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Les commentaires de Phil279



  • Phil279 26 novembre 2010 19:25

    URSS veut dire Union des République SOCIALISTES sovietiques et non pas communiste. le communisme n’est que le but et les differents pays dits « communistes » n’ont en fait Lonnu que la transition du capitalisme au communisme qu’est le socialisme ( le socialisme peu impliquer quelquechose qui ressemble au capitalisme quand la révolution doit tout construite dans un pays arrieré, a la limite du régime feodal comme ce fut le cas en russie et de façon encore plus nette en Chine. Il faut construire une base industrielle et une économie solide car il n’est pas question de partager la misère et donc pour ce faire on permet l’existence d’un capitalisme sous controle - NEP en Russie et ce qui ce passe encore actuellement en chine

    Vous semblez particulierement ignorant des boulversement hisoriographiques au sujet de L’URSS qui ont pourtant commencés il y a une vingtaine d’années lors de l’ouverture des archives soviétiques en 90.

    Une petite liste d’historiens (non exhaustive) non communistes pour vous permettre de remedier a cette ignorance (tous édités par Yale University Press) :

    Arch getty
    Lynn viola
    Geoffrey roberts
    william thurston
    john davies
    Mark tauger...

    Petit exemple avec le livre de Thurston écrit en 1995 : Life and terror under Stalin’s Russia.

    Il établit que les purges étaent soutenues et voulues par le peuple ( beaucoup de lettres de citoyens soviétiques le démontrent) et qu’ elles visaient essentiellement les cadres.
    Dans le régime soviétiques, les discussions internes au PCus montrent que les defenseurs des droits individuels étaient Staline ! et Vichinsky ! (procureur des procès de Moscou).
    Il montre aussi que Staline devait s’appuyer sur un groupe ou un autre pour faire aboutir ses décisions et ne réussissait pas a chaque foi (il ne disposait pas de tous les pouvoirs)
    et beaucoup d’autres choses qui ont boulversé ma vision de l’URSS et du soit disant Stalinisme...
    Ces auteurs sont toujours anti communistes mais il n’en ont pas oublié d’etre historiens et pour cette raison ont tout mon respect : ils sont capables de modifier leurs opinions (pas jusqu’a devenir communistes !) en fonction des evidences qu’il découvrent dans les archives.
    J’aimerais trouver une telle honneteté intellectuelle en France.

    Je trouve toujours étonnant de voir que beaucoup aujourd’hui qui sont capables de comprendre que des politique et des universitaires peuvent mentir pour proteger un système (capitaliste) et une idéologie (le libéralisme) ne comprennent pas que ces memes individus mentirons en ce qui concerne leur pire ennemis : le communisme.
    C’est comme si les gens ( pourtant intelligent par alleurs) avaient le cerveau paralysé dès que le mot communisme était prononcé et étaient incapable de conserver leur esprit critique.

    C’est cette cécité irrationnelle qui interdit a un occidental de comprendre pourquoi :

    81% des Serbes regrettent le socialisme
    République Tchèque : 39%
    Slovaquie : 42%
    Lituanie : 42%
    Russie : 45%
    Bulgarie : 62%
    Ukraine : 62%
    Hongrie : 72% 
    Roumanie : 61% (si Causescu se presentait aux éléctions aujourd’hui il serait élu !)

    US-based Pew Research Center, 2009

    (chiffres qui deviennent plus importants avec le temps)

    L’institut de sondage se réjouit de voir que ce sont les jeunes de plus de 15 ans qui sont le plus critiques envers le socialisme ( c’est a dire ceux qui ne l’ont pas connus...)

     




  • Phil279 27 décembre 2009 20:39

    et tes chiffres tu les sort d’ou ? de ton chapeau magique ?

    pourquoi pas 1 milliard ?

    c’est pas toi qui nous sort que l’eglise catholique a bien eu raison de soutenir franco espece d’ordure quand on sait ce qu’il atorturé et massacré ?



