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Les commentaires de Nometon



  • Nometon Nometon 22 juin 2013 13:29

    Ne vous attardez pas à lire les médiocres imbécilités dévorées de haine de Homme#libre.

    Lisez plutôt ce texte de Pierre Jourde, magnifique et courageux :
    http://pierre-jourde.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/06/20/la-femme-est-le-negre-de-l-humanite.html?c



  • Nometon Nometon 25 janvier 2013 11:11

    Camisoler en effet. Puisque les molécules chimiques ne peuvent être diffusées sur le web, reste la censure de la parole.

    Cet article ne parle pas de la précocité intellectuelle des enfants. Il parle de la médiocrité intellectuelle des « spécialistes » de la pensée. La psychiatrie et ses fondements théoriques ne cessent d’être invalidées par les avancées de la génétique et de la neurobiologie (recherche sur l’autisme par ex.) mais au lieu de se mettre en critique et de se renouveler en profondeur, le milieu psychiatrique s’enfonce plus encore dans ses visions rétrogrades dignes des médecins de Molière.



  • Nometon Nometon 22 novembre 2012 02:25

    Article qui résume bien l’état des lieux sur la question du viol qui demeure un crime massif et massivement impuni. Et que bien trop de lâches et d’hypocrites voudraient que l’on continue à taire. 

    Les violeurs sont nombreux (75 000 viols par an, donc, rapporté sur plusieurs générations, le nombre des violeurs se compte en centaines de milliers). Ils savent que le silence les sauve. Le silence et la prescription. Raison de plus pour faire bouger les lignes.

    La peur et la honte vont changer de camp.

    À ce propos, un certain nombre de commentaires sont à la limite de l’acceptable. Ce sont des commentaires signés.
    Signés et qui en disent long.



  • Nometon Nometon 18 octobre 2012 09:40

    Derrière votre pseudo « hommelibre » se cache une volonté très étrange de disculper des hommes immondes, dont la culpabilité a été prononcé pour au moins 4 d’entre d’eux, en dépit de peines incompréhensiblement légères.

    Le seul intérêt de votre article se résume en une phrase : tout accusé a droit à une défense équitable.

    Pour le reste, votre position fait l’impasse sur des faits reconnus par la cour et surtout, elle ignore totalement la gravité des actes. Le viol est un crime. Le viol collectif est un crime aggravé. Le viol collectif sur une période de plusieurs années... est un crime d’une lâcheté, d’une laideur et d’une ignominie sans nom.

    En France, on estime le nombre des viols par an à environ 300 000 ! Ce nombre, énorme, est le résultat d’un tabou et d’une tolérance complice et coupable. Et bien souvent, ce sont des hommes qui relativisent, jettent le doute, brouille les frontières, inverse la faute et la honte !

    Et vous ? Quelle est votre motivation profonde pour aller défendre ces condamnés pour viol ? Le sens de la justice ? Une profonde compassion pour des braves types qui n’ont rien fait (allez, juré, craché !) ?

    Au regard de votre article qui disculpe « par principe » ces hommes, je ne crois pas à que vous portiez de si belles motivations... « homme libre ».



  • Nometon Nometon 20 septembre 2012 13:14
    • « Je ne comprends pas ce prétendu »sens des responsabilités" qui consiste à s’adapter aux comportements de celles et ceux qui voudraient nous ramener au temps où se pratiquait le délit de blasphème...« 

    La raison de ces réactions est hélas très simple : la peur et la lâcheté. Précisément ce sur quoi s’appuient les extrémistes pour imposer leur loi, fût-elle totalement contraire à la loi républicaine et aux valeurs des droits de l’homme.

    Lâches, apeurés et hypocrites, tels sont les commentateurs soit disant »modérés« qui réprouvent la liberté d’expression lorsque précisément elle est indispensable, notamment contre les fous de Dieu. Lâches, apeurés et n’ayant plus d’autre motivation que de protéger leur confort sont ces citoyens »responsables« que l’on retrouve dans la rue à fermer leurs yeux et surtout leur bouche devant des situations inacceptables pour ensuite aller voter réactionnaire ou Marine en se plaignant que rien ne va plus dans notre pays.

