• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Attila



  • Attila Attila 9 janvier 2018 18:13

    @jymb
    Citation : " Des pétitions ont été massivement signées mais comme toujours nous ne sommes jamais consultés, jamais écoutés et encore moins entendus "
    Les pétitions ne servent à rien. Les manifestations non plus (il y en a eu en 2015 ). La preuve : la manif pour tous et les manifestations contre la loi El Khonri, très bien organisées et avec du monde n’ont rien obtenu.
    Existe-t-il une action revendicative ayant été couronnée de succès ces dernières années ? Ben oui, le mouvement des Bonnets Rouges. Parce qu’il a été conçu avec une stratégie qui ne reposait pas uniquement sur une manifestation, aussi importante soit-elle.
    Parce qu’il faut bien comprendre qu’avec la clique Sarkozy, Hollande et Macron, nous avons changé de classe politique. Ce ne sont plus que des mercenaires qui se foutent grandement de leur crotte de popularité. Ce qui leur importe est de satisfaire les maîtres qui leur ont payé leur campagne électorale et les récompenseront une fois le sale boulot effectué.

    .



  • Attila Attila 9 janvier 2018 17:18

    @Konyl
    Il y une vingtaine d’années, un ami médecin m’avait dit qu’il existait un médicament supprimant les effets neurologiques de l’alcool. Donc, on n’est plus bourré.
    Mais il ne supprime pas l’intoxication.

    Je ne sais pas si c’est vrai.

    .



  • Attila Attila 8 janvier 2018 12:55

    @Fergus
    Citation :« Quant à Michéa, il pense ce qu’il veut, mais en cela il est contredit par des cohortes d’experts qui pensent le contraire ! »
    Des cohortes d’experts qui pensent que l’histoire a un sens ? Pouvez-vous m’en citer quelques uns ?

    En plus, je ne suis même pas sûr que Jean-claude Michéa soit contre la construction de l’Union Europénienne. Il n’en dit rien.

    .



  • Attila Attila 6 janvier 2018 13:02

    @Fergus
    Ah ah ! Le vieux mythe du sens de l’histoire.
    Bien décortiqué par Jean-Claude Michea et d’autres :
    " L’idéologie progressiste se fonde sur la croyance qu’il existe un « sens de l’Histoire » et donc que tout pas en avant constitue toujours un pas dans la bonne direction. Cette idée s’est révélée globalement efficace tant qu’il ne s’agissait que de combattre l’Ancien régime. Le problème, c’est que le capitalisme – du fait qu’il a pour base cette accumulation du capital qui ne connaît « aucune limite naturelle ni morale » (Marx) – est lui-même un systèmedynamique que sa logique conduit à coloniser graduellement toutes les régions du globe et toutes les sphères de la vie humaine.
    En l’invitant à se focaliser sur la seule lutte contre le « vieux monde » et les « forces du passé » (d’où, entre autres, l’idée surréaliste – que partagent pourtant la plupart des militants de gauche – selon laquelle le capitalisme serait un système structurellement conservateur et tourné vers le passé), le « progressisme » de la gauche allait donc lui rendre de plus en plus difficile toute approche réellement critique de la modernité libérale. Jusqu’à la conduire à confondre – comme c’est aujourd’hui le cas – l’idée qu’on « n’arrête pas le progrès » avec l’idée qu’on n’arrête pas le capitalisme.
    "
    Lien.

    .



  • Attila Attila 31 décembre 2017 00:27

    @jaja
    Ben si, je sais lire. Et tout le monde peut lire ce que vous avez écrit sur le rôle des États.
    Vous écrivez des choses incohérentes et vous êtes pris la main dans le sac.

    .



  • Attila Attila 30 décembre 2017 15:31

    @jaja
    Citation 10 h 28 : " l’État est toujours à l’heure actuelle la superstructure exerçant la répression capitaliste, contrairement à ce qu’en dit notre pseudo-marxiste révisionniste...

    Déjà pour parler de mondialisation encore faut-il ajouter le mot capitaliste et comprendre que ce sont les États qui mènent cette mondialisation capitaliste. En tout premier lieu l’impérialisme US et son appareil militaro-industriel... visant à perpétuer sa domination sur les matières premières et les marchés mondiaux... Les États sont à la manoeuvre, en première ligne, l’État français compris, et ne sont nullement des obstacles à une mondialisation capitaliste qu’ils mènent de bout en bout...

    D’ailleurs il n’y aura pas de « mondialisme » sous direction capitaliste dans la mesure où ce qui caractérise notre époque c’est bien les contradictions entre ces États impérialistes pour la domination mondiale et donc le danger principal c’est le risque de guerre entre ces structures étatiques belliqueuses et réprimant toute velléité de mieux social des travailleurs à l’intérieur de leurs propres frontières ...

    Il est bien évident que vous vous faites le défenseur de ce système inique d’exploitation et que la domination capitaliste, par le biais de ces États oppresseurs ne vous pose aucun problème comme c’est le cas pour votre double Ar Zen..."

