Invasive et dangereuse : la renouée du Japon

@troletbuse
 
bien vu.
 
L’imbécile c’est Fergus surpris ici, la main dans le panier des mensonges.

@Fergus
 
’’Je ne traite jamais de « complotistes » les gens qui ont des opinions différentes des miennes.’’
 — >
 Tu parles !
 
Le mec traite de complotiste toutes les opinions différentes des siennes, mais non, pas ceux qui les expriment !
 
MDR

@pemile
 
 ’’ « Une vraie liberté, pas une non-obligation compatible avec l’exclusion des soignants non injectés. » Il y a déjà des obligations de vaccinations pour certaines professions depuis des années !’’
— >
 Imposteur un jour imposteur

toujours.
 Nul n’a le droit de se prévaloir de ses turpitudes.

@pemile
 
 ’’ tu veux vraiment nier qu’il existe depuis des années des obligations vaccinales pour certaines professions ?’’
— >
 mais pas du tout ! Les turpitudes dont je parle ici sont celles des piquouzeurs, les imposteurs.

@pemile,
 
 je ne tutoie jamais les insolents : je trouve que ça fait scène de ménage.
 

@pemile
 
 ’’Donc tu reconnais qu’il y a depuis des années des obligation vaccinales pour certaines professions et que tu tentes de les remettre en cause ?’’

— >

 Oui ! Et vous aussi, si j’en juge par l’emploi du verbe « reconnaitre », qui sous entend de la part de celui qui l’emploie, la réalité du fait que lui-même ne conteste pas.

@pemile

J’aime bien lorsque vous lâchez le substantif « anti-vax ». 

Je me permets de donner quelques informations, sourcées, au « vaccinolâtre » que vous êtes. Vous savez ces gens qui ne réfléchissent pas par eux mêmes et qui gobent, sans aucune vérification, les leurres que l’on souhaite leur faire avaler.

D’abord, sachez qu’il n’existe aucune étude qui montre l’efficacité vaccinale dans la population cible. Je vous mets ici, devant les lecteurs, au défi d’en proposer une seule.
En revanche, c’est « l’inverse » qui existe. Une méta-analyse montre que jamais aucune vaccination n’a été efficace contre la grippe dans la population cible.
Ici à suivre : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6491101/

Par ailleurs, les « vaccins » s’ils devaient être efficaces, le seraient contre des virus. Le problème c’est que l’existence des « virus » n’a jamais été prouvée. Jamais aucun virus n’a pu être « isolé » ou « purifié ». Les « chercheurs » utilisent le terme « isolement » dans leurs travaux pour donner « l’impression » au lecteur néophyte qu’un virus a été isolé. En fait, le « protocole » utilisé pour isoler et purifier les virus ne répond pas aux critères de la méthode scientifique. Ainsi les images au microscope électronique à transmission ne montrent pas de « virus » complètement purifiés. C’est le « surnageant », obtenu par centrifugation extrême, après « culture » en vitro, qui est étudié. Ainsi le MET montre des images de particules « sédimentées ». Il se trouve, « qu’obligatoirement », le surnageant contient des vésicules extracellulaires, puisque tous les liquides humains en contiennent. Jamais il n’est fait « allusion » à ces VE.

Le protocole biaisé d’isolement et de purification des virus produit des « artefacts » que l’on nomme « virus ». Le MET est dans l’impossibilité la plus totale de distinguer les vésicules extracellulaires de « virus ». 

Ce qui rend les gens « malades » durant les périodes épidémiques hivernales ce sont les particules polluantes atmosphériques : le SO2, le CO, les NOx, les HAP, le noir de carbone. En été, durant les canicules, c’est l’ozone — O3—.
Les maladies cardio-respiratoires sont dues, pendant les périodes épidémiques hivernales, aux matières particulaires polluantes : PM10 et PM2,5, mais surtout les PM1 et PM0,1. Ce sont toujours les personnes dont l’endothélium vasculaire est affaibli, dont le système « oxydant/antioxydant » est minoré qui tombent gravement malades et/ou décèdent. Toujours les mêmes, tout le temps.

