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Les commentaires de Aleth





  • Aleth Aleth 24 août 2013 16:39

    C’est le journal israélien Jerusalem Post qui citant un représentant du parlement britannique rapporte cette information ! " Israël trafique du gaz sarin en Syrie et à destination des rebelles qui combattent le régime Assad, affirme George Galloway.

    "Si le gaz sarin est utilisé en Syrie, il ne peut l’être que par des terroristes liés à Al Qaida et ces groupes sont fournis et alimentés par Israël« , dit Galloway. » il est ridicule d’accuser le régime Assad d’avoir utilisé ce gaz alors même que c’est à son invitation que les enquêteurs onusiens se trouvent en Syrie"

    Source

    Vidéo



  • Aleth Aleth 22 août 2013 20:54

    lionel

    Ces témoignages par extension ne représentent pas une preuve absolue j’en conviens (ils se basent aussi sur les rapports officiels de l’époque). Mais ils s’ajoutent aux témoignages et rapports de centaines d’autres militaires sur la Planète, notamment lors des (plus ou moins) récentes déclassifications officielles (France, Grande-Bretagne, Belgique, Mexique, Brésil, etc). Sans oublier toutes les données radar sol et air, ainsi que bon nombre de vidéos en cockpit comme au Mexique ou en Belgique.

    Et quel que soit le lieu dans le Monde, les images, données et témoignages correspondent très souvent. Des formes similaires, des prouesses aéronautiques semblables. Officiellement il y a même eu des poursuites, en vain (il existe également des dizaines de rapports et témoignages de pilotes civils sur des avions commerciaux notamment, concernant des observations, comme par exemple Jean-Charles Duboc).

    Pour ma part les militaires en question disent la vérité (après chacun pense ou ressent ce qu’il veut). Si les hautes instances voulaient vraiment persuader la population mondiale que « nous ne sommes pas seuls » ou que « des OVNI s’invitent incognito au-dessus de bases nucléaires », ce serait fait depuis longtemps d’une manière ou d’une autre, à heure de grande écoute, et les médias généralistes ou spécialisés ne prendraient pas ce sujet à la légère comme c’est le cas aujourd’hui.

    Et tu remarqueras que sur ce sujet, à propos des témoignages, pour 99% il s’agit de militaires à la retraite. Exit le devoir de réserve, ils ne risquent pas de perdre leur solde ou d’écoper de trente ans de prison (comme c’est le cas il me semble pour les militaires en fonction des Etats-Unis, en cas de violation du devoir de réserve lié à la sécurité nationale). Puis là il y a prescription en quelque sorte.

    Je me permets de copier ici le passage d’un message que j’ai écrit un peu plus loin. Parce-que ça ne se passe pas qu’en atmosphère :

    Par ailleurs il est des documents officiels qui ne laissent plus la place au doute quant à la réalité d’un phénomène s’agissant des « OVNI » [...] Il y a une vingtaine d’années, la NASA retransmettait en direct des images orbitales terrestres via NASA TV. Par exemple des vidéos infra-rouge obtenues depuis les navettes STS. Les téléspectateurs pouvaient enregistrer ces images, à l’instar de Martyn Stubbs qui a compilé des archives. Suite aux interrogations de quantités de téléspectateurs, s’agissant de « bolides » insolites virevoltant deci-delà dans l’espace, la NASA a depuis cessé toute retransmission en direct.

    Voici un exemple parmi des centaines d’autres. Il s’agit d’images enregistrées depuis la navette STS-63 (février 1995). Pour la petite histoire les protagonistes sont à la recherche de la station russe MIR. Le hic c’est que des dizaines d’« objets non identifiés » évoluent dans tous les sens. Dès que certaines images deviennent gênantes, ou la caméra fait un zoom arrière ou le contraste est changé de telle manière que plus rien ou presque n’est visible (comme à la fin de la vidéo).

    Un autre exemple issu de STS-48 (septembre 1991). Voir ce qui se passe à 0:19 ! Suite au « flash », certains des « engins » modifient immédiatement leur trajectoire et augmentent leur vitesse de manière fulgurante. Voici ce qu’en pense le physicien Jack Kasher.

    Ici une compilation intéressante basée sur toutes sortes d’archives officielles référencées (à voir jusqu’au bout).

    Et voilà notamment ce que l’on peut trouver en orbite terrestre sur des images officielles encore une fois.

    Exemple 1 (tiré de cette image)

    Exemple 2 (tiré de cette image)

    Alors de deux choses l’une... ou bien ces « engins » sont d’origine humaine... ou bien ils ne le sont pas (ou bien l’une ou l’autre option selon le cas).



  • Aleth Aleth 21 août 2013 14:29

    Tout cela me fait penser aux systèmes énergétiques/technologiques inaccessibles à l’Humanité pour les raisons qu’on sait, les monopoles etc. Les technologies mises sous couvert de la sacro-sainte « sécurité nationale ».

    « Gary Vesperman, membre du New Energy Congress, chiffre à près de 4.000 le nombre d’inventions censurées par le Bureau américain des Brevets qui examine les dépôts en regard de la sécurité nationale. Il y a rétention dès lors que cela concerne des inventions qui pourraient menacer les monopoles des énergies fossiles ou nucléaires, ou encore le charbon, etc... Quand un inventeur voit son brevet classifié, il risque 20 ans de prison s’il continue de travailler sur son projet ou tente de l’exploiter. »

    Depuis les débuts de l’ère spatiale plus d’un demi-siècle s’est écoulé. L’informatique, la nano-technologie, le génie génétique, etc... ont évolué de manière exponentielle. Mais en ce qui concerne l’espace et les technologies s’y apparentant, rien n’a officiellement changé (mise à part l’informatique et quelques détails). Les principes de base sont exactement les mêmes. Là encore c’est le statu quo officiel, plus d’un demi-siècle de léthargie.

    La Russie utilise encore aujourd’hui le même type de fusées (Soyouz) ayant permis d’envoyer Gagarine dans l’espace ! Les USA ne peuvent même plus à l’heure actuelle envoyer d’êtres humains dans l’espace par leurs propres moyens, obligés de passer par les fusées russes. Ensuite il y a la Chine. Toutes les autres agences spatiales (ESA, JAXA, etc) ne peuvent envoyer que des sondes/satellites.

    Voici une citation de Benjamin R. Rich, ancien directeur général de Lockheed Martin Skunk Works :

    « Nous avons déjà les moyens de voyager vers les étoiles, mais ces technologies sont verrouillées dans des programmes secrets et il faudrait une action divine pour qu’elles soient utilisées au bénéfice de l’Humanité... Tout ce que vous pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. »

    Imaginons une poignée de pays ayant seuls accès à une technologie atypique, avec tous les avantages que cela apporterait par rapport au reste du Monde. Pouvoir visiter incognito le Système Solaire en faisant croire à l’Humanité que l’exploration spatiale se résume encore en 2013 à quelques robots ici-ou-là.

    Par ailleurs il est des documents officiels qui ne laissent plus la place au doute quant à la réalité d’un phénomène réel s’agissant des « OVNI » (d’ailleurs de nombreux gouvernements sur la Planète ont déclassifié des milliers de documents à ce sujet, des données radar sol et air, des vidéos, des poursuites, etc). Il y a une vingtaine d’années, la NASA retransmettait en direct des images orbitales terrestres via NASA TV. Par exemple des vidéos infra-rouge obtenues depuis les navettes STS. Les téléspectateurs pouvaient enregistrer ces images, à l’instar de Martyn Stubbs qui a compilé des archives. Suite aux interrogations de quantités de téléspectateurs, s’agissant de « bolides » insolites virevoltant deci-delà dans l’espace, la NASA a depuis cessé toute retransmission en direct.

    Voici un exemple parmi des centaines d’autres. Il s’agit d’images enregistrées depuis la navette STS-63 (février 1995). Pour la petite histoire les protagonistes sont à la recherche de la station russe MIR. Le hic c’est que des dizaines d’« objets non identifiés » évoluent dans tous les sens. Dès que certaines images deviennent gênantes, ou la caméra fait un zoom arrière ou le contraste est changé de telle manière que plus rien ou presque n’est visible (comme à la fin de la vidéo).

    Un autre exemple issu de STS-48 (septembre 1991). Voir ce qui se passe à 0:19 ! Suite au « flash », certains des « engins » modifient immédiatement leur trajectoire et augmentent leur vitesse de manière fulgurante. Voici ce qu’en pense le physicien Jack Kasher.

    Ici une compilation intéressante basée sur toutes sortes d’archives officielles référencées (à voir jusqu’au bout).

