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Les commentaires de hugo BOTOPO



  • hugo BOTOPO 7 mars 2016 19:00

    Bravo à tous les intervenants pour leur masturbation intellectuelle : de la jouissance neuronale et psychédélique !
    Dénoncer un système pourri, inique, injuste et criminel : pourquoi pas ?
    Se plonger dans les mécanismes de destruction de l’homme/objet/esclave quel masochisme. Apparemment les grands profiteurs du régime en place n’ont pas daigné se justifier et participer à ces débats.
    Beaucoup de travail pour chaque intervenant : travail gratuit et valorisant à leurs propres yeux, rentrant difficilement dans les arcanes du forum.

    Rien dans les discussions dans la création de richesses par le travail des hommes, indépendamment de la consommation destructrice.
    Que les banques centrales injectent de la monnaie, soit, mais pas au profit des banques et des spéculateurs. Toute injection devrait être compensée par de la création de richesses au profit de collectivités (mondiale, européenne, nationale) les richesses étant pérennes. Lutter contre les effets du réchauffement climatiques à court et long terme, et pour restaurer la planète défigurée et endommagée par ses exploiteurs, voilà des pistes à explorer.



  • hugo BOTOPO 3 mars 2016 15:02

    @Jason
    Nous sommes tous les deux dans l’imprécision et la simplification.
    Harz IV prévoit :
    - départ actuel 65 ans et 3 mois
    - à porter progressivement à 67 ans en 2029, dans 12 ans.
    Les départs avec décote étaient prévus : à partir de 63 ans et 35 ans de cotisation, (décote maxi de 7%).
    Depuis le 01-07-2014 : départ à 63 ans avec 45 ans de cotisation et taux plein
    Ce départ anticipé va évoluer chaque année de + 2 mois pour être porté à 65 ans en 12 ans au lieu des 67 ans prévus par Harz IV.
    La retraite à 63 ans à taux plein est une réalité pour les travailleurs né en 1952 et avant et ayant 45 ans de cotisation.
    Elle reste ensuite valable (pour le taux plein) avec le décalage de 2 mois par année de naissance ;
    Ce gain de 2 ans reste à terme dans 12 ans avec le taux plein à 65 ans au lieu de 67 ans



  • hugo BOTOPO 2 mars 2016 14:48

    Plus de 40 réactions et pas un mot sur l’Allemagne !

    Lord KING a écrit son livre en rassemblant des idées et arguments servant l’indomptable et perfide Albion. Il souhaite la débandade de l’UE pour que le RU ne soit pas marginalisé : depuis des siècles la politique anglaise fait tout pour éviter l’émergence d’une forte nation continentale et récemment d’une forte UE continentale.

    Il s’inquiète pour les contribuables allemands devant les déficits commerciaux de tous les pays de l’UE vis-à-vis de l’Allemagne. Tout en ignorant que le RU est aussi un pays à balance commerciale largement déficitaire : les revenus internationaux de la City ne compensent qu’en partie ce déficit.
    Lord King et son écuyer porte-parole Asselineau semblent ignorer que les 8% de PIB d’excédent commercial se transforme en déficit chez les acheteurs : si les allemands s’inquiètent, alors qu’ils cessent de vendre leurs produits ou qu’ils achètent des produits de leurs clients (plus tourisme) ; sinon le remboursement de la dette induite par les déficits reste impossible.
    Un autre oubli de taille : le déficit de naissance des allemands (plus de 150 000/an) est compensé par de l’immigration de 250 à 300 000 jeunes européens du Sud et de l’Est élevés et formés par les pays d’origine aux frais de leurs contribuables. De plus la très faible natalité allemande se traduit par une forte réduction des dépenses publiques pour amener les jeunes (en nombre réduit) de leur conception jusqu’à l’âge d’entrer sur le marché du travail : l’économie annuelle est de l’ordre de 80 Md€/an, ce qui relativise les performances de l’Allemagne en terme de déficits et de dettes publics !
    Déjà avant l’afflux de réfugiés la population allemande totale et active augmente du fait de l’immigration de masse de personnes déjà formées : alors les objectifs de Harz IV sur l’âge de départ en retraite sont passés de 67 ans (avec extension possible ultérieure jusqu’à 70 ans) à 62/63 ans, car le nombre de cotisants augmente malgré la faible natalité.

    OK pourquoi pas un référendum dans les pays de l’UE pour ou contre le Brexit ?