La contamination et la propagation « inter-humaine » est une légende. Ce sont des conditions atmosphériques particulières en hiver, durant les « inversions thermiques » qui provoquent une augmentation visible des maladies cardio-respiratoires et une mortalité augmentée. Les « vaccins » ne peuvent rien contre les agents pathogènes de la pollution, d’où leur « inefficacité » la plus totale.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29727628/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27432966/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23420871/

Alors lorsque vous venez ici avec vos propos « d’anti vax » en adoptant la position du « vaccinolâtre », je me dis que vous n’avez vraiment pas beaucoup réfléchi. Sans en dire davantage. Et le problème c’est que « ces vaccins » introduisent « directement » dans le corps des « adjuvants » qui ne devraient pas s’y trouver. Toute molécule n’appartenant pas ou « soi » sera impitoyablement combattue par notre système immunitaire, s’il en a les moyens.

Depuis la découverte des PRR, des TLR, des PAMP et des DAMP la « notion d’immunité adaptative » a pris un sacré coup de vieux. Les vaccins sont inutiles puisque le sytème immunitaire « innée » sait reconnaitre « immédiatement » le « soi » du « non soi ». Faire produire par « avance » des anticorps spécifiques est une aberration. 

@Legestr glaz

suite...

…. Lorsqu’un micro-organisme entre en contact avec les cellules de l’organisme, il doit être détecté comme agent étranger, c’est-à-dire être discriminé du soi, par les cellules du système immunitaire.

Cette étape de reconnaissance fait intervenir les récepteurs de l’immunité innée, les PRR [1]. Ces récepteurs, dont la spécificité est génétiquement déterminée (d’où le terme inné), reconnaissent des molécules appelées PAMP [3] (le terme PAMP est en réalité impropre, car ces structures sont également exprimées par les micro-organismes non pathogènes de la flore commensale). Les PAMP, véritables signatures moléculaires des micro-organismes, sont conservés durant l’évolution ; ils sont absents des cellules de l’hôte et nécessaires à la survie des micro-organismes, dont la prolifération et la survie sont affectées en l’absence d’expression des PAMP. Ces molécules sont donc peu sujettes à mutation, ce qui rend improbable une mutation permettant aux micro-organismes d’échapper à la reconnaissance par le système immunitaire inné. 

Le système immunitaire inné utilise des récepteurs de reconnaissance de formes codés par la lignée germinale (PRR) pour la détection initiale des microbes. Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques aux microbes connues sous le nom de :

-modèles moléculaires associés aux agents pathogènes (PAMP) et,

- les molécules auto-dérivées dérivées de cellules endommagées, appelées modèles de molécules associées aux dommages (DAMP).

Les PRR activent les voies de signalisation en avalqui conduisent à l’induction de réponses immunitaires innées enproduisant des cytokines inflammatoires, de l’interféron de type I (IFN) et d’autres médiateurs. Ces processus déclenchent non seulement des réponses défensives immédiates de l’hôte telles que l’inflammation, mais également amorcent et orchestrent des réponses immunitaires adaptatives spécifiques à l’antigène( 1). 

Ces réponses sont essentielles pour la clairance des microbes infectants ainsi que cruciales pour l’instruction conséquente des réponses immunitaires adaptatives spécifiques à l’antigène.

@pemile

Le virus Ebola, lui non plus, n’a jamais été isolé. Il se passe, dans ces pays d’Afrique touchés par cette maladie appelée « Ebola », ce qui se passait en Europe lors de la tuberculose. La tuberculose était une maladie de la pauvreté, du manque d’hygiène, du manque de nutriments, du manque d’assainissement des eaux. En Afrique les différentes formes de pollution ne sont non plus pas étrangères à de nombreuses maladies (... Une enquête de l’organisme américain Health Effects Institute démontre qu’en Afrique subsaharienne, le taux de mortalité liée à la pollution de l’air est de 155 décès pour 100 000 personnes, soit presque le double de la moyenne mondiale, qui n’est que de 85,6 décès pour 100 000 personnes...)