  • Phil279 27 décembre 2009 20:37

    Bla Bla sans aucune source a l’appui

    Merci au revoir



  • Phil279 27 décembre 2009 20:35
    Des étudiants français mettent la fiabilité de Wikipedia à l’épreuve

    par La rédaction, ZDNet France. Publié le 11 juillet 2007

    L’encyclopédie communautaire en ligne continue à susciter le débat sur la fiabilité de son contenu. Cinq étudiants français du master de journalisme de Sciences-Po (*) ont décortiqué le modèle de Wikipedia, et publient une enquête de 67 pages intitulée « La révolution Wikipedia, les encyclopédies vont-elles mourir ? ».

    Pour procéder, ils ont notamment modifié plusieurs articles publiés dans l’encyclopédie, en y intégrant des erreurs plus ou moins flagrantes. Objectif avoué : voir combien de temps elles resteraient en ligne avant d’être corrigées. Ils ont ainsi fait de l’écrivain Pierre Assouline, également leur professeur à Science Po, le champion de France 2001 du jeu de paume, ou encore converti Tony Blair au catholicisme. Ces erreurs ou approximations sont restées en ligne plusieurs semaines, ont-ils expliqué au quotidien Libération.

    Dans leur conclusion, ils estiment que Wikipedia « doit être un outil parmi d’autres, qui ne doit pas supplanter les autres outils d’accès à la connaissance, mais qu’il est possible de faire un usage intelligent de [cette encyclopédie] », explique au Monde Béatrice Roman-Amat, l’une des étudiantes.

    « Il faut toutefois que les personnes sachent que Wikipedia peut se tromper et qu’il est très facile de [lui] faire gober n’importe quoi », poursuit Tassilo Von Droste Zu Hülshoff, son collègue. Ce qui pose en question l’éducation des élèves et des étudiants vis-à-vis des différentes sources, et leur esprit critique, surtout lorsqu’on sait que nombre d’entre eux utilise l’internet et Wikipedia comme source principale, voir unique.



  • Phil279 27 décembre 2009 20:28

    Source de cette etude ?
    Pour Katyn le debat est encore en cours (du moins aux etats unis) les documents fournis par Gorbatchev etant douteux





  • Phil279 27 décembre 2009 18:33

    « Selon les sondages, 64 % des Roumains estiment qu’ils vivaient mieux en 1989, un tiers assurent que les dirigeants communistes étaient meilleurs que ceux d’aujourd’hui et réclament le retour du parti unique, et 22 % disent que Ceausescu est la personne qui a fait le plus de bien à la Roumanie, contre 22 % qui pensent le contraire. »

    C’est marrant si on fait un peu de recherches on s’apperçoit que presque tout les pays qui ont connus le socialisme le regrettent avec un ecrasante majorité

    Alors que nous qui ne l’avons pas connus savont que c’est mal (sans doute parce que les occidentaux savent mieux que les autres ce qui est bon pour eux)

    C’est marrant on a pas parlé de ce phenomene lors de la commemoration de la chute du mur



  • Phil279 27 décembre 2009 18:21

    Des sources pour les crimes de la securitate ?



  • Phil279 27 décembre 2009 18:16

    Des sources institutionelles ou ceux qui travaillent sur ces sources : ex quai d’orsay, ministères, administrations d’etat, echanges diplomatiques etc...
    exclusion des temoignages sauf quand ils sont croisés avec d’autres sources ecrites

    Wikipedia est un instrument de propagande qui ne fait au mieux que repeter les lieux communs : c’est une encyclopedie-concierge



  • Phil279 27 décembre 2009 18:05

    A propos des exfiltration de l’eglise

    "LE SAUVETAGE-RECYCLAGE DES BOURREAUX

    Dès ce moment et dans la perspective d’un « renversement des alliances » qui s’avéra impossible du point de vue militaire général mais progressa à marches forcées sur le plan politique, Washington et le Vatican avaient commencé le sauvetage-recyclage des bourreaux : le premier, notamment via Taylor et le symbole ecclésiastique du « pactole » américain à Rome depuis 1925, Mgr Spellman, finança en large part cette opération de masse, réalisée pour l’essentiel grâce au maillage ecclésiastique du continent, qui achève de donner sens aux « silences » pacelliens 23.