    Les mouvements religieux violents et rétrogrades, comme le salafisme utilisent régulièrement des prétextes pour tester les démocraties occidentales, tester leur vitalité, leur cohérence, leur force... Tester leur courage.

    Ce à quoi les lâches, les apeurés et les hypocrites de nos pays répondent en disant à ceux qui s’expriment sans peur : »Chuuuuuut ! Taisez-vous !"



  • Nometon Nometon 25 juin 2012 09:31

    M. cabanel, je ne vous lis plus depuis longtemps, tant vos articles sont un condensé de la doxa idéologique de l’écologie intégriste.

    Mais en faisant un petit tour sur votre « article », je ne peux m’empêcher d’attirer votre attention sur un fait : si vous avez régulièrement « 77% » (ou de beaux et staliniens 95%) de lecteurs favorables, c’est uniquement parce que seuls des convaincus à votre cause vous lisent. Vous êtes le parfait remplisseur de chaudrons doctrinaires, le sublime copiste de pamphlets dogmatiques, pur produit de notre société alors que vous faites mine de la combattre. Aucuns des écrits que j’ai lu de vous ne porte à la réflexion ou à la discussion. Ils sont fermés à toute mesure et à toute contre-argumentation. Vous utilisez la vieille technique de l’accumulation, comme si accumuler des faits (souvent disparates) était une méthode pour démontrer une causalité. Vos écrits ont la vertu des masses et des marteaux.

    Continuez vos diatribes, chantez, chantez dans votre église ! Mais sachez que nous sommes nombreux à ne même plus tourner à la tête au son de vos claironnements.

    Je vous salue de très loin.



  • Nometon Nometon 20 juin 2012 15:57

    Article d’une grande bêtise et dont le ton justicier cache un esprit étriqué qui est soit un manipulateur, soit un manipulé.

    Dans la nature et en chimie, rien n’est toxique, tout est toxique : tout est une question de dose. Et de dose (donc de mesure), votre article n’en parle jamais.

    Votre texte n’est ni scientifique (fournissant des démonstrations et des mesures), ni journalistique (ie. bien documenté), ni métaphysique (se plaçant à l’échelle des idées). En fait, il n’est rien. Rien qu’un tissus d’âneries.

    Le genre d’âneries qui se vend si bien dans notre société ignare et apeurée.
    Le genre d’articles qui retire surtout beaucoup de crédibilité à Agoravox et aux auteurs de grande qualité que l’on peut y lire.



  • Nometon Nometon 3 juin 2012 18:36

    Bonjour.

    Si vous souhaitez fonder un parti (dont la durée de vie n’excèderait pas le succès de son ambition) ayant pour objectif une nouvelle constituante et la création d’une démocratie fondée sur le tirage au sort... j’en suis !

    (pour l’anecdote, je suis élu).



  • Nometon Nometon 3 juin 2012 18:32

    Quelle belle science que cette corrélation entre deux indicateurs construits (des résultants), dont celui de l’empreinte écologique se trouve être une construction faite de compromis politique au comble de l’arbitraire !

    L’auteur nage dans les eaux troubles de son idéologie et sa « démonstration » vaut pipette.

    Ah oui... Cela a un nom.

    Charlatan.



  • Nometon Nometon 31 mai 2012 10:58

    Article Courageux.
    Le Canard est devenu une antichambre du pouvoir et de ses « fuites » officielles. Sa ligne éditoriale est à peu près aussi dogmatique que celle des journaux installés. Et le pire, c’est que ceux qui le lisent continuent de penser qu’ils sont ainsi correctement informés.
    Tout à fait dans la ligne de 1984 où le pouvoir en place nourrit et utilise la contestation/révolution officielle (connue) afin qu’il ne s’en présente pas une réelle.

    Encouragements à l’auteur.
    Et un conseil : sur le chemin de la liberté et la recherche de vérité, il n’y a que des coups à prendre. 90% des gens ne vous pardonneront rien. Mais c’est un chemin extraordinaire ! Bon courage.



  • Nometon Nometon 23 mai 2012 11:36

    @ Wesson « Mais cela ne m’empêche pas de constater que votre article, il sent quand même un peu sous les bras. »

    Je ne suis pas du tout d’accord avec vous sur ce point.
    L’auteur reprend des positions déclarées et des propos publics de Manuel Valls et en citoyen alerte, il les commente, y apportant une recherche et un point de vue.