... « La pollution atmosphérique est responsable de la mort de 1,1 million d’Africains à travers l’ensemble du continent, en 2019 ; la pollution à l’intérieur des maisons, largement alimentée par les appareils de cuisson, représente 700 000 décès, alors que l’accroissement des mauvaises conditions à l’extérieur explique en partie les 400 000 autres victimes, a constaté une équipe de chercheurs du Boston College et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), dans des travaux publiés dans The Lancet Planetary Health. »
https://www.pieuvre.ca/2021/10/07/environnement-pollution-afrique-impact-etude/

Je n’ai jamais voyagé en Afrique et je n’ai aucune intention de le faire. Je n’ai aucune envie de me baigner dans ce monde pollué à outrance. En revanche, je ferais bien l’expérience d’être mis en présence de personnes atteintes de la grippe ou d’un coronavirus, ou de la maladie « Ebola », mais en Bretagne par exemple. Sans aucun problème. Le cas de ces jeunes marins US, lors de l’expérience de Milton Rosenau, en 1918-1919, en pleine crise de la célébrissime « grippe espagnole » doit nous interroger. Pas un seul n’a pu contracter la maladie, même après injection intra-veineuse des humeurs des malades.

Parlez moi donc de la contamination et de la propagation pemile. Vous refusez de prendre en considération la réalité. De la même façon, les grippés de l’Hémisphère Sud n’apportent jamais, au grand jamais, leur maladie en Europe lors de leur voyage dans l’Hémisphère Nord. Et l’inverse est vrai, jamais, au grand jamais, un grippé de l’Hémisphère Nord n’a pu contaminer un habitant de l’Hémisphère Sud. C’est une « simple constatation ». Les maladies respiratoires se propagent durant l’hiver dans l’Hémisphère Nord et durant l’hiver dans l’Hémisphère Sud. C’est comme ça depuis toujours. Il y a un « décalage » temporel. Et la contamination, tout comme la propagation « inter-humaine », c’est du flan, c’est de la blague, ce sont des mensonges totalement démentis par les faits.
Les gens tombent malades en même temps en Europe en hiver, du Portugal à la Suède, en passant par la France, il n’y a pas de « décalage » dans les pics de mortalité. C’est tout le monde en même temps. Ne vous en déplaise pemile !
C’est une « chape » de matières particulaires polluantes qui agressent, lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées, les populations en hiver, En Australie, comme en France, mais avec un décalage d’environ 6 mois, un peu plus, un peu moins.

@pemile

Vous allez bien vite en besogne. Ce « virus » n’existe pas, comme tous les autres d’ailleurs. Ce que l’on appelle « virus » sont des « artefacts » produits par la procédure qui est utilisée pour multiplier les cellules in « vitro ». 

Les vésicules extracellulaires, quant à elles, font l’objet de toutes les attentions, et les chercheurs les examinent avec une méthodologie bien précise, très sérieuse, loin de ce qui se passe avec le « pseudo » isolement des « virus ». A hurler de dépit devant tant d’approximations.

Je vous laisse examiner cette parution signée de la part de très très nombreux chercheurs sur les modalités à appliquer lors des recherches sur les vésicules extracellulaires

«  Informations minimales pour les études sur les vésicules extracellulaires 2018 (MISEV2018) : un énoncé de position de la Société internationale pour les vésicules extracellulaires et mise à jour des lignes directrices MISEV2014 ».

... « La dernière décennie a vu une forte augmentation du nombre de publications scientifiques décrivant les fonctions physiologiques et pathologiques des vésicules extracellulaires (EV), un terme collectif couvrant divers sous-types de structures membranaires libérées par les cellules, appelées exosomes, microvésicules, microparticules, ectosomes , oncosomes. , corps apoptotiques et bien d’autres noms. Cependant, des problèmes spécifiques se posent lorsque l’on travaille avec ces entités, dont la taille et la quantité les produisent souvent difficiles à obtenir sous forme de préparations relativement pures et à caractériser correctement.La Société internationale pour les vésicules extracellulaires (ISEV) a proposé des lignes directrices sur les informations minimales pour les études sur les vésicules extracellulaires (« MISEV ») pour le domaine en 2014.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30637094/

Mais comme vous êtes ignorant de ces choses, comme l’immense majorité des Français, vous avez »une opinion" approximative. Renseignez vous et revenez discuter avec un bagage plus conséquent.

