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Les commentaires de Attila



  • Attila Attila 6 décembre 2017 07:43

    Noam Chomsky a dit : « Si j’étais souvent invité dans les médias, je me poserais des questions : qu’ais-je fait de mal ? »

    Depuis trente ans, les merdias protègent l’écologie de toute critique. C’est ce qu’avait remarqué le magazine Actuel dès 1991. Des petits anges.

    Il n’est pas normal que dans ce qui se prétend encore une démocratie, il ne puisse pas y avoir de débat sur les fondements de l’écologie comme n’importe quel courant d’opinion.
    Pour ceux qui veulent se faire une idée par eux-même, je redonne la référence des livres :

    -Paul Yonnet, « Jeux modes et masses » 1985. Chapitre l’automobile.
    -Luc Ferry « Le nouvel ordre écologique » .
    -Georgette Mouton « Jeunesse et genèse du nazisme ».



  • Attila Attila 6 décembre 2017 05:56

    @velosolex
    Citation 18 h 38 : « On sort de vieux alsaciens douteux de son chapeau comme s’ils étaient la loi infuse »

    Des gens qui ont subi la propagande nazie pendant cinq ans s’en souviennent forcément. Et quand, trente ans plus tard ils entendent les mêmes mots et les mêmes phrases ils réagissent.
    Là, vous devenez carrément immonde, vous perdez toute crédibilité.



  • Attila Attila 6 décembre 2017 01:20

    @velosolex
    Citation : « Ainsi vous procéder exactement de la même façon, en vous appuyant sur des références douteuses, et choisies. »

    Paul Yonnet, Luc Ferry et Georgette Mouton des références douteuses ? Vous osez tout, c’est à ça qu’on vous reconnaît.



  • Attila Attila 6 décembre 2017 00:43

    @arthes
    Citation : "Ne tombons pas dans des postulats et des concepts stériles ou chacun va défendre son école en se lançant a la tête des livres que personne n a lu et ne lira jamais ."

    Moi, je lis.
    Pierre Bourdieu disait que les analphabètes n’ont pas accès à la connaissance car ils ne savent pas lire mais savoir lire et ne pas accéder à la connaissance parce qu’on a la flemme ou la trouille de lire est aussi une forme d’analphabétisme.
    (Au bon plaisir de Pierre Bourdieu, émission de France Culture).



  • Attila Attila 5 décembre 2017 17:57

    Depuis trente ans, on sait que l’écologie est un phénomène religieux (colloque de Florac 1985, et surtout, l’ouvrage majeur d’Émile Durkheim « Les formes élémentaires de la vie religieuse » en 1912 qui nous donne des outils très puissants pour déterminer si un mouvement social est un phénomène religieux ).

    Mais ce n’est pas le pire. Au cours de leurs recherches, des historiens, philosophes et sociologues ont découvert des similitudes entre l’écologie et l’idéologie d’extrème droite :
    -Paul Yonnet, « Jeux modes et masses » 1985.
    -Luc Ferry « Le nouvel ordre écologique » .
    -Georgette Mouton « Jeunesse et genèse du nazisme ».

    Dans sa thèse de doctorat d’histoire, Georgette Mouton relate ce témoignage : dans les années 1970, à la naissance du mouvement écologiste, des orateurs faisaient des meetings publics pour recruter. A Strasbourg, des témoins ont vu de vieux alsaciens insulter les orateurs écologistes en les traitant de nazis.
    Ces vieux alsaciens qui avaient subi la propagande nazie durant toute l’occupation allemande reconnaissaient des mots et des phases entières identiques à la propagande nazie dans la bouche des écologistes.

    https://www.agoravox.fr/tle-glyphosate-un-scandale-



  • Attila Attila 5 décembre 2017 17:29

    @olivier cabanel
    Il n’y a rien de marrant, c’est de l’information neutre et parfaitement exacte.
    Quand on dit à une personne de confession juive ou musulmane que le halal ou le casher sont des nourritures conformes à leur religion, ils répondent : « Ben oui, c’est fait pour ». Le halal et le casher ne se cachent pas.
    Ils sont bizarres, les zécolos. Ils ont honte de ce qu’ils sont, ils ont honte d’eux-mêmes.



  • Attila Attila 5 décembre 2017 12:43

    @joletaxi
    Citation :« paraît que cela provoque des ongles incarnés ? »

    . . . et de la gastro en terrine !



  • Attila Attila 5 décembre 2017 12:41


    Le bio est à l’écologie ce que le casher est au judaillisme et le halal à l’islam : une nourriture produite conformément à des dogmes religieux.
     Le glyphosate, ...

    PS : pardon pour l’ortograf « judaillisme » mais la fenêtre commentaire d’Agoravox refuse mes trémas.



