@Pimpin
ok, je ne comprenais pas, merci pour votre réponse.
Je crois que pour certaines fonctions il est chimérique de s’imaginer avoir une système de comparaison avec une base de données.
Prenez le son, pour reconnaître un bruit précis dans un environnement bruyant, avoir une base de données nécessiterait une infinité d’enregistrements, puisque le son d’un bris de verre par exemple n’est jamais le même (les conditions atmosphériques et environnementales modifient le son). Par ailleurs, je ne suis pas certain que notre intelligence fonctionne nécessairement de cette manière, par comparaison avec les bruits en mémoires.
Dans le même exemple (le son), l’opération de reconnaître un son serait à mon avis trop longue pour être la source du déclenchement d’une réaction face à un éventuel danger (contrôle visuel, fuite, cri....). C’est justement parce qu’un bruit sort de l’ordinaire (fonds sonore) que nous le remarquons et que nous mobilisons autre chose pour affiner notre analyse (mémoire, vue...)
Tout ça pour dire que je ne pense pas que la taille de la base de données détermine nécessairement la qualité de l’IA (ou pas A d’ailleurs).
C’est pas la taille qui compte !