Je n’ai ni peur des dragons ni des sorcières, comme je n’ai pas peur des virus pemile.

@GrandGuignol

Les plaintes souvent associées à la pollution de l’air ressemblent aux symptômes de l’asthme : respiration sifflante, toux, enrouement, irritations oculaires et écoulement nasal. Les plaintes qui peuvent évoquer une inflammation au niveau du nez sont les suivantes : nez qui coule, nez bouché, nez qui démange, éternuements, … En fonction des stimuli auxquels vous réagissez, les plaintes apparaîtront dans certaines circonstances, p.ex. uniquement à la maison ou au travail. Leur gravité peut aussi varier fortement.

L’environnement est l’une des (nombreuses) causes possibles à l’origine des plaintes. Il faut savoir que les jeunes enfants, les personnes malades et les seniors représentent un groupe à risque pour les effets de la pollution de l’air sur la santé.

https://www.nouvelobs.com/sante/20161208.OBS2375/pollution-rhume-toux-ne-prenez-pas-ces-symptomes-a-la-legere.html

@GrandGuignol

Il n’y a pas de « variants ». Il y a des conditions atmosphériques qui font que les matières particulaires polluantes sont plus ou moins nombreuses dans notre environnement. En situation d’inversion thermique nous « décrochons le pompon » et c’est l’épidémie de maladies respiratoires qui se déclenche.

https://www.meteoconsult.fr/actualites-meteo/2022-11-11/65095-froid-en-plaine-et-doux-en-montagne-l-inversion-thermique?fbclid=IwAR2FxMGPqVLluJftD2OYPECreeW1otu0gQniFFMqMITjKEvhsv3RS9XSeyQ

Inversion thermique et pollution atmosphérique : une liaison dangereuse !

Lors d’une inversion thermique, l’atmosphère est stable et l’air circule très peu, la couche d’inversion joue le rôle d’un couvercle, comme sur le schéma ci-dessous. Les polluants, émis tout au long de l’inversion, se retrouvent bloqués sous cette couche et s’accumulent. La qualité de l’air se dégrade alors rapidement et l’apparition de pics de pollution devient inévitable.
https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/?fbclid=IwAR3qIcBvBnK_omA30JlCpNW0V3WoGZFmkerhLwrrjsaTAnhJe1rMyEgyojc

Les pics épidémiques de maladies respiratoires hivernales montrent une corrélation parfaite avec les phénomènes d’inversion thermique et de pollution exacerbée.

@GrandGuignol

Ce que je trouve dommage c’est qu’en évoquant les « virus » on passe à côté du sujet et des possibilités de guérison des personnes sensibles. Je trouve ça particulièrement dramatique.

Pour lutter contre ces maladies respiratoires hivernales il faut absolument renforcer le système anti-oxydant des personnes sensibles. Les soignants connaissent parfaitement bien les maladies que développent les personnes qui tombent malades et c’est toujours la même chose : des détresses respiratoires, de l’hypertension, des AVC, des arrêts cardiaques, des embolies pulmonaires, etc. Toutes ces maladies sont en lien avec un dysfonctionnement du réseau vasculaire et de notre système antioxydant. Et les personnes qui tombent gravement malades et/ou décèdent sont très exactement celles qui présentaient, préalablement, une faiblesse du réseau vasculaire et de leur système antioxydant (les obèses, les diabétiques, les hypertendus, les malades du coeur et des coronaires, les insuffisants rénaux. Toujours et tout le temps le même profil).
Il faut mettre le « virus » sous l’éteignoir et s’occuper du système antioxydant des malades.

@GrandGuignol

Je comprends, et c’est le cas pour la très grande majorité d’entre nous.

Nous sommes sous un déluge d’informations très approximatives concernant ces « virus artefacts ». L’affaire est complexe et c’est sur cette complexité que repose le mensonge.