  • hugo BOTOPO 25 février 2016 11:09

    La BCE et les BCN viennent de se lancer dans une série d’évaluations des banques, les « crash-tests ». Avec le déferlement des milliards du QE, le monde bancaire et économique va découvrir une nette amélioration de la résistance de l’ensemble des banques, avec moins de crédits alloués et plus de fonds propres détenus en portefeuille. OUF !
    Dans 2 à 3 ans lorsque les États se tourneront vers les banques pour rembourser les emprunts venus à échéance et détenus par BCE/BCN, le système sera à nouveau fragilisé.
    C’est le tango financier qui réjouit la pieuvre bancaire et fait transpirer les peuples contribuables (Grecs, Portugais...).



  • hugo BOTOPO 24 février 2016 16:12

    Les peuples et parlements des 27 n’ont pas été consultés sur les concessions à Cameron.
    Ce dernier se vante devant les parlementaires de Westminster d’avoir conservé un grand marché libre et déréglementé sur l’UE, de maintenir la prépondérance de la City, et quelques autres avantages pour les britanniques : pas la moindre allusion aux bénéfices (nuls) concédés à l’UE ! On l’a tous dans le baba !

    De tout temps le RU et les Anglais ont tout fait pour saper une prépondérance continentale et pour affaiblir les peuples et nation du continent.

    Comme le ressentait si bien De Gaulle, l’Europe peut et doit se construire sans les Britanniques.
    Qu’ils sortent enfin et l’UE se reconstruira sur la base de l’Europe des 6 !

    Faire actuellement campagne, en France et dans l’Union, pour le Brexit, pour une réelle sortie, serait la meilleure façon d’encourager les Anglais -en réaction- à voter pour le maintien dans l’UE, car ils seront toujours contre la solution qui renforce l’Europe continentale ! Alors que faire et que dire ?



  • hugo BOTOPO 15 février 2016 15:46

    @philouie
    Quel salut ? Dans ce monde ou dans un autre monde hypothétique ?
    Mieux vaut une spiritualité (avec ou sans option de salut) individuelle qu’une religion sans spiritualité comme on en voit tant aujourd’hui !



  • hugo BOTOPO 15 février 2016 15:38

    @philouie
    Les diverses églises du protestantisme américain sont en phase avec le consumérisme outrancier, avec la recherche du saint-profit et la mise sous tutelle des médias par la publicité. Ces églises sont des adeptes du bourrage de crâne !

    Merci de préciser que le discours religieux est un discours idéologique, mais pas nécessairement impliqué pour contrecarrer le discours des marchands.

    J’ai séjourné dans un pays majoritairement islamique pendant un ramadan en juillet : les ouvriers pauvres travaillaient, jeûnaient et souffraient pendant les longues journées et après un bref repas du soir dormaient. Les riches bourgeois pieux et les religieux se reposaient toute la journée, à l’ombre, en priant plus ou moins longuement, puis la nuit se restauraient d’un long et copieux repas se terminant par un bon petit déjeuner avant le lever du soleil : les astreintes sont d’intensité variable !

     



  • hugo BOTOPO 15 février 2016 15:00

    @sarcastelle
    Bonne interrogation ! Elle concerne aussi les chamanes et les sorciers qui consomment des substances spécifiques. Et aussi les derviches-tourneurs qui se mettent en transes par la désorientation du cerveau et des sens.
    Faire le vide en soi, se couper des données fournies par nos sens normalement en éveil, pour être à l’écoute de son moi profond ou de « vibrations » extra-sensorielles, pour espérer se plonger dans une transcendance, n’a rien à voir avec la consommation de substances générant des perturbations ou des « orages » dans le cerveau.



  • hugo BOTOPO 14 février 2016 17:45

    @philouie
    Bof, bof !
    Je condamne implicitement le consumérisme marchand, une « béâtitude » dans le monde de la Divine Finance et du saint-profit.



  • hugo BOTOPO 10 février 2016 15:43

    Les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans, (de toutes obédiences, sectes, confessions,...) sont des VICTIMES : victimes de religions insufflées, inculquées, imposées par des chefs, des dominants, des humains se prétendant supérieurs et éclairés.
    Les victimes méritent compassion et soutien ! Mais comment les éclairer ?

