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Les commentaires de Laurent Simon



  • Laurent Simon 17 juillet 2018 10:31

    @Buzzcocks La comparaison n’est pas entre « zone euro » et le monde, mais entre « zone euro » et « pays UEFA hors zone euro ». Ce qui disqualifie vos remarques sur le basket. Le hockey n’est pas un sport pratiqué au niveau de la planète, il n’est quasiment pas pratiqué en Europe (zone euro et hors zone euro) sauf peut être par la Russie ? et les pays scandinaves ? (je parle en proportion de la population). Le vélo et le volley, il faudrait étudier la question, je ne sais pas si j’en aurai le temps. Vouez vous essayer ?



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 19:28

    @Aristide Désolé, mais le titre évoque une corrélation. C’est vous qui dites qu’il y a causalité. Dans l’article (3)j’évoque 3 hypothèses, présentées comme telles, avant votre post.



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 16:13

    @izarn sauf que justement, les autres pays européens ne gagnent pas ces compétitions. Savez vous lire ?



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 13:25

    @Aristide « A la fin, c’est la zone Euro qui gagne », ce n’est pas une bêtise. Il n’y a pas besoin de causalité pour écrire cela, c’est un fait ! Puis-je manifester ma surprise de votre manque de rigueur...



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 12:56

    @Aristide différence entre corrélation et causalité, oui je connais ! Merci de cet excellent exemple, au passage, très pédagogique. En l’occurrence, vous l verrez dans l’article suivant (3), je donne des pistes, mais qui ne sont pas très liées à la pratique du sport, mais plutôt d’ordre économqiue sociétal, etc. ’ Mais je suis bien d’accord, il faudrait faire une étude sérieuse, que je ne peux faire faute de temps (et de données). Il n’empêche, ma remarque reste valable, pour les autres internautes. 0 ou 1 cas sur 20, cela fait très très peu de pays ’souverains’ vainqueurs !



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 12:34

    @Aristide Très bien. Mais alors comment expliquez vous qu’il n’y ait aucun « peuple souverain » selon l’expression des nationalistes et ’pseudo souverainistes’ qui ait gagné ces coupes ? Le seul exemple serait le Danemark, en 1992 (qui est une année très spéciale, juste après la chute du Mur, et qui pourrait être mise de côté). Même dans ce cas, cela fait 6 sur 9 jusque 94, et 17 sur 20 depuis 1957, Traité de Rome. Ce qui est une énorme proportion, et seulement 1 sur 20 sur toute cette période. On ne peut pas dire que ces pays ’souverains’ soient particulièrement puissants !



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 12:19

    @Eric F Du pain, et des jeux, ce n’est pas nouveau, et la croissance, ou éventuelle plus faible croissance (mais pas versus le RU depuis le Brexit !) me semble avoir peu de rapport avec ça. 



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 11:57

    Et entre 58 et 92 (Coupe d’Europe des Nations), 7 fois sur 9 pour le marché commun - UE (le Danemark y est depuis 1973). Ce qui fait, avec la Coupe du monde, encore 10 fois sur 12 , les exceptions (notables) étant l’URSS (1960) et la Tchécoslovaquie (1976). La proportion reste extrêmement impressionnante, mais il faudrait aussi disposer de la liste des pays participants d’alors. Le calcul avec la valeur des transferts ne fonctionnerait pas cependant avec les pays de l’Est, comment faire, puisque la population n’est pas le meilleur indicateur ? 



  • Laurent Simon 16 juillet 2018 11:43

    @gueule de bois «  faire les mêmes recherches pour les sessions antérieures », OUI, mais je n’ai pas les données. Il faudrait faire un article sur avant la démarche de « monnaie unique », avec le marché commun, et il est facile de voir que la Coupe du monde a été remportée, entre 1958 et 1990 incluse, 6 fois par un pays d’Am.Latine, 3 fois par un pays européen, càd 2 fois Allemagne et 1 fois Italie, deux pays du marché commun (3 fois sur 3), ce qui confirme ce que j’affirme.



  • Laurent Simon 15 juillet 2018 08:04

    Zone euro : 337 Millions, sur Coupe Euro 750 M =>44.9% seulement. En fait, avec la Russie, la Turquie, la Pologne, la Tchéquie, le Danemark, la Suède, le RU, la Suisse et la Biélorussie, la population des pays participant à la Coupe de l’Euro est bien plus nombreuse que celle de la seule UE (512.6 millions), donc le calcul devient 0,449 puissance 6 = 0,8% seulement !!! Il y aurait 0.8% seulement de chances à des pays de la zone euro de l’emporter 6 fois sur 6, selon la population. Voir
    https://en.wikipedia.org/wiki/Eurozone et 
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Championnat_d%27Europe_de_football_1996
    Et si l’on exclut la Russie et la Biélorussie, qui ne sont pas dans une forme économique fantastique, ce qui ne favorise pas d’attirer de nombreux excellents joueurs, cela fait encore 594 millions, et 56,7%, et donc 3,3% seulement de chances à des pays de la zone euro de l’emporter 6 fois sur 6. C’est à dire 30 fois moins de chance que les 100% constatés !



  • Laurent Simon 14 juillet 2018 20:29

    Et sur le Brexit, cet excellent Cdanslair, jeudi, pas encourageant malheureusement :
    L’hypothèse d’un NoDeal (pas d’accord entre UK et UE) est très probable, ce qui poserait de très nombreux problèmes, notamment pour l’industrie, automobile et aéronautique par exemple

    https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/552719-brexit-deux-ans-apres-l-impasse.html



  • Laurent Simon 14 juillet 2018 19:08

    @Cadoudal Les sondages montrent clairement, depuis longtemps, que les Croates veulent passer à l’euro.