  • Attila Attila 5 décembre 2017 12:30

    @philoliger
    Citation :
    "

    VI. Quantité de preuves n’est pas qualité de la preuve.
    Ainsi, une phrase répétée 1000 fois n’en devient pas vraie pour autant. Et plusieurs milliers de personnes peuvent confondre un ballon sonde avec une soucoupe volante sans que, pour autant, des extraterrestres ne soient venus nous visiter. Une expérimentation concluante est toujours bien plus valable que des milliers d’indices non vérifiés.« 

    Il se mélange les pinceaux, l’auteur du texte. »Une expérimentation concluante est toujours bien plus valable que des milliers d’indices non vérifiés". On ne peut qu’être d’accord, mais alors, le titre ?
    Je vois mal Henri Broch (chaire de Zététique à l’université de Nice ) et Georges Charpak (prix Nobel de physique) confondre la notion de preuve et celle d’indice.
    Une preuve est une preuve et un indice n’est pas une preuve et de nombreux indices ne forment pas une preuve non plus.
    Si on confond indice et preuve cela donne : une preuve est une preuve et une preuve n’est pas une preuve et de nombreuses preuves ne forment pas une preuve. C’est loufoque !
    Il faudrait rectifier le titre du paragraphe 6 : Quantité d’indices ne forment pas une preuve.




  • Attila Attila 5 décembre 2017 00:00

    @philoliger
    Encore à côté !
    Aucun des points de votre copié collé ne contredit la question de la convergence des conclusions d’études indépendantes vu qu’ils n’en parlent même pas. Visiblement vous n’y comprenez rien.
    Plus le nombre d’études indépendantes aux conclusions convergentes est élevé et plus la probabilité que toutes les conclusions soient biaisées est faible. C’est de la logique.

    Je conseille à ceux qui veulent se faire une idée par eux-même de lire ces livres :
    -Paul Yonnet, « Jeux modes et masses » 1985.
    -Luc Ferry « Le nouvel ordre écologique » .
    -Georgette Mouton « Jeunesse et genèse du nazisme ».

    .



  • Attila Attila 4 décembre 2017 14:25

    @philoliger
    Parfaitement, j’ai lu le livre de Georges Charpak et Henri Broch
    Ils montrent une étude qui conclu que les agriculteurs sont la catégorie sociale qui croit le moins aux foutaises. Ceux qui y croient le plus sont les profs.
    La convergence des conclusions d’études indépendantes, ça vous dis quelque chose ?



  • Attila Attila 4 décembre 2017 08:41

    @Pimpin
    Interdire le glyphosate pour permettre à Monsanto de commercialiser un nouveau produit protégé par des brevets, et donc sans concurrence, c’est possible. Il y a une autre hypothèse. Détruire l’agriculture familiale française pour que les terres agricoles tombent dans l’escarcelle d’investisseurs financiers. Les terres agricoles sont actuellement très convoitées par les investisseurs comme le montre l’article suivant :
    Terre-net

    .



  • Attila Attila 3 décembre 2017 23:44

    Citation de Pimpin :
    Comment se fait-il que les médias ne s’intéressent pas à ce que font nos agriculteurs et à leurs arguments ? Ce n’est pas politiquement correct ? Ca ne va pas dans le bons sens ? Parce qu’il a déjà vu passer des journalistes, mais qui n’ont pas rapporté ce qu’il leur a dit ...

    @Pimpin
    Oui, c’est louche. Noam Chomsky a dit : « Si j’étais souvent invité dans les médias, je me poserais des questions : qu’ais-je fait de mal ? »



  • Attila Attila 3 décembre 2017 23:37

    @philoliger
    Ah, vous ne saviez pas ce qu’est un piège à con ? Vous venez de sauter dedans à pieds joints et avec enthousiasme.
    Les similitudes entre les idéologies d’extrême droite et l’écologie trouvées par ces chercheurs sont incontestables pour la simple raison qu’ils sont trois de disciplines différentes et que leurs idées politiques sont différentes aussi. Ce sont trois études indépendantes dont les conclusions convergent.
    Visiblement, vous ne savez même pas ce qu’est le point Godwin. Comme s’il suffisait d’évoquer le nazisme pour atteindre le point Godwin. A ce train là, les historiens spécialistes de la 2° guerre mondiale sont au point Godwin en permanence.
    Vous avez foncé sans réfléchir, persuadé de « gagner le point ». Manque de pot. Il faut lire ce que disent ces chercheurs, ce que vous n’avez pas pu faire en si peu de temps. Et que disent-ils : il y a des similitudes entre les idéologies d’extrême droite et l’écologie. Des similitudes. Cela veut-il dire que écolos=nazis ? Ben non. Si vous aviez pris le temps de lire les ouvrages référencés, vous auriez compris que l’idéologie des écolos diffère du nazisme sur de nombreux aspects.

    Cependant les similitudes sont réelles et doivent interpeller tout démocrate digne de ce nom. Car il existe de nombreuses doctrines qui n’ont aucun point commun avec le nazisme, a commencer par le christianisme.



  • Attila Attila 3 décembre 2017 14:50

    Je lis : la CNAFAL lie le combat social au combat laique.