    On peut (et on doit à mon avis) avoir peur des religions avec les excès qu’elles entraînent : cela a un nom, c’est la phobie des religions, la religiophobie dont font partie la judéophobie (vis-à-vis du judaïsme et non pas des juifs),la christianophobie et l’islamophobie. Tout en respectant les juifs, les chrétiens et les musulmans dans leurs croyances, lorsqu’elles privilégient l’adoration de leur Dieu dans le respect de la liberté de tous les hommes à s’adonner à d’autres croyances.



  • hugo BOTOPO 22 janvier 2016 17:01

    Rien de bien nouveau : une nouvelle bulle financière est en expansion. Il y a eu l’explosion des Subprimes en 2007/2008 et auparavant l’explosion de la bulle internet et des télécommunications des réseaux mobiles vers 2000 avec des valorisations boursières pouvant atteindre des dizaines de Mds$ et même quelques centaines de Mds$ pour certaines, tout en ayant des recettes certes en forte croissance mais souvent inférieures à la moitié des dépenses. Voir les valeurs d’achat faramineuses d’Orange par France Télécom , payées en cash et non en actions (qui se sont effondrées aussi bien pour Orange que pour FT). Aux USA les faillites et pertes financières furent faramineuses.
    Le but du système est toujours le même : appâter les épargnants, les petits investisseurs, et quelques gros poissons imbus d’eux-même voulant être dans le coup malgré leur incompétence. Tout ce monde à gruger achètera les actions vers des plus hauts, au profit des vendeurs/spéculateurs. Les petits épargnants perdront leurs économies, les directeurs financiers des grosses entreprises resteront en place avec toute la direction d’incompétents : AINSI VA LE MONDE DE LA DIVINE FINANCE.



  • hugo BOTOPO 11 janvier 2016 16:15

    En UE la croissance est quasi nulle surtout si on défalque la productivité et le chômage est au mieux stable (on ne prend pas en compte ceux qui ne s’inscrivent plus en demandeur d’emploi découragés depuis des années).
    Les consommateurs acteurs principaux de la demande s’éloignent des crédits grignoteurs du pouvoir d’achat du fait de l’inflation quasi nulle : il vaut mieux différer un achat et le faire sans crédit.
    Si les offres sont meilleures, le volume d’affaires restera le même à ressources constantes pour les consommateurs.
    Si la demande est augmentée, (augmentation des salaires), elle profitera surtout aux importations et risque de pénaliser la production en augmentant les coûts de revient, avec une tendance à l’augmentation du chômage.
    La BCE avec son QE crée de la monnaie gagée sur des emprunts d’États « remboursés » par de nouveaux emprunts ! Les QE injectent donc de la monnaie dans les banques, pour qu’elles puissent prêter davantage aux entreprises : ces dernières soit se refinancent à moindre coût, soit réduisent leur endettement dans des marchés et des productions en stagnation !
    Si des activités rentables ayant un marché existent les banques sont prêtes à les financer, même sans les ressources du QE.

    Alors ce ne sont pas de nouveaux organismes financiers qui vont faire sortir du marasme les économies européennes. Il faut un autre paradigme tel le DOMO, présenté dans cette rubrique antérieurement par Hugo BOTOPO.  La création de monnaie doit servir à financer des investissements d’intérêt public, NON RENTABLES directement, comme des réalisations de protection contre les inondations ou des infrastructures de transports (métro Grand Paris, trams, canaux, ...). Ces réalisations sont hors concurrence avec l« économie routinière » et ne déplacent pas les activités entre les entreprises. Si les QE sont théoriquement remboursables par les pays ayant émis les emprunts rachetés, mais quand ? ou grâce à une inflation importante, le DOMO (Dispositif One More One) financé à 50% par la BCE et à 50% par les États bénéficiaires est remboursable avec quasi certitude ! La partie BCE est remboursable sans intérêts sur 50 ans par les porteurs des projets, la partie étatique étant compensée par les impôts, charges sociales, taxes et prélèvements divers (supérieurs à 50% en France) sur les nouvelles réalisations, avec le grand bénéfice de création d’emploi, de réduction du chômage (et des allocations chômage et autres). Les bénéficiaires n’auront donc qu’à rembourser sur 50 ans, 50% des montants, soit 1% du total des travaux chaque année ! Les collectivités territoriales, les agences de bassin et du littoral, les voies navigables de France, ont tous des projets et programmes prêts à être mis en chantier, en attente de financement.