    Il est clair que vous ne comprenez pas le rôle et l’importance des puissances de l’argent : leur colossale capacité de corruption fait que les États ne sont plus que leurs dévoués serviteurs. Quand vous écrivez que ce sont les États qui font ceci ou cela, ils ne font qu’obéir aux ordres des puissances de l’argent qui les ont achetés.

    Pour avoir une idée de leur puissance, je rappelle que le milliardaire George Soros a fait plonger la Livre Sterling en 1992. La banque d’Angleterre n’a rien pu faire.

    .



  • Attila Attila 30 décembre 2017 10:01

    @jaja
    Dans cette citation, Michel Clouscard critique la mondialisation : " L’État a été l’instance superstructurale de la répression capitaliste. C’est pourquoi Marx le dénonce. Mais aujourd’hui, avec la mondialisation, le renversement est total. Alors que l’État-nation a pu être le moyen d’oppression d’une classe par une autre, il devient le moyen de résister à la mondialisation. C’est un jeu dialectique ".
    Vos amis antifa critiquent cette citation Lien .

    La critique de la critique reviens logiquement à une approbation. Or, la mondialisation entraîne la délocalisation des emplois, notamment des emplois industriels. De fait, que vous le reconnaissiez ou non, vous approuvez donc les délocalisations d’emplois.
    C’est le MEDEF qui est content.
    Pas étonnant que les ouvriers ne vous suivent pas beaucoup.

    .La gauche, dernier rempart du capitalisme.

    .



  • Attila Attila 29 décembre 2017 23:57

    @jaja
    Oulà ! Parasite antifa, vous avez de saines lectures.

    On y trouve ce commentaire :" « Le néo-fascisme sera l’ultime expression du libéralisme social libertaire, de l’ensemble qui commence en Mai 68. Sa spécificité tient dans cette formule : « Tout est permis, mais rien n’est possible. » [ Puis ], à la permissivité de l’abondance, de la croissance, des nouveaux modèles de consommation, succède l’interdit de la crise, de la pénurie, de la paupérisation absolue. Ces deux composantes historiques fusionnent dans les têtes, dans les esprits, créant ainsi les conditions subjectives du néo-fascisme. De Cohn-Bendit à Le Pen, la boucle est bouclée : voici venu le temps des frustrés revanchards. » Les Trente Honteuses, 30 avril 2002 – Journal l’Humanité "

    Le grand intérêt de Michel Clouscard est d’avoir décrit l’évolution du capitalisme, ce que vous refusez d’admettre. Vous en êtes resté à des schémas un peu dépassés.

    .



  • Attila Attila 29 décembre 2017 23:26

    @Attila

    Né en 1928 à Montpinier (Tarn), Michel Clouscard est l’auteur d’une des critiques du capitalisme la plus radicale et la plus aboutie de la fin du XXe siècle. Ce proche du Parti communiste français tente de définir les bases d’une société sans classes, radicalement démocratique



  • Attila Attila 29 décembre 2017 23:12

    @jaja
    Citation de jaja : " Lisez Marx et Bakounine et vous comprendrez quel est leur but ! Communistes comme anarchistes sont pour un monde sans frontières et démocratique . . . .  De même que vous devriez savoir que selon Marx, l’État n’est qu’une machine d’oppression d’une classe sur une autre... « 

    Citation de Michel Clouscard, philosophe marxiste :
     »L’État a été l’instance superstructurale de la répression capitaliste. C’est pourquoi Marx le dénonce. Mais aujourd’hui, avec la mondialisation, le renversement est total. Alors que l’État-nation a pu être le moyen d’oppression d’une classe par une autre, il devient le moyen de résister à la mondialisation. C’est un jeu dialectique. «  Lien  »

    Michel Clouscard, il est facho, lui aussi ?

    .



  • Attila Attila 28 décembre 2017 08:50

    @Attilax
    Certes, lors du référendum de 2005 le peuple français a voté comme il a voulu. Mais ce n’est pas toujours le cas :
    L’oligarchie financière possède ou contrôle tous les médias : qui possède les médias ?
    80% des français ne vont pas voir ailleurs qu’à la télé pour s’informer Médiamétrie.
    L’effrayante corrélation entre le temps d’exposition médiatique et les résultats aux élections Notre-époque.

    Avec le résultat aux élections qui dépend avant tout de l’investissement de l’oligarchie, elle est où la volonté du peuple ?
    D’autant plus que certaines candidatures d’opposition ne sont que des attrape-nigauds Lien.

    .



  • Attila Attila 26 décembre 2017 18:42

    @Christian Laurut
    « La constitution doit pouvoir être modifiée par le peuple, sinon ce n’est plus une constitution démocratique »

    Je pense qu’il faut quand même faire une distinction entre les lois ordinaires et la Constitution. La Constitution contient des valeurs fondamentales qu’il est délicat de modifier. Je prend par exemple l’article 1 de la constitution française : " La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. "
    Cette égalité devant la loi garantie par la Constitution est un garde-fou. Doit-on pouvoir la supprimer au risque de voir des droits différents pour les français de vieille souche et les français de nationalisation récente ?
    Il doit y avoir des gardes-fou. Si un référendum proposant de rétablir le port de l’étoile jaune pour les juifs ou déclarés tels obtenait une large majorité, serions nous toujours en démocratie ?



