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Les commentaires de Alan C.



  • Alan C. Alan C. 19 juin 2012 23:11

    Le FN n’est pas le seul à défendre ces idées, elles sont aussi défendues et depuis bien plus longtemps par le Front de gauche, le NPA et Les Verts.



  • Alan C. Alan C. 14 juin 2012 09:47

    Excuse moi mais, aurais tu le QI d’une limace ?



  • Alan C. Alan C. 14 juin 2012 09:45

    Va dire ça aux cégétistes qui se battent dans les usines en pleine délocalisation, espèce d’avorton hautain et arrogant. T’y connais quelque chose au quotidien des ouvriers toi ? Vu ton ignorance crasse, ça m’étonnerait.



  • Alan C. Alan C. 14 juin 2012 09:43

    Hey berger, t’es bien capable de voir plus loin que le bout de ton nez non ? Parce que si c’est le cas tu peux peut être avoir connaissance de certains faits, comme par exemple que Mélenchon est issu d’un milieu populaire, qu’il a enchainé les petits jobs merdiques avant de monter en politique, et qu’il est né au Maroc en pleine décolonisation. C’est pas vraiment ce qu’on peut appeler naître avec une cuillère en argent dans la bouche. Et puis mon pauvre, tu verrai les indemnités de malade qu’il verse au PG, ça m’étonnerait qu’il pète dans la soi h24 au final.

    Et puis franchement, tu trouves qu’il a gagné quelque chose après s’être autant impliqué le JLM ? Vous êtes vraiment ingrats et de mauvaise foi tous, à jouer les puristes. En un an de campagne électorale il a pourtant bien mieux défendu les classes populaires que n’importe quel merdeux anarcho-je sais pas quoi qui vit dans la précarité volontairement pour justement ne rien branler du tout.



  • Alan C. Alan C. 14 juin 2012 09:38

    Monsieur, quand on est ignorant au point de ne pas savoir faire la différence entre un élu du peuple et un fonctionnaire, et surtout quand on n’est pas capable d’écrire une phrase correctement sans faire de fautes, généralement, on évite de faire le malin. Merci de vous en souvenir.



  • Alan C. Alan C. 14 juin 2012 09:36

    Moi je suis d’accord !

    Camarades, répétez tous après moi : je suis du Front de gauche et je vous emmerde !



  • Alan C. Alan C. 13 juin 2012 10:26

    Le Front de gauche n’est pas du tout assuré de pouvoir former un groupe parlementaire. Seuls 12 de ses candidats se sont maintenus au second tour :
    - 9 sont sur d’être réélus ou élus dans les quelques circonscriptions dans lesquelles le PCF et le PG ne se sont pas faits devancer par le PS ;
    - 2 seront aux prises avec la droite : Thiémé dans le Nord qui, comme d’habitude, va se faire défoncer par Jean-Louis Borloo, et Carvalho dans l’Oise, qui a sa chance si la triangulaire avec l’UMP et le FN tourne en sa faveur avec le report des voix socialistes ;
    - 1 sera en duel contre le PS. Il s’agit de Braouezec, qui a refusé de respecter l’accord de désistement réciproque PS/FG qui a notamment permis de sauver la tête de Marie-George Buffet et de François Asensi.
    Si ces douze là sont élus, ce qui serait quand même un miracle pour au moins deux d’entre eux, ils ne pourront même pas compter sur le renfort de députés d’outre-mer : Huguette Belo du PC réunionnais, réélue au 1er tour, a annoncé vouloir rallier le groupe socialiste, et les deux candidats du MIM martiniquais qualifiés pour le second ne sont pas assurés de l’emporter, et ne permettront surtout pas d’atteindre le précieux seuil de 15 membres pour former un groupe.

    Après tout est possible : renfort des futurs élus MRC, mais ça semble hautement improbable, ou modification de la loi pour abaisser le seuil de constitution à 10 membres... Non je pense bien que malgré sa poussée en voix, le Front de gauche va bel et bien se retrouver privé de groupe à l’assemblée du fait de cette aberration qu’est le scrutin majoritaire uninominal à deux tours.



  • Alan C. Alan C. 29 mai 2012 14:06

    C’est à peu près aussi inepte que les discours des corpos lorsqu’elles se présentent aux élections étudiantes.

    Allez dires aux ouvriers victimes de délocalisations ou aux immigrés parqués en camps de rétentions que ces fameux clivages n’existent pas. Sortez de vos putains de quartiers de bourges et partez à la découverte du monde, ça vous mettra du plomb dans la cervelle.



  • Alan C. Alan C. 29 mai 2012 14:02

    "Peu d’entre nous le savent, mais les élections législatives permettent de financer les partis politiques. Chaque vote pour un candidat, rapporte à son parti 1,70€ par an« -> Faux. Pour qu’un parti perçoive cette première tranche du financement public, il faut que 50 de ses candidats aient obtenus au moins 1 % des suffrages exprimés. C’est pas forcément à la portée de tout le monde...