    De la guerre...

    Walter Rauff, chef de « la section anticommuniste », fut pendant les négociations de reddition » séparée de l’Armée allemande d’Italie révélées en mars-avril 1945 « le principal interlocuteur » d’Alan Dulles, l’un des deux frères (avec Foster) de la célèbre firme d’avocats d’affaires Dulles, Sullivan and Cromwell, liés à la banque Schroeder, étai d’Hitler, et acteurs depuis 1919 de la liquidation douce de Versailles. Les tractations échouèrent en apparence - la capitulation en Italie ne précéda que de peu (le 2 mai) la générale -, mais sauvèrent « les officiers nazis qui y 0

    avaient été mêlés », tel Karl Wolff, « chef de l’état-major personnel de Himmler » et d’un « groupe d’intervention SS » en URSS, « personnellement compromis dans les meurtres de 300 000 personnes », condamné en 1949 à quatre ans d’emprisonnement, dont il ne fit « qu’une semaine ». Ces pourparlers avaient eu pour médiateur le Vatican, où entre 1943 et 1944 Rauff et Hudal créèrent le « réseau d’évasion » des criminels de guerre couvert par les Anglo-Américains (et les Français), opérationnel bien avant mai 1945 24.

    Ce que nous savons des rapports entre Hudal et Pie XII infirme la thèse des historiens officiels de la Curie, tel le P. Graham, selon lequel « « Mgr Hudal n’a joué aucun rôle » au sein de la Commission pontificale d’assistance » ; et oriente vers celle de Ladislas Farago, qui affirme que le pape hissa Hudal « au niveau le plus haut de la hiérarchie du Saint-Siège » et en fit le principal adjoint de Montini (futur Paul VI) dans l’« opération d’exfiltration des nazis ». Hudal apparaît dans les recherches des dernières décennies comme le pivot, avec Mgrs Montini, Riberi et Siri, archevêque de Gênes, du dispositif mis en place à Rome et dans toute l’Europe occupée, financé par des trésors nazis et assimilés, « blanchis » et enflés par le marché noir et les fonds alliés. Le 23 août 1944, sous couvert d’« action caritative en faveur des prisonniers de guerre », le Saint-Siège sollicita des autorités alliées l’envoi d’un « représentant » flanqué d’un secrétaire, pour apporter « aux prisonniers catholiques une assistance religieuse normale ». Après l’acquiescement américain, il réclama le 2 décembre pour « le directeur spirituel des Allemands résidant en Italie » - Hudal - le droit de « visiter en Italie les internés civils de langue allemande ». Hudal entama ainsi sa mission dans les Rat Lines (nom de code anglo-saxon des filières d’évasion), avec Rauff et Riberi, également chargé en novembre 1944 « de s’occuper officiellement, au nom du Saint-Père, des Allemands détenus en Italie par les Alliés » : « la commission pontificale d’Assistance » ainsi créée, « instrument efficace de la politique américano-vaticane », soustrairait en masse au châtiment les criminels allemands, croates, hongrois, slovaques, ukrainiens, baltes, français, etc., avec le soutien permanent, entre autres, de Taylor et du RP Carroll, second successeur depuis la fin de 1940 (après Mgr Hurley) de Spellman à Rome.