    Et voilà notamment ce que l’on peut trouver en orbite terrestre sur des images officielles encore une fois.

    Exemple 1 (tiré de cette image)

    Exemple 2 (tiré de cette image)

    Et quid des témoignages de tous ces militaires, parfois très haut-gradés...

    Alors de deux choses l’une... ou bien ces « engins » sont d’origine humaine... ou bien ils ne le sont pas (ou bien l’une ou l’autre option selon le cas).



  • Aleth Aleth 21 août 2013 14:15

    Voici un extrait de la vidéo postée par Pyrathome :
    https://www.youtube.com/watch?v=zYam2vJKqpU

    Peut-être que ces enfants ont été victimes d’hallucinations collectives qui sait, mais leurs témoignages parlent vrai.



  • Aleth Aleth 21 août 2013 14:07

    Mmarvinbear

    "Ils ont simplement fait faire une trajectoire à leur capsule de façon à ce qu’elle ne reste qu’un minimum de temps dans les zones les plus dangereuses. Cela a pris quelques dizaines de minutes, trop peu pour irradier mortellement les voyageurs.« 

    C’est tellement simple que depuis quatre décennies TOUTES les missions humaines officielles se résument à l’orbite basse, en-deça des ceintures de Van Allen, toutes agences spatiales confondues.

     »Un voyage lunaire a un coût très important, et aucun gouvernement ne veut justifier une telle dépense. Les voyages lunaires se sont fait dans le cadre d’une course de prestige lors de la Guerre Froide. Sans cela, nul doute que seuls des robots ou des sondes y seraient allés."

    Pourquoi, en plus d’un demi-siècle, pas un seul projet, même international, un consortium, n’a été mis en oeuvre afin de concevoir une base permanente sur la Lune ? Quelques semaines, quelques mois a minima... histoire de savoir si nous parvenons à y vivre en autarcie. Ne serait-ce pas une première étape pour se faire la main avant d’envisager des voyages vers Mars à plus de six mois de voyage ? Etablir une base permanente pour savoir si de plus ou moins longs séjours sont envisageables à nos portes, ou pour servir de base de lancement afin de bénéficier de la faible pesanteur lunaire. Et pour le trajet ? Les ricains paraît-il y seraient allés sans aucun problème à l’époque... 18 astronautes sont partis, 18 sont revenus sains et saufs (sans compter Apollo 13, le drame hollywoodien qui finit bien). Alors aujourd’hui un tel voyage ça se ferait les doigts dans le nez... non ?

    Non nous ce qu’on aime par-dessus tout c’est l’orbite basse, en-deça des ceintures de Van Allen, y a rien de tel. C’est tellement plus transcendant en 2013. Et il y en a qui trouvent ça normal.

    Est-ce un problème d’ambition, de retour sur investissement, de finances, ... ou autre chose ? Concernant les budgets, le programme Apollo par exemple a coûté officiellement 25 milliards $ de l’époque (à peu près 130 milliards $ actuels). Quid du budget du Pentagone depuis ne serait-ce que le début du nouveau Millénaire (et toutes les guerres/invasions qui vont avec) ? 5.000 milliards $ ? 10.000 milliards $ ? ... ? D’autant plus que 2.300 milliards $ auraient « disparu » de la comptabilité (dixit Donald Rumsfeld, déclaration du 10/09/2001... le lendemain on n’en parlait déjà plus). Rien qu’un dixième - voire moins - du budget alloué au Pentagone depuis le début du nouveau Millénaire aurait permis de construire une base permanente sur la Lune, vivres, ré-approvisionnements compris et tutti quanti.

    Alors à l’échelle internationale (comme pour l’ISS... à la louche ’à peine’ 100 milliards $) et ce depuis des décennies, les fonds pourraient être largement réunis pour mettre en oeuvre une telle mission humaine. Mais ça ne se fait toujours pas. On veut nous faire « rêver » avec un rover de temps en temps sur Mars (wahou), rover qui fait quelques centaines de mètres, creuse quelques cailloux, emballé c’est pesé jusqu’au prochain rover la décennie suivante. La Lune, c’est pour bientôt rassurons-nous... Ah elle est belle l’exploration, l’aventure spatiale ! Il y a comme une certaine frilosité dans les hautes sphères ! Il y a aussi des projets dans les cartons, toujours des projets, des rêves... pour 2020, 2030, 2040... et c’est repoussé de décennies en décennies. Le statu quo !

    Tu remarqueras que les seules images disponibles du sol lunaire (à même le sol) proviennent nous dit-on de ce seul programme Apollo et de quelques robots soviétiques, et ça date pas d’hier. Depuis pas même un rover n’y a été envoyé, toutes agences spatiales confondues encore une fois. « Donc le sol lunaire ça ressemble à ça... point ». Les mêmes panoramas où que l’on soit... puis ce gris uni.

    Pour information la Lune est parsemée de couleurs, voici un échantillon - largeur 300 km - de la face visible. Voir Moon Rising ou Celestial ou Pourquoi la Lune apparaît grise depuis la Terre.

    Pourquoi la Lune, depuis plus d’un demi-siècle à nos jours, est-elle toujours montrée au public en noir et blanc via les sondes orbitales dans 99% des cas par toutes les agences spatiales confondues ? Pourtant, preuves à l’appui, elle arbore des nuances de bleu, de vert, de marron, etc. Mais on nous a habitués à ce gris uni... ce serait intéressant de voir autre chose que du gris. Non ? Et de près. Pour la Terre les images orbitales HR couleurs existent depuis des décennies. Aussi les sondes Voyager et Pioneer pour l’exemple ont transmis des milliers d’images en couleurs et en haute résolution lors de leurs missions respectives. Pourquoi la Lune fait-elle exception alors qu’elle n’est qu’à quelques jours de voyage ?

    Regarde de quoi est capable Hubble pour Saturne (à 1,43 milliards km en moyenne). Regarde de quoi est capable Hubble pour la Lune (à 385.000 km en moyenne) pour le cratère Copernicus... ça fait un rapport différentiel d’à peu près 3700 question distance par rapport à Saturne ! Mais non il n’y a rien à faire, la poisse décidément, la qualité est exécrable et c’est en noir et blanc. Alors qu’en comparaison on pourrait presque voir la surface comme si on y était, couleurs en option.

    Pourquoi, malgré la technologie officielle disponible (je rappelle que les satellites de reconnaissance du NRO comme KH-12 - et encore c’est un vieux modèle - permettent une résolution de 1 cm par pixel voire moins) n’est-elle pas mise à contribution pour la Lune ? D’autant plus, encore une fois, que les sondes orbitales lunaires peuvent évoluer à très basse altitude, grâce à la gravité six fois moindre et l’absence officielle d’atmosphère (50 km au lieu de 500 km en moyenne pour la Terre) et par conséquent offrir une résolution dix fois meilleure. Pour information le programme LRO a coûté la bagatelle de 500 millions $ ! Mais il manquait quelques dizaines de milliers $ supplémentaires pour la haute qualité et la couleur bien évidemment (par ailleurs comme pour les dizaines d’autres sondes envoyées depuis des décennies par les ricains et les autres pays). Donc pourquoi un atlas complet HR couleurs (théoriquement l’on pourrait voir parfaitement les-dits drapeaux et engins laissés sur place, quand on sait ce qui est possible pour la Terre) n’est toujours pas (en 2013 !) mis à disposition du public par aucune agence spatiale à travers le Monde ?

    S’agissant des images relatives aux « sites d’alunissage » la meilleure résolution - offerte au public - jamais obtenue de la Lune via une sonde orbitale depuis le début de l’ère spatiale (depuis Spoutnik donc, 1957) toutes agences confondues ça donne à peu près ça (LRO - 2009). A priori la couleur ça reste encore un luxe inaccessible. Tu vois le petit ’spot’ blanc pointé par la flèche, censé représenter le module Antarès ? Eh bien n’importe quel ’spot’ blanc équivalent sur l’image aurait fait l’affaire, parce-qu’il y en a un paquet. Et c’est pareil sur toutes les autres images et pour les autres « sites d’alunissage ».

    Depuis les débuts de l’ère spatiale plus d’un demi-siècle s’est écoulé. L’informatique, la nano-technologie, le génie génétique, etc... ont évolué de manière exponentielle. Mais en ce qui concerne l’espace et les technologies s’y apparentant, rien n’a officiellement changé (mise à part l’informatique et quelques détails). Les principes de base sont exactement les mêmes. Là encore c’est le statu quo officiel, plus d’un demi-siècle de léthargie.