@GrandGuignol

Les microzymas d’Antoine Béchamp, imaginés par ce chercheur visionnaire. Ces microzymas sont aujourd’hui ce que l’on découvre sous le nom de « vésicules extracellulaires ». Ces VE sont de taille manométrique et transportent de l’information à destination des cellules. Ces VE sont formées d’un bicouche lipidique et peuvent renfermer des enzymes, de l’ADN, de l’ARN, des protéines.
Il se trouve qu’aucun microscope électronique au monde ne peut faire la distinction entre VE et « virus ». Les VE sont présentes dans tous les fluides du corps humain. Les VE sont « émises » par les cellules de l’organisme pour « communiquer » entre elles. Les VE sont éjectées par les cellules en état d’apoptose ou de nécrose. Seulement voilà, les VE sont retrouvées dans tous les prélèvements des personnes saines. C’est comme ça que les chercheurs les observent et cherchent à comprendre leurs différents rôles. Seulement ces VE ne sont « jamais » trouvées dans les préparations servant à « isoler » et à « purifier » les « virus ». C’est un véritable tour de magie. Les VE, pourtant, lors de la centrifugation extrême, de part leur taille manométrique, se concentrent dans le « surnageant », précisément là où « on trouve ce que l’on identifie être des virus » ! 

Il faut se renseigner sur ces vésicules extracellulaires. De toute manière, leur rôle est identifié comme étant de plus en plus important et il sera difficile pour la recherche scientifique de cacher cette affaire parce que les recherches sur ces VE se font de plus en plus nombreuses. Toute la « pseudo science » qui porte sur les « virus », en réalité des « artefacts » produit par un protocole non scientifique, est une duperie. Ces virus n’expliquent rien sur les maladies. En revanche, les VE expliquent beaucoup de choses. Et les agents pathogènes de la pollution atmosphérique expliquent parfaitement bien les maladies cardio-respiratoires hivernales. What else ?

@GrandGuignol

La conclusion d’une étude datant pourtant de l’année 2013.

... «  L’intérêt des scientifiques et des médecins pour les vésicules extracellulaires s’est accru de manière logarithmique au cours de la dernière décennie en réponse aux découvertes selon lesquelles les vésicules extracellulaires ne sont pas seulement générés dans la culture cellulaire, mais sont également présents en abondance dans les fluides corporels, transportent l’ARN et présentent un large éventail de fonctions régulatrices.
Comme discuté, nous en sommes encore à un stade précoce de déchiffrement des mécanismes moléculaires impliqués dans la biogenèse des VE et le recrutement de la cargaison qui s’y trouve. La connaissance précise de ces mécanismes nous aidera à intervenir sur la fonction des VE in vivo, une nécessité absolue pour décrypter leur rôle précis dans les processus physiologiques. En outre, des méthodes de purification plus précises et standardisées sont nécessaires pour la mise en œuvre dans un cadre clinique des vésicules extra cellulaire en tant que biomarqueurs, vaccins ou dispositifs d’administration de médicaments. Pour aider à coordonner ces énormes défis. »...

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23420871/
Cette étude a été citée 6800 fois, par d’autres chercheurs, ce qui est absolument monstrueux.

On peut remarquer plusieurs choses. D’abord qu’il est question de « purification plus précises et standardisés ». Mais lorsqu’il s’agit de purifier des « virus » les chercheurs s’en remettent à un protocole datant de l’année 1954, qui a donc 68 ans, totalement hors des clous de la rigueur scientifique. Et c’est ce « protocole » qui donne naissance aux différents « virus ». Une supercherie.
Ensuite, comme indiqué, ces VE sont présentes partout. Comment se fait-il qu’elles soient « totalement absentes » des préparations en culture lorsqu’il s’agit d’isoler et de purifier des « virus » ? Où se cache donc cette « multitude » de vésicules extracellulaires ? Nous sommes en plein dans un déni scientifique. Surtout que, compte tenu de leur taille manométrique, ces vésicules extracellulaires sont nécessairement présentes dans le « surnageant ». Immanquablement, obligatoirement. Et pourtant, le protocole d’isolement et de purification des « virus » ne les détecte jamais. Comme je l’ai souligné, c’est un véritable tour de magie, ou une escroquerie.
Enfin, il faut tenir compte que le « chargement » de ces vésicules extracellulaires comporte tout ce dont l’organisme humain est composé (selon les cas et les situations : des lipides, des protéines, de l’ARN, de l’ADN).

