Il est à souligner qu’avec cet embargo de toutes pièces, contraignant, nos dirigeants sont responsables de la souffrance de près de deux millions de personnes. La majorité de ces personnes sont des enfants, elles se trouvent concentrées, pour ne pas dire entassées dans l’une des régions les plus densément peuplées du monde, sans liberté de mouvement, aucune place pour courir et nul endroit pour se cacher.