d'aluminium n'a RIEN à craindre, ce métal n'est pas un poison horrible qui va tuer l'humanité ! Bien, mais un patient dialysé présente des troubles qui sont à mettre en lien avec ce métal, l'aluminium, car ses reins ne l'évacue pas bien, il s'accumule.
Pour les dialyses rénales certains recommandent une eau contenant moins de 30 microg d’aluminium / litre, d’autres recommandent même moins de 10 microg / litre.
Tous les médicaments qui contiennent de l’aluminium, notamment les médicaments anti-acides, largement utilisés comme pansements gastriques, peuvent augmenter d’une façon non négligeable l’apport quotidien d’aluminium et constituer un facteur favorisant la maladie d’Alzheimer 76,92,93, aussi bien chez les patients qui ont une fonction rénale altérée que chez les personnes ayant une fonction rénale normale 94.
MAIS, LE PLUS IMPORTANT DE CET ARTICLE ARRIVE ENFIN.
On estime comme normal un taux d’aluminium sérique de 1 à 5 microgrammes par litre 106,128. Une étude polonaise cite, pour des adultes en bonne santé, le chiffre moyen de 2,25 microgrammes d’aluminium par litre de sérum 129 .
Les laboratoires d’analyses médicales indiquent comme limite supérieure de la normale 10 microgrammes d’aluminium par litre de sérum.
Un taux de 15 microgrammes d’aluminium par litre de sérum serait le taux maximum admissible 130 .
A partir de 60 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des symptômes neurologiques 130 .
Au-delà de 100 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des signes d’encéphalopathie 130 .
ET EST REPRIS ICI SOUS FORME DE TABLEAU
-
QUANTITE d’Aluminiumdans le sérum SANGUIN(en microg / litre)Significationde cette quantité1 - 5Taux normal10Limite supérieure de la normale15Taux maximal admissibleA partir de 60Taux à partir duquelles fonctions supérieures sont altérées (Troubles neurocognitifs et psychomoteurs )> 100Taux au-delà duquelpeut se voir une encéphalopathie(démence progressive,dégénérescence du système nerveux central)
Je vous demanderai de consulter vous-même la liste des poids (exprimé en microg) en ions d'aluminium ou en poids total pour l'oxyde ou le phosphate d'aluminium vu que la liste des vaccins est assez longue. Retenons toutefois que, déjà, les laboratoires semblent incapables de donner de manière précise, si la quantité s'exprime en Al+++ , donc l'aluminium seul, ou avec ses autres atomes sous sa forme de sel. Autre bizarrerie, des vaccins identiques mais juste réétiquetés, donnent des poids différents selon les pays alors qu'ils sont produits au même endroit, donc l'étude donne des poids pour Infanrix Hexa par exemple comme ceci :
NOM DU VACCIN
|
SEL(S) d’ALUMINIUM
Contenu(s) dans le vaccin
|
Poids du sel
(en microgramme)
|
Poids du métal (Al+++)
(en microgramme)
|
Infanrix Hexa
Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a-Méningite à Haemophilus b - Poliomyélite-Hépatite B
|
Hydroxyde d’Aluminium
Phosphate d’Aluminium
|
950
1.450
|
500
320
|
Là, déjà, vous voyez apparaitre un problème... Non ? Un tableur nous signale que médicalement, pour des dialysés, il est insupportable de dépasser longtemps 100 microg par litre de sang, et là, nous avons dans le scénario optimiste ne comptant que les ions, 500 + 320 microg d'Al dans ce vaccin. Donc 820 microg par dose de vaccin, contre 100 microg par litre de sérum sanguin médicalement toléré et encore.
ENSUITE, le pire arrive, car cette dose n'est pas corporel, mais elle est exprimée en aluminium par LITRE DE SANG. Un adulte en dispose au mieux de 6 litres de sang (entre 4 et 5 litres logiquement). Toutefois, un nouveau-né ne dispose que de +/- 250 ml de sang dans son corps, le quart d'un litre ! Dans le cas de l'Infanrix Hexa, et son scénario optimiste en ne comptant que les ions, nous serions donc 33 fois au-dessus de la limite médicale des 100 microg par litre de sang pour éviter un empoisonnement, pour un nourrisson disposant de 250 ml de sang. Nous serions 96 fois au-dessus de la limite en comptabilisant le poids en aluminium hydroxyde et phosphate.