Dans les médias dominants et dans la bouche des scientifiques de « plateau » ou de « radio » il est en permanence question de « virus », mais jamais de vésicules extracellulaires. Celles-ci sont « exclues » de la discussion. Beaucoup trop « dangereux » d’en faire état. 
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2021/12/msc200 698/msc200698.html

https://www.excilone-services.com/autres-techniques-d-isolement-de-microvésicules.html

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
 
’’Je m’immice vite fait’’
— >
 Et tu fais bien.
 
’’Tu sais cette haine peut etre le fait du « syndrome du cocu »

’’
 — >
À l’inverse du triste personnage au pseudo d’opérette, je pense moi que c’est l’existence de celui qui croit devoir la vie à des produits chimiques industriels, qui est sinistre. En témoigne sa haine mortifère exprimée ici à l’encontre de ceux que lui et ses semblables appellent les antivax.
 
Si pacifico se sent cocu, c’est d’abord par ses parents, autrement dit la nature, autrement dit dieu, qui l’ont si mal fabriqué qu’ils ont du recourir à une étrange sorcellerie. La haine originelle induite par cette pensée profondément refoulée fait retour désormais contre tous ceux qui s’en prennent au vaccin son nouveau dieu.
 
pacifico est un cocu de type Nº 30. « Cocu ensorcelé ou à cataracte : Qui se laisse embobiner par les mensonges de sa femme. »

 
cf. la liste des 49 sortes de cocus, Charles Fourier

@GrandGuignol

Parce que des chercheurs comme le professeur Montagnier, ou encore le professeur Raoult, n’interrogent jamais le « protocole » utilisé pour l’isolement et la purification virale.
C’est une procédure complexe qui échappe à la compréhension d’une grande majorité d’entre nous.

Si je peux résumer cette affaire. D’abord il y a un prélèvement de fluide et/ou de cellules chez la personne « malade ». Ce prélèvement est étudié « in vitro » et les opérateurs cherchent à faire multiplier les « virus ». Pour ce faire, ils ajoutent au prélèvement en question, tout un tas de choses, bien identifiées : des cellules VERO (provenant de singes) des cellules HELA (qui sont des cultures de cellules cancéreuses), des antibiotiques, de sérum bovin, des antimycotiques, bref, les opérateurs n’observent pas un prélèvement pur. Ils le font « maturer ».

Ensuite, cette « soupe » est soumise à ultracentrifugation et les particules les plus légères « surnagent ». Ce « surnageant » est supposé contenir les « virus » qui se sont développés « in vitro » dans la « préparation ». Comment isoler des virus dans cette soupe ? Les opérateurs utilisent des « amorces », 2 séquences génétiques « pré-existantes » et « disponibles dans des »banques génétiques« . Ces amorces sont mises au contact du »surnageant« jusqu’à ce qu’elles s’attachent à un certain ARN du »bouillon« , créant ainsi une molécule d’ARN artificielle, qui est ensuite multipliée par un certain nombre de passages PCR. Chaque série double la quantité d’ARN. Et les opérateurs laissent »tourner« jusqu’à obtenir quelque chose de »significatif« . Probablement plus de 30 séries.

Il se trouve que, pour un »virus nouveau« , il n’existe pas d’amorces génétiques susceptibles de correspondre à la fraction spécifique de ce »nouveau virus« . Les opérateurs utilisent, par conséquent, ce qui est, selon eux, le plus proche de la structure »supposée« de ce nouveau virus, mais il s’agit d’une »supposition« . En réalité c’est ce »protocole« qui »crée« le virus.

Les »amorces« sont constituées de 18 à 24 bases de nucléotides chacune. Le professeur Montagnier a donc très bien pu »identifier« des séquences du VIH dans le génome de ce nouveau virus. Tout ça c’est de la construction intellectuelle, assistée par ordinateur. Nous sommes à des années lumière de la méthode scientifique »classique« . Les opérateurs partent de »suppositions« pour aboutir à un résultat. Par ailleurs, le fameux »bouillon« contient des milliards de micro et nanoparticules (comme des vésicules extracellulaires). On peut donc, légitimement se demander à quoi vont se rattacher les »amorces" sélectionnées d’une manière arbitraire ?

