Sinon... je n’ai pas lu de commentaires compatissants...
Rassurez-moi, rassurez-nous vite : ce n’est pas l’origine ethnique de la victime qui bloquerait chez vous tout élan compassionnel des fois ?
Non mais... je dis ça... je dis rien... mais je le dis quand même !
correction : « attention dont elles ont besoin »...
« il prétend ».... il se vante de n’en avoir croisé aucun. Il a fait « sans » la seconde guerre mondiale.
on ne fout pas le camp quand votre pays. est envahi ; on fait front ; on le met hors d’état de nuire quitte à en mourir car cela en vaut la peine. Quant à Brassens et l’Occupation... il était en Bretagne hébergé par une femme ; il prétend n’avoir croisé aucun casque allemand durant l’occupation.
@uleskiserge
précision : j’ai été un abonné de médiapart de la première heure, en 2008....avant de le quitter en 2013.
Ne soyons pas dupes : si Plenel a une grande bouche, il pratique un journaliste adepte d’un « politiquement correct » qui fait l’unanimité dans tous les médias dits « dépendants » de leurs propriétaires milliardaires ; Plenel est juste un peu plus sournois que ses confrères ; pour preuve : ses boucs-émissaires et ses têtes de turc sont ceux de toute la presse dominante : Poutine, Erdogan, Trump, les gouvernements « populistes » d’Europe de l’est, l’Italie, Mélenchon... et ce sans nuances.
Car, acculé, Plenel, mou du genou (il perd souvent l’équilibre), vendra toujours sa soi-disant indépendance rédactionnelle au moins offrant dans ce domaine : à ses confrères d’une presse aux ordres.
Non diplômé du supérieur, sans rigueur intellectuelle, Plenel pratique un journalisme de l’affect : tout dans l’émotion car Plenel n’a manifestement qu’un souci : renvoyer en toutes circonstances une image positive de sa personne.
Pour cette raison, en tant que journaliste, Plenel est à cette corporation dont le niveau de professionnalisme s’est effondré ce que les Enfoirés sont à la charité face à la pauvreté : rien ne lui coûte ; tout lui rapporte.
Aussi, force est de reconnaître une chose : dans ses interventions médiatiques, chez ses confrères de la domination, Plenel a rarement tort... c’est vrai ! Ce qui néanmoins ne nous empêchera pas de lui reprocher d’avoir un peu trop souvent facilement raison et de rechercher cette facilité, avec pour première conséquence : une prise de risque et un courage absents ; et pour seconde conséquence : rien d’important, jamais, ne sortira de la rédaction de Mediapart contrairement ce qu’on pouvait attendre de la création de ce média.
Il est vrai que nous avions tout simplement oublié de consulter les CV de ses fondateurs : ci-dessous, Plenel en « bonne compagnie » alors qu’il était salarié du journal Le Monde au poste de directeur de publication ( à ce sujet, on pourra se reporter à l’ouvrage « La face cachée du Monde » - Péan/Cohen - qui précipitera sa démission).
N’oublions pas ! n’oublions jamais !
@Le421... Résistant
J’y crois pas : un contributeur de gauche sur agoravox : on est deux. Agoravox c’est trompeur ; on jurerais que zemmour recueille 95% d’avis favorables en France et qu’il sera le prochain président ... alors qu’il est le pire des candidats contre macron : 43%
larmes de crocodile.....
Un non-événement ce retour des Talibans qui n’ont pas cessé de contrôler la situation dans ce qui est LEUR pays !
Les Talibans sont demeurés, durant l’occupation US, les plus proches de la population, hors la capitale occupée par la bourgeoisie corrompue des milliards US - dont le complexe militaro-industriel a su se gaver vingt années durant ; une bourgeoisie afghane qui n’a pas su ni voulu donner de bonnes raisons à la majorité des Afghans de soutenir leur régime. Et c’est cette même bourgeoisie qui, aujourd’hui, défile dans les rues de Kaboul avec le soutien des médias occidentaux qui ne manqueront pas de nous en rebattre et les oreilles et la vue des mois durant.
Le gouvernement installé par les USA a fui ; son « Président » le premier... avec... semble-t-il... quelques dizaines de millions de dollars.
@pierrot
sur les 32 centrales.... seules quatre sont situés sur un bord de mer ( la manche et la mer du nord).... actualisez vos données !
la production du nucléaire c’est 17% de l’énergie consommée alors qu’il nous faut nous débarrasser de 70% d’une énergie carbone qui seule, pour l’heure, permet de faire tourner le pays. Le nucléaire, avant d’être une solution, c’est d’abord un lobby : carrière de génération en génération, le fils reprenant le flambeau du père, son poste et son salaire. L’élément indispensable associé au nucléaire, c’est l’eau. Trois fleuves sont capables de refroidir une centrale : le rhône, la loire et la seine... multipliez les centrales par 10 par 100 pour remplacer les 70% d’énergie consommée quotidiennement et vous tuerez toute vie aquatique dans ces fleuves ( température de l’eau à 25 degrés) ; de plus, crise climatique aidant, cette énergie deviendra au fil des décennies intermittente car il n’y aura jamais assez d’eau pour refroidir toutes les centrales qui devront alors être éteintes à tour de rôle.
@ZenZoe
vous êtes des Blancs-loosers... vous n’avez rien à gagner avec le racisme... les gagnants, on les trouve dans les centre-villes de nos mégapoles... les bourgeois qui vivent aussi sur le dos de vous tous...
@Aita Pea Pea
vous êtes des Blancs-loosers... vous n’avez rien à gagner avec le racisme... les gagnants, on les trouve dans les centre-villes de nos mégapoles... les bourgeois qui vivent aussi sur le dos de vous tous...
@pierrot
dommage... le début était intéressant... la fin beaucoup moins... où bien alors vous êtes un adepte de l’ironie et de l’anti-phrase
@uleskiserge
Le mouvement « woke » c’est le mouvement anti-raciste étendu à toutes les formes de mépris, de rejet et de discriminations. Ce mouvement est là pour durer. On notera que ses contradicteurs sont ceux qui ce sont toujours opposés aux mouvements anti-racistes car ces derniers savent ce que leur standing, leur niveau de vie doivent aux racisme et aux discriminations. Ils s’y sont pas trompés.
Pour eux, la menace est certaine sur leurs privilèges et leur pouvoir de domination.
Passé simple du verbe anglais to wake, qui signifie en français « se réveiller », le mot « woke » a pris un sens véritablement idéologique dans la langue vernaculaire afro-américaine pour désigner le fait d’être conscient des injustices subies par les minorités ethniques, sexuelles, religieuses, ou de toutes formes de discrimination, et mobilisé à leur sujet.
Avant d’arriver en France, le terme s’est répandu outre-Atlantique dans le contexte historique de la lutte pour les droits des Noirs. « Cette expression argotique a cheminé dans le monde africain-américain à partir des années 1960 », expliquait au Monde en février l’historien Pap Ndiaye. Ce spécialiste de l’histoire sociale des Etats-Unis rappelait que la grande figure du mouvement des droits civiques américains, Martin Luther King, avait exhorté les jeunes Américains à « rester éveillés » et à « être une génération engagée », lors d’un discours à l’université Oberlin, dans l’Ohio, en juin 1965
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