    Travaux allemands, anglo-saxons, courriers du Quai d’Orsay de toute provenance infirment les conclusions de l’équipe d’historiens français auxquels Mgr Decourtray confia l’examen des archives ecclésiastiques pour étudier le rôle de l’Église dans le sauvetage de l’ex-milicien Touvier, exemple-type des criminels de guerre ripolinés en réfugiés accablés par le sort : des prélats français inconscients ou mal informés auraient par charité secouru un bourreau qu’ils avaient pris pour une victime, sans être mandatés ou couverts. Une partie de l’Église française se compromit en réalité comme toutes ses homologues dans une opération romaine. Dès novembre 1944, Tardini, de la Secrétairerie d’Etat, motiva devant le diplomate français, Guérin l’appel de « quatre prêtres américains » à la secrétairerie d’Etat « par l’importance croissante des affaires » communes, les besoins de la correspondance en anglais « en particulier, de l’organisation des secours », qui impliquaient coopération. En février 1945, « les divers organismes », les deux commissions pontificales d’Assistance aux réfugiés et aux rapatriés, furent groupés « en une seule oeuvre, la commission pontificale d’Assistance », financée par « l’UNRRA » - les Etats-Unis - « par l’intermédiaire du Vatican ». Au tournant de 1944, elle fonctionnait à Rome, dans toute l’Italie via « les centres diocésains paroissiens » et à l’étranger, par ses diverses missions, « dont certaines se sont rendues en Allemagne, en Autriche et en Hongrie ». Les « réfugiés politiques » arrivés en Italie « sont dirigés sur le père Faller », résidant Piazza Cairoli, « religieux allemand qui s’occupe d’un centre d’accueil destiné à tous les réfugiés se trouvant en Italie. Ce centre, qui a connu une activité particulière en 1944 et 1945, a reçu indistinctement les réfugiés de toutes nationalités venues d’Europe Centrale et particulièrement d’Allemagne ». Faller « les met en contact avec le père [français] Blondeau », de l’hôpital Fato Bene Fratelli, sur l’île du fleuve Tevere. Blondeau, pivot d’un réseau de « couvents dont le personnel est en partie français », leur « communique l’adresse d’un couvent à Rome susceptible de les héberger ». Faller les adresse aussi à Riberi, via Po, qui « leur délivre une carte donnant accès à un mess pontifical ». « La commission », qui travaillait « en accord avec les autorités italiennes ou alliées et avec l’UNRRA », servit dès 1944 « trois millions de repas » dans le réfectoire pontifical de la Via Po. Blondeau « remet enfin à chacun, suivant sa situation, une somme d’argent » pour l’achat de vêtements et objets de première nécessité. Dernière étape, « certains réfugiés ont obtenu des passeports pour se rendre en Amérique du Sud » : la Croix-Rouge internationale, à la demande des Anglo-Saxons très influents en Suisse, envoya à Hudal, à l’Anima, 1

    ces passeports dont le flot gonflerait à partir de mai 1945. D’énormes poissons avaient déjà échappé au filet : Bormann, considéré par Hilberg comme mort en 1945 pendant « la bataille de Berlin », « aurait quitté l’Allemagne dès le 10 mai 1945 par le Tyrol et pour l’Argentine après quelques mois de secret romain sous la sauvegarde de Mgr Hudal », selon Jean-Pierre Blancpain, et de Rauff (Werner Brockdorff) ; le transfert de ce protégé de la Curie eut lieu selon Paul Manning en 1948, et on lui remit une grosse part de « la réserve financière de la Deutsche Bank » 25. "

     

    LE VATICAN, DE L’ANTISÉMITISME DES ANNÉES TRENTE AU SAUVETAGE-RECYCLAGE DES BOURREAUX

    Publié dans Golias, n° 47, mai 1996, p. 72-89



  • Phil279 27 décembre 2009 17:59

    Quand est ce que les gens vont comprendre que WIKIPEDIA N’EST PAS UNE SOURCE CREDIBLE ?



  • Phil279 27 décembre 2009 17:56

    Encore un anticommuniste primaire qui vire au revisoniste en relativisant au passage les crimes du nazisme et de Franco

    Bravo

    c’est grace a des gens comme vous qu’ils sont de plus en plus decompléxés

    les sources de cet article de wikipedia sont exclusivement ou presque catholiques et donc tres loin de l’objectivité



  • Phil279 12 juillet 2009 18:18

    On emploie pas le terme ethnie quand il s’agit de NATIONS, les ethnies sont eventuellement des sous groupes a l’interieur des nations (parler d’ethnie française a un sens pour le moins politisé : « l’ethnie française » est une revue raciste et antisemite de la periode de vichy)