C’est complexe, et comme je l’ai souligné, c’est sur cette complexité que repose le mensonge. Par exemple, le protocole d’isolement des vésicules extra cellulaires est bien mieux surveillé que ne l’est celui d’isolement des virus. 

https://fr.wikipedia.org/wiki/HeLa

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vero_(cellule)

@Legestr glaz
’’Les microzymas d’Antoine Béchamp, imaginés par ce chercheur visionnaire’’
Vous évoquez Antoine Béchanp, c’est donc bien une réminiscence du courant ’’déni du germe’’ du 19 ème siècle.
A l’époque, la thèse était défendable vu l’état des connaissances et la technologie.
Désormais, on a des microscopes à transmission, des moyens d’analyse de protéines, la connaissance du codage génétique de celles-ci, etc.
Donc nier l’existence des virus relève désormais de la parascience avec des arguties dont certaines sont ahurissantes, comme le déni de la contagiosité. Une petite poignée de plus ou moins scientifiques défendent ces thèses, mais des bataillons d’anti-tout y souscrivent désormais. C’est à la médecine ce que le terreplatisme est à l’astronomie.
’’On n’a jamais isolé’’, ’’jamais transmis entre hémisphères’’ etc. Alors j’ai regardé au fil des messages, mais ça ne tient définitivement pas la route. Et pour les défis scientofiques, il faut les adresser aux dizaines de milliers de chercheurs en virologie, aux centaines de milliers de laborantins, etc.
_

A propos des exosomes, cela m’avait beaucoup interessé lorsque nous en avions discuté précédemment, Il y a effectivement des points qui peuvent se rapprocher des virus, mais contrairement à ce que vous écrivez, ils peuvent être distingués de par leur morphologie et leur composition. Ils nécessitent les mêmes méthodes que pour les virus pour être isolés. et il leur arrive effectivement d’être ’’complices’’ de virus en transportant des éléments ’’expulsés’’ de la cellule.
référence : https://www.cellgs.com/blog/exosomes-and-viruses.html
affinity-based purification which uses antibodies that speicifcally bind to cell surface proteins which vary between exosomes and viruses can discriminate between them and are used to isolate specific populations of exosomes.

@Eric F

Visiblement on ne lit pas les mêmes choses. Le MET ne peut pas distinguer des VE de pseudo virus. Ce n’est pas vrai. Désolé de casser votre ambiance. 

Cessez de propager des contrevérités.

@Legestr glaz
’’ Le MET ne peut pas distinguer des VE de pseudo virus’’

La séparation depuis la ’’culture’’ s’effectue par la migration selon le gradient de densité, mais effectivement le résultat peut comporter les deux types d’entités.

La distinction morphologique au microscope à transmission peut être difficile selon le type de virus, car ce sont des caractéristiques de l’enveloppe -et non la taille et forme générale— qui les distingue. C’est le cas de certains rétrovirus par exemple. Par contre les coronavirus ont justement une enveloppe caractéristique.

A l’analyse, pour qu’il y ait des composants viraux dans les exosomes, il faut que les cellules dont elles sont issues aient été infectées par ce type de virus. Donc dans un échantillon où se trouvent éventuellement les deux types d’entités, l’analyse des protéines et des segments de matériel génétique est nécessaire pour établir le type de virus.

Les vésicules et exosomes peuvent contribuer à la propagation de matériel viral dans l’organisme, mais ils ne sont pas réplicables, contrairement au virus qui contient la totalité de son matériel générique.

@Eric F

Votre réponse apporte une confirmation que le MET ne peut pas distinguer les VE des « pseudo-virus, ces artefacts honteux.
La dernière phrase n’appartient qu’à une »théorie« pour justifier de l’existence virale. On entre dans un »imaginaire fertile« . La réplication virale n’a jamais été constatée : c’est toujours une théorie. En revanche, l’on sait que les cellules relarguent des quantités plus ou moins importantes de VE, selon les circonstances. 

