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Les commentaires de Passante



  • Passante Passante 29 septembre 2014 18:18

    lorsque lire c’est « à côté », ou « en plus »,

    on est déjà hors-jeu, con et pétant.

    nb : j’ai dit facs, mais ça vaut aussi pour « graaandes écoles », 
    c’est tout l’édifice quoi, et c’est pas question de fric à l’entrée,
    si je suis pas la fac, tout le reste est fac off.


  • Passante Passante 29 septembre 2014 17:58

     smiley !!! (...)



  • Passante Passante 29 septembre 2014 16:45

    la « veste » que vous évoquez est importante.

    elle est le signe que vous proposez une solution de raccomodage face à une crise profonde.
    ce n’est pas la figure de l’individu en lieu d’idées qui fait la crise,
    car ceci n’est que le résultat d’une usure spectaculaire du pouvoir.
    le corrélat de cet abus est l’absence de pensée oui,
    malheureusement l’absence de pensée, si elle est agréable en croisière,
    est grave à l’heure des grands tournants - traduire : révolution.
    & c’est l’heure d’une révolution, presque tout le monde le devine,
    mais, contrairement à 68, elle a bien du mal à émerger du fait de l’absence de pensée.
    seulement une fois accomplie, il ne restera sans doute plus une veste,
    car elle risque de porter précisément sur le principe même de la veste.


  • Passante Passante 29 septembre 2014 16:09

    le projet initial de l’université à sa naissance était bien de créer un espace 

    séparé de la société, pour « penser » - full stop ; et penser, entre autres, la société.
    théologie, philo, sciences, techniques etc... et, très loin, le marché.
    aujourd’hui c’est l’inverse : marché, techno, sciences, etc.

    l’université, en esprit, est donc morte y’a longtemps ;
    restent, oui, quelques filiales, où vraiment un savoir, un réel apprentissage.
    pour le gros soyons impitoyables : 
    le scolaire est truffé de pathos qui dégoûte les gosses de toute lecture, à jamais, 
    leurs choix sont bidons, leurs méthodes sont chiantes, 
    et cette association lire-école-examens est une des grandes nuisances 
    ravageuses de l’humanité, 
    génocide culturel, plus que des librairies pour enfants déjà,
    et plus personne pour se souvenir d’avant surtout, c’est weaky-bouclé.

    je n’ai commencé à gagner des choses dans la vie que lorsqu’il y eut pour moi ce miracle 
    que la lecture et l’école n’avaient rien à voir, & presque s’opposaient.

    la fac, parlons-en tiens... troisième cycle et tralala, néant ! 
    que de thésards et de théseux qui savent pas un rond. 
    la fac m’a même pas donné 1% de ce que j’ai appris en lectures, c’est clair, 
    c’est un abrutissoir, on va vous expliquer que vous savez, alors que vous connaissez rien, 
    des ignares complets se voient décorés de titres, & cette comédie est lassante, 
    mais utile... faut bien que les gens s’imaginent que leur système moribond fonctionne encore, 
    que les études tu comprends, tout ça, 
    fouthèses...

    mon diplôme ornementé ne m’a jamais servi à rien ! nada.
    tous les jobs que j’ai exercés c’est du pur auto-didacte, et en solutions de remplacement,
    et ça marche tellement mieux : au résultat !..
    « 12 métiers, 13 misères... », dit le dicton ?
    oui, au début, 
    puis une fois roulée la bosse, c’est le boss qu’on peut rouler...
    jusqu’à devenir bosse -
    mais ça, à la fac, t’apprendras jamais.

    j’t’explique - mathématiquement :
    donc la fac on a dit ?
    une dizaine de cours en un an ?
    donc 50 en cinq ans ?
    100 pages manuscrites par cours ?
    total 5.000 pages ?
    tu vas passer cinq ans fichus ronds sur ça... que tu peux lire en deux mois ?
    faut vraiment être con.


  • Passante Passante 29 septembre 2014 15:40

    sympathiques ces deux neurones, surtout quand on sait d’où ils viennent, 

    avant de finir chez ces garçons-bouchers, 
    search étymo de « sarkos » en grec, vous trouverez le couteau...

    mais sérieusement, vous croyez qu’au sol genre y’aura rien ?
    non seulement c’est ce que l’on se doit d’annoncer dans un premier temps 
    à des populations pas encore prêtes, mais surtout, surtout... 
    n’oubliez pas la menace proférée par daëch, 
    cet appel à nuire à tout occidenal civil des pays de la coalition, 
    la situation en australie par rapport à ça, 
    le fait que gourdel otage, ça n’a rien à voir avec ce à quoi al-nosra vient d’appeler 
    comme jihad sur les territoires mêmes des pays engagés - ça ne tardera pas ? 
    il suffit d’un fou, et ça ne manque pas... un couteau, une foule, style made in china,
    un flingue un magasin, 
    qui irait se perdre dans les gares ? ..
    une clef anglaise & des rails... vous me suivez ?

    peut-être que l’Oxydant se cherche une fin digne de son histoire.
    maintenant le but véritable, non affiché, semble s’articuler ainsi : 
    pipelines, réserves de gaz, et nécessité donc d’établir des bases au sol ; 
    si en syrie c’est pas encore prêt, en irak ça va venir bientôt ; 
    côté syrie le jeu consiste à affaiblir quiconque prendrait un tant soit peu le dessus, 
    histoire de cuisiner le tout à « petits feux » sur minimum une décennie disons,
    avant de jouer les milliardeux sauveurs-reconstructeurs, 
    le scenar est rôdé jusqu’à la corde, mais il marche.

    l’ennui donc, c’est qu’entre temps, il s’agit d’une idéologie, 
    et d’un savoir-faire déjà, d’un style, exportable à l’envi, 
    et quand on glisse un coup de poing dans le guêpier, 
    mieux vaut soigner ses moustiquaires, les mousquetaires ne suffisant pas.


  • Passante Passante 28 septembre 2014 11:39

    salut JL, c’est exactement ce que j’essayai de dire à Serge,

    en ce sens que l’appel au communautaire est le grand piège, absolu, 
    que cela soit contre du communautaire, 
    ou encore et surtout dans l’invocation d’une « unité nationale » selon le mode (inter-)communautaire, 
    rien n’est plus miné que ce terrain-là...
    cependant, il faut quand même relativiser : 
    une guerre, même en guerilla, ne saurait se faire... sans armes.


  • Passante Passante 28 septembre 2014 08:44

    pour être plus clair, si je devais résumer la guerre du Liban en style télégraphique, 

    ça donnerait :

    « Grève des Enseignants : 200.000 morts. »

    ça commence par des manifs style 68, les profs enchaînent, 
    arafat se branche sur cette gauche en mouvement, 
    une fusillade...
    le réflexe communautaire se plaque alors en crispation sur le fond droite-gauche, 
    et c’est parti pour quinze ans ; 
    impossible de débrancher ce moteur ! 
    inutile de chercher à revenir en arrière sur les vrais débats, 
    le cirque ne tolère nulle incartade.

    mais entre temps, pas de naïveté, je ne doute pas que daëch fascine,
    il y a un pouvoir de l’horreur, attractif-répulsif, et il faut savoir à quoi il tient :
    daëch, ça marche pas sans youtube.

    déjà, deux remarques :

    -bien noter la différence entre daëch.fr et daëch-USA,
    dans un cas c’est désert, orange, très clean,
    dans l’autre les sous-bois, la victime est même autorisée à une touche perso, familiale-
    ces détails sont d’importance, comme si daëch s’adaptait à son décor...

    -ensuite, daëch est en nous, j’en veux pour preuve, que nous eûmes, même ici sur agoravox, un ancêtre éloquent de daëch : une star locale, brillante, mais en difficulté face à un débordememnt de trolls, n’avait pas manqué d’arborrer, en avatar, un personnage de bd avec dans une main un couteau, et de l’autre une tête coupée,...qui s’en souvient ?

    bref, le pouvoir de daëch dans sa gestuelle tient à mon avis à un message de fond 
    adressé à une population spécifique. 
    cette population a en propre d’être touchée par les écrans, télés, ou réseau, 
    elle relève d’une génération qui, en vaste prise avec un système des machines, 
    en devenir d’appendice de ses propres appendices,
    est en grave perte de mémoire, déperdition d’histoire, donc de corps - 
    les récepteurs du message daëch, plus ils sont jeunes, 
    plus ils sont des expropriés de leur corps, en termes de mémoire, 
    donc aussi de sensations pensées, vécues, etc.

    le message simple de daëch, s’il acquiert cette puissance, jubilatoire au fond, 
    c’est parce qu’il ne dit rien de moins que l’évidence suivante :

    Mesdames et messieurs, 
    votre attention s’il vous plaît,

    Daëch a le loisir de vous rappeler que :

    vous avez un corps.

    voilà, cqfd, en face il ne reste plus qu’à « faire corps »,
    et en même temps que ça semble très nouveau, quoi de neuf au fond ?






  • Passante Passante 27 septembre 2014 15:50

    la Chance ici, c’est peut-être que contrairement à ce qu’on croit la France n’est pas latine, seuls les américains sont profondément fidèles au Latin, d’où le mauvais goût mondialatinisé en cours, dont daëch est tout au plus un jambage ; en cela, l’alignement hollandois actuel, dans tout son artifice, ne résistera pas aux effets à venir, et c’est là que l’Exotisme Français se souviendra des Jours.



  • Passante Passante 27 septembre 2014 15:34

    euh c’est vraiment un chef-d’oeuvre, 

    pourquoi ?
    parce que déjouer du mythe à ce point-là et aussi profond, 
    je sais pas ça doit être chirurgiens depuis 5 générations.
    bref, 
    le scalpel en cours enlève couche sur couche, et c’est tellement piégé...
    même le comm. de howahkan tombe aussi dans le piège, 
    car s’il dit vrai, il s’en tient à une erreur, or il y a foule, c’est le cas de le dire.

    malheureusement, auteur, le processus est enclenché, 
    c’est celui-là même qui fit la guerre du Liban : 
    activer le communautaire, pour ou contre une exaction visible, cela revient au même, 
    or la mamma boubakeur, comme d’autres, est ici trop puissante, c’est joué,
    parce que le boulet rouge manipulé tient trop de jouissance.

    je ne sais pas si je me fais comprendre : 
    le Colisée, 129.000 places, voilà ce qui fait 4 siècles d’Empire.
    En conséquence, c’est terrible, mais il faut l’affronter, 
    vous êtes une lueur ultime dans le début d’un très grand obscurcissement en cours, 
    et dont les derniers épisodes présagent un épaississement sans précédent 
    et surtout sans retour, c’est fini, joué, 
    c’est juste l’éructation d’un avant-propos, boubakeur, 
    trop tard.

    le comumunautaire, combiné à la puissance orale du visuel technomédiatique, 
    c’est vouloir encore la diegesis contre la mimesis, impuissance au rendez-vous, 
    vous signez votre mise en zoo, une relique ! une découpe paléontologique...
    c’est une question de temps, 
    bientôt il n’y aura plus que ces mouvements, 
    car reprenez votre spirale, au résultat vous avez quoi, en négatif ? 
    le scenario rêvé pour en finir avec toute revendication réelle sur les problèmes réels.
    seulement ça se joue pas sur cette heure des rassemblements, 
    le silence n’est pas d’aujourd’hui, la complicité n’est pas de l’heure ;
    l’un est le résultat de l’autre, en gain qualitatif, 
    approfondissement dans la perte du coeur, et de la pensée.

    à quelle condition je n’ai plus de problème à sympathiser avec un égorgeur ?
    quand je meurs de faim, ou presque.
    lorsque je considère que la violence qui m’est faite ne mérite rien de moins.
    le couteau daëch, dans toute son abjection, inaugure donc un style auquel nul aggrégat ne saurait répondre.
    si cela se joue sur le terrain du style, l’analyse aussi brillante soit-elle
    se trouvera aussi stérile que le rassemblement.

    or un fond non-dit de votre logique, c’est peut-être que daëch et boubakeur ont en commun, non pas l’islam, loin de là, mais l’inauguration du Jugement : nous jugeons que vous méritez la potence ; nous jugeons que vous êtes excommuniables...
    puis vous listez le nombre de Jugements qui n’ont pas eu lieu.
    les implications de daëch n’ont donc rien à voir avec l’islam.
    tiens des gens un peu trash, et qui s’imaginent qu’on pourrait se faire justice ?..
    c’était pas le moyen-âge ?



  • Passante Passante 24 septembre 2014 11:36

    soyons franc, à vrai dire je ne sais pas que faire.

    comme je tournoie, tourbillon d’hilarité et d’horreur, faut pas m’influencer ça serre à rien.
    hier, j’ai erré sur la plage avec une folle, heureux d’avoir fini mon tome 2 !
    j’me disais « rien de mieux qu’une bien fêlée pour entendre les vagues exactes », mais rien.
    ensuite un chanteur de rock a voulu se payer ma tête, nous dansâmes, intense, il ne savait pas.
    j’avais printé un texte en poche, insoluble, pour me tenir au courant.
    je ne savais plus où j’étais, vingt ans toute sweet, quelle conne smiley
    donc là où c’est pas clair, il faut attendre, ce que le vent.
    si jamais, c’est qu’alors !
    merci owen, votre free go ouvre une brèche.


  • Passante Passante 24 septembre 2014 10:48

    l’« extraction d’un passage » ? smiley


    exemple : 
    « on ne devrait pas dire ’je pense’, on devrait dire ’on me pense’ » rimbaud.
    ou on me parle quoi...

    la société, katherine, est peut-être tissée de peurs et de rancunes ?
    en concéquence elle ne saurait que craindre la vie, 
    suite à quoi ce qui est vivant doit passer pour mort, 
    et le mort donné pour vivant ?
    on y organise des enterrements.

    l’envers de cela, très près, s’appelle peut-être paradis ?
    ses traits c’est vert, le pèradis, 
    on ne rit jamais, on n’arrête pas de sourire,
    on en finit avec les mains sales, 
    vous savez... tout ce sang sur Toutes les mains,...
    puis surtout c’est d’abord sans peur(s), 
    voilà pourquoi le rire glisse, inutile.
    donc aimer que sais-je, 
    les monique, les maya, les ondines, et cent autres ! fol ment oui ;
    tout le reste, aqua bonds...

    puis j’me suis fait piéger par feiruz, cette pute ! je savais...
    puis de temps en temps, rue gît le coeur, ça fredonne,
    mais bon... d’autres guerres m’attendent, ressusciter n’est pas de ce monde -
    adieu amie inconnue,
    à vous toute la joie, mais pas d’être là.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 23:05

    que c’est beau - c déchirant

    rien lu de comparable, tournant.
    dans quel ciel me faudra-t-il vivre et mourir cela.
    je ne te remercie pas de ce savoir qui brûle.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 22:57

    hélas pour moi, j’ai suivi le lien jusqu’au bout, jusqu’au contexte, et à l’article.

    j’ai donc une décision à prendre.
    j’ai dû faire une erreur. grave.
    a+ maybe. merci.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 22:28

    waow

    et la réciproque.
    ok reçu, found it.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 22:13

    c’est vrai nuance, mais je reste certain d’une équivalence possible, seulement comme le dit bien l’auteur les subtilités des différents vocabulaire en font un travail presque impossible.

    maintenant k
    je profite de votre présence pour une mini-question technique sur apocalypse 13.3, 
    est-ce que le opizo peut avoir un sens visuel quelqconque dans le champ sémantique, 
    est-ce que c’est « suivre des yeux » ? ou aucun rapport... merci.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 22:01

    la mort sur AV... superbe -

    enfin du peps !
    signaler un abus de lien permanent d’un commentaire à voir dans son contexte...


  • Passante Passante 22 septembre 2014 21:21

    les sunnites sont quand même un peu divisés.

    mais y’a un truc que vous saisissez pas : 
    ce sont vraiment des suicidaires, vraiment, 
    ils sont coincés dans les montagnes de l’antiliban 
    serrés entre 70.000 hezbistes et 60.000 soldats de l’armée libanaise, 
    ils n’ont plus que de petits conduits, et ils continuent à amasser, 
    même dans la perspective de se les geler en hiver, 
    donc ils ont décidé d’y aller, enfin c’est pas eux qui décident... 
    l’investisseur va lancer sa balle considérant qu’il a déjà suffisamment casqué là-dessus ; 
    déjà attaques suicide sur des barrages du hezbollah à la frontière, 
    sur quoi le hezb riposte hier par une sacrée nouveauté les bombardant par drônes... 
    ils font des opérations commandos dans des p’tits villages pour chiper des pelleteuses 
    en vue de la neige, mais comme ils viennent tous du désert, ils vont faire long feu 
    c’est le cas de le dire... donc ils vont foncer, c’est clair.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 20:32

    je dois l’avoir, j’ai les télés afrique du nord méditerranée, je chercherai ce soir -

    nos commentaires se sont croisés.

    ah merci pour la proposition, mais je ne viendrai que peace,
    car la discussion locale a déjà eu lieu, y’a ceux qui plient bagage déjà, sacs à dos, etc.,
    moi je fais partie de ceux qui veulent en bouffer du cru, de face, on va les laminer, 
    les syriens et les irakiens, écrasés par les dictatures n’avaient aucune expérience,
    ici par contre on est pas des kurdes ou des yazidis, on a bu la guerre au biberon,
    on refuse pas une tournée offerte par le voisin...
    donc huilages divers, et vieilles amitiés retrouvées, on s’en frotte les mains...


  • Passante Passante 22 septembre 2014 20:03

    non c trop p’tit les druzes ou du moins cette adresse serait la plus proche, hélas allant trop vite j’ai gaffé sur 17h50 au lieu de 18h30, mais sur 21h30 ça tient, sauf que là c’est encore le calme avant la tempête... dans les éditions précédentes y’a sans doute à fouiller déjà.


    concernant la menace afp, faut pas croire une seconde qu’un allumé va vider son kalach sur un boulevard, la traduction c’est : 
    n’oubliez pas svp notre mauvaise vidéo qui a pas pris, on est en guerre, james c’était vous, vous avez bien fermé la porte de l’immeuble ? puis si vous voyez nos avions splatcher par erreur sur bachar, ben c’était pas voulu, vous savez bien qui sont les méchants, etc.


  • Passante Passante 22 septembre 2014 18:54

    je ne connais pas grand chose au domaine que vous traitez,


    mais je me permettrai de vous rappeler quelques fondamentaux du livre, des ventes etc.,
    fondamentaux en général inconnus, sinon surtout souvent oubliés des chercheurs, des universitaires et des écrivains.

    nous en sommes à un moment où vous devez vendre l’auteur avant le livre,
    les gens achètent mais ne lisent pas.

    en procédant par mails, vous avez peu de chances, 
    allez le voir votre éditeur, rendez-vous, harcèlements, p’tits verres, tout est bon.
    respectez bien le print du manuscrit en format, faut pas les fatiguer.

    ne dites pas que vos centaines de nartics c’est sur avox, 
    jouez la dispersion qu’ils farfouillent.
    faites passer vos interventions télé avant les articles c’est ça qui vend,
    donc télés en tête de cv -

    ne dites pas que l’ouvrage fait concurrence mais synthétise et va plus loin...
    n’allez pas commencer votre démarche par « je manque de notoriété »
    n’oubliez pas que l’ensemble de vos éditeurs potentiels ne regardent jamais leurs géranium
    avouez la légère complexité de l’ouvrage 
    mais glissez que vous avez un plan comm. où il est présenté au grand public 
    comme un travail de pédagogie inégalé sur des avancées nouvelles.

    ne m’en voulez pas de ce listing, vos aveux d’impuissance sont le vrai signe de votre génie probable.
    ah et question temps, il me semble que la soluce est dans ce que vous avez déjà théorisé, cohérence.
    bonne chance.