Toutefois, l'étude rappelle qu'il reste possible, mais c'est peu/pas étudié, qu'une partie non-négligeable de l'aluminium reste dans le muscle, le tissu et ne passe pas de suite dans le sang avec un taux de 100%. Mais tout de même, c'est surprenant/troublant.
Le pire reste que cette disposition, la vaccination, est à répéter à 4 reprises (bizarrement 3 reprises en Autriche avec des écarts plus grands) concernant les premiers vaccins et 4 fois (3 fois en Autriche) avec le ROR. Plus tous les autres qu'on vous conseille de faire, pneumocoque, Rotavirus, grippe, HPV,... ne les oublions pas.
Au passage, tout parent a le droit de demander une prise de sang après chaque vaccin pour contrôler le taux d'anticorps de son enfant. Si ceux-ci sont satisfaisants, les rappels sont inutiles, votre enfant a réagi à l'injection.
PARTIE 2
Voila, donc supporter par la documentation médicale, le papier de M. Pilette nous montre que la Médecine s'est elle-même imposée une limite concernant l'aluminium et une limite de ce genre existe pour bien d'autres atomes/molécules qui peuvent interagir avec notre corps. Ce M. Pilette nous fait nous poser bien des questions. En reste une autre, de savoir si la Médecine en a connaissance, pourquoi persiste-t-on dans cette direction ? Ce Monsieur ne peut être classé anti ou pro, son long article renvoit à moultes autres publications aucunement classées comme "anti-vac", sauf à être anti-dialyse aussi, voir contre la médecine du travail, vu que son papier pourrait aussi aider les gens qui bossent en fonderie, qui découpent des chassis de fenêtres en alu à la journée longue, les réseaux de distribution d'eau,... et bien des professions qui touchent à notre fameux métal.
Un domaine parmi d'autres est celui des vaccins, qui reste à notre connaissance le seul à injecter dans le sang ce métal, les autres méthodes étant : posé sur la peau, ingéré/bu dans la nourriture ou encore respiré.
Et puis, un jour je tapote et je me retrouve sur une page intéressante.
Mais que serait ce joli monde sans une autre nouvelle, dont j'ai pris connaissance que bien tard. Les francais, cocorico, sont les inventeurs -vu que les effets cités pour l'aluminium sont connus depuis longtemps- d'un adjuvant formidable en apparence, mais d'abord :
Adjuvant vous savez tous : L’aluminium est ajouté aux vaccins dans le but d’augmenter la réaction du système immunitaire et de faciliter la production d’anticorps. Le but de tout vaccin est d’obtenir dans le sang un taux élevé d’anticorps dirigés contre l’agent infectieux injecté. Plus ce taux d’anticorps est élevé, plus le vaccin est considéré comme immunogène. C’est pourquoi les scientifiques recherchent des produits qui, mélangés aux autres composants des vaccins, forcent l’organisme à produire beaucoup d’anticorps. Ces produits sont appelés adjuvants d’immunité.
Voici une citation sur l'adjuvant vaccinale, on voit fait lire et croire que seul une possibilité existe dans ce bas monde. Déjà, je vois invite à taper "adjuvant immunologique" sur Wikipédia, pour voir qu'il en existe plus que UN SEUL. Dans le discours actuel, on a tendance à croire qu'il en existe un unique, l'aluminium. C'est faux.
Une phrase perdue dans l'article de Wikipédia, concernant un adjuvant même pas clairement référencé dans le listing wikipédia de bas de page :
L'institut Pasteur a aussi utilisé un adjuvant qui est le phosphate de calcium (substance naturellement présente dans le corps), abandonné dans les années 1990 après sa fusion avec le groupe Mérieux15.