    Si au lieu des 60 Mds€ mensuels, la BCE se limite à 25 Mds€ pour le DOMO, plus 5 Mds€ pour les rachats urgents d’emprunts, et ce pendant au moins deux années, c’est alors 600 Mds€ par an pour des réalisations nouvelles nécessitant au minimum 6 millions d’emplois directs nouveaux (100 000 € est le CA par employé dans les industries de pointes comme l’aviation) et plus du double avec les indirects des sous-traitants et des consommations supplémentaires. Ce nouveau paradigme ne nécessite pas plus de QE avec un étalement dans le temps, ni un appel supplémentaire des marchés financiers.

    Avec le DOMO, l’Eurozone peut et doit sortir les économies européennes du marasme !



  • hugo BOTOPO 17 décembre 2015 11:47

    @Le p’tit Charles
    La pollution, les pollutions sont des réalités et des vrais problèmes.

    La COP 21 fait mousser les conséquences climatiques des fortes émissions de CO2 dues aux activités humaines. Si le GIEC tient vaguement compte des émissions de méthane, gaz plus de 20 fois plus nocif que le CO2 à concentration égale, en signalant les fortes émissions dans les élevages industriels de bovins et autres ruminants, (pas un mot dans le rapport de la COP 21), il est incapable d’évaluer correctement le potentiel d’émission de méthane dû au dégel de pergélisol dans les immenses contrées arctiques et qui plus est le GIEC fait une énorme bourde dans l’évaluation des forêts primaires tropicales :
    En effet si globalement ces forêts produisent de l’oxygène (l’atmosphère en est déjà abondamment pourvue) en transformant le CO2 et l’eau en hydrocarbones, ces mêmes hydrocarbones (le bois et les branches et feuilles) après des mois, années, décennies ou siècles se décomposent (depuis des millénaires) par digestion aérobie (très peu) et anaérobies (beaucoup) en milieu humide (sol, flaques, mares, étangs, cours d’eau). Tout le carbone absorbé est ainsi restitué sous forme de CO2 (100% aérobie et 50% de l’anaérobie) et de méthane (50% de l’anaérobie, en volume). Donc pour l’effet de serre, du fait du potentiel 20 fois supérieur du méthane par rapport au CO2, globalement sur une longue période pérenne et stabilisée les forêts primaires contribuent à une élévation de l’effet de serre : BRAVO ! Cependant il faut signaler qu’une partie des hydrocarbones entrainés par les fleuves sous forme de sédiments vers les océans donneront dans des millions d’années des hydrocarbures fossiles, mais cela est faible dans le bilan global. Nota : la combustion des forêts reste une contribution importante dans les émissions de gaz à effet de serre.

    Pour revenir aux pollutions masquées par la COP 21, aux pollutions de la nature par l’activité humaine (air, eaux, terres), liées en premier à la forte démographie, il faut ajouter la pollution des esprits. Et là les sources de pollutions sont multiples (consumérisme, médias, argent-roi, marchés, publicités, propagandes et fanatismes d’inspiration idéologique ou religieuse, ...). Qui criera victoire lors de la disparition de l’humanité ?



  • hugo BOTOPO 26 novembre 2015 15:19

    Errata : Dans les tableaux il faut lire " A/INA au lieu de A/industrielle

    Pour Enabomber
    L’article est centré sur la démographie, sur sa nécessaire réduction. L’argument des retraites mis en avant par les natalistes forcenés est invalidé.
    ’’après moi le déluge’’
    est contredit par l’énorme capital immobilier et mobilier transmis par héritage lors de la disparition des retraités et parfois par des ventes en cours de retraite. Le capital détenu par les français (actifs inclus car futurs retraités) est de plusieurs fois le PIB annuel !



  • hugo BOTOPO 24 novembre 2015 18:39

    @Allexandre
    « mais derrière la religion, se dissimule le pouvoir et l’argent »
    J
    e suis d’accord, je l’ai abordé légèrement dans mon article, et je considère que le DIEU-ARGENT est la divinité de la religion de la divine finance et les lois du marché dit libre (et surtout faussé par les puissants) en est le dogme essentiel. Pour le monde anglo-saxon et surtout les américains il y a une collusion avec leurs nombreuses « églises » évangéliques, pentecôtistes, protestantes, anglicanes... Chez eux la dissimulation est en pleine lumière !
    Comme je viens de le lire dans « 2084 » : « la religion est vraiment le remède qui tue »



  • hugo BOTOPO 10 octobre 2015 15:29

    @laertes
    Il me semble que je devrais revisiter mes ’’antiquités’’ :
    J’ai fait un raccourci historique et un tant soit peu surréaliste du Parthénon d’Athènes à la Roche Tarpéienne de Rome : c’est l’effet du nivellement des cultures européennes !