    J’habite à Grenoble, et je peux vous affirmer que les candidats de »Démocratie réelle« sont un assemblage de personnes isolées qui instrumentalisent le mouvement des indignés qui, dans l’Isère, n’a jamais rassemblé que quelques dizaines de personnes au plus fort de la mobilisation, dont la plupart étaient d’ailleurs des militants syndicaux ou des militants engagés dans ces maudits partis que ces candidats sortis de nulle part dénoncent avec une telle ferveur.

     »Votons pour nous« , quelle foutaise, je vois pas en quoi ces quelques bobos de centre-ville correspondent aux attentes de la grande masse du peuple. D’ailleurs »Démocratie réelle« ne propose aucune mesure sociale et n’a même pas de projet de réforme des institutions en dehors d’une liste de revendications à deux balles totalement inapplicables en l’espèce (ça serait bien de lire la constitution les gars, ou alors faut prôner l’insurrection armée).

    Effectivement leur discours recoupe parfois celui du NPA et du Front de gauche (en particulier du PG qui présente un candidat à Grenoble). Mais ces gens-là sont tellement persuadés d’incarner la pureté immaculée, et sont tellement prompts à balancer tout le monde dans le même sac (c’est clair que Les Alternatifs et le FN c’est carrément la même chose) qu’ils en sont devenus résolument sectaires et ont initié leur démarche dans leur coin sans jamais demander à rencontrer qui que ce soit.

    En tout cas moi c’est pas compliqué, malgré mon activisme dans le mouvement social je n’ai jamais eu la primeur de croiser ces fameux prototypes du brave citoyen »indigné« . Signe qu’ils ne dépassent pas un stade groupusculaire, ils n’ont pas d’affiche officielle (que quelques dizaines de cotisations peuvent suffire à payer) et n’auront sûrement pas de bulletins de vote dans les nombreux bureaux que comptent les circonscriptions dans lesquelles ils se présentent... Et je ne parle pas de la profession de foi ! Bref ils n’arriveront jamais à atteindre leurs potentiels électeurs, parce qu’il faut avoir derrière soi un certain nombre de militants pour ça (ou un bon paquet de fric pour payer les colleurs d’affiches comme le fait l’UMP locale).

    Bref, avant de déclarer qu’on représente le peuple au sein de collectifs de 3 pelés et 4 tondus, on s’efforce de le rallier à sa cause, le peuple. Ces candidatures aux législatives sont plus le fait d’ambitions personnelles que d’un soi-disant »sursaut citoyen"...



  • Alan C. Alan C. 14 mai 2012 13:00

    Ah ben purée, si Mélenchon remporte cette législative on va avoir un paquet de mecs bien dégoûtés de voir avec quelle force leur train-train a été bouleversé en l’espace d’un mois. Contre les buros socialistes locaux corrompus et le fascisme, votez Mélenchon ! C’est simple pourtant non ?



  • Alan C. Alan C. 26 avril 2012 18:58

    Mon futur métier c’est enseignant-chercheur vieux blaireau, je vais passer bien plus de temps dans des amphis délabrés devant des étudiants lunaires que sous le feux des projecteurs à une heure de grande écoute.

    Il se trouve que les enquêtes dont on parle ont été conduites avec le concours de chercheur en science politique. La méthode des quotas EST une méthode scientifique, y’a que les bornés dans ton genre pour affirmer le contraire. A moins que n’accuse des générations entières de sociologues d’être de vulgaire charlatans...

    Par ailleurs quand on interroge 10400 personnes on a priori peu de chance de tomber sur une majorité de répondants fondamentalement malhonnêtes qui vont mentir sur leur vote. Ne t’en déplaise, tout le monde n’est pas aussi pourri que tu ne le suggère...



  • Alan C. Alan C. 26 avril 2012 18:41

    Nen mais en fait toi je vais t’expliquer la vie, parce que pour le coup le niveau zéro t’es carrément en-dessous. Ouvre ton esprit et sors un peu de la crasse des idées préconçues.

    Les enquêtes que je cite ne sont pas de vulgaire sondages, mais des enquêtes réalisées le jour du vote sur des échantillons très larges. Vu que les gens viennent de voter ou s’apprêtent à le faire dans les heures qui suivent, ils ne peuvent pas se tromper.

    Ça, pour le coup, ce sont de vraies méthodes scientifiques. Ça fait des decennies que ce genre d’enquête est conduite à chaque élection, et ça a toujours été pris très au sérieux, bien plus que les sondages d’intentions de vote qui ne peuvent pas rendre compte de manière sérieuse de la réalité.



  • Alan C. Alan C. 26 avril 2012 18:38

    Eva Joly n’a jamais atteint les 17 % dans les sondages...



  • Alan C. Alan C. 25 avril 2012 14:50

    Je ne sais pas d’où vous sortez vos chiffres sur le vote « bobo », mais c’est quand-même sacrément n’importe quoi. L’enquête « jour du vote » de l’Ifop indique que 18 % des ouvriers ont voté Mélenchon dimanche dernier, plus que pour Sarkozy et à peine moins que pour Hollande.