Si vous aviez ouvert les liens vers les études que j’ai postées vous auriez pu y lire ce que disent les chercheurs sur les VE : le MET ne peut les distinguer des pseudo virus. C’est bien le problème. Ne venez pas poser une simple »opinion« sans vous référez aux études scientifiques sur le sujet. 

Comme l’affirme le principe du »rasoir d’Ockham, « l’explication la plus simple est à privilégier. Ce qui rend »malade« les gens se sont les matières particulaires polluantes, sachant que les plus »dangereuses« de celles ci sont les particules fines et ultrafines qui atteignent les alvéoles pulmonaires et peuvent diffuser dans la circulation sanguine altérant le fonctionnement de l’endothélium vasculaire, produisant un stress oxydatif important et, finalement, induisant un manque de transport d’oxygène. Voilà ce dont souffre les »malades« lors des épidémies de maladies respiratoires. Et les personnes qui présentent un endothélium vasculaire diminué et une balance »redox« déséquilibrée en faveur des »oxydants« sont les »victimes cibles« des matières particulaires polluantes. Ce sont elles qui développent les maladies les plus graves et/ou qui décèdent. C’est un simple constat et il ne peut être démenti par les faits. 

Les »rhumes« et les »sinusites« que vivent certaines personnes, dans certains endroits de France, en ce mois de décembre 2022, correspondent à un niveau de pollution augmentée pour des raisons météorologiques.

Il suffit de consulter le site »ventusky.com« pour avoir une idée de la pollution »flottant" sur la France (et dans le monde) en temps réel. C’est parfaitement clair.

PS : malheureusement seules les PM10 et PM2,5 sont mesurées au quotidien. Les PM1 et PM0,1, les particules fines et ultrafines, les plus dangereuses, ne sont pas comptabilisées, hélas. Elles passent sous les radars.

@Legestr glaz
 
Merci pour vos explications.
 
 je ne suis pas compétent en matière de virus, mais j’en sais suffisamment par mes nombreuses lectures scientifiques sur le sujet pour approuver cette phase : « La réplication virale n’a jamais été constatée  »
 
Et pour cause, vu que par définition les virus se sont pas des organismes vivants. 
C’est pourquoi, les vaccins classiques dits à base de ’’virus atténués’’ sont amha une imposture, puisque seuls des organismes vivants peuvent être atténués.
 
Le mensonge a marché très longtemps : vaccins contre la grippe, la polio, etc ... mais c’est fini, maintenant c’est la technique révolutionnaire qui fait florès : «  la thérapie génique pour tous », bien portants compris. Surtout bien portants, le marché est si juteux.
 
Et ça fait coup double pour Big Pharma vu que les expériences sur ces techniques qui étaient interdites, étant désormais appelées vaccins peuvent s’imposer à tous au nom d’une urgence sanitaire aussi mensongère que le reste.
 
J’appelle vaccins les injections destinées à immuniser contre des pathogènes vivants, et vaxxins ou vaxins les faux vaccins destinés à immuniser contre les virus.
 
Par suite, un antivax = anti vaxins, n’est pas nécessairement anti vaccins. J’ajoute qu’étant antivax, je suis également opposé aux poisons appelés frauduleusement adjuvants, dans les vaccins.

@Francis, agnotologue
 
 Si l’on considère que nous sommes en guerre (contre les virus, disait macron), et que l’on sait que si guerre il y a c’est celle des milliardaires contre le peuple,
 il est clair que les uns inondent le territoire des autres d’armes biologiques expérimentales, et sans aucun état d’âme.
 
 Ça crève littéralement les yeux.

@Francis, agnotologue
 
 Onfray, Comte Sponville, ... mais aussi Mélenchon et bien d’autres qui sans être milliardaires sont régulièrement invités dans les grands médias, ne sont pas antivax.
 
Ce que ne veulent surtout pas les riches propriétaires des grands médias, c’est que ces peoples s’instruisent au sujet des vaxins, prennent connaissance des vérités qui sont dites sur les médias des pauvres.
 
CQFD