    La Russie utilise encore aujourd’hui le même type de fusées (Soyouz) ayant permis d’envoyer Gagarine dans l’espace ! Les USA ne peuvent même plus à l’heure actuelle envoyer d’êtres humains dans l’espace par leurs propres moyens, obligés de passer par les fusées russes. Ensuite il y a la Chine. Toutes les autres agences spatiales (ESA, JAXA, etc) ne peuvent envoyer que des sondes/satellites.

    Voici une citation de Benjamin R. Rich, ancien directeur général de Lockheed Martin Skunk Works :

    « Nous avons déjà les moyens de voyager vers les étoiles, mais ces technologies sont verrouillées dans des programmes secrets et il faudrait une action divine pour qu’elles soient utilisées au bénéfice de l’Humanité... Tout ce que vous pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. »



  • Aleth Aleth 21 août 2013 13:42

    morice, vous allez peut-être me dire que ces militaires, parfois très haut-gradés, sont tous des fous à lier à mettre à l’asile ?



  • Aleth Aleth 21 août 2013 13:26

    A propos de second degré...

    Tout va bien ! Aux défenseurs du Grand Israël

    Cher militant de notre grand projet, tout va bien, l’avenir s’annonce radieux ! Après plus de 60 ans d’efforts, notre conquête du territoire palestinien sera bientôt complète. Le plan de nettoyage ethnique que nous avions élaboré et lancé en 1948 est en bonne voie de finition.

    Avec le soutien actif des USA, notre indéfectible allié, et la collaboration silencieuse des pays européens, nous sommes devenus – et de loin – la plus grande puissance militaire du Moyen-Orient et la 6ème puissance nucléaire du monde !
    Ces soutiens des Occidentaux sont parfois décriés alors qu’ils sont totalement légitimes et justifiés... Il aurait en effet été scandaleux de ne pas les voir soutenir l’œuvre civilisatrice d’autres Occidentaux !
    Dernière bonne nouvelle : la préparation de l’attaque contre les mécréants iraniens, s’accélère... Pas question qu’un autre Etat que nous développe le nucléaire, même civil, au Moyen-Orient !
    Tout va bien, donc !

    Cependant, la perfection n’étant pas de ce monde, il faut bien constater une certaine réticence de l’opinion publique internationale à approuver le développement de notre œuvre colonisatrice et reconnaître notre rôle moteur dans la défense de l’Occident.
    Devant ces critiques absurdes et hostiles, il est primordial que chaque sioniste se mobilise pour modifier la vision négative d’Israël qui se répand actuellement et fasse taire ceux qui osent nous blâmer !
    Comme vous le savez, de nouveaux moyens financiers ont été dégagés par notre gouvernement pour soutenir cette campagne de réhabilitation et donner à nos antennes de propagande les armes pour écraser toute velléité de s’opposer à notre suprématie.
    Comme sioniste, n’oublions jamais que notre seule véritable patrie est Israël... et que tout sioniste doit remplir son rôle de lobbyiste dans le pays où il réside !
    Tout va bien !

    Afin de mieux épauler nos militants dans cette croisade, il est nécessaire de leur donner quelques outils pour museler les critiques et étouffer les révélations nuisibles au sionisme : les informations qui suivent doivent vous permettre de clouer le bec à ceux qui ont l’arrogance de contester.
    Mais les mensonges et calomnies utilisés par nos ennemis antisémites pour délégitimer notre mouvement étant très nombreux, nous n’aborderons ici que quelques thèmes... pour cette fois !

    Mais avant tout, n’oubliez pas que tout antisioniste est un antisémite !
    Martelez ce slogan à toute occasion, qu’il devienne une évidence pour le citoyen lambda... Ainsi il ne verra pas l’absurdité et le ridicule de l’expression (suivant cette logique... antinazi = anti Allemand, anticommuniste = anti Russe, antifranquiste = anti Espagnol, etc).

    A propos du sionisme

    Depuis la fondation de notre mouvement à la fin du XXème siècle, les critiques n’ont pas manqué et des traîtres comme Albert Einstein et Hanna Arendt ont même osé, en compagnie d’une bonne vingtaine d’intellectuels juifs renégats, affirmer que notre idéologie était fasciste.
    Heureusement, personne ne les a écoutés. Ainsi nous avons pu occulter l’image de conquérants et continuer à nous poser en victimes.
    Là, Ben Gourion a été génial !
    Lui qui, en 1942 (!), disait que « le désastre qu’affronte le Judaïsme européen n’est pas mon affaire ! » a su merveilleusement utiliser le sentiment de culpabilité provoqué par le génocide hitlérien pour emporter le morceau à l’ONU.
    Certains, tel Norman Finkelstein (encore un traître) , ont dénoncé cette utilisation du massacre à des fins politiques... Méprisez-les !
    Et si on vous casse les pieds avec le soi-disant problème des survivants de l’Holocauste qui vivent en Israël sous le seuil de pauvreté (± 200.000), rappelez les paroles du rabbin Yosef Ovadia : C’est la punition de Dieu pour leurs péchés !
    Si notre grand rabbin le dit, c’est que c’est ainsi !
    Tout va bien !

    Vive Ben Gourion !
    Grâce à lui et à ses compagnons, le mythe de la petite nation pacifique obligée de se défendre contre des Arabes sanguinaires a pu se propager !
    Ce statut nous a permis de dédaigner les lois internationales, de snober les résolutions de l’ONU et les condamnations du tribunal de La Haye sans entraîner la moindre sanction contre nous.
    Comme disait notre grand Ariel Sharon : Israël peut avoir le droit de juger les autres, mais certainement personne n’a le droit de juger le peuple juif ou l’État d’Israël !
    Faut dire que Ben Gourion avait déjà évité pas mal d’écueils depuis les années 30 et nos premiers attentats à la bombe contre les civils arabes à Jérusalem et à Jaffa.
    Il avait, entre autres, fait taire Simon Wisenthal, le chasseur de nazis, qui l’apostropha au congrès sioniste de 1946 : Cela ne nous aurait pas fait de mal d’organiser notre propre procès de Nuremberg contre tous ceux (les dirigeants sionistes) qui n’avaient pas accompli leur devoir envers nous, nos familles et le peuple juif

    D’autres juifs renégats, tel Marek Edelman, le soi-disant héros du ghetto de Varsovie, ont rejoint les opposants à notre glorieuse colonisation, mais l’efficacité de notre service de propagande est bien connue... Et cela n’a pas fait trop de vagues.
    Nous sommes aussi parvenus à masquer pas mal de faits gênants pour notre image... même à faire oublier que nos dirigeants avaient collaboré avec le régime nazi – Itzak Shamir, futur premier ministre, fit même de la prison pour ça.
    Mais tout va bien : sionisme n’est toujours pas assimilé à fascisme !
    C’est fort, non ?
    Aujourd’hui encore les traîtres pullulent (Daniel Barenboim, Amos Oz, Noam Chomsky, Richard Gere, Naomi Klein...). Ne laissez pas ces juifs honteux injurier notre noble cause et fermez le caquet à tous ceux qui, juifs ou non, nous critiquent et nous traitent de fascistes !
    Il n’y a qu’une seul vérité : la nôtre !
    ... Et comme le disait un de nos éminents représentants en Europe : Ceux qui sont contre Israël sont des animaux, des chiens enragés, des hyènes !
    Pas de pitié pour tous ceux qui osent dire que le Grand Israël est une utopie criminelle !

    A propos de l’apartheid

    On nous accuse en plus d’avoir une politique d’apartheid.
    Honteux !
    Tout ça parce que, pour optimiser la vie en commun avec les 20% d’Arabes vivant dans l’Etat des juifs, nous avons été amenés à instaurer des tribunaux particuliers, une carte d’identité spécifique, restreindre l’utilisation des transports publics, limiter l’accès au travail et aux études universitaires, interdire les mariages mixtes (... manquerait plus qu’on se mélange !)... Etc, Etc.
    Il faut bien contrôler ces indigènes, non ?
    On nous reproche aussi les quelques centaines de kilomètres de mur découpant la Judée-Samarie (la « Cisjordanie » pour nos ennemis), le rationnement de l’eau... et même les 800 check-points qui empêchent la libre circulation des autochtones.
    Faut bien nous défendre contre les terroristes, non ?
    C’est vrai qu’il y a parfois des dommages collatéraux inévitables, comme la mort de ces 35 bébés et de ces 5 mères décédées pendant leur accouchement sur la route.
    N’ont qu’à pas faire autant d’enfants ces... crocodiles, comme les qualifiait Ehud Barak, notre glorieux ministre.