  • Laurent Simon 14 juillet 2018 19:07

    @Alren 4 coupes sur 5, oui. Mais remporter 6 sur 6, il y a 26% de chances seulement, ce n’est pas contradictoire.. Les autres remarques sont vraies, mais, ne jouent pas à l’intérieur de l’UE, avec des pays comme l’Angleterre, la Suisse, la Suède, le Danemark. Donc elles ne sont pas pertinentes ici.



  • Laurent Simon 14 juillet 2018 18:19

    Et la Belgique remporte a ’petite finale’, 2 contre l’Angleterre ! 

    Et les 3 premiers de la Coupe du Monde sont donc de la zone euro, ou aspirant à l’être !

    Quant aux victoires systématiques des pays de la zone euro lors des coupes de l’euro, depuis 1992,il pourrait m’être rétorqué que ces pays représentent une très forte proportion de la population des pays de cette compétition. Mais supposons que ce soit 80%, la probabilité que ce soit un de ces pays qui l’emporte, à chaque année, serait de 80%, et donc la probabilité que ce soit toujours un de ces pays, sur 6 compétitions (1996, 2000, 2004, 2008, 2012, 2016) serait de 80% puissance 6, soit 26%,
    très loin de 100% !!!

    Il se passe donc bien quelque chose !


  • Laurent Simon 7 juillet 2017 18:19

    A ceux que l’aéronautique intéresse : ce forum
    http://avia.superforum.fr/t2030p25-simple-complique-complexe-la-difference

    où ces questions sont abordées, ce commentaire d’un pilote d’avion,
    suite à ma description du travail en équipe authentique :
    « A 2 mots près, c’est comme ça que fonctionne un cockpit, surtout en situation dégradée. » 

    Et je rappelle les travaux de la Nasa dans les années 1960, sur ces questions, pour pouvoir gérer les situations de crise dans un espace très réduit, avec 3 astronautes, pendant des jours (et voir Apollo 13 et l’excellent documentaire à ce sujet).



  • Laurent Simon 7 juillet 2017 17:41

    @Le421
    pour ma part, j’ai de solides convictions. Mais ne vaut-il mieux ne plus avoir certaines convictions (et illusions), que des convictions qui envoient tout droit et invariablement au Goulag, ou au nazisme / fascisme ?! Ou tout simplement à la misère et à la ruine de tout un pays (Venezuela par exemple) ?



  • Laurent Simon 7 juillet 2017 15:38

    @Le421
    « Avoir un second d’accord avec tout », c’est très confortable pour un dirigeant... mais c’est le plus sûr moyen d’aller dans le mur. Et « sans klaxonner », pour reprendre le bon mot de quelqu’un. Je redis que travailler en équipe signifie nécessairement des conflits, quelquefois forts, et qu’en « sortir par le haut » permet à la fois à tous d’oeuvrer dans le même sens et d’obtenir d’excellents résultats, de réussir ensemble, y compris de relever des défis qui semblent impossibles.
    Mais « Edouard Philippe, un rebelle qui s’ignore ? », je n’ai pas compris, merci d’éclairer ma lanterne.



  • Laurent Simon 6 juillet 2017 12:03

    @baldis30 Je n’aime pas mettre les gens dans les cases, mais il est des cas où c’est très utile, à condition d’en bien comprendre les limites, de ne pas tirer des conclusions hâtives, et donc aberrantes.
    La ’trahison’ dont vous parlez a existé quasi nécessairement avec la 5e République, jusqu’à ces élections de 2017, car il fallait nécessairement plaire aux extrêmes de chaque bord pour se faire élire, et donc faire des promesses intenables, dans ce monde complexe et ouvert qui est le nôtre.
    Ces dysfonctionnements ont été renforcés du fait d’un PS et de la gauche française qui n’ont pas fait leur ’Bad Godesberg’ qui en Allemagne a reconnu l’économie de marché et en a tiré des conséquences fondamentales (co gestion, win win incontournable, temps important nécessaire pour trouver des accords qui ensuite peuvent être pleinement appliqués, etc.).



  • Laurent Simon 6 juillet 2017 11:51

    @Jeussey de Sourcesûre
    état n’est pas égal à entreprise.. Mais les dirigeants d’un Etat peuvent ils se passer de manger ? De même certaines règles humaines, depuis la nuit des temps, s’appliquent également à des groupes, qui pour être efficaces devraient être des équipes authentiques, et qui n’en sont souvent que des caricatures.
    J’en profite pour signaler qu’une équipe est à la fois potentiellement plus que la somme des parties (les individus) qui la composent, et moins (« la partie est plus que la partie du tout », E. Morin) car il faut tenir compte de la spécificité de chaque individu (il est aussi parent, citoyen, etc.)
    De plus, une vraie équipe n’est pas le lieu de « consensus mou », mais au contraire celui de conflits, dont il sort d’excellentes décisions, le Win Win est incontournable, et hyper puissant.



  • Laurent Simon 6 juillet 2017 09:11

    @Jeussey de Sourcesûre
    On ne gouverne pas un Etat comme on manage une entreprise, OUI. D. Trump en fait l’exacte démonstration très souvent depuis son accession au pouvoir.
    Mais faire comme si des règles humaines ne s’appliquaient pas aux ’équipes’ gouvernementales, c’est faire une grossière erreur. Les dirigeants politiques ont envoyé le pays dans le mur en ne prenant pas en compte des considérations basiques, mais fondamentales.
    Réciproquement les phénomènes de ’cour’ se retrouvent également souvent autour des dirigeants de grandes entreprises, entourés de ’conseillers’ - courtisans qui se bornent alors à dire ce que le dirigeant veut bien entendre...