    En quoi commenter le soutien « éternel » de Valls à l’état hébreu « sentirait sous les bras » ? C’est votre posture, celle du jugement moral interdisant la réflexion, qui n’est pas opportune.

    Cela dit en toute sincérité car d’ordinaire, j’apprécie la pertinence de vos commentaires.

    Et soit dit en passant, bravo à l’auteur et à ses réflexes salutaires de vieux flic curieux. ;)



  • Nometon Nometon 10 novembre 2011 10:10

    Un enfant est un être en construction et encore fragile face à toute forme de violence venant d’un adulte. Voilà pourquoi il doit être particulièrement protégé contre des violences particulièrement destructrices. Une telle violence peut prendre divers aspects (pédophilie, coups et blessures - notamment et malheureusement dans le contexte familial - destruction psychologique systématique, etc.). Malheureusement, l’humanité étant ce qu’elle est, ces violences sont tout sauf rares.

    Que l’auteur mette en garde contre la vindicte aveugle, je le comprends. Qu’il établisse un rapport avec le roman 1984, à la rigueur, quoique le lien soit en réalité plus fondé avec le mécanisme du bouc-émissaire qui est un phénomène étudié par l’anthropologie depuis longtemps. Qu’il rappelle que la peine de mort officié par un État soit un acte inadmissible, je le rejoins.

    Mais hors de cela, il y a dans cet article une impasse presque totale sur une réalité toute simple : dans un acte de pédophilie, la victime est l’enfant et les circonstances sont aggravantes car cette victime est fragile (non capable des mêmes défenses qu’un adulte) et au début de sa vie. Et le pédophile est le bourreau, quelle que soit sa personnalité, ses motivations, ses propres peines...

    Il est toujours indispensable dans un acte de violence de rétablir la réalité crue des charges. C’est le plus souvent ce qui est le plus indispensable aux victimes : que l’on dise publiquement et sans réserve qui est le bourreau et qui est la victime.

    C’est l’honneur d’un État de droit de conserver à un bourreau certains droits inaliénable : la possibilité de se défendre en justice, le droit à sa propre vie.

    Mais attention à l’inversion des charges !
    Violer, tuer un enfant sont des crimes odieux. Et la nature de ces crimes ne doit pas être banalisée. Jamais.



  • Nometon Nometon 18 octobre 2011 15:53

    @ Kiouty
    Aubry était plus à gauche car elle avait négocié avec l’aile gauche du PS que représente Benoît Hamon. Ces négociations avaient conduit, ces 3 dernières années où Aubry a été première secrétaire, à renforcer certaines propositions (les « gauchir », si vous voulez) du projet socialiste, comme la taxe sur les flux financiers par exemple et le non cumul des mandats. Elles avaient également conduit Aubry à bouger sur certains sujets de société (homoparentalité, égalité salariale femmes-hommes...). Donc il ne s’agissait absolument pas d’une question de « représentation », mais bel et bien d’orientations politiques.
    A ce propos, Montebourg a agi en excellent manoeuvrier : il a rendu inaudible l’aile gauche du PS - laquelle soutenait Aubry - par un discours très proche de celui du Front de Gauche ; il a ensuite « cassé » la différence d’orientations entre Aubry et Hollande en déclarant : blanc bonnet, bonnet blanc ; il a finalement pesé en se ralliant à Hollande. Parmi les électeurs qui ont voté Montebourg, nombreux sont ceux qui ont par la suite regretté leur choix : car ils ont parfaitement compris la manoeuvre : s’ils avaient voté Aubry dès le premier tour des primaires, elle aurait alors été en capacité de dépasser Hollande (et les 40%) et dans ce cas, l’efficacité du vote de rassemblement aurait pu jouer dans l’autre sens.



  • Nometon Nometon 14 octobre 2011 01:56

    Aubry est dure en affaires mais elle a le respect de la parole donnée.
    Hollande, c’est l’inverse.



  • Nometon Nometon 14 octobre 2011 01:20

    @ Peachy Carnehan :
    Hollande & consort : bel aéropage en effet ! Non seulement cet équipage n’a aucune chance de s’élever au rang d’un Mitterrand, mais il va s’écraser tout seul comme un grand : la droite n’aura qu’à souffler dessus. Hollande représente le modèle Jospin : comment perdre une élection avant même de l’avoir jouée.