  • Attila Attila 26 décembre 2017 15:03

    Citation Attilax 12 h 02 : « Hélas, la majorité des gens veulent un chef, un leader, un guide, un maître qui agisse à leur place et en leur nom  »

    Ou un papa qui prennent en charge les problèmes à leur place.

    Merci à l’auteur pour cette réflexion indispensable.

    .



  • Attila Attila 25 décembre 2017 14:19

    @McGurk
    Merci de ce rappel.
    Effectivement, je me souviens aussi de l’affaire des couveuses.

    .



  • Attila Attila 25 décembre 2017 13:52

    Il faut accorder le droit de vote à partir de l’age de 10 ans en vertu de l’article 1 de la constitution qui assure l’égalité des citoyens devant la loi :
    " La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. "

    Ben oui, il n’est pas admissible de priver de droit de vote les enfants de dix ans alors que bon nombre d’électeurs ont l’age mental d’un enfant de dix ans.
    .
    .
    P.S. : à l’attention des mal comprenants : ceci est du second degré



  • Attila Attila 25 décembre 2017 13:41

    Histoire de cuver le champagne, on a voulu regarder la messe de minuit sur Antenne Bœufs. Pas moyen d’entendre quoi que ce soit : il y a un olibrius qui n’arrête pas de parler à voix haute dans le micro, on n’entend rien. Ni les langues estrangères des orateurs ni les chants.
    Au bout d’un quart d’heure y en avait marre. Clic !

    Je me demande si je ne vais pas lancer une pétition.

    .



  • Attila Attila 24 décembre 2017 15:49

    @eau-du-robinet
    Bonjour eau-du-robinet,

    L’information ne suffit pas.
    Je prend un exemple : juste avant la première guerre contre l’Irak en 1991, les médias ont réussi à faire croire à l’opinion que l’armée irakienne était une des plus puissantes du monde ( 500 000 hommes et des milliers de chars ). Sa défaite cinglante nous a démontré que les médias nous avaient roulé dans la farine.
    Vous allez me dire qu’aujourd’hui c’est exactement pareil.

    Ben non, aujourd’hui il y a Internet :
    sur la Syrie, tout le monde peut lire l’excellente synthèse de Patrice Gilbertie fiasco syrien
    sur l’Union Europénienne, pour savoir si on peut renégocier ou désobéir aux traités, tout le monde peut lire l’article de Ar Zen Mélenchon désavoué par le CC
    sur le glyphosate, en une heure de recherche, j’ai trouvé la procédure scientifique universellement reconnue qui permet d’évaluer la toxicité des produits, la DL50, et dont les résultats montrent que le glyphosate, s’il n’est pas un produit totalement anodin, est moins toxique que le sel de cuisine et beaucoup moins toxique le vinaigre. En une autre heure de recherche, j’ai trouvé une étude colossale portant sur 89 000 agriculteurs et leurs conjoints suivis médicalement pendant 20 ans et qui montre que le glyphosate n’est pas cancérigène. Glyphosate nouvel amiante ?

    Et pourtant, même ici, une majorité de français persiste obstinément à croire que Bachar-al-Assad a gazé son peuple, qu’on peut désobéir aux traités européens et que le glyphosate est cancérigène.

    Quand j’étais plus jeune, j’ai eu l’occasion d’entendre et de lire des témoignages de français vivant ou ayant vécu aux États-Unis. Ils étaient unanimes sur un point : "Le peuple américain ? Ils sont vraiment très gentils et très accueillants. Mais alors, ce sont de grands enfants  !!!
    Aujourd’hui, le peuple français a rejoint les américains, de pauvres petits n’enfants perdus dans leurs rêves et qui ne veulent pas grandir.
     La fin des adultes.
    Tous des bout d’chou.

    La démocratie résulte de la volonté d’un peuple adulte.

    Vous pouvez mettre à la disposition des citoyens tous les moyens de la démocratie possibles : information pluraliste, référendums, etc, si le peuple ne veut pas s’en servir ou si la majorité des citoyens est immature, vous n’aurez pas de démocratie réelle.



  • Attila Attila 23 décembre 2017 08:13

    @rosemar
    Oui, on peut très bien installer sur le domaine public une scène représentant un arabe, un persan et un noir venant rendre visite à une famille juive dont la femme vient d’accoucher. C’est un message de paix et d’amitié entre les peuples.

    Joyeux Noël à vous.

    .



  • Attila Attila 22 décembre 2017 12:30

    « Ce qu’il y a de bien avec les minables, c’est qu’il est généralement inutile de les insulter : ils se chargent eux-même de dresser leur portrait ».

    Citation de D. Dupagne.

    .



  • Attila Attila 22 décembre 2017 10:48

    Il y a un aspect universel dans la crèche : La crèche avec les rois mages, c’est un arabe, un persan et un noir qui viennent rendre visite à une famille juive dont la femme vient d’accoucher.

    .