    Par ailleurs les résultats sur le terrain contredisent aussi cette analyse. A Grenoble Mélenchon a cartonné dans les quartiers populaires, remportant un grand succès dans les quartiers populaires et rassemblant même jusqu’à un tiers des votes dans un bureau de vote du quartier de l’Arlequin !

    Je ne sais pas ce qu’il en est ailleurs, mais je pense que les près de 14 % acquis à Marseille ne viennent pas non plus des bobos.

    Bref arrêtons de raconter des conneries. Si le vote Mélenchon était un vote « bobo », il aurait fait largement plus que 11 % à Paris.



  • Alan C. Alan C. 25 avril 2012 14:45

    Votre analyse est correcte mais vous oubliez de tenir compte de deux éléments :
    - en 2002 la participation était beaucoup plus faible qu’en 1995 et surtout qu’en 2007 et 2012. Le poids des candidats de la gauche de la gauche en 2012 n’en est que plus important en valeur absolue.
    - En réunissant 11,1 % des suffrages exprimés, Mélenchon a réussi à faire ce que personne n’avait plus réussit à faire depuis Marchais en 1981 : réunir tout l’électorat de la gauche radicale, moins 1,7 % d’irréductibles, sur une seule et même candidature. Autrefois fois la gauche radicale était confuse et divisée : on devait compter ensemble Arlette, Besancenot et le PCF qui n’avaient pas du tout les mêmes objectifs. Cette fois-ci le Front de gauche a réussi à s’imposer comme la force hégémoniques à gauche du PS et cela accroît considérablement l’efficacité de la gauche radicale.



  • Alan C. Alan C. 22 avril 2012 15:25

    Je suis surpris de voir Jean-Jacques Bourdin aussi bas dans le classement, alors qu’il a sûrement plus de qualités que l’autre réac là...

    En tous cas ça prouve que les chaînes hertziennes ont encore de beaux jours devant elles.



  • Alan C. Alan C. 21 avril 2012 11:24

    Vous êtes au courant que vous n’avez plus le droit de publier ce genre d’article, et que vous encourrez des poursuites en justice ?

    En plus vu la quantité conneries débitées c’est limite répréhensible pour diffamation et calomnie.



  • Alan C. Alan C. 16 avril 2012 13:08

    « Les militants du NPA sont encore nombreux à ne pas adhérer au côté atypique de Philippe Poutou ».

    Non, ils sont nombreux à être en désaccord avec l’orientation actuelle du NPA. C’est différent, et le fait que Poutou ait l’air sympa face caméra ne change rien à cette situation.

    L’équité de temps de parole dans les médias n’a absolument pas profité à Poutou, qui plafonne littéralement à 1 % d’intentions de vote. A la même époque en 2002, Besancenot avait déjà percé.

    Le NPA voulait dépasser l’influence de la LCR... Au final il en aura dix fois moins.



  • Alan C. Alan C. 16 avril 2012 12:59

    Et cinq ans plus tard Sarkozy va se faire dégager. Au final on aura pas eu besoin de Bayrou ni avant, ni après.



  • Alan C. Alan C. 16 avril 2012 12:57

    "des députés élus sous la bannière UMP, PS ou même EELV pourraient très bien une fois élus décider de rejoindre un groupe parlementaire d’accord d’unité nationale, conduit par François Bayrou. Ce n’est pas impossible.« 

    C’est complètement impossible, parce que les législatives dégageront, comme toujours, une majorité, qui sera très certainement de gauche. Bayrou n’aura aucun rôle à jouer dans la future législature, tout comme il n’en a joué aucun dans l’actuelle, lui et son pote Jean Lassalle siégeant parmi les non-inscrits, tout comme Dupont-Aignan, ce qui en fait des députés isolé et pratiquement inaudibles.

    La vérité c’est que Bayrou n’a jamais rien représenté. Tout ce qu’il a fait en 2007, c’est capter un vote contestataire qui rejetait le dualisme UMP/PS, ce qui n’a pas suffit pour passer devant Royal qui profitait d’un effet »vote utile" de la part des électeurs de gauche, ni devant Sarkozy qui avait siphonné les voix de Le Pen.

    Maintenant les sondages donnent Bayrou en chute libre. Il tombe même jusqu’à 9 % d’intentions de vote, en cinquième position, loin derrière Jean-Luc Mélenchon.

    Bayrou propose un programme de droite en matière économique. C’est du libéralisme classique, un projet de soumission bienveillante à l’égard des marchés financiers, une énième demande de sacrifices, un nouveau déni de souveraineté populaire. Avec Bayrou la finance doit décider de tout : elle a le droit de spéculer sur nos activités et a semble-t-il tout légitimité à exiger de notre part qu’on renonce à nos services publics et à notre système de protection sociale. Et bien entendu le président du MoDem est totalement eurobéat : tout ce qui vient de l’Europe est bon à prendre. De ce point de vue il est encore plus sectaire qu’Eva Joly.

    Bref, Bayrou va se planter, et c’est tant mieux. Vu qu’il ne pèse quasiment plus rien électoralement parlant, plus personne ne s’intéresse à lui, hormis une partie de l’UMP qui sait pourtant pertinnement que la droite, toutes nuances confondues, a déjà largement perdu cette élection.