    Il est aussi scandaleux qu’un Nelson Mandela ose nous accuser de racisme... Encore un antisémite que nous aurions mieux fait d’éliminer du temps de notre collaboration suivie avec Willem Botha !
    Savez-vous qu’il n’a pas hésité à comparer notre œuvre civilisatrice au régime d’apartheid de l’Afrique du Sud et a osé écrire : Les Palestiniens ne luttent pas pour un « Etat » mais pour la liberté, la libération et l’égalité, exactement comme nous avons lutté pour la liberté en Afrique du Sud (...)
    Si vous suivez également le système judiciaire en Israël, vous verrez qu’il y a discrimination contre les Palestiniens, et si vous considérez plus particulièrement les territoires occupés en 1967, vous verrez qu’il y a déjà deux systèmes judiciaires à l’œuvre, qui représentent deux approches différentes de la vie humaine : une pour la vie palestinienne et l’autre pour la vie juive (...)
    Les soi-disant « Zones autonomes palestiniennes » sont des Bantoustans. Ce sont des entités restreintes au sein de la structure de pouvoir du système israélien d’Apartheid (...) La discrimination raciale d’Israël est la vie quotidienne de la plupart des Palestiniens (...)
    L’Apartheid est un crime contre l’humanité. Israël a privé des millions de Palestiniens de leur liberté et de leur propriété. Il perpétue un système de discrimination raciale et d’inégalité.
    Il a systématiquement incarcéré et torturé des milliers de Palestiniens, en violation du droit international. Il a déclenché une guerre contre une population civile et en particulier contre des enfants.

    Heureusement ce propos abject est contredit par nos amis politiques d’Europe et par la plupart des journalistes occidentaux qui, eux, considèrent que c’est une calomnie de nous accuser de pratiquer l’apartheid.
    Merci à tous ces parlementaires et à la presse pour leur bonne collaboration.

    A propos du nettoyage ethnique

    Quelques historiens félons sont allés farfouiller dans nos archives militaires et ont découvert que, deux mois avant le vote de l’ONU nous accordant un territoire, nos dirigeants avaient élaboré un « Plan D » (Daleth en hébreu) de nettoyage et l’avaient lancé dès l’annonce de la création de notre Etat.
    Cette révélation est inacceptable !
    Elle ne peut être le fait que d’antisémites juifs qui veulent salir notre image.
    C’est vrai que 800.000 indigènes prirent la fuite à cette époque... Mais c’était leur choix !
    C’est vrai que quelques 500 villages furent détruits... IIs gênaient notre avancée !
    C’est vrai qu’il y eut quelques bavures (appelées indûment « massacres »)... Ils n’avaient qu’à ne pas protester !
    Nous étions parvenus à cacher l’existence de ce plan de nettoyage ethnique (idem pour la bombe atomique !) que nous avons poursuivi sans anicroches jusque ces dernières années... Et il a fallu qu’un Ilan Pappé, et d’autres traîtres à notre cause, vendent la mèche !
    Que faire ?
    Niez ! Dites que tout ça est inventé, que ces révélations sont fabriquées par un esprit malade !
    Ne négligez aucun moyen ou argument !
    La vérité est secondaire, seul notre projet est important !
    Tout va bien !

    A propos des origines

    Nous pouvons être fiers de nos services de propagande. Ils sont d’une redoutable efficacité !
    Je n’en veux pour preuve que les nombreuses fariboles que nous avons fait gober aux naïfs.
    Par exemple, ils croient toujours que les Romains ont chassé les juifs de Palestine... Alors que nos propres historiens reconnaissent que c’est pure invention et qu’il n’y a quasi aucun citoyen de notre Etat qui peut revendiquer un quelconque ancêtre issu de la terre que nous avons maintenant conquise.
    Il faut absolument clouer le bec à ces Shlomo Sand ou Israël Bartal, ces professeurs d’universités israéliennes qui ont admis que nous sommes tous essentiellement les enfants d’Européens, d’Orientaux et de Nord-africains convertis à la religion juive.
    Heureusement, ces révélations ont pu, jusqu’à présent, être plus ou moins étouffées et nous arrivons encore à maintenir la fiction du peuple retournant dans la terre de ses ancêtres... Mais il est fondamental de contredire violemment les découvertes de ces soi-disant historiens, de les réduire au silence ! Menteurs ! Faussaires ! Affabulateurs ! Paranoïaques ! Négationnistes !... Ne négligez aucune injure contre ces chiens !
    La vérité historique ne compte pas ! Seule compte la Torah qui dit que c’est Dieu qui nous a donné cette terre ! Nous sommes son peuple élu, non ?
    Tout va bien !

    A propos des idiots utiles

    Une de nos grandes forces a été de parler de paix depuis 60 ans, de proposer des négociations, d’afficher une volonté de solution pacifique... tout en continuant notre expansion territoriale.
    Nous sommes les rois du « faire traîner », les experts du piétinement !
    Et ça marche toujours !
    De nombreux idiots utiles nous ont été, et nous sont toujours, d’un grand secours pour propager ce discours lénifiant « Ils ne demandent qu’à négocier » nous évitant ainsi de devoir parler de justice et de droit... de répondre de nos actes !
    La plupart des politiciens européens de la gauche « bon chic, bon genre » soutient, par exemple, le projet de deux Etats... alors qu’un simple coup d’œil sur la carte montre que c’est devenu impossible.
    Merci à eux ! Pendant qu’ils discutaillent, nous on agit et on donne un coup de fouet à l’extension de nos colonies et au nettoyage ethnique.
    De nouveaux alliés nous sont aussi arrivés : les groupuscules d’extrême-droite européens et les évangélistes créationnistes américains !
    Eux, ils ont compris que nous étions la citadelle du monde occidental face aux barbares !
    Ils pensent comme nous et sont nos frères dans la lutte contre nos détracteurs.
    C’est à bras ouverts que nous les avons accueillis !
    Collaborez avec eux dans votre pays ! Ils nous soutiennent pour ameuter la presse et l’opinion publique dès qu’un événement quelconque, même mineur, se révèle utile à notre cause (injure raciste dans une école, jet de roquette près d’une colonie...etc), pour pousser les hauts cris à chaque information négative (rapports de l’ONU, émissions télévisées...) et récuser avec force la réalité de tous les faits, présents ou passés, nuisibles à Israël.
    Ce sont des potes !

    A propos des perspectives

    Elles sont ensoleillées !
    Des colonies (pardon, des « implantations dans les territoires contestés ») se construisent chaque jour avec la bénédiction de nos rabbins pendant que nos braves colons détruisent les oliveraies palestiniennes sous la protection de notre glorieuse armée.
    Nous occupons de plus en plus le terrain, au point qu’on ne voit plus très bien ce qu’il y a à négocier avec ces Arabes qui prétendaient vouloir un pays. Quand nous aurons tout nettoyé, il ne leur restera plus qu’à se soumettre ou partir.
    On leur laissera la bande de Gaza (toujours « contrôlée », bien entendu). Promotionnée comme les réserves apaches, ça peut être intéressant pour le tourisme.
    Tout va bien !
    Chaque jour, on tue quelques Palestiniens sans le moindre écho dans les medias occidentaux, on lance quelques bombes sur Gaza, on assassine quelques opposants ou gêneurs à l’étranger (très bonne collaboration Mossad/CIA !), on arrête quelques indigènes (faut bien refaire le stock après la libération du millier de Palestiniens de fin 2011), on édifie un nouveau check point, on coupe l’eau à quelques villages, on détruit quelques maisons, on construit un grand camp de concentration pour les immigrés clandestins...
    Tout va bien !
    La population israélienne n’est pas au courant ou préfère ne pas le savoir.
    A part quelques rares journalistes, la presse occidentale a adopté la politique des trois singes (mains sur les yeux, les oreilles et la bouche) et informe le moins possible.
    La plupart des politiques européens n’en ont rien à foutre ou se manifestent mollement.
    Seuls les Droitsdel’Hommistes invétérés (antisémites, évidemment !) s’informent et protestent.
    Les USA viennent de renforcer notre armement... Ça ne peut pas aller mieux !
    Nous n’attendons plus que le Docteur Folamour pour lancer la grande offensive !

    Rudi Barnet

    Source



  • Aleth Aleth 21 août 2013 13:16

    Impunité totale, menaces de mort ou pas à l’encontre d’une sénatrice. Comme pour les membres de la LDJ ou du Betar, qui ne sont jamais inquiétés, malgré de nombreuses agressions avérées et leur mise en ligne sur la toile. Ils revendiquent la violence, ils en sont fiers, ne redoutent pas la « justice », se croient tout permis. La police connaît leurs noms mais rien ne se passe (là il n’y a pas de dissolution).