    D’ailleurs, son plus fort soutien médiatique, il l’obtient au journal Le Figaro qui 3 jours avant le premier tour annonçait un score à plus de 45%. Le Figaro qui, comme tout le monde le sait, roule évidemment pour la gauche !

    Quand un adversaire peut peser sur le choix de son opposant, il est assez rare qu’il opte pour le meilleur ! Pourquoi toute la presse (hormis quelques trublions comme Mediapart) a-t-elle jeté son dévolu sur Hollande ?

    Il reste un véritable espoir pour dimanche : les Français ont maintes fois montré qu’ils sont un peuple libre, capable de faire mentir les sondages, les faiseurs d’opinion et les suivistes moutons.



  • Nometon Nometon 13 octobre 2011 17:06

    L’aile gauche du PS n’a jamais « viré » à gauche puisqu’elle s’y trouve déjà.
    Comme l’est Montebourg, d’ailleurs lui-même issu de cette aile gauche.
    Elle vient à ce propos de lui a adresser sa propre réponse à la lettre qu’il a transmise lundi aux deux candidats.



  • Nometon Nometon 13 octobre 2011 17:00

    Martine Aubry a déjà répondu à la lettre d’Arnaud Montebourg ! (dès hier soir)

    Et l’aile gauche du PS (dont Montebourg est issu) lui a également adressé une autre réponse.



  • Nometon Nometon 13 octobre 2011 11:06

    Entièrement d’accord avec l’auteur. On ne peut pas d’un côté dénigrer la politique en disant que le fond, les vrais problèmes ne sont jamais évoqués et de l’autre invectiver une période et une initiative (les primaires) qui permettent non seulement un débat mais également un choix !

    Cela en a énervé plus d’un (surtout à l’UMP et au Modem) comme on a pu le voir ici même, mais pour de mauvaises raisons, des raisons de politique tactique. Dommage... car le retour au débat politique, en démocratie, est toujours quelque chose de sain (que l’on soit d’une opinion ou d’une autre).



  • Nometon Nometon 13 octobre 2011 10:57

    Par ailleurs, la "crédibilité d’Hollande est une mayonnaise montée par ses amis journalistes et éditorialistes. C’est une pure invention qui ne tiendra pas la route, une illusion qui fera pshhhiiiittt ! durant la vraie campagne, contre Sarkozy et ses lieutenants.

    Hollande représente un centre gauche aux angles arrondis. Etant donné la situation de notre pays et des gens, ce positionnement très tiède aura de quoi désespérer bon nombre d’électeurs de gauche en 2012. Et bien pire, même en cas de victoire, elle conduirait mécaniquement au retour de la droite dure qu’incarnera Copé en 2017, après quelques années d’une politique social-démocrate d’accompagnement.

    Le vote de dimanche est crucial : il déterminera le ton et la couleur de la gauche (et du rassemblement des gauches) pour les dix ou quinze prochaines années.

    A chacun de prendre ses responsabilités.



  • Nometon Nometon 13 octobre 2011 10:48

    L’une des expressions favorites de Hollande est : « J’en prends acte ».
    Ce qui ne veut rien dire mais « pose » son homme. Mais surtout, ce qui est intéressant dans cette expression qu’il utilise à tout va, c’est qu’il s’agit d’un langage de notaire. Et c’est exactement ce qu’il est. Un notaire qui « prend acte » de ceci et de cela.

    Martine Aubry possède de la pugnacité et de la volonté. Elle a négocié avec l’aile gauche du parti socialiste pour intégrer dans son projet des propositions fortes de la gauche (et des gauches). Elle a une dimension historique, est appréciée des allemands qui la connaissent et la respectent. Entre les deux, elle incarne clairement la volonté.

    Il y aurait un curieux paradoxe à ce que cette femme, réputée dure en affaires mais respectueuse de sa parole une fois qu’elle l’a donnée, ne représente pas le principal parti d’opposition aux prochaines présidentielles.... au profit d’un homme qui a l’esprit, la bonhommie et l’inertie d’un notaire.