Il existe donc -ô mon Dieu- aussi du Phosphate de calcium. Car comme dit dans l'article scientifique de M. Pilette, l'alu ne sert à rien dans notre corps -du moins jusque là, aucune interaction n'a été scientifiquement prouvée pour ce dernier- et pire, il peut prendre la place du Fer et peut devenir désastreux en interrompant la fonctionnement de certains organes qui ont besoin de Fer pour travailler. Sinon, il est souvent évacué naturellement, mais cela reste difficile en l'injectant dans le flux sanguin directement, donc il s'accumule souvent en grande partie à tout jamais dans le cerveau. L'avantage du Phosphate de calcium, le corps en a besoin et sait l'évacuer, il ne s'accumule pas et il aurait, les mêmes effets que l'Hydroxyde d'aluminium, ou le Phosphate d'aluminium quant à la création d'anticorps.
le fameux Ca3Po4 |
Une note aussi, Wikipédia vous expliquerait que certains adjuvants ont été abandonnés pour leurs effets désastreux possibles, comme le fameux squalène qui composait les vaccins de la guerre d'Irak administrés aux soldats US et qu'on soupconne d'avoir aider aux maladies auto-immunes des soldats après cette guerre. D'autres sont d'une efficacité douteuse. Mais dans le cas du Ca3Po4 on dit juste : "abandonner par Pasteur après sa fusion avec Mérieux".
Donc, le Ca3Po4, Phosphate de Calcium est-il mauvais ? Peut-être, mais dèja, on sait que le corps humain peut décomposer les molécules de Phosphate de Calcium, vu que Wikipédia nous dit
"Les phosphates de calcium sont des solides blanchâtres, ils composent la partie minérale de l'os et des dents. On trouve également du phosphate de calcium dans le plasma sanguin, et le cytoplasme.
Mais là, cela risque d'être moins difficile de vous convaincre de l'inocuité d'une molécule composant en grande partie notre corps, lisez si vous êtes intéréssé l'article par vous-même : cliquez ici
Je me permettrai de vous coller la conclusion du site -qui n'est pas contre les vaccins, mais pour les vaccins autrement- qui en parle bien mieux que moi, qui cite le professeur, dont on peut sûrement douter de la position anti-vac, vu qu'il a travaillé chez Pasteur avant son rachat par Mérieux. cliquez ici
Voir la vidéo : cliquez ici
En conclusion
Comme indiqué supra, l’Institut Pasteur a mis au point, au début des années 1970, des vaccins adsorbés sur phosphate de calcium (Vaccins dénommés IPAD = Institut Pasteur ADsorbés sur phosphate de calcium), face aux risques présentés par les sels d’aluminium.
Marc Girard (directeur scientifique en 1985 de Pasteur Vaccins – fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) a admis que les critères économiques avaient prévalu dans cette volonté d’imposer l’aluminium comme seul adjuvant.
Le phosphate de calcium est un adjuvant reconnu, efficace, ayant fait la preuve de son innocuité et ne présentant pas les effets délétères largement démontrés des sels d’aluminium. Il dispose de toutes les autorisations administratives nécessaires.
Pour des questions de Santé Publique, et en application stricte du principe de précaution, il est possible maintenant de transformer (dans des délais courts) des vaccins adsorbés sur hydroxyde d’aluminium en vaccins adsorbés sur phosphate de calcium.
Cela est notamment le cas des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio et la coqueluche, qui ont tous existé avec le phosphate de calcium comme adjuvant de 1974 à 1986.
Le retour dans de brefs délais de ces vaccins adsorbés sur un phosphate de calcium « classique » laisserait le temps pour que soient investigués les avantages (et/ou les inconvénients) du phosphate de calcium nanoparticulaire.
En janvier 1985, l’Institut Pasteur a été racheté par l’Institut Mérieux. L’Institut Mérieux a décidé de faire disparaître le phosphate de calcium des vaccins, malgré les alertes lancées par les chercheurs de l’Institut Pasteur.
Je citerai cette phrase qui résume bien le tout :
Continuer ainsi au fil des années à tenir le même discours est une démarche bien peu respectueuse de l’intérêt public. Jules Renard la résumait très bien : « Le temps perdu ne se rattrape jamais. Alors, continuons de ne rien faire ».
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