    J’aimerais savoir quelle etait cette aide apportee soit disant par les services secrets americains a la resistance française (ils refusaient souvent l’aide etrangere)
    a part l’evacuation de prisonniers

    Il y aurait meme eu une certaine malveillance de leur part : « Le 18 juin 1943, le jour même où Brown part d’Alger pour apporter son message à Moulin, Allen Dulles, à Berne, signe un ordre de liquidation de tous les maquis en France (les Anglo-Saxons en avaient les moyens par simple étouffement) au motif que les résistants seraient plus utiles en Allemagne dans le STO. J’ai retrouvé ce texte dans les archives de l’OSS. La machine à éliminer de Gaulle était en marche. »

    http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p1776/articles/a10106-jean_moulin_voulait_il_lacher_de_gaulle.html

    Ils n’aimaient pas beaucoup de gaulle non plus : « Sur la base de télégrammes, de rapports d’experts et de verbatim, Vincent Nouzille dresse un état des lieux (non définitif) des réseaux atlantistes en France : »les Américains savaient tout ou presque grâce à leurs espions ou à des informateurs comme Charles Hernu, qui, à la fin des années 60, en relation étroite avec un agent de la CIA à Paris, rédige des notes sensibles à destination de l’agence de renseignement. Le livre révèle comment Washington a encouragé les opposants à de Gaulle, s’est réjoui de sa déstabilisation en mai 1968 et avait même préparé un plan secret d’intervention militaire en France au cas il serait assassiné ! "

    http://meridien.canalblog.com/archives/2009/04/11/13346112.html

    Pour en revenir au sujet la region est controlée par la chine depuis 1757
    avant elle a deja ete chinoise (plusieurs fois), turc, mongole...

    les situations ne sont pas comparables (contexte de guerre mondiale, proximite des regimes politiques et de la culture (occident), pays SOUVERAINS envahis...)

    en bref ce sont des situations qui n’ont tellement rien a voir que je ne comprend toujours pas la comparaison 



     



  • Phil279 9 juillet 2009 23:06

    Explication d’un simplisme et d’une indigence assez impressionnante

    La premiere raison qui a fait chuter l’union sovietique est son abandon du socialisme sous kroutchev qui a rendue la planification non contraignante (donc anarchique) entre autres mesures

    par exemple la production d’acier qui augmentait de 20% en moyenne avant kroutchev n’a plus augmente que de 5% en moyenne apres lui (l’acier est un indicateur determinant pour mesurer la productivié d’un pays)

    la course aux armements, la guerre d’afghanistant etc n’ont fait qu’acccelerer un processus deja entamé depuis longtemps

    c’est donc le revisionisme qui s’est effondré non le socialisme



  • Phil279 9 juillet 2009 22:50

    Et donc vous par contre vous etes l’objectivité faite homme ?

    Tu ne sait pas lire ?

    «  Il y avait quelques problèmes, mais globalement on y vivait bien »,
    soulignent ainsi quarante-neuf pour cent des 1 208 personnes interrogées
    dans l’est du pays. Si l’on y ajoute les 8 % de sondés dans les
    « nouveaux Länder » (Etats fédérés) qui estiment que « la RDA avait surtout
    de bons côtés [et qu’on] y vivait heureux et mieux que dans l’Allemagne
    réunifiée d’aujourd’hui 
     », ce sont en tout 57 % des Allemands de l’Est
    qui défendent l’héritage de l’ancien Etat communiste.

    C’est bien plus qu’une simple nostalgie

    « 56,3% des russes regrettent la chute de l’État soviétique, selon un sondage de l’institut Bashkirov et associés.