    Ils peuvent poignarder un commissaire de police en plein Paris, aucune arrestation, puis le coupable connu des services est illico presto exfiltré vers Israël (là où il assassina un taxi arabe), il est même fait pression sur le commissaire pour éviter d’ébruiter l’affaire (et MAM qui faisait semblant de ne pas être au courant). Ils s’entraînent au krav maga dans des bâtiments de la République protégés par la police française, pas de problème, c’est cadeau. Etc etc etc. Bref il y a comme une couille dans le potage si je puis dire. De la LDJ à BHL les privilèges de la « République » abondent.

    La France (et pas uniquement elle... quand ce n’est pas l’AIPAC d’un côté c’est le CRIJF de l’autre) est aux mains d’un certain lobby qui fait la pluie et le beau temps (ou qui peut même envoyer à la mort nos soldats sur simple demande de Botul), qui est parvenu à prendre les manettes du pouvoir et ça date pas d’hier. Le grand remplacement dans nos institutions. Il faut quand même se rendre à l’évidence, la soumission totale de nos « représentants » politiques, qu’il s’agisse de $arko ou de tout-mou, valls & co. Sans parler du dîner annuel.

    Ce lobby sioniste qui se cache en dernière instance derrière le bouclier de la religion. Pourtant des milliers de rabbins intègres à travers le Monde ne cessent de répéter que le sionisme est incompatible avec le Judaïsme. Mais il faut bien trouver des prétextes afin de faire « avancer le projet ».

    La gangrène sioniste s’est infiltrée partout ou presque. Fort heureusement de plus en plus d’irréductibles dissidents résistent encore et toujours à l’envahisseur. A visionner ce magnifique documentaire « L’oligarchie et le sionisme » de Béatrice Pignède. ’m’étonnerait qu’il soit diffusé sur Arte. smiley



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 22:21

    Dans le logiciel de 65beve un opposant au mariage pour tous = homophobe. La logique à l’état pur.



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 19:52

    Alain Krivine est un agent trotskiste (à l’instar de Daniel Cohn-Bendit et autres ennemis de de Gaulle ayant contribué à son départ). Krivine le mentor de Besancenot, un autre agent mondialiste. D’ailleurs ce n’est pas pour rien s’il est à présent grillé au niveau politique malgré son relatif jeune âge. Il est démasqué.



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 17:51

    « Je parle de rebelles syriens pour ne pas encombrer l’article de détails sémantiques. »

    Ces termes en l’occurrence représentent un raccourci mensonger voilà tout. Les merdias (ainsi que Fabius & co) emploient déjà cette expression à foison pour embrouiller les esprits. « Mercenaires étrangers » ou « terroristes étrangers » ça ne prendrait pas beaucoup plus de place. Autant appeler un chat un chat, détails sémantiques ou pas.

    "Il y a maintenant trop d’influence étrangère dans le conflit syrien pour que le concept « rebelle » puisse être considéré comme vidé de sa substance« 

    C’est comme ça depuis le début.

     »Sur BHL, je suis assez réservé. Je ne l’ai pas connu en dehors du dossier libyen et irakien. Deux fiascos pour un philosophe aux prétentions « visionnaires ». J’observe encore le philosophe. Au troisième fiasco, j’aurai du mal à ne pas rallier votre position sur lui.« 

    Vous devriez alors faire preuve de plus de curiosité, s’agissant du Kosovo, de la Palestine et j’en passe. Menteur comme un arracheur de dents, servant les intérêts de l’Empire et surtout de l’Etat sioniste. Cet »intellectuel" faussaire, ce pseudo-philosophe milliardaire devrait croupir en prison à l’heure actuelle pour tout le sang qu’il a sur les mains... mais le Monde est ainsi fait que les véritables pourritures et adeptes des massacres sont libres comme l’air, se pavanant sur les plateaux tv/radio divers et variés.



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 17:02

    A titre de comparaison, Maurice Gutman (accessoirement membre du CRIF et conseiller municipal UMP du Mesnil-Saint-Denis - spécialement chargé de l’internet - à l’époque des faits) - piégé dans l’émission « Les infiltrés » (France 2) dont voici la vidéo - a été condamné en juin 2010 par le tribunal correctionnel de Versailles à deux mois de prison avec sursis pour proposition sexuelle à une mineure de 12 ans. « Justice » à deux vitesses.



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 16:13

    ps :

    « La crise syrienne n’est pas une guerre civile entre Syriens »
    Intervention du colonel Alain Corvez au colloque sur la Syrie du 19 juin à l’Assemblée nationale



  • Aleth Aleth 23 juin 2013 16:00

    Le conflit en Syrie est prévu de longue date (voir les interventions du Général Wesley Clark ici ou ou celle de Roland Dumas ici). Comme pour l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, etc il s’agit purement et simplement de renverser un régime (comme par hasard dans la même région du Monde) qui refuse de se soumettre à Washington ou à l’Etat sioniste (avec la plupart des pays Occidentaux à leur botte dont la France) ou qui présente des intérêts pour l’Empire. Alors est entreprise une démarche de diabolisation, qualifiant de « tyrans » ou de « monstres » les responsables politiques montrés du doigt par les « chevaliers blancs » de « l »Axe du Bien« (qui eux n’ont pas de sang sur les mains bien entendu), appelant à »sauver la veuve et l’orphelin« , »au nom des Droits de l’Homme« , »pour sauver la démocratie« bla bla etc.

    La technique a été appliquée maintes et maintes fois et ça continue encore et encore, avec les politiques et merdias (détenus entre autres par des marchands d’armes, un petit résumé ici) qui nous resservent à chaque fois la même sauce réchauffée. Quoi qu’il en soit, il est très facile de repérer une supercherie de ce type. A partir du moment où BHL fait l’apologie de telle ou telle ingérence ou intervention militaire, à coup sûr il faut penser le contraire. Il incarne à sa manière une boussole inversée.

    A lire cet excellent papier satirique à propos de la situation en Syrie.

    @ l’auteur

    Vous utilisez les termes »rebelles Syriens« ou »Armée syrienne libre" à l’instar des merdias. Il n’y a pas d’Armée syrienne libre ! Il s’agit pour la plupart de mercenaires/terroristes étrangers financés et armés ou par le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Etats-Unis ou autres membres de l’OTAN, en vue de déstabiliser et renverser le régime syrien. Le même scénario ou presque qu’en Libye entre autres exemples et on voit ce que ça donne au final. Peu importent les voies légales menant à l’ingérence... cette ingérence n’a pas lieu d’être un point c’est tout, si ce n’est pour aider le régime syrien à se débarrasser des mercenaires/terroristes en question. Dans le cas présent c’est tout l’inverse.



  • Aleth Aleth 9 juin 2013 18:03

    (suite)

    Ce qui suit est une interview (qui date un peu) de Ron Supinski, Directeur des relations médiatiques pour la Reserve Fédérale (FED) de San-Francisco.

    Journaliste : M. Supinski, mon pays contrôle-t-il le Federal Reserve System ?
    M. Supinski : Nous sommes un bureau qui représente le gouvernement.

    J. : Ce n’est pas ma question. Est-ce-que mon pays contrôle ce système ?
    S. : C’est un bureau du gouvernement qui a été créé par le Congrès.

    J. : Le Federal Reserve System est-il une entreprise ?
    S. : Oui.

    J. : Mon gouvernement tient-il un inventaire des actes du Federal Reserve System ?
    S. : Non, ce sont les banques associées qui le font.

    J. : Les banques associées sont-elles des sociétés privées ?
    S. : Oui.

    J. : Les billets de la Federal Reserve Bank sont-ils nantis ?
    S. : Oui, par les biens de la Federal Reserve Bank, mais principalement par le pouvoir du Congrès de répartir les impôts sur les citoyens.

    J. : Vous disiez - par le pouvoir d’encaisser les impôts - c’est ce qui garantit les billets de la Federal Reserve Bank ?
    S. : Oui.

    J. : A combien s’élève la totalité des biens de la Federal Reserve Bank ?
    S. : La San Francisco Bank possède 36 milliards $ d’actifs.

    J. : En quoi consistent ces actifs ?
    S. : De l’or de la Federal Reserve Bank, et des garanties d’Etat.

    J. : Quel est le taux d’une once d’or dans ses livres ?
    S. : Je n’ai pas l’information, mais la San Francisco Bank possède 1.6 milliards $ en or.