    Depuis trente ans, on sait que l’écologie est un phénomène religieux (colloque de Florac 1985, et surtout, l’ouvrage majeur d’Émile Durkheim « Les formes élémentaires de la vie religieuse » en 1912 qui nous donne des outils très puissants pour déterminer si un mouvement social est un phénomène religieux ).

    Mais ce n’est pas le pire. Au cours de leurs recherches, des historiens, philosophes et sociologues ont découvert des similitudes entre l’écologie et l’idéologie d’extrème droite :
    -Paul Yonnet, « Jeux modes et masses » 1985.
    -Luc Ferry « Le nouvel ordre écologique » .
    -Georgette Mouton « Jeunesse et genèse du nazisme ».

    Dans sa thèse de doctorat d’histoire, Georgette Mouton relate ce témoignage : dans les années 1970, à la naissance du mouvement écologiste, des orateurs faisaient des meetings publics pour recruter. A Strasbourg, des témoins ont vu de vieux alsaciens insulter les orateurs écologistes en les traitant de nazis.
    Ces vieux alsaciens qui avaient subi la propagande nazie durant toute l’occupation allemande reconnaissaient des mots et des phases entières identiques à la propagande nazie dans la bouche des écologistes.

    En soutenant des thèses écolos, la CNAFAL et toute la fausse gauche boboïsée perd toute crédibilité.
    Des hypocrites, des tartes aux truffes.



  • Attila Attila 3 décembre 2017 13:55

    @Pimpin
    Exact. Les herbicides des concurrents de Monsanto sont beaucoup moins chers et tout aussi efficaces.
    En fait, les militants s’attaquent au glyphosate pour atteindre Monsanto. Ça ne les gêne pas d’accélérer la destruction de l’agriculture familiale française. Au moment où la Chine achète des terres agricoles par milliers d’hectares, c’est irresponsable. Nous allons donc avoir droit aux fermes des milles vaches.
     



  • Attila Attila 2 décembre 2017 18:27

    @velosolex
    « Un bon cancer des voix digestives ».
    Vous vous prenez pour la Jeanne d’Arc des boyaux ?



  • Attila Attila 2 décembre 2017 18:24

    @velosolex
    Les ravages dans votre cerveau ne sont pas dus au glyphosate mais au fanatisme. Ça on en est sûr.



  • Attila Attila 2 décembre 2017 18:20

    @rogal
    Quelqu’un en a parlé sur Agoravox :
    Une fois sur deux, c’est probable, une fois sur 10 milliards, c’est probable aussi. Comme ce n’est pas chiffré, cela ne veut rien dire. Cet avis a été émis avant la publication des résultats de l’étude de cohorte sur 89 000 personnes. En fait, ils ont dit « cancérigène probable » pour se couvrir.



  • Attila Attila 2 décembre 2017 11:45


    Encore l’affaire du glyphosate. Que fait un adulte normal confronté à cette affaire ? D’abord il s’inquiète, puis il cherche de l’information.
    Une recherche rapide avec les mots clés « glyphosate » et « toxicité » permet de découvrir qu’il existe une procédure scientifique normalisée et universellement reconnue pour évaluer la toxicité des produits : la Dose Létale Médiane ou DL50. En lui-même, le résultat chiffré obtenu n’a pas beaucoup d’intérêt mais il permet de comparer la toxicité des substances entre elles.
    Et là, on s’aperçoit que le glyphosate, qui n’est certes pas une substance totalement anodine, est moins toxique que le sel de cuisine et beaucoup moins toxique que le vinaigre. On n’ingurgite pas le glyphosate alors que le sel on en mange tous les jours et le vinaigre souvent.

    Le glyphosate est-il cancérigène ? Les résultats d’une étude scientifique viennent d’être publiés. Il s’agit de ce qu’on appelle une « étude de cohorte » qui a suivi médicalement 51 OOO agriculteurs et leur conjoint, soit 89 000 personnes suivies pendant 20 ans. C’est une étude énorme, 89 000 personnes suivies pendant 20 ans, on ne peut pas louper d’éventuels cancers causés par le glyphosate.
    Résultat : les chercheurs n’ont pas trouvé de lien entre les cancers et le glyphosate. Tout au plus, il y a quelques cas dont on ne connais pas la cause et qui nécessiteraient des études supplémentaires. On est donc très loin d’une hécatombe et ces cas ne concernent que des personnes qui manipulent des produits quotidiennement. Il n’y a aucun risque pour la population générale.

    C’est le résultat de cette études qui a rassuré quatre pays de l’Union Européenne et les a conduits à voter en faveur de l’autorisation du glyphosate.

    Pour ceux qui préfèrent la lecture d’articles sérieux aux délires de militants fanatisés ou de merdias propagandistes :
     Glyphosate : le nouvel amiante ?


    IL N’Y A PAS PLUS DE RAISON VALABLE D’INTERDIRE LE GLYPHOSATE QUE LA VIANDE DE PORC.