  • hugo BOTOPO 9 octobre 2015 12:03

    @laertes
    Je ne suis pas offensé ; la phrase/proverbe type cite le Capitole, localisation de beaucoup de pouvoirs religieux, politiques et culturels, proche de la roche Tarpéienne, où l’on jetait des condamnés. Le Parthénon est le monument emblématique du Capitole, celui de la grandeur des Athéniens : j’ai retenu la ’’proéminence du nez’’ au milieu du visage défraîchi !
    Je ne suis ni offensé, ni comblé par vos critiques sur le fonds.



  • hugo BOTOPO 7 octobre 2015 15:46

    @ddacoudre
    Merci pour tes réflexions pleines d’un certain bon sens.
    OK pour le rôle de la pensée unique et le contrôle de l’information, décervelantes.

    Le capitalisme s’accapare toutes les possessions sources de profits.
    Hier, humaines (esclavage), matérielles (terres agricoles, forêts, mines, haut fourneaux, métallurgie, hydrocarbures, énergies) avec du travail des hommes.
    L’or, base de la monnaie, était une richesse matérielle à accumuler.
    Aujourd’hui, depuis un certain temps, la finance (ex argent résultant du travail des hommes ou esclaves modernes) est trop souvent associée à une possession matérielle, travaillant dans les marchés financiers.

    Le paradigme nouveau que j’esquisse tient compte que l’argent n’est plus matériel, que ce n’est que des chiffres et qu’il ’’peut être produit’’ sans travail, sans ressources par des banques centrales. Si la production de monnaie est versée dans les caisses des banques : rien ne change. Si l’argent émis par la BCE sert uniquement à financer des travaux et investissements utiles et/ou indispensables mais non rentables et donc non finançables par les marchés financiers ou les banques, alors il y a un changement de paradigme, sans faire disparaître la soif de profits dans les entreprises chargées de réaliser les dits investissements. A la création de l’argent ab nihilo correspond des investissements utiles et du travail pour les hommes, pour les sortir du chancre du chômage.
    A bientôt ’’d’en découdre’’ !



  • hugo BOTOPO 5 octobre 2015 16:45

    Je n’ai pas lu les analyses de MO sur Freund et la psychanalyse, j’ai à peine lu les réactions indignées du microcosme psychanalytique défendant son bifteck.
    Je n’ai lu que partiellement l’oeuvre critique de MO, et je suis assommé par le déferlement des critiques de ceux qui ne l’ont ni lu ni étudié sérieusement :
    Alors je suis parfaitement dans une position idéale pour cracher mon venin, sans la moindre argumentation sérieuse, sur MO, sur la psychanalyse, sur tous les cracheurs de venin médiatiquement reconnus ou autoproclamés.
    Alors, contre toute attente, je crache mon venin sur le vide des débats contradictoires, le seul à remplir les médias.



  • hugo BOTOPO 30 août 2015 10:28

    @Onecinikiou
     Les « gauchistes » devaient se soumettre ou se démettre. Certains (Varoufakis) ont choisi de se démettre en premier, d’autres (Tsipras) de se soumettre avant de se démettre : in fine la Troïka conserve son statut de mercenaire au service des banques et de la finance.
    D’accord sur « les faux révolutionnaires .... » Les élections ne leur ont pas donné le vrai pouvoir, seulement une souveraineté pour des questions de société telles que le divorce, le mariage pour tous, l’avortement (IVG), l’euthanasie (pardon, la fin de vie dans la dignité). Le vrai pouvoir économique et financier se fout des élections : c’est celui des armateurs, de l’Église, des entreprises mondiales (Google, Coca-cola, Mac DO, Apple, Microsoft,...) et des grandes banques et institutions financières. Nos élus français n’ont guère plus de pouvoirs réels que leurs confrères grecs.
    La souffrance du peuple grec est violente depuis quelques années, sans résoudre la situation. Cela va se poursuivre sans autre résultat positif, à moins que la solution de bon sens que je présente, remettant en cause la primauté de la finance mondiale, soit adoptée. Elle sera pus facilement adoptée si elle ne semble pas imposée par des gauchistes pro-européens, mais « négociée » avec les politicards traditionnels.