    J. : Voulez-vous dire que la Federal Reserve Bank de San Francisco possède 1.6 milliards $ en or, en tant que banque, le solde de cette fortune sont les garanties d’État ?
    S. : Oui.

    J. : Où la Federal Reserve se procure-t-elle les billets ?
    S. : Ils sont autorisés par le Trésor.

    J. : Combien la Federal Reserve paie-t-elle un billet de 10 $ ?
    S. : De 50 à 70 cents.

    J. : Combien payez-vous un billet de 100.000 $ ?
    S. : Le même montant, de 50 à 70 cents.

    J. : 50 cents pour 100.000 $, c’est un profit énorme.
    S. : Oui.

    J. : La Federal Reserve Bank paie 20,60 $ pour une valeur nominative de 1.000 $, c’est-à-dire un peu plus de 2 cents pour une facture de 100.000 $, est-ce correct ?
    S. : C’est bien cela.

    J. : La Federal Reserve Bank n’utilise-t-elle pas les billets qu’elle paie 2 cents l’unité pour racheter les obligations d’État au gouvernement.
    S. : Oui, mais c’est aussi plus que cela.

    J. : Dans l’ensemble, c’est ce qui se produit.
    S. : Oui, dans l’ensemble c’est vrai.

    J. : Combien de billets de la Federal Reserve Bank sont-ils en circulation ?
    S. : II y en a pour 263 milliards $, mais nous ne pouvons rendre compte que pour un faible pourcentage.

    J. : Où sont passés les autres billets ?
    S. : Enterrés sous les matelas des gens, et l’argent de la drogue.

    J. : Depuis que les dettes sont payables en billets de la Federal Reserve Bank, comment pourrait-on rembourser 4.000 milliards $ de dettes publiques avec la totalité des billets en circulation ?
    S. : Je ne sais pas.

    J. : Si le gouvernement fédéral récoltait chaque billet en circulation, serait-il mathématiquement possible de rembourser ces 4.000 milliards $ ?
    S. : Non.

    J. : Est-ce correct si je dis que pour 1 $ de dépôt dans I’une banque affiliée, 8 $ pourraient être prêtés, avec assez de marge politique ?
    S. : A peu près 7 $.

    J. : Corrigez-moi si je me trompe, mais ce seraient 7 $ de la Federal Reserve Bank qui n’ont jamais été mis en circulation. Mais je dirais, par manque de vocabulaire, créés à partir de rien, les crédits et les 2 cents de valeur numéraire n’ont jamais été payés. En d’autres termes, les billets de la Federal Reserve Bank n’étaient pas réellement imprimés et créés, seulement générés comme entrée comptable et prêtés avec intérêt. Est-ce correct ?
    S. : Oui.

    J. : Est-ce la raison pour laquelle il n’y a que 263 milliards $ en circulation  ?
    S. : C’est en partie la raison.

    J. : Est-ce que j’interprète bien quand je dis que la loi qui a été votée en 1913 a transféré le pouvoir de frapper la monnaie du Congrès à une société privée. Et mon pays emprunte maintenant ce qui devrait être notre argent à la Federal Reserve Bank, plus les intérêts. Est-ce correct - les dettes ne pourront jamais être remboursées - sous le régime monétaire que nous avons ?
    S. : Dans le fond, oui.

    J. : Je sens là un piège, pas vous ?
    S. : Désolé, je ne peux pas répondre à cette question, je travaille ici.

    J. : Les comptes de la Federal Reserve Bank ont-ils été vérifiés ?
    S. : Ils sont vérifiés.

    J. : Pourquoi y-a-t-il une résolution (No 1486) pour une vérification complète des livres par la GAO, et pourquoi la Federal Reserve Bank fait-elle de la résistance ?
    S. : Je ne sais pas.

    J. : La Federal Reserve Bank régule-t-elle la valeur de ses billets, et les taux d’intérêt ?
    S. : Oui.

    J. : Expliquez-nous comment le système de la Federal Reserve Bank peut être constitutionnel, si seul le Congrès a le pouvoir constitutionnel de frapper la monnaie, de la diffuser et de réguler sa valeur (Article 1, section 1 et 8) ? II n’est écrit nulle part dans la Constitution que le Congrès a le droit de transférer un pouvoir constitutionnel à une société privée, ou bien ?
    S. : Je ne suis pas un expert en droit constitutionnel, mais je peux vous conseiller notre département juridique.

    J. : Je peux vous le confirmer, j’ai lu la Constitution. Elle ne permet pas le transfert d’un pouvoir à une société privée. N’est-il pas spécifié que tous les pouvoirs appartiennent à l’État et aux citoyens, pas à une personne privée ? Est-ce valable pour une entreprise privée ?
    S. : Je ne pense pas, mais nous avons été créés par l’Assemblée constituante.

    J. : Etes-vous d’accord avec moi si je vous dis que c’est notre pays et que ce devrait être notre argent, comme le dit la Constitution ?
    S. : Je comprends ce que vous dites.

    J. : Pourquoi devrions-nous emprunter notre argent à une société privée qui nous demande en plus des intérêts ? N’est-ce pas la raison pour laquelle nous avons fait une révolution, devenir un peuple souverain avec des droits propres  ?
    S. : (ne veut pas répondre).

    J. : Est-ce-que ce sujet a été contrôlé par la Cour constitutionnelle ?
    S. : Je crois qu’il y a une jurisprudence à ce sujet.

    J. : Y a-t-il eu des cas devant la Cour suprême ?
    S. : Je pense que oui, mais je ne suis pas sûr.

    J. : La Cour suprême n’a-t-elle pas confirmé à l’unanimité dans le A.L.A. (Schlechter Poultry Corp. vs US, et Carter vs. Carter Coal Co.) par décret que la corporation est une délégation anticonstitutionnelle du pouvoir législatif ? C’est une délégation législative sous sa forme la plus choquante ; en soi, ce n’est pas une délégation envers un groupe, une corporation ou une société officielle, qui régule de façon désintéressée sans doute ce qui est commun, et de façon intéressée les affaires privées d’une personne. (Carter vs. Carter Coal Co.)
    S. : Je ne sais pas, mais allez donc voir notre département juridique.

    J. : Le système monétaire actuel n’est-il pas un château de cartes qui DOIT s’écrouler, parce que les dettes ne pourront jamais être remboursées ?
    S. : II semble que oui. Je peux vous dire que vous connaissez bien le sujet et que vous voyez clair. Cependant, nous avons une solution.

    J. : Quelle est cette solution ?
    S. : La carte de débit.

    J. : Parlez-vous de I’EFT Act (Electronic Funds Transfer) ? N’est-ce pas inquiétant quand on connaît la capacité des ordinateurs ? II donnera à l’État et à ses délégations, la Federal Reserve Bank inclue, des informations comme : "Vous étiez à la pompe à essence à 2H30, vous avez acheté pour 10 $ d’essence sans plomb à 1,41 $ le gallon. Puis vous avez été au supermarché à 2H58, vous avez acheté du pain, de la viande et du lait pour 12,32 $, et à 3H30 vous êtes allé à la pharmacie où vous avez acheté des médicaments pour 5,62 $". En d’autres termes, vous sauriez quand et où nous allons, combien a payé le grossiste et combien de bénéfice il a fait. Avec ce système EFT vous sauriez tout sur nous. N’est-ce pas inquiétant ?
    S. : Oui, c’est surprenant.

    J. : Je sens un piège énorme qui a roulé notre Constitution dans la farine. Ne payons-nous pas une contribution énorme sous forme d’impôts sur le revenu à un consortium privé de banques ?
    S. : Je n’appelle pas cela une contribution, ce sont des intérêts.

    J. : Les banques en question ne sont-elles pas assermentées pour défendre la Constitution vis-à-vis d’ennemis de l’intérieur ou de l’extérieur ? La Federal Reserve Bank n’est-elle pas un ennemi de l’intérieur dans ce cas précis ?
    S. : Je ne dirais pas cela.

    J. : Nos fonctionnaires de la Federal Reserve Bank sont coupables de favoritisme personnel, ils détruisent notre Constitution, ce qui est une trahison. La peine de mort n’est-elle pas le châtiment pour une trahison ?
    S. : Je pense que oui.

    J. : Merci pour les informations et le temps que vous nous avez accordés, si je pouvais je vous dirais d’entreprendre les démarches nécessaires pour vous protéger vous et votre famille, et retirer votre argent des banques, avant que le système ne s’effondre. Moi je le ferai.
    S. : La situation n’est pas bonne.