    Parmi les citoyens de Russie, d’Ukraine et de Biélorussie, ce sentiment rassemble 69% des interviewés

    tes histoires d’imperium sont bidons puisque ce sont les ceux qui sont en peripherie de cet »imperium" qui le regerettent le plus bizarre (c’est rarement le cas dans les empires ou c’est en general le centre qui benificie des plus grands profits)

    de plus la source du sondage n’est pas le monde diplomatique

    donc tu continue a mentir



  • Phil279 9 juillet 2009 13:33

    Une majorité d’Allemands de l’Est nostalgiques de l’ex-RDA
    |
    | Selon un sondage publié vendredi par le quotidien « Berliner Zeitung », 57
    | % des Allemands de l’Est défendent l’héritage de l’ancien Etat
    | communiste.
    |
    | « Il y avait quelques problèmes, mais globalement on y vivait bien »,
    | soulignent ainsi quarante-neuf pour cent des 1 208 personnes interrogées
    | dans l’est du pays. Si l’on y ajoute les 8 % de sondés dans les
    | « nouveaux Länder » (Etats fédérés) qui estiment que « la RDA avait surtout
    | de bons côtés [et qu’on] y vivait heureux et mieux que dans l’Allemagne
    | réunifiée d’aujourd’hui », ce sont en tout 57 % des Allemands de l’Est
    | qui défendent l’héritage de l’ancien Etat communiste.
    |
    | A l’inverse, dans l’ouest du pays, les trois quarts des personnes
    | interrogées dressent un bilan négatif de la RDA. Pour 52 %,
    | l’ex-Allemagne de l’Est avait « surtout des aspects négatifs » et pour 26
    | % « davantage d’aspects négatifs que positifs ». Selon le ministre en
    | charge de l’ex-RDA, Wolfgang Tiefensee, commanditaire de cette étude,
    | ces résultats montrent la nécessité de "ne pas relâcher les efforts pour

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/06/26/une-majorite-d-allemands-de-l-est-nostalgiques-de-l-ex-rda_1211769_3214.html


    56,3% des Russes regrettent la disparition de l’État soviétique

    MOSCOU, le 7 décembre. – La désintégration de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) il y a 15 ans ravive aujourd’hui un débat politique controversé, aux blessures encore ouvertes dans des secteurs qui ont appuyé le maintien du bloc des nations.

    L’accord de Bieloviezhski, signé le 8 décembre 1991 par les présidents d’alors de Russie, Boris Eltsine, d’Ukraine, Leonid Kravtchouk, et de la Biélorussie, Stanislav Shushekevich, a balayé l’URSS de la carte mondiale, où elle figurait depuis 1922.

    Vers le 21 décembre de cette année a été annoncé la naissance de la Communauté des États Indépendants (CEI), mais jusqu’à aujourd’hui les jugements sur cette période sont contradictoires.

    Le débat actuel, avec des nuances, est agité entre ceux qui considèrent que le démembrement de l’Union était inévitable et, de l’autre côté, ceux qui interprètent ces faits comme un dommage irréparable et la destruction d’un puissant État multinational, selon ce que rapporte Prensa Latina.

    Avec une majorité de la population qui regrette la débâcle du début des années 90, la société russe continue d’être polarisée sur le rôle joué par l’ex-dirigeant de l’URSS, Michael Gorbatchev, et par Eltsine, dans ce processus troublé, que des politiciens de gauche qualifient de complot.

    Interviewé à propos de l’anniversaire de cette date, le chef du gouvernement biélorusse d’alors, Viacheslav Kebich, a déclaré que la délégation russe avait pris les devants dans la signature du traité de désintégration.

    15 ans après ces événements, 56,3% des russes regrettent la chute de l’État soviétique, selon un sondage de l’institut Bashkirov et associés.

    Parmi les citoyens de Russie, d’Ukraine et de Biélorussie, ce sentiment rassemble 69% des interviewés par l’Institut de sondage Monitor Euroasiatico.

    sources : monde diplomatique

    desolé c’est toi qui ment



  • Phil279 9 juillet 2009 13:20

    Et un point Godwin pour monsieur

    La france etait allemande depuis 2 siecles ? Les allemands et les français sont 2 ethnies differentes ? Mieux les français seraient ils arrivés en France(allemagne) quelques siecles avant en massacrant les nomades qui s’y trouvaient ?