    J. : Puisse Dieu être miséricordieux pour les esprits qui sont derrière ces actions anticonstitutionnelles et criminelles que l’on appelle Federal Reserve Bank. Si les masses toutes puissantes se réveillaient et comprenaient ce tour de passe-passe, elles ne le prendraient pas pour un grain de sable. C’était un plaisir de parler avec vous et je vous remercie pour votre disponibilité. J’espère que vous suivrez mon conseil avant que tout ne s’effondre.
    S. : Malheureusement, cela ne se présente pas bien.

    J. : Passez une bonne journée et merci encore.
    S. : Merci pour votre appel.



  • Aleth Aleth 9 juin 2013 17:55

    (suite)

    « Donnez moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois » M.A. Rothschild

    "Une grande nation industrielle se trouve dominée par son système de crédit. (...) La richesse de la nation et toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. (...) Nous en sommes venus à être une des nations les plus mal dirigées, un des gouvernements les plus totalement contrôlés et dominés du monde civilisé ; non plus un gouvernement régi par des opinions librement exprimées, un gouvernement de la loi et du vote à la majorité, mais un gouvernement placé sous la contrainte et la férule d’un petit groupe d’hommes." Woodrow Wilson, 28e Président des Etats-Unis

    Pour obtenir le contrôle total, deux ingrédients sont essentiels : une banque centrale, et un impôt progressif, pour que les gens ne s’en rendent pas compte.” Karl Marx

    La véritable menace pour notre pays est le gouvernement invisible, qui comme une pieuvre géante, étend ses tentacules gluantes autour de nos villes, états et nations.” John F. Hylan, maire de New York de 1918 à 1925

    Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence. Leur unique objectif est le gain.” Napoléon Bonaparte

    Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre propre esclavage, alors laissez les banques créer l’argent.” Josiah Stamp, Gouverneur de la Banque d’Angleterre, 1920

    Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin.” Henry Ford



  • Aleth Aleth 9 juin 2013 17:41

    Je tiens à revenir là-dessus par rapport à l’article :

    "Tout d’abord, il faut bien constater que le Japon, les Etats-Unis ou la Grande-Bretagne sont aujourd’hui largement financés par leurs banques centrales, ce qui démontre qu’il est possible pour un Etat de s’endetter à taux nuls."

    Pour le cas des Etats-Unis, c’est la Réserve Fédérale, la FED - qui n’a de fédérale que le nom - qui prête au Trésor US moyennant intérêts. Il s’agit d’une entité privée créée en 1913, un consortium, un cartel de banques privées appartenant à des familles de banquiers internationaux (JP Morgan, Rockefeller, etc). A lire Les secrets de la Réserve Fédérale d’Eustace Mullins. Voir également Oligarchie financière : les huit familles Partie 1 et Partie 2.

    Lorsque la FED fait tourner la planche à billets pour « prêter » au Trésor US, ce dernier achète les billets à hauteur de leur valeur fictive. Et ce sont les citoyens, via notamment les impôts et donc la sueur de leur front, qui alimentent les caisses de la FED.

    Par exemple un billet de 100$ - qui coûte à la FED quelques cents à produire - sera acheté par le Trésor US 100$, plus les intérêts (pour pousser le cynisme à son comble ou à son paroxysme). Cela représente un sacré bénéfice pour ces familles mafieuses. Surtout en tenant compte des dizaines de milliers de milliards $ « prêtés » depuis un siècle déjà. Et la FED n’a pas prêté qu’aux Etats-Unis mais également à d’autres nations.

    Les Gates, Slim, Buffett, etc (ceux qui sont cités dans Forbes pour l’exemple) sont des « petits joueurs » par rapport à ces familles-là, dont le patrimoine véritable n’est pas mis sur la place publique et qui doit représenter des milliers voire des dizaines de milliers de milliards $ et je ne pense pas exagérer (combien la FED - entre autres entreprises/industries qui leur appartiennent - leur a-t-elle rapportée depuis un siècle ?), richesses accumulées depuis quelque temps déjà (Rothschild & co, l’écusson rouge et consorts).

    Ces familles sont aussi à l’origine de la plupart des crises financières, pour toujours plus d’enrichissement au détriment du peuple, comme le fameux « coup de maître » de Nathan Rothschild après la bataille de Waterloo.

    "Au lendemain de la bataille de Waterloo, le 20 juin 1815, Nathan Rothschild informé de la défaite napoléonienne bien avant les autorités grâce à son réseau d’espionnage et de courrier, se rend à la bourse de Londres et met en vente tous ses titres. Tous pensent alors que Napoléon est sorti victorieux du combat et chacun, gagné par la panique, suit l’exemple de Rothschild. Au bout de quelques heures, la valeur des actions tombe à 5 cents, c’est alors que Nathan les rachète pour une bouchée de pain... En une nuit, la fortune déjà gigantesque des Rothschild est multipliée par vingt, et obtient de fait le contrôle de l’économie anglaise : c’est un fameux “coup de bourse” !

    Ensuite, en 1818 grâce à des agents et à ses réserves « illimitées », il achète une énorme quantité d’obligations du gouvernement français. Ensuite il inonde le marché libre des principales places commerciales d’Europe d’obligation française, ce qui provoque une panique. A Paris, la maison Rothschild s’empare ainsi du contrôle de la France et de ses finances, et à Londres, Nathan Rothschild en contrôlant la “Banque d’Angleterre”, exerce une influence directe sur le Parlement britannique.
    "

    Idem lors de la crise en 1929, lorsque les principaux propriétaires de la FED ont décidé au préalable d’augmenter de près de 60% l’argent en circulation, avec toutes les spéculations boursières qui s’en suivirent. Puis au moment fatidique ils ont retiré leurs billes de la bourse, entraînant une baisse des cours exponentielle et une panique généralisée, un effet boule de neige. Ensuite, une fois les cours au plus bas et des milliers de banques, industries en faillite, ils ont tout racheté pour une poignée de figues. Puis les cours se sont envolés, multipliant leur patrimoine déjà gigantesque. Et ainsi de suite au cours du XXe Siècle jusqu’à ce jour.

    Suite à la crise de 1929, le député Louis McFadden, qui voulut initier une procédure de destitution à l’encontre de la FED, fut empoisonné. Lincoln, JFK, et bien d’autres ont été assassinés pour les mêmes raisons, car ils ont voulu mettre un terme à l’hégémonie bancaire de ces familles, à leur emprise sur leur nation.



  • Aleth Aleth 9 juin 2013 17:14

    Salut

    Merci à l’auteur pour l’article. Sujet maintes et maintes fois abordé mais une piqûre de rappel n’est jamais de trop. Evidemment que cette dette publique n’est pas légitime. Les 50 milliards d’euros que cela coûte à l’Etat français chaque année ça fait comme qui dirait mal aux fesses (il y aurait largement de quoi financer les retraites, entre autres).

    Ce que font des entités privées peut parfaitement être fait par le public, les intérêts en moins (et en quoi serait-ce légitime que des institutions financières privées empruntent à la BCE à faible taux, pour ensuite transférer ces fonds aux Etats moyennant un intérêt plus important, sans rien produire, en servant tout juste d’intermédiaires s’enrichissant au passage ? Sans parler de la création monétaire ex nihilo via notamment les coefficients de réserve obligatoire).

    Mais les chiens de garde de l’oligarchie financière veulent nous faire croire le contraire en noyant le poisson ou en faisant diversion. Il faut dire que cela rapporte BEAUCOUP d’argent aux créanciers, c’est la poule aux oeufs d’or, surtout que cela s’est généralisé au niveau européen avec l’article 104 du Traité de Maastricht (123 du T. de Lisbonne).

    Je pensais que la loi de 1973 interdisait simplement à la BDF de prêter au Trésor Public à taux 0 ou à faible taux. Or j’ai appris il y a quelque temps que c’est plus subtil que ça. Voir cet article de Magali Pernin et Lior Chamla (voir aussi les nombreux et intéressants commentaires de Sam sur ce billet et les échanges avec l’un des auteurs). Voici un entretien entre Etienne Chouard et Magali Pernin (l’une des auteurs du billet).

    Etienne Chouard a écrit sur son blog :

    "André-Jacques et moi (avec quelques autres, comme Philippe Derudder ou Alain Granjean et Gabriel Galand dans leur excellent livre « La monnaie dévoilée » (2006), qui ont levé ce lièvre et ont bossé pour écarter tout seuls les nuages de fumée enveloppant ce vieux complot), nous nous sommes trompés, je crois, effectivement, en focalisant trop sur l’article 25 (celui qui interdit la présentation directe par le Trésor de ses propres effets à la Banque Centrale) : nous ignorions qu’une loi de 1936 interdisait depuis longtemps ce type de financement « trop facile » (gasp) (aussi facile qu’un distributeur automatique de billets)."

    En fait le véritable principe d’interdiction relatif à l’emprunt auprès de la BDF a été gravé dans le marbre avec l’article 104 du Traité de Maastricht (devenu l’article 123 du Traité de Lisbonne). Ce qui signifie qu’auparavant les félons politiques ont volontairement et délibérément fait en sorte d’emprunter aux seuls marchés financiers privés. C’est donc pire encore ! Même si le résultat in fine est le même. Et ça ne change rien à la haute trahison globale.

    Concernant la loi de 1973, au lieu de se focaliser sur l’article 25, il fallait regarder de plus près l’article 19. D’après Chouard (suite aux recherches de Pernin/Chamla) l’équivalence de l’article 25 existait depuis 1936 ! Lorsque la BDF était encore privée, détenue par qui on sait, et ce n’est qu’en 1945 que Charles de Gaulle la nationalisa.

    L’article d’Etienne Chouard sur son blog est très parlant, et surtout certains commentaires.

    "Article 19 :

    Les conditions dans lesquelles l’État peut obtenir de la Banque des avances et des prêts sont fixées par des conventions passées entre le ministre de l’économie et des finances et le gouverneur, autorisé par délibération du conseil général. Ces conventions doivent être approuvées par le Parlement."

    Donc si j’ai bien compris (car dans l’ensemble c’est une usine à gaz) - corrigez-moi si je me trompe - l’Etat pouvait demander des avances et des prêts à la BDF jusqu’à Maastricht... mais ça n’a jamais été fait par aucun des gouvernements successifs !

    Le Ministre des finances pouvait demander ces avances au Gouverneur de la BDF, et si accord il y avait, le Parlement devait par la suite approuver. Par conséquent c’était théoriquement possible, sous certaines conditions. Mais bizarrement ils ont préféré emprunter aux seuls marchés financiers privés. Et aujourd’hui 80% si ce n’est plus de la dette de la France représente les intérêts à rembourser à ces banques privées. Et on nous répète chaque jour qu’il faut serrer la ceinture et qu’il va falloir travailler plus longtemps !

    J’ai noté ce commentaire de Liior sur le blog de Chouard (il est question de la loi de 1973 - avant publication de l’article Pernin/Chamla - mais cela vaut tout autant pour l’article 104 de M.) :

    "Vous nous expliquez que cette loi n’a rien à voir avec la montée du taux d’endettement de la France, pourquoi pas, mais à ce moment là il faudra argumenter plus précisément et nous expliquer comment une dette payée avec intérêts serait aussi indolore qu’une dette payée sans intérêts. Je rappelle au lecteur que pour une obligation de 1000€ à 2,5% sur 15 ans, on doit rembourser aux marchés financiers l’équivalent de 1375€, là où auparavant on aurait remboursé 1150€ (avec un taux de 1%). J’aimerais beaucoup que vous m’expliquiez (...) comment l’endettement de la France peut être le même avec ou sans la loi de 1973 alors même que pour un simple emprunt de 1000€, je suis endetté à hauteur de 375€ avec 2.5% et seulement de 150€ avec 1%. Si vous calculez bien, on a bien un renchérissement des intérêts dus de plus du double (on passe de 150€ à rendre à la Banque Centrale, à 375€ à rendre aux “riches”).« 

    Un flagrant hold-up sur nos richesses en toute légalité, avec complicité de nos »représentants« .

    Concernant l’emprunt Giscard (lien) :

     »En 1973, lorsque celui qui n’allait pas encore manger des oeufs au plat chez les français, lance un emprunt éponyme, la plupart des investisseurs ne pensait pas que la clause prévoyant l’indexation des coupons et du nominal sur le lingot jouerait un jour... Monsieur Vidal-Madjar fait le pari inverse... et fait fortune... voici pourquoi :

    L’emprunt Giscard était d’un montant de 6,5 milliards de francs (soit corrigé de l’inflation environ 5 milliards de nos euros de 2010), son nominal de 1000 francs, versait un coupon de 7% et était remboursable à l’échéance soit le 16 janvier 1988. Les intérêts étaient versés le 16 janvier de chaque année. L’originalité de cet emprunt, résidait dans une clause faite pour rassurer les investisseurs de l’époque, mais qui couta fort cher aux finances publiques. Cette clause prévoyant l’indexation des coupons et du nominal sur l’or (le franc de l’époque étant défini comme 0,88 grammes d’or fin), ne devait s’activer que si le franc perdait sa parité-or pendant plus d’un an... C’est justement ce qui arriva en 1976 avec la démonétisation de l’or suite aux accords de la Jamaïque...

    Dès lors, ce fût la catastrophe pour les finances publiques, mais la fortune pour les investisseurs et comme nous l’avons vu monsieur Vidal-Madjar... En effet, chaque année les coupons et le nominal étaient ajustés en fonction de l’augmentation de l’or. Si bien qu’en janvier 1988, au moment du remboursement final, le coupon s’élevait à 581 francs (contre 70 francs initialement) et la valeur de remboursement à 8305 francs (pour 1000 francs investis initialement).

    En 1973 l’état avait levé 6,5 milliards de francs, le coût total du remboursement fut de 92 milliards (soit 4,5 fois le montant en francs constants, c’est à dire corrigé de l’inflation).
    Le généreux ministre des finances savait donc de quoi il parlait quand il dit à son adversaire à la présidentielle de 1974 qu’il n’avait pas le monopole du coeur...
    "

    Voici une vidéo d’Etienne Chouard (la dette et la fin de l’Etat-providence) (vidéo datant de 2011, l’article de Pernin/Chamla n’étant alors pas encore publié s’agissant de la loi de 1973) qui fournit un bon résumé de la situation actuelle et des rouages/trahisons nous ayant mené au bord du précipice. Il évoque également les confessions de John Perkins quant aux techniques pour la main mise (des Etats-Unis notamment) sur les pays riches en ressources naturelles. En aparté l’idée de tirage au sort - pour la représentation démocratique - popularisée par Chouard n’est pas dénuée de sens, bien au contraire. En tout cas cela ne peut pas être pire que le système actuellement mis en place et toute la félonie/corruption qui va avec.

    Non seulement la nation (ou les nations) doit (re)prendre en mains le droit régalien de battre monnaie, mais elle doit aussi exiger le non remboursement de toutes ces dettes illégitimes contractées auprès des institutions financières privées (à l’instar de l’Islande) via la trahison de nos « élites ». Que les banques s’assoient dessus, ce sera ça de moins dans leurs caisses. Et doit être également exigée l’interdiction pure et simple de la création monétaire aux banques privées. Ce droit doit être exclusivement réservé aux institutions publiques et à elles seules, au bénéfice de l’intérêt général. Car nous voyons bien au niveau mondial où cela nous a menés et nous mènera, lorsque des protagonistes privés - responsables du foutoir actuel in fine - ont cet outil entre les mains. L’Humanité ne s’en portera que mieux.

    Pour l’instant, au niveau économico-financier, la main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit. Mais ce n’est pas avec la clique d’agents aux ordres à la tête des Etats que les alternatives altruistes adviendront. La question est de savoir comment changer de paradigmes, comment le peuple peut enfin avoir son mot à dire, pour de vrai, et surtout comment virer une fois pour toutes les traîtres au pouvoir aux ordres des lobbies divers et variés...(?)

    Le conflit d’intérêts entre le politique et la banque/les lobbies ne date pas d’hier et il est illustré de manière remarquable dans Le Président (Henri Verneuil, 1961) magistralement interprété par Jean Gabin. Extraits :

    Une petite leçon d’Europe

    Ecrivez Chalamont !

    Je n’ose imaginer le niveau de corruption/complicité de nos jours. Les banques/lobbies investissent, financent leurs « poulains » qui leur rendent la pareille une fois élus (ou parfois non élus selon les postes). Et pendant ce temps les nations, les peuples se meurent, s’appauvrissent.

    ps : entretiens avec Pierre-Yves Rougeyron sur la loi Pompidou-Giscard (son livre Enquête sur la loi du 3 janvier 1973)

    Entretien 1
    Entretien 2
    Entretien 3



  • Aleth Aleth 25 mai 2013 17:10

    Tous ses « collègues » ou presque étaient au courant depuis bien longtemps (vidéo). J’espère qu’il va y avoir un effet domino, tous ceux qui se la jouaient jeunes vierges effarouchées. Un scandale d’Etat.