    Les situations sont tout simplement incomparables

    NB : La CIA est née en 1947



  • Phil279 8 juillet 2009 21:27
    Xinjiang et Tibet : du pareil au même.

    mardi 7 juillet 2009, par Jean-Paul Desimpelaere

    Le dimanche 5 juillet 2009, de violentes émeutes ont secoué les rues d’Urumqi, capitale de la province chinoise du Xinjiang. Elles ont causé la mort de 156 personnes et ont blessé plus d’un millier d’autres. Ces chiffres dépassent de loin ceux des émeutes à Lhassa en mars 2008. Pourtant le caractère des émeutes est similaire : des bandes de personnes descendent dans les rues, cassent, mettent le feu aux boutiques et tabassent les gens. D’après la police chinoise, environ 1500 personnes ont été arrêtées. Nul ne contredira que des tensions sociales et ethniques existent en Chine, mais qu’elles soient utilisées dans un jeu géostratégique à échelle internationale n’est pas souvent mentionné par nos médias. Voici quelques réflexions à ce propos, et encore plus précisément à propos du « front uni dalaï-lama – Xinjiang ».

    Dans nombre d’interviews (e.a. dans son allocution au Parlement européen, le 4 avril 2008), le 14ème dalaï-lama se dit concerné de près par « la lutte des Ouïgours du Xinjiang ». Il nomme cette région le « Turkestan oriental » et estime qu’elle devrait devenir indépendante. Durant les dix dernières années, de nombreuses associations de défense pour l’indépendance du « Turkestan oriental » ont surgi en Occident. Le comité central se nomme « World Uyghur Congress » et siège à Munich, en Allemagne. Leur présidente vit aux Etats-Unis et est fière de pouvoir annoncer que leur mouvement a pu se développer grâce au soutien de la « National Endowment for Democracy » (NED), la sœur jumelle de la CIA, mais pour les opérations « pacifiques ». Dans le bilan financier de la NED figurent quatre organisations ouïgours d’opposition à la Chine qui, ensemble, ont officiellement reçu plus de 500.000 $ en 2008. Voilà donc le lien avec le dalaï-lama : ils ont les mêmes sponsors. De plus, ils se concertent : la première conférence de « l’alliance » (Tibet, Turkestan oriental, Mongolie du Sud) eut lieu à New York le 16 octobre 1998 et réunissait des bonzes de l’administration Clinton, des représentants du dalaï-lama, des Ouïgours et des Mongols. Pour l’occasion, le dalaï-lama avait écrit ce message : « nos trois peuples ont des liens historiques forts ; à présent ils sont réunis dans la lutte contre l’occupation chinoise. L’empire soviétique s’est désintégré et les différents peuples ont retrouvé leur liberté. Aussi, suis-je optimiste pour l’avenir de nos nations respectives ». Le but de tout ceci me paraît assez clair : attiser et sponsoriser des conflits ethniques qui régulièrement éclatent dans différentes régions de la Chine, afin de la briser, la faire exploser, à l’exemple de l’Union Soviétique.

    http://www.tibetdoc.eu/spip/


  • Phil279 2 juin 2009 21:59

    Aucun argument, pas de sources juste des affirmations :
    Propagande



  • Phil279 2 juin 2009 21:52

    « Combien, parmi le grand public, savent que les évènements de la place Tianan men de 1989 ont eu comme prélude des émeutes anti-étrangers ? En effet, depuis les années soixante, la Chine, au nom de la solidarité prolétarienne et tiers-mondiste, accueille un grand nombre d’étudiants africains, à qui elle propose des bourses supérieures à celles qu’elle octroie aux étudiants chinois.(...)Dans la journée du lendemain, une rumeur court disant que les Africains ont tué un Chinois pendant la nuit. Trois cents étudiants chinois se réunissent alors et défoncent le portail de la résidence des étudiants étrangers, détruisant les dortoirs et hurlant « Sha hai hei gui ! » (« Tuons les démons noirs » ! ). »

    Source : Jean-Marc et Yidir Plantade, “La face cachée de la Chine”

    Une revolte raciste comme symbole de la democratie...
    (precisons qu’il s’agit d’un livre d’auteurs proches de l’extreme droite donc